Flux RSS

Gouvernance de la DSI

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

364 documents trouvés, affichage des résultats 301 à 310.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(22/03/2006 14:11:47)

Patrick Starck quitte HP France en pleine restructuration

Coup de tonnerre à la tête de HP France. Après l'annonce la semaine dernière du départ du DRH de la filiale française, Pierre Farouz, la firme a annoncé aujourd'hui le départ de Patrick Starck, son PDG depuis 2002 et son remplacement intérimaire par Johan Deschuyffeleer, l'ex-directeur général d'HP Belgique. Interrogé par Le Monde Informatique.fr sur les raisons de son départ, Patrick Starck a expliqué qu'il venait de passer la cinquantaine et qu'après 10 ans passés chez IBM puis 11 ans au sein de Compaq et HP (dont six à la tête de la filiale), il avait décidé de passer la main pour donner une nouvelle direction à sa carrière. "j'ai prévenu mes responsables il y a plusieurs semaines de mon souhait de quitter mon poste et j'ai assumé mes responsabilité pendant la recherche d'une solution. Une solution a été identifiée et annoncée aujourd'hui avec l'arrivée de Johan Deschuyffeleer". Ce dernier devrait assurer l'intérim de Patrick Starck et prendre la direction générale d'HP France ainsi que celle de l'activité Solutions Technologiques. Jusqu'alors basé à Palo Alto, le siège de la société, où il occupait le poste de Vice-Président de la stratégie des modèles de vente et de la productivité, Deschuyffeleer a contribué à améliorer la productivité et l'efficacité des ventes au sein des canaux directs et indirects du groupe. Auparavant il occupait le poste de directeur général de HP Belgique. Connaissance du "contexte" français Dans une interview avec LeMondeInformatique.fr, Johan Deschuyffeleer a expliqué sa nomination par sa connaissance du contexte français : "Je prend le job car la législation française est comparable à celle de la Belgique. Je comprends le contexte car j'ai été directeur général d'HP en Belgique". Deschuyffeleer, a semble-t-il l'estime des salariés belges. Un syndicaliste local cité par la CFTC indique ainsi que " Johan joue son rôle de patron et il a toujours traité les membres du CE avec respect. Pareil pour ses rapports avec les experts des organisations syndicales. Il est très soucieux du respect de la législation". Cela pourrait l'aider dans la difficile phase de bouclage du plan social qui s'annonce. Sa nomination intervient en effet alors que le plan social en cours dans la filiale française entre dans sa phase finale. Patrick Starck et Johan Deschuyffeleer ont rencontré ce matin les syndicats pour leur assurer que les engagements pris seraient tenus, car ils sont ceux d'HP et non ceux du président partant". DeSchuyffeleer ne fait toutefois pas mystère du fait qu'il n'est là que pour assumer l'intérim en attendant le recrutement d'un patron permanent pour HP France : "Je le sais depuis le début. HP en France est une filiale importante avec près de 5000 personne et elle doit être gérée par un français. J'assure la continuité. Je suis convaincu que le succès d'une société dépend de son leader.(...) Il pourra venir de l'extérieur ou de l'intérieur. On va prendre le temps de trouver le meilleur candidat.(...) Je devrais être présent durant six à neuf mois...". Quant à la situation de la filiale française, il se veut optimiste :" La première préoccupation est de faire en sorte de terminer le travail entamé par Patrick Starck. Mais ma propre opinion est que le marché français représente une opportunité significative pour HP. Il y a plus à faire au niveau des services et du logiciel, ce sont des axes de développement importants pour le futur. On peut développer une stratégie de croissance pour cette filiale." Des mots qui devraient rassurer les partenaires sociaux alors que leurs principaux interlocuteurs ont perdu leurs mandats en moins d'une semaine... (...)

(20/03/2006 17:58:04)

Mandriva remercie son co-fondateur Gaël Duval

Départ volontaire ou licenciement ? C'est la question que semblait soulevé quelques discussions animées sur les forums et blogs de l'Etat Linuxien, à l'annonce la semaine dernière du départ de Gaël Duval de Mandriva, son co-fondateur. Gaël Duval a finalement bien été licencié, ainsi que 17 autres de ses collègues, de la principale « distro » française. Et c'est amèrement qu'il détaille la manière peu honorable avec laquelle il fut « viré ». Et à laquelle il espère répondre devant les tribunaux, pour « licenciement abusif». Gaël Duval, tout comme Jacques Le Marois ou Frédéric Bastok, c'est l'aventure Mandrake. On ne pouvait, en ce temps là, imaginer qu'une entreprise du secteur Open Source aurait à adopter un jour les méthodes de « gestion des ressources humaines » du secteur privé industriel. Surtout après que l'orage du redressement judiciaire soit passé. (...)

(17/03/2006 17:36:13)

Sun perd son vice-président et directeur général, John Loiacono

John Loiacono quittera son poste de vice-président et directeur général de Sun, le 24 mars prochain. Il ira alors rallier Adobe pour y assurer la responsabilité du développement et du marketing de l'intégralité du portefeuille d'outils créatifs, y compris les plus emblématiques comme Photoshop, Illustrator, Flash Professional, et Dreamweaver. John Loiacono rapportera directement à Shantanu Narayen, P-DG d'Adobe. Ce dernier estime, dans un communiqué de presse, que sa recrue permettra à Adobe de « continuer à innover sur les marchés de la création pour proposer des suites intégrées qui simplifient les traitements et [...] conservent une longueur d'avance sur la concurrence. » John Loiacono est entré chez Sun en 1987 avant d'y être nommé vice-président et directeur général en avril 2004, après que Jonathan Schwartz a été nommé président et directeur général du groupe industriel. Dans l'exercice de ses fonctions, John Loiacono a peu inscrit sa marque, appliquant une stratégie pour les logiciels de Sun directement inspirée par un Jonathan Schwartz auquel il s'est d'ailleurs souvent référé. Selon certains observateurs, Jonathan Schwartz n'a jamais vraiment renoncé au contrôle de la stratégie logiciels de Sun. Il en reprendra la responsabilité officielle d'ici la nomination d'un successeur à John Loiacono. (...)

(17/03/2006 00:00:00)

Accompagnement : « Notre taux de réussite aux entretiens avec les clients s'est accru ».

Entretien avec Philippe Gasc. Ce diplômé en sciences humaines occupe la fonction originale de consultant interne auprès des informaticiens au sein de la SSII Projipe. Ils les aide à progresser et à s'adapter aux contextes clients qu'ils rencontrent. Lemondeinformatique.fr : quel est votre rôle chez Projipe ? Philippe Gasc : Je propose un espace d'écoute neutre et confidentiel au sein de l'entreprise. Un lieu dans lequel les collaborateurs peuvent exprimer des difficultés, des doutes ou des souhaits sans avoir peur d'être jugés. La confidentialité est posée dès la prise de contact. C'est un principe qui est totalement respecté par la direction. Dans ce cadre, je leur apporte un accompagnement pour les aider à avancer sur la problématique posée. Je me positionne dans une relation client fournisseur, dans laquelle je suis le fournisseur. L'objectif est que la personne qui me sollicite se sente mieux par la suite. Concrètement, dans quels contextes intervenez-vous ? J'ai défini cinq actions ou services à leur intention. Le premier est associé à l'intégration du collaborateur. Je rencontre les nouvelles recrues pendant au moins deux heures pour leur exposer les principes de nos métiers afin qu'ils s'en imprègnent et pour créer une relation. Le deuxième concerne la gestion de carrières. Je les aide à faire des bilans et à élaborer des projets d'évolution professionnels lorsqu'ils le souhaitent. J'interviens aussi pour les accompagner lorsqu'ils prennent de nouvelles fonctions et qu'ils rencontrent des difficultés. Je propose enfin une prestation pour préparer les entretiens avec les clients, en sessions individuelles ou en groupe. Nous travaillons au développement d'une communication positive et attractive vis à vis du client. Je peux aussi être amené à gérer des cas particuliers. Dans tous les cas, le contenu de ma prestation est adaptée en fonction du ressenti et de la demande du collaborateur. Pourriez-vous donner un exemple de mission de conseil? Je peux évoquer le cas d'une personne qui venait d'évoluer vers des fonctions de conseil, après avoir travaillé dans l'assistance à maîtrise d'ouvrage. Elle s'est retrouvée dans un contexte client qu'elle vivait mal, jugé peu organisé et avec beaucoup de pression venant d'interlocuteurs qui n'étaient forcément ses responsables. Cette personne était paniquée et avait besoin d'aide. Mon travail a d'abord été d'accueillir sa demande pour lui procurer un soulagement, d'établir un dialogue en replaçant la fonction de consultant dans sa réalité, puis de voir ce que le client avait dit. A l'issue de ce travail, nous avons mis en évidence que le client n'avait formulé aucune plainte et qu'il n'y avait pas de raison pour que le consultant ait peur d'être mal jugé. Cela a permis de lever l'anxiété et de commencer à prendre du recul sur la situation. L'angoisse peut entraîner de la confusion, une remise en question de ses compétences et sa valeur et des blocages. Mon travail est notamment d'aider à ce que cette émotion disparaisse. Le consultant peut ensuite raisonner sur ce qui le dérange, se réapproprier la situation et définir un plan d'action structuré. Le côté professionnel reprend le dessus. Je l'accompagne ensuite dans la mise en place du plan d'action. Pouvez-vous intervenir à la demande d'un responsable opérationnel? Dans ce cas, comment assurer le consultant qu'il peut vous aborder en toute confiance ? Oui je peux être sollicité lorsque le manager souhaite faire faire un point de suivi à son collaborateur dans un contexte décorrélé de l'opérationnel, suite à un malaise perçu, une démotivation passagère, ou une situation conflictuelle chez un client par exemple. Dans ces cas là, il a en général prévenu le consultant et m'a présenté comme voie de solution, ce qui est déjà rassurant. Lorsque je prend contact avec lui, je lui précise aussi qu'il n y a pas d'obligation et que mon rôle n'a rien de formel, ce n'est qu'un service. La règle de confidentialité s'applique par ailleurs, même pour l'existence de l'entretien si cela est souhaité. En général, les gens viennent, ce qui leur permet de se libérer en parlant. Nous pouvons ensuite identifier les points de dérives dans la relation client. Comment est mesuré l'impact de votre poste ? Je sais qu'entre 2001 et 2004 pendant une période difficile, le taux de réussite aux entretiens avec les clients s'est accru, ce qui a été bénéfique pour tout le monde. Mon intervention a parfois permis, par ailleurs, que des personnes poursuivent leur mission au lieu d'en sortir. Globalement, il faut comprendre que donner la possibilité à des personnes de dire qu'elles ne se sentent pas bien et de décortiquer des situations sans peur du jugement a un impact énorme en terme de créations de liens et de cohésion interne. Par ailleurs, dans toutes les missions, les problématiques relationnelles et humaines sont aussi importantes que les questions opérationnelles. Mon poste contribue à la qualité de vie dans l'entreprise. Il vise à fidéliser nos collaborateurs. Tout le monde y gagne et la direction me laisse faire, ce qui prouve que ce travail doit être efficace, même si son impact est difficile à mesurer. (...)

(15/03/2006 16:39:48)

Rencontres entre experts-comptables et chefs d'entreprises

L'Ordre des experts-comptables de Paris et de l'Ile-de-France, l'Agefos PME d'Ile-de-France et la CGPME d'Ile-de-France se sont associés pour proposer aux experts-comptables et aux chefs d'entreprises franciliens deux fois par an des sessions d'information ou de formation animées par les experts-comptables. Les sujets seront choisis parmi des thèmes d'actualité touchant concrètement les entreprises. La première rencontre se déroulera le mardi 21 mars à Paris et aura pour thème « Actualité 2006 : aspects financiers et gestion d'entreprises ». Plus d'informations sur : www.agefos-pme-iledefrance.org. P.D. (...)

(10/03/2006 17:56:18)

Novell remplace le patron de sa division open source

Novell vient de recruter Roger Levy, un ancien responsable de Lucent, pour prendre la tête de sa division open source, en remplacement de David Patrick. Officiellement, ce dernier part "poursuivre sa carrière hors de Novell". David Patrick a rejoint les rangs de Novell en août 2003, lors du rachat de Ximian dont il était alors P-DG. Au delà de l'explication officielle, David Patrick fait les frais du recul de 41 % du chiffre d'affaires de Novell lié aux ventes de nouvelles licences pour son système d'exploitation Linux d'entreprise, OES, au cours du trimestre dernier. OES, lancé dans sa première version en mars 2005, intègre Netware et Suse Linux Enterprise Server dans un unique package, avec l'ambition affichée d'amener les utilisateur du premier à migrer vers le second. Sa seconde version, à l'origine attendue au second semestre 2006 n'est désormais plus attendue avant la mi-2007. (...)

(10/03/2006 17:53:57)

VoIP : la réduction des coûts n'est pas un argument majeur selon Avaya

Don Peterson, le PDG d'Avaya, a surpris de nombreux responsables IT en leur conseillant, à l'occasion du VoiceCon Spring 2006, de ne pas déployer de solution VoIP dans le but de réduire les coûts. Ils devraient plutôt y voir un moyen de rendre plus effectif leur activité. Une prise de position qui contraste pour le moins avec le discours ambiant entourant la VoIP. "Don essaie de poser un constat réaliste, a précisé Jorge Blanco, le vice-président du groupe. Les réductions de coûts [liées au recours à la VoIP, NDLR] existent mais nous essayons de faire comprendre qu'il ne faut pas décider de déployer cette technologie pour les seules économies qu'elle pourrait engendrer. A la place, il faut y voir les fondations pour bâtir une stratégie économique". Certains responsables IT indiquent qu'ils n'auraient jamais mis en place une solution de téléphonie sur IP si celle-ci ne leur avait pas permis de réaliser des économies. D'autres estiment que les avantages commerciaux sont immensément positifs et ne peuvent se quantifier en unité monétaire. C'est le cas de Catherine Brune, DSI d'Allstate Insurance : "après que l'ouragan Katrina eut anéanti le réseau près de la Nouvelle-Orléans, Allstate a été en mesure de basculer vers un autre centre en moins de 24 heures grâce à la flexibilité de la VoIP", explique-t-elle. Selon Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group Research à Boston, "il faut avant tout se focaliser sur l'amélioration de la productivité qu'est susceptible d'apporter la VoIP. Le retour sur investissement sera meilleur en prenant en considération la productivité qu'en se contentant de réfléchir en termes de réduction des coûts". (...)

(08/03/2006 17:47:20)

La circonspection de rigueur avant d'adopter Skype

Le Burton Groupe vient, dans une étude, d'inviter les entreprises à la circonspection avant d'adopter Skype : « si le risque est trop élevé, bânissez Skype. Si les gains surpassent le risque, tenez compte de Skype dans votre réflexion globale sur les télécommunications. » En matière de risque, Irwin Lazar, analyste chez Burton, fait référence aux protocoles utilisés par Skype, des protocoles propriétaires susceptibles d'enfreindre la politique de sécurité appliquée dans l'entreprise sur, notamment, les échanges en pair-à-pair et la gestion du risque associé à d'éventuelles portes logiques dérobées. Irwin Lazar relève en outre que Skype n'intègre pas de procédé d'authentification forte, ni les garanties de qualité de service qui pourraient être importantes pour la vidéo. Enfin, Skype est susceptible de contrevenir à des réglementations locales sur les possibilités d'écoutes téléphoniques et de localisation des appelants. Bien que son étude concerne essentiellement Skype, Irwin Lazar estime que ses résultats peuvent être étendus à des services tels que AIM, Gizmo, MSN, Tello et Yahoo IM, entre autres. En septembre dernier, le Toly Group avait déjà relevé le fait que Skype consomme de la bande passante à l'insu de ses utilisateurs. (...)

(07/03/2006 17:54:39)

Motorola fusionne ses divisions réseaux et mobilité d'entreprise

Motorola annonce une réorganisation interne de taille. Les divisions réseaux et mobilité d'entreprise seront désormais gérées ensemble. Cette nouvelle distribution devrait permettre, selon le PDG de Motorola Ed Zander, de donner une meilleure dynamique et de proposer des solutions bout en bout aussi bien aux particuliers, qu'aux entreprises ou au secteur public. La concentration des deux entités devrait créer un ensemble impressionnant composé d'environ 46% de la masse salariale de Motorola, soit environ 31 500 personnes. Le dégraissage en octobre dernier qui visait une réduction des coûts fait craindre une nouvelle vague de licenciements qui aurait pour but avoué d'éviter les doublons. La direction sera assurée par Greg Brown, jusque-là en charge de la mobilité d'entreprise. M. Adrian Nemcek - 59 ans - qui a dirigé la division réseaux et l'a fait évoluer depuis de nombreuses années devrait se retirer à la fin de l'année. D'ici là, il devrait assister M. Brown pour la mise en place de la nouvelle entité puis secondera M. Zander sur des opérations spécifiques. Motorola est donc désormais composé de trois divisions : les mobiles, les réseaux & solutions d'entreprises et enfin les solutions domestiques qui recouvrent notamment les terminaux de télévision numérique. (...)

(07/03/2006 00:00:00)

Gestion de carrières : Projipe crée un espace d?écoute confidentiel pour ses salariés.

La SSII Projipe a mis en place une prestation originale pour ses collaborateurs. Elle leur propose un espace d'écoute et d'expression libre, confidentiel et décorrélé des contextes opérationnels au sein de l'entreprise. Cet espace est animé par l'un de ses collaborateurs, un consultant spécialisé en sciences humaines, dont la principale mission est de faire de l'accompagnement et du conseil auprès des salariés. Il a développé quatre types de prestations de conseil à leur attention: l'aide à l'élaboration d'un projet professionnel, l'accompagnement d'un salarié qui prend de nouvelles fonctions, celui d'un collaborateur qui se trouve dans une situation personnelle ou professionnelle difficile, l'aide à la préparation d'entretiens de présentation face au client, et au développement d'une communication positive et attractive. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >