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(06/03/2007 17:11:40)

Le Syntec Informatique propose un pacte au futur président de la République

La lettre ouverte a été portée ce matin « à tous les candidats déclarés à la présidence de la République ». Le Syntec Informatique, chambre syndicale des SSII et éditeurs de logiciels français, a ensuite convoqué la presse ce midi pour lui présenter ce catalogue de mesures à inscrire dans un programme gouvernemental afin de « gagner un demi-point de croissance annuelle en plus » et de « créer 200 000 emplois dans les 5 ans à venir ». Pour faire ses comptes, Jean Mounet, président du Syntec, est parti de diverses estimations réalisées par des économistes, et a comparé la croissance européenne avec la croissance américaine. « Sur 1,5 point d'écart, on considère qu'il y a entre 0,7 et 1 point de croissance dû aux technologies de l'information. Dont un tiers dû au dynamisme du secteur lui-même, et deux tiers à l'usage de ces technologies. » Pour Catherine Gabay, directrice de l'innovation et de la recherche au Medef, qui assistait au déjeuner de présentation, le chiffre de 0,5 point de croissance supplémentaire avancé dans la lettre ouverte est même conservateur. Bien sûr, tout dépendra de l'accueil réservé aux mesures proposées. S'il a applaudi le travail de plusieurs ministres, tels François Loos ou Thierry Breton, Jean Mounet demande « une politique extrêmement volontariste, tel que cela s'est fait en Inde [...] qui est aujourd'hui une puissance considérable. » Cela passe d'une part par une prise de conscience « au plus haut niveau de l'Etat, alors que dans la campagne présidentielle, personne ou presque n'en parle », pouvant prendre la forme d'un ministre chargé de la coordination. Classiquement, le Syntec plaide aussi pour une plus grande souplesse accordée aux entreprises : relever la limite du nombre de jours travaillés au maximum (218 jours actuellement), abroger la loi sur le prêt illicite de main d'oeuvre (Eric Hayat, vice-président de Steria, a dénoncé les situations ubuesques, selon lui, provoquées par cette loi censée lutter contre le délit de marchandage, tandis que Jean Mounet, désignant Jean-François Pépin, délégué général du Cigref, soulignait : « nos clients ont la même demande »), relever les « plafonds sociaux » de façon à ce qu'une PME qui cherche à se développer n'ait pas peur du seuil des 50 employés à partir duquel elle devra composer avec un Comité d'entreprise... Afin de contrebalancer l'aspect libéral de ce programme, Jean Mounet a parsemé son discours de quelques informations sur l'emploi dans les entreprises que le Syntec représente : « dans notre monde, 97% des gens sont en CDI », « nous sommes de très loin le premier recruteur de cadres en France, avec 80% de cadres sur 300 000 personnes » ou encore « le taux de chômage sur notre segment est de seulement 2% ». L'Etat devrait montrer l'exemple Le document, sous-titré « Croissance et plein emploi : les entreprises du conseil, du logiciel, des services informatiques et du conseil en technologies s'engagent », demande surtout beaucoup d'efforts à l'Etat. Pour favoriser les PME et les éditeurs de logiciels (qui sont souvent les mêmes, en France), Jean Mounet demande à l'Etat de cofinancer les start-up, d'exonérer d'impôt sur le revenu pendant deux ans les ingénieurs de haut niveau recrutés par les PME, de transformer le crédit impôt recherche en crédit impôt innovation (à la définition plus large, permettant d'y inclure le logiciel) et de pouvoir appliquer nombre de mesures de type « loi Dutreil sur les gazelles » ou « jeunes entreprises innovantes » à l'ensemble des éditeurs de logiciels, regroupés sous un label particulier. Le Syntec demande également à l'Etat de montrer l'exemple, en accélérant son informatisation, en incitant les entreprises à faire de même, et en lançant de grands programmes industriels - qui feront largement appel aux nouvelles technologies. Christophe Stener, vice-président exécutif d'Alliance Tics (Union des syndicats de l'industrie des technologies de l'information, de la communication et des services associés), est venu appuyer le discours. Son propre catalogue de mesures, « un rapport d'une cinquantaine de pages », sera présenté dans quelques jours. Il reprend plusieurs des points développés par le Syntec, et souligne comme Jean Mounet la nécessité de ne pas rater le virage du très haut débit. (...)

(06/03/2007 17:04:03)

Douze formations-métiers de plus homologuées en informatique

C'est au journal officiel. Douze des cent treize formations-métiers nouvellement inscrites (depuis le 23 février) au répertoire national des certifications professionnelles concernent le secteur informatique et télécoms. Cela va de l'année de formation préparant au métier de cartographe géomaticien (à l'école nationale de sciences géographiques) jusqu'au cursus de cinq ans menant au grade de chef de projet logiciel et réseaux (Ecole polytechnique de l'université de Nantes) ou d'expert en ingénierie informatique (Epita, Paris). Cette homologation officielle vaut équivalence de diplôme qui, pour les métiers relevant des technologies de l'information et de la communication, se situe généralement à bac+3 (niveau II) ou à bac+5 (niveau I). Plusieurs de ces certifications concernent des parcours de formation proposés par le ministère de la Défense. C'est le cas pour la formation de chef d'équipe d'exploitation et de maintenance de systèmes d'information et de télécommunications (Marine nationale), ou de chef de cellule de cryptographie (centre de formation interarmées) ou encore de chef de projet en système d'information (Direction générale de l'armement, centre de formation de Bourges). Plus classiquement, la liste fait état de formations de développeur multimédia, de graphiste multimédia et d'infographiste (divers instituts ainsi homologués), de cursus d'analyste-programmeur et de chef de projet en informatique de gestion ou encore de responsable en ingénierie des logiciels (formations relevant du réseau des Cesi, Centre d'études supérieures industrielles, 24 sites en France). Chacune de ces certifications donne lieu, dans le répertoire national, à une description détaillée des pré-requis pour l'accès à la formation, des compétences acquises durant le cursus, ainsi que des précisions sur les débouchés, les secteurs d'activités et/ou types d'emplois accessibles. Le tout via un portail qui constitue une véritable mine d'informations régulièrement actualisée. (...)

(05/03/2007 17:39:10)

Le tour de France d'Adhara et Bewise avec la plateforme Microsoft Visual Studio Team System

C'est d'une manière originale qu'Adhara (réseau de formations pour les métiers de l'informatique) et Bewise (SSII spécialisée dans la mise en oeuvre avancée des technologies de développement Microsoft) ont annoncé une synergie de compétences et leur volonté commune de faire la différence sur le plan des formations : elles vont à la rencontre des entreprises en entreprenant un tour de France très élaboré qui commencera le 20 mars pour se terminer le 6 juillet. Le thème est la plateforme Microsoft Visual Studio Team System (famille de nouveaux outils intégrés couvrant tout le cycle de vie des logiciels et aidant les équipes de développement à communiquer et à collaborer plus efficacement) pour les entreprises qui s'intéressent aux avancées de l'éditeur. D'ores et déjà, le contenu de cette formation en quatre jours est annoncé : introduction à Team System ; mise en place d'un Team Project ; définition des tâches avec les Work Items ; mise en place du planning avec Microsoft Project Central ; conception et validation d'architectures avec les « Distributed System Designers » ; gestion du code source avec Team Foundation Source Control ; mise en place de tests et optimisation ; intégration continue avec Team Foundation Build et suivi de projets. Bien entendu, des pré-requis sont nécessaires, notamment une expérience significative de chef de projet, d'architecte, de développeur et/ou de testeur. Etre à l'aise avec le framework DotNet 2.0. Dates du tour de France : Toulouse 20-23 mars 2007 ; Montpellier 27-30 mars 2007 ; Paris 03-06 avril 2007 ; Lille 17-20 avril 2007 ; Bordeaux 22-25 mai 2007 ; Tours 22-25 mai 2007 ; Nantes 19-22 juin 2007 ; Lyon 05-08 juin 2007 ; Aix en Provence 26-29 Juin 2007 ; Strasbourg 03-06 juillet 2007. Inscriptions et renseignements (...)

(05/03/2007 17:36:59)

Le recrutement des informaticiens au coeur des congrès RH

Le 13e Salon « Solutions Ressources Humaines » va se dérouler au Cnit-Paris La Défense entre le 13 et le 15 mars 2007. Très complet, il portera à la fois sur les outils mis à la disposition des recruteurs et sur les questions de méthodes pour être le plus efficace possible. Ainsi, une série de conférences est organisée et permet de déterminer les préoccupations des DRH. Parmi les plus attractives, celle concernant les systèmes d'information ressources humaines (SIRH), de plus en plus utilisés dans les collectivités, ministères et grandes entreprises, notamment pour optimiser les carrières. « SIRH étendu : Comment optimiser les liens entre l'outil informatique et les contenus à disposition des DRH ? » Autre thème récurrent : l'anticipation du papy-boom, que certaines entreprises en informatiques contournent en se servant de l'expérience irremplaçable de bons éléments devenus seniors en leur offrant des postes de consultant ou encorepar la recherche de spécialistes en technologies d'un autre âge, à savoir les Cobolistes ! Au coeur des autres débats, les cabinets de recrutement (parfois en concurrence, souvent en complément des SSII) qui permettent d'augmenter les chances de découvrir la perle rare et dans les questions liées à la performance et aux relations inter-entreprises, le coaching, décidément très en vogue. Se former par le jeu ! Le jeu est-il l'une des nombreuses applications possibles du coaching ? Simultanément au salon Solutions RH se déroulera Ludimat Expo orienté « formation par le jeu en entreprises ». Tendance actuelle des méthodes explorées par les experts du recrutement, les jeux, grâce aux nouvelles technologies, complètent - sans les remplacer - les stages de survie ou de paint ball très à la mode il y a quelques années. Il y a trois mois, Lyon proposait le deuxième Serious Games Summit pour permettre aux entreprises de découvrir des innovations et des formations sur-mesure grâce aux nouvelles technologies exploitées sous forme ludique. Le métier de spécialiste en RH au centre des préoccupations de l'entreprise A noter encore qu'il reste des places au sein d'une formation sur « l'entretien professionnel mené par les Managers » les 12 et 13 mars, organisée par GT'M Ingénierie et pour laquelle le Fafiec a prévu une enveloppe budgétaire spécifique, à hauteur de 100% des coûts pédagogiques. Enfin, dernière idée induite par le recrutement : son coût. Pour éviter de se tromper et pour mettre en adéquation les fonctions RH avec les ambitions de l'entreprise d'une part et le marché concurrentiel de l'autre, une rencontre « Congrès RH » est prévue les 20 et 21 mars au Forum- Rive Gauche. Elle se donne une perspective internationale et permettra la confrontation des expériences et innovations hors de nos frontières. -Télécharger la demande de prise en charge auprès du Fafiec dans la rubrique « Actions Collectives » ou Contact GT'M Ingénierie : 01-61-08-48-20 -Programme du Congrès RH des 20 et 21 mars 2007 lire sur lemondeinformatique.fr : -Portage salarial : une piste à explorer pour les seliors -Java, J2EE, .Net et Cobol ont la cote -Le jeu vidéo au secours de la formation (...)

(02/03/2007 14:39:19)

Cent employeurs embauchent au Forum des télécommunications

Parmi les rendez-vous étudiants-entreprises animant la fin du premier trimestre, le cru 2007 du forum organisé par les élèves-ingénieurs en télécommunications, le jeudi 8 mars à la Porte de Versailles à Paris, s'annonce des plus animés. Une centaine d'entreprises (soit quinze de plus que l'an dernier) et une douzaine de groupes de presse ont tenu à s'y afficher, se mettant ainsi au diapason du marché de l'emploi, en nette reprise pour les débutants (+10% par rapport à 2006, selon l'étude prospective de l'Apec) et pour les jeunes cadres (entre +9% et +25%, selon l'Apec). Les offres de postes concernent les diplômés de l'année issus des écoles d'ingénieurs (pas seulement les profils ingénieurs télécom), ceux des écoles de commerce et des universités d'Ile-de-France (niveau bac+3 et bac+5). Mais, comme l'édition de l'an dernier qui a accueilli plus de 5000 candidats-visiteurs, le forum est également ouvert aux jeunes cadres qui se remettent sur le marché après deux-trois ans d'expérience, ainsi qu'aux étudiants en quête de stage, d'une possibilité de troisième cycle (les trois grandes écoles de commerce HEC, Essec, ESCP, présentent leur MBA) ou encore d'un point de chute pour une année de césure. Et c'est là une presque-nouveauté pour les élèves-ingénieurs. « A la différence des étudiants d'écoles de commerce et de management, la pratique de la césure, une année en entreprise en fin de deuxième année, est encore peu répandue dans les écoles d'ingénieurs. Alors que certaines entreprises, comme les sociétés d'ingénierie et de conseil, se disent fort intéressées par la formule», témoigne Clément Sauzade, élève en seconde année de Télécom INT, membre de l'équipe organisatrice du forum (Telecom Paris, INT-Evry filière Télécom et filière Management). A noter aussi parmi la centaine d'employeurs (industriels, SSII, banques, opérateurs, constructeurs), la présence de jeunes entreprises (moins de deux ans d'existence) porteuses d'emplois, encouragée par un tarif de stand adapté à leur cas. (...)

(28/02/2007 17:52:59)

Sondage Flash : Deux tiers des informaticiens ignorent ce qu'est le Dif

Suite à un sondage actuellement mis en ligne sur le site lemondeinformatique.fr, les premiers résultats laissent songeurs : 66,5% des internautes ont répondu « Le Dif, qu'est-ce que c'est ? » à la question : « Informaticiens, comptez-vous profiter de votre Dif en 2007 ? » Le Dif (droit individuel de formation) est une déclinaison de la loi du 4 mai 2004 relative à « la formation professionnelle tout au long de la vie ». Il permet à tous les salariés d'obtenir une sorte de « crédit d'heures de formation » de 20h par an, cumulables sur 6 ans dans la limite de 120h. Les personnes en CDD ou à temps partiel peuvent également en bénéficier au prorata temporis. L'initiative d'utiliser son Dif appartient au salarié : à l'instar de tout droit, il peut ou non en profiter. Mais s'il décide de ne pas faire valoir ses heures acquises, il ne peut pas demander de compensation financière à son employeur. Enfin, la mise en oeuvre du Dif requiert l'accord de l'employeur sur le choix de l'action de formation. La formation a lieu hors du temps de travail sauf disposition conventionnelle contraire ; elle est prise en charge par l'employeur selon des modalités particulières. La branche professionnelle joue un rôle non négligeable dans ce dispositif qui, contrairement au Cif (Congé individuel de formation), aux formations financées par l'entreprise ou à la Vae (Validation des acquis de l'expérience) n'est pas impérativement en rapport avec la fonction, l'expérience ou la carrière du salarié. Qu'est-ce qui peut expliquer une telle méconnaissance d'un droit, véritable avancée sociale que les entreprises ont intégrées puisque 58% d'entre elles se déclarent prêtes à offrir des plans de formation dans ce cadre à leurs salariés ? Probablement une mauvaise communication sur ce sujet : dans le sondage, seuls 13,7% des informaticiens répondaient qu'ils étaient prêts à profiter de leur Dif en 2007. En faisant le calcul, 20h par an représentent déjà près de 3 jours de formation et la plupart des centres reconnus, à l'instar d'Adhara, proposent des formations Dif sur-mesure. Une piste à explorer pour ne pas être pris au dépourvu le moment venu... et que le prochain sondage puisse indiquer d'autres résultats ! (...)

(26/02/2007 18:10:25)

L'informatique pour simplifier la mobilité urbaine

Entre la Lorraine et la région de Stuttgart, l'une des villes-sièges de l'industrie automobile européenne (avec Bosch, Daimler-Chrysler), s'esquisse une réflexion assez poussée sur la mobilité urbaine dans une optique de "smarter city" à laquelle est associée l'évolution des technologies réseaux et informatique. C'est l'objet du colloque organisé le 1er et 2 mars par le département du groupe ICN (Sup de Co Nancy) dédié à la formation de managers pour l'industrie automobile (Institut du Management Automotive) et par son équivalent germanique, l'Akademie Schloss Solitude de Stuttgart. "Même si le point d'entrée de cette réflexion sur la mobilité n'est pas le numérique, les opérateurs du secteur du numérique, autant que ceux des transports, sont de fait parties prenantes à ce que nous, sociologues, voyons venir, derrière la fin de l'étalement urbain, avec une représentation dite des trois hubs", résume Bruno Marzloff, sociologue fondateur du groupe Chronos et intervenant-coorganisateur de ce colloque. Extension des "Hubs and Spokes" A la manière de la resdistribution du transport aérien, passant par des "hubs and spokes" dès les années 90, l'évolution de la mobilité urbaine se confond avec celle de la multimodalité (conjugaison à divers niveaux des divers modes de transport, de l'avion jusqu'au vélo ou même l'organisation de quartier piétonnier dans la ville). Un maillage qui, selon les sociologues, s'oriente de même vers ce modèle à base de concentrateurs (hubs) et d'extensions (rayons). D'où, en simplifiant, la constitution d'un deuxième niveau de "hubs and spokes". Le troisième niveau étant, alors, celui de l'information et des services associés à l'information utile au voyageur, en temps réel, là où il se trouve: le "hub sur soi" ou le "hub media", selon Bruno Marzloff. Ce "hub media" regroupe l'ensemble des composantes nécessaires à la gestion de cette information, des services, des transactions, y compris la monétique et les aspects sécuritaires sur des moyens (supports) eux-mêmes mobiles et intelligents (smart). Autant dire que la réflexion sur la mobilité physique ne s'envisage plus qu'en conjonction et avec l'implication pleine et entière des acteurs de la mobilité numérique. C'est tout l'intérêt du rendez-vous de cette fin de semaine à Stuttgart, "Moving in a smarter city", qui confrontera les expériences de divers continents (avec des représentants du Japon et du Brésil, du MIT de Cambridge Massachusetts). La Fing (Fédération pour l'internet nouvelle génération), par ailleurs à l'initiative de l'opération ville 2.0, contribue à ce colloque. (...)

(26/02/2007 16:48:53)

Le pourquoi et le comment de la virtualisation des postes clients

Au delà des économies d'échelle, du déploiement et de la maintenance de parc logiciel facilités, la virtualisation fait d'ores et déjà partie du questionnement des DSI d'entreprises de toutes tailles quant à l'évolution de l'infrastructure informatique. En conformité avec la liste des huit priorités - dont la virtualisation - suggérés aux DSI pour 2007, le département conseil du prestataire EDS s'associe avec les éditeurs-fournisseurs de technologie Wyse et VMWare pour aborder de front, lors d'un atelier d'une matinée accessible sur inscription, le 8 mars à Paris, les diverses facettes de cette alternative technologique. Celle-ci semble séduire plus aisément les entreprises de taille moyenne (si on en croit les dernières études de marché, dont celle de Forrester publiée en janvier 2007) que les très grands comptes. Il est vrai que les arguments incontestables de cette informatique n'ont pas encore levé tous les blocages organisationnels et psychologiques liés à la notion de serveurs et de postes de travail virtuels. Lors de cette matinée, Jean-Pierre Corniou, en sa qualité de président d'EDS Consulting Services France, ouvre le débat sous l'angle des défis à relever par les informaticiens confrontés à l'exigence de maintenir à la fois la sécurité et la confidentialité des informations, de centraliser la gestion du parc, de respecter les réglementations (le défi de la "compliance", en anglais dans le texte) et d'optimiser, voire réduire, leur budget. (...)

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