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Fusions/Acquisitions
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(19/04/2011 12:05:31)
Twitter en pourparlers avancés pour racheter TweetDeck
TweetDeck est un concurrent direct des solutions web et mobile développées par Twitter. Si les informations du quotidien économique sont exactes, les dirigeants de ÜberMedia ont dû être surpris, car ils ont eux aussi négocié pour acquérir TweetDeck.
ÜberMedia comprend plusieurs applications comme UberSocial, Twidroyd et UberCurrents. En février dernier, Twitter a suspendu du jour au lendemain trois applications tiers pour mobile détenues par Ubermedia pour avoir prétendument violé ses politiques d'utilisation. Un jour plus tard, le site de microblogging avait rétabli ces trois applications. Selon certaines informations publiées la semaine dernière, ÜberMedia serait en train de développer son propre service de microblogging pour concurrencer directement Twitter.
Citant des sources anonymes, CNN.com a indiqué que l'éditeur cherche à attirer les utilisateurs vers son propre service de microblogging pour répondre aux plaintes fréquentes sur Twitter, telles que les restrictions sur la longueur d'un message et la difficulté d'accès au service pour les nouveaux utilisateurs.
ÜberMedia a refusé de confirmer ou de nier les informations de CNN, ainsi que les informations du Wall Street Journal. Pas de commentaires non plus de la part de Twitter.
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Samsung se désengagerait des disques durs
Samsung songerait sérieusement à se désengager des disques durs. C'est ce qu'indique le Wall Street Journal sur son site Internet. Le quotidien précise que l'entreprise coréenne espère retirer 1,5 milliard de dollars de cette cession, même si un accord sous le milliard de dollars est aussi envisagé. Parmi les prétendants, Seagate arrive en tête. Ce dernier veut rester dans la course après le rachat le mois dernier par Western Digital de l'activité disque dur d'Hitachi pour 4,3 milliars de dollars.
La raison de cette procédure de cession est aussi à chercher dans la mutation du marché. De plus en plus d'ordinateurs et de tablettes fonctionnent sous mémoire flash. L'activité disque dur va donc baisser et se concentrer. Samsung veut anticiper cette évolution et investir dans des secteurs plus prometteurs notamment les SSD. Apple vient d'ailleurs de préférer Samsung à Toshiba sur ce sujet.
(...)(13/04/2011 12:02:53)Cisco arrête Flip et se reconcentre sur le pro
Récemment, l'entreprise à 40 milliards de dollars, qui domine le monde du routage et de la commutation, a vu ses résultats financiers affectés par les produits grands publics. Les dirigeants de Cisco avaient échafaudé des plans ambitieux dans le domaine la vidéo, y compris dans la vidéo grand public avec le Flip, un produit issu d'un rachat il y a trois ans (Pure Digital Technology payée 590 millions de dollars en 2009).
A l'époque, le choix de l'entreprise d'entrer sur le marché consumer avait été accueilli avec étonnement (rachats de Kiss Technology, Linksys, Scientific Atlanta et Pure Digital Technology). La semaine dernière, trois jours après avoir diffusé une note assez naïve sur les réformes à venir auprès des 73 000 employés, le PDG John Chambers a déclaré que Cisco devait réduire ses dépenses de moitié.
5 marchés clefs pour Cisco
L'annonce faite mardi reprend les principaux points de la stratégie de Cisco dans cinq domaines clés : un coeur de métier centré sur le routage, la commutation et les services ; la collaboration, les architectures, la vidéo et les produits pour les datacenters. La décision de faire sortir l'entreprise du secteur grand public signifie que les segments de consommation restants seront pris en charge par quatre des cinq domaines prioritaires, à l'exception des centres de calcul.
« Cette restructuration se traduira par une charge de 300 millions de dollars imputée aux troisième et quatrième trimestres de 2011 et implique également la suppression de 550 emplois au quatrième trimestre, » a indiqué Cisco dans un communiqué. L'entreprise a précisé que ses clients et ses partenaires FlipShare seraient soutenus par un plan de transition, mais n'a donné aucun détail à ce sujet.
Recentrage des activités réseau à domicile
Les activités du secteur réseau à domicile de Cisco seront recentrées « de manière à fournir une meilleure rentabilité, en liaison avec l'activité principale de l'entreprise. » Les produits de ce secteur seront encore vendus dans les canaux de vente au détail. La ligne Umi de téléprésence à domicile sera intégrée à la ligne Business et sera vendue par un prestataire de services, mais Cisco n'a pas précisé comment fonctionnerait ce système. Cisco n'a pas non plus indiqué si les produits grands publics Umi seraient toujours vendus. Cisco a simplement indiqué qu'elle évaluerait la possibilité d'intégrer son offre de plate-forme web sociale EOS pour les marques et les entreprises ou si elle trouverait d'autres débouchées pour ce secteur.
Ironiquement, la vidéo reste l'une des cinq priorités de Cisco dans le remaniement à venir, mais apparemment pas du côté des consommateurs. « Notre repositionnement va être très ciblé et orienté pour recentrer notre stratégie vers l'activité réseau, » a déclaré John Chambers. « Au fur et à mesure que nous avancerons dans cette direction, notre effort consistera aussi à soutenir nos clients fournisseurs de services afin de les aider à optimiser et à élargir leur offre consommateurs, et faire en sorte que le réseau contribue à accompagner ces offres, » a-t-il ajouté.
Il y a un an, Cisco faisait pourtant l'éloge de sa gamme de Flip, vantant les capacités HD de sa caméra et menant une campagne de promotion soutenue sur le web. Des rumeurs faisaient même état d'un modèle WiFi en préparation, qui n'a jamais vu le jour. Aujourd'hui, la durée pendant laquelle le Flip bénéficiera d'un support technique est incertaine. Quant à la téléprésence à domicile Umi, elle avait aussi fait l'objet de plusieurs campagnes de publicité à la télévision nationale, sans générer les ventes escomptées, comme l'avaient remarqué un certain nombre d'analystes.
(...)(12/04/2011 12:07:20)
Pour muscler son offre cloud, Capgemini s'offre Artesys et Avantias
Capgemini se renforce en France. Le groupe se services informatiques a annoncé coup sur coup l'acquisition de 100% du capital de deux sociétés françaises, Artesys et Avantias. La première est spécialisée dans l'architecture et l'intégration de solutions logicielles d'infrastructures. La seconde, dans la mise en place d'outils ECM (Entreprise Content Management). Le montant total de ses deux rachats s'élèvent à 40 millions d'euros. Ils seront financés sur la trésorerie nette du groupe.
Ces deux acquisitions s'inscrivent dans la stratégie de développement des deux lignes de services mondiales de la SSII. Il s'agit de Business Information Management (BIM) et d'Infrastructure Transformation Services (ITS), une activité qui a pour objectif d'aider les entreprises à accéder aux bénéfices du cloud computing. Cette dernière, qui a vu le jour en janvier 2011, est pilotée par Daniel Chaffraix au niveau mondial. En s'offrant Artesys, Capgemini couvrira l'ensemble du cycle de vie des infrastructures, de leur conception à leur exploitation en termes de services d'infrastructures, en passant par l'adoption de transformations (virtualisation, automatisation, orchestration,...) qui permettent la mise en oeuvre de modèles de type cloud computing.
«En France, nous manquions de capacité en terme d'exécution de services de transformation d'infrastructures », commente Daniel Chaffraix. « Nous sommes aussi positionnés via notre filiale Sogeti. Nous avons porté notre choix sur Artesys pour ses capacités à comprendre le monde de la gouvernance via son outillage de solutions ITIl, pour ses compétences et également pour son portefeuille de références en termes de projets aboutis ».
25 millions de CA en 2010
Autre raison qui a motivé le rachat : le fait qu'Artesys ne soit pas dispersée sur trop de multiples partenaires. « A l'opposé d'autres intégrateurs Artesys a choisi de limiter ses opérations de partenariat en s'appuyant uniquement sur les outils de BMC et de HP Software », souligne Daniel Chaffraix. Ceci lui a permis de développer rapidement des compétences de façon plus approfondie et pertinente.
Illustration: Daniel Chaffraix, directeur mondial des activites Infrastructures Transformation Services (ITS) du groupe Capgemini. Crédit photo: Capgemini
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Créée en 2000, Artesys emploie 131 collaborateurs et compte parmi ses clients de grandes entreprises françaises, notamment dans les secteurs financier, industriel et public. En 2010, son chiffre d'affaires a atteint les 25 millions d'euros. Daniel Chaffraix table sur un doublement de la croissance organique des effectifs d'ici fin 2012. Eric Chenneveau, PDG d'Artesys, deviendra directeur des activités ITS de Capgemini en France.
+20% pour les activités ECM de Capgemini
L'acquisition d'Avantias permettra également à la SSII de se renforcer sur le marché mondial des logiciels d'ECM ; « Capgemini entend développer ses parts en France sur un secteur en forte croissance, qui devrait connaître une hausse de 10% par an, jusqu'en 2014, » tient à souligner Christian Becht, directeur de la ligne de services Business Information Management pour la France. «Nous tablons sur une croissance annuelle de ces activités ECM de Capgemini proche des 20%. » Le marché des applications de gestion de contenu d'entreprise est tiré par la demande de clients de différents secteurs d'activité, comme la banque/assurance, les télécoms, l'énergie/utilities, l'industrie pharmaceutique ou encore le secteur public.
«Les entreprises s'appuient sur ce type d'outils pour disposer d'une meilleure efficacité de leurs processus de traitement, de valorisation et de contrôle de l'information alors qu'elles doivent faire face à une forte augmentation des volumes de données et à des exigences réglementaires renforcées », précise le dirigeant. « Nous avons donc créé une ligne de services dans une logique de vision à 360 degrés de l'information. »
Jusqu'à présent, sur ce marché, Capgemini disposait d'une force de frappe de 75 personnes en France. Le rachat d'Avantias lui permettra de disposer de 120 collaborateurs supplémentaires. Ils viendront s'ajouter à la cinquantaine de recrutements qui auront lieu dans le courant de l'année. Crée en 2006, la société Avantias a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 13,6 millions d'euros, en croissance de 34% par rapport à 2009. Elle possède des bureaux à Paris et Rennes, New York, Londres et Oslo. Philippe Franchet, directeur général d'Avantias, prendra en charge l'offre ECM au sein de Capgemini en France. A noter que l'acquisition d'Avantias n'inclut pas sa filiale spécialisée en géo-intelligence Galigeo.
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AXC et Yellowstone Software viennent renforcer les actifs de Dimo Gestion
Créée en 1995, par six associés, la société Dimo Gestion est issue de l'agence Rhône-Alpes de Cerg Finance(*), éditeur en gestion de trésorerie. Quinze ans plus tard, l'entreprise réalise 20 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) et compte deux activités, l'édition et l'intégration, dans le secteur de la gestion financière d'entreprise. Avec les rachats d' AXC et de Yellowstone Software, Dimo Gestion affiche ses ambitions à l'international.
AXC est un éditeur réalisant 1 ME de CA, avec une spécialité : la gestion des notes de frais, mais dans le secteur public. De taille trop petite pour se développer la société s'est vendue à Dimo Gestion qui complète ainsi son activité de gestion des notes de frais, où il édite le logiciel Notilus. Les équipes d'AXC rejoignent celles de Dimo Gestion à Courbevoie en région parisienne, dans le pôle CRM.
Création d'une filiale spécialisée en SaaS
Yellowstone présente un autre profil, la société est dans le CRM et le Saas. Dimo Gestion, qui a repris ce fonds de commerce, en profite pour créer une filiale, spécialisée en Saas : Dimo Apps, avec l'activité CRM de l'ex Yellowstone et celle développée par Dimo Gestion depuis 2003. D'autres développements sont en cours. Dimo Apps ce sera du Saas vertical, dans trois secteurs : le SRM, Supply relationship management, l'hôtellerie, les organismes collecteurs de la taxe d'apprentissage. L'activité Saas devant représenter 20 % de celle de Dimo Gestion en 2015.
Ces rachats et cette création de filiale marquent une étape dans le développement de Dimo Gestion. La société veut se développer davantage à l'International. Elle y accompagne ses clients en gestion de notes de frais en adaptant ses produits dans la langue et la législation locale. Parfois, Dimo Gestion crée une implantation, comme en Tunisie ou à Madrid. Elle recherche également des distributeurs à l'international.
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En France, Dimo Gestion a adopté un modèle mixte de distribution en direct et en indirect. L'éditeur raisonne suivant chaque affaire. Une quinzaine de partenaires l'accompagnent. Le 21 mars dernier, était organisé le 1er Dimo partner meeting, destiné aux partenaires français et internationaux en indirect. Se tenait également, le lendemain, le 10 ème Dimo Forum, ouvert aux clients et partenaires, avec plus de 950 participants.
La société est organisée en b.u : BI, CRM, Finance, GMAO (Gestion de la maintenance assisté par ordinateur), Dématérialisation et processus, Gestion, voyages et notes de frais. Chacune d'elles travaille sur les produits édités en propre ou ceux distribués. L'édition c'est d'abord une niche de marché, les notes de frais d'entreprise, où Dimo Gestion détient une place prépondérante en France et en Europe, avec son logiciel Notilus. Dimo Gestion a lancé un outil de GMAO avec les rachats de CIRIS et d'Ithec. Troisième produit en édition, Geck destiné aux interfaces ERP. La distribution c'est plusieurs partenariats, comme ceux noués avec Sage et Cognos.
La société s'est dotée d'un plan de développement pour l'horizon 2015. « L'objectif est d'atteindre les 40 ME de CA, souligne Guillaume Mulliez, P-dg de l'entreprise, tout en restant indépendant, ce qui est notre marque de fabrique ». Les 6 associés de départ ont aujourd'hui 9, rejoints par 15 managers. Un fonds interne, alimenté par 130 salariés est également actionnaire. On retrouve l'ADN des Mulliez : esprit d'entreprise et association des salariés au capital.
(*) Créée en 1983, la société Cerg Finance fut pionnière dans la gestion de trésorerie (cash management) en France, en 1998 elle rejoint XRT, le tout est racheté par Sage fin 2007.
A&O repris par Verdoso Industries (MAJ)
C'est finalement le projet industriel de Verdoso Industries qui a convaincu le tribunal de commerce de Versailles (78) de se prononcer en sa faveur pour la reprise du mainteneur A&O. Soutenue par Daniel Clauss, le président d'A&O, Verdoso Industries était en concurrence avec Solution 30 (Ex-PC30).
Les deux sociétés avaient fait connaître leur volonté de reprendre l'ex-filiale maintenance d'EDS après que le tribunal de commerce eut relancé en mars dernier le plan de cession entamé au mois de juin précédent. Cette décision faisait suite à l'échec du plan de continuation dans lequel s'était engagé l'entreprise.
Solutions 30 offrait pourtant 2 M€ d'euros de plus que les 6 M€ proposés par Verdoso Industries, ainsi que le maintient à leur poste d'un plus grand nombre de salariés...
Illustration: Centre d'appels d'A&O
(...)(06/04/2011 10:11:21)Telindus acquiert Eudasys pour renforcer son expertise sur le stockage
L'intégrateur réseau Telindus, 200 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, rachète Eudasys qui en réalisait 27 la même année. Une opération menée par des partenaires rentables, Telindus affiche 12 millions d'euros d'Ebitda et Eudasys 2 ME, toujours pour 2010. Le groupe belge reprend 100% des parts d'Eudasys pour un montant de 12 ME.
Telindus achète une société en bonne santé financière, intéressante pour son expertise. Eudasys, partenaire historique d'EMC, a noué des relations avec Cisco et VMware. L'intégrateur cherchait justement à se renforcer dans le stockage. Une business unit était créée dans ce but il y a dix-huit mois. Les dirigeants d'Eudasys en prendront la direction, un signe fort que l'intégration se déroule de manière très positive.
Cette « BU » devrait représenter 25 à 30% du chiffre d'affaires de Telindus d'ici 2015. Dans l'immédiat, elle va développer une panoplie de services managés autour du stockage.
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