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Gouvernance
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(24/02/2009 10:43:31)
Exclusif : les dirigeants de PME donnent leur vision des services informatiques
Si le métier de directeur informatique est loin d'être une sinécure dans un grand groupe, cela devient un véritable sacerdoce dans les plus petites structures. Une enquête exclusive auprès de 226 chefs d'entreprise, réalisée par notre partenaire [is value], montre en effet combien les dirigeants de PME peuvent être déconcertés par l'informatique. La plupart estiment que les projets informatiques sont des projets stratégiques, « et c'est une bonne surprise », commente Yves Cavarec, fondateur du cabinet de conseil [is value]. Mais « dans le même temps, ils expriment leur mécontentement face aux coûts récurrents, qui représentent selon les cas entre le tiers et la moitié des budgets IT ». Pour les patrons de PME, le responsable informatique est censé connaître aussi bien le métier que l'informatique et pouvoir évaluer lui-même le ROI. Quant à la gouvernance, « seulement 5% jugent que ça doit se passer au niveau du conseil d'administration ». Pour les autres, il s'agit soit de l'affaire du DSI lui-même (qui devrait ainsi s'auto-gouverner), soit « d'une mode qui passera ». Pour Yves Cavarec, cela dénote « une certaine immaturité », qu'on doit à deux grandes causes. D'abord l'absence de formation sur ces sujets dans les cursus des managers. « On parle de transformation de l'organisation dans les MBA, mais on n'aborde pas l'informatique, cela aura fatalement des conséquences. » Ensuite, les patrons de PME manquent cruellement de bonnes pratiques en la matière, de guides, si bien que chacun fait un peu selon son tempérament. Ceux que l'enquête classe comme des sceptiques, par exemple, pratiquent le bond en avant : il ne se passe rien pendant longtemps, puis d'un coup on avance. « Ce n'est pas forcément un mauvais calcul, note Yves Cavarec, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise stratégie. Mais cela peut s'avérer violent, en termes de compétences, lors d'un changement technologique. » Enfin, une autre part de l'incompréhension entre dirigeants de PME et dirigeants informatiques réside dans la nature de l'IT, qui exige une certaine implication des utilisateurs, et dans l'attitude de ces derniers. « L'informatique, ce n'est pas quelque chose qu'on branche ou qu'on débranche, cela nécessite un projet, un budget, des efforts de la part des utilisateurs... Tout ne vient pas de l'informatique, il faut une culture technologique. » Tous les résultats de notre enquête exclusive sont à lire ici. (...)
(06/02/2009 11:08:44)LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(14/01/2009 07:07:33)Gartner : en 2009, les DSI devront faire mieux avec autant
C'est plutôt une bonne surprise, pour Gartner : les budgets informatiques ne diminueront pas en 2009. Le cabinet d'études a publié son enquête annuelle « CIO Agenda Survey », réalisée auprès d'un peu plus de 1500 entreprises et administrations, représentant un montant de dépenses IT annuelles de plus de 138 Md$. Il en ressort qu'après plusieurs années de croissance continue (1,3% en 2004, 2,5% en 2005, 2,7% en 2006, 3,0% en 2007 et 3,3% en 2008), les dépenses en 2009 seront étales, à + 0,16%. Le cabinet s'attendait-il à bien pire ? « Oui, répond Dave Aron, vice-président de Gartner. Nous prévoyions un tableau bien plus négatif, avec davantage de coupes, et de projets d'externalisation. » Ces derniers permettent en effet de transformer la structure des coûts, une opportunité bienvenue en ces temps de crise économique. « Or, il n'y a pas de signaux en ce sens. » De même, si Gartner conseille aux DSI de saisir l'opportunité de remettre à plat leur organisation, et de « couper les branches mortes », il ne devrait pas y avoir de plans de licenciements, du moins pas en grand nombre. « Rien ne le laisse présager, et les départements informatiques sont déjà bien maigres. Il faut noter en outre que très peu d'entreprises subiront une baisse de leur budget IT de plus de 10%. En Europe, par exemple, cela ne concernera que 8% des entreprises. » Gartner aux DSI : « travaillez plus intelligemment » Reste que les DSI devront tout de même se serrer la ceinture, alors que la pression venant du métier n'a aucune raison de diminuer, au contraire. Pour Gartner, l'informatique pourra toujours apporter de la valeur à condition d'être plus efficace. En d'autres termes, « il ne s'agit pas de faire plus avec moins, mais de travailler plus intelligemment ». Dave Aron explique que « les DSI vont devoir prendre au sérieux la notion de stratégie, et établir des priorités en fonction de ce que l'IT peut apporter au business ». L'analyste s'attend à très peu d'investissements dans les nouvelles technologies. « Un peu de Web 2.0, de virtualisation, de collaboratif. » Gartner conseille plutôt de faire porter le gros des efforts sur « une utilisation plus stratégique des technologies déjà en place, comme le décisionnel, dont la plupart des projets jusqu'à présent ont échoué à vraiment délivrer de la valeur ». Gartner conseille un pilotage des projets par le risque [[page]] Le conseil de Gartner pour utiliser plus efficacement des technologies déjà installées ? « Etablir des métriques strictes pour mesurer la valeur en termes métier, explique Dave Aron. C'est ce que font les DSI les plus avancés. » Ils doivent aussi sortir de leur sphère d'influence, et parler en termes métier avec le directeur financier et le directeur général. C'est ainsi qu'avec les outils de gouvernance appropriés, ils pourront piloter les projets en termes de risques. « Les DSI doivent se demander : quels risques y a-t-il si j'annule tel projet ? Quels risques y a-t-il si j'investis dans tel projet ? » SOA, virtualisation et cloud apportent une flexibilité bienvenue Pour Dave Aron, si les DSI mettent en place cette stratégie, tous les projets à long terme ne sont pas condamnés. On pense par exemple aux SOA (architectures orientées services), qui impliquent à la fois de la transformation du SI et une démarche transversale. « Les SOA sont toujours sur le radar des DSI, d'autant plus qu'elles n'impliquent pas nécessairement un projet d'un seul tenant, cela peut être fait de façon très modulaire. » En outre, remarque Dave Aron, « les SOA contiennent une promesse de flexibilité, d'agilité, tout comme la virtualisation et le 'cloud computing', ce qui rend ces technologies particulièrement intéressantes en ce moment ». Parmi les autres priorités des DSI listées par l'enquête de Gartner, on retrouve, principalement en France, d'ailleurs, la volonté d'améliorer la qualité du service rendu par l'IT. Ce qui dénote peut-être un léger manque de maturité sur les solutions orientées Itil (référentiel de bonnes pratiques), observe Dave Aron. La bonne nouvelle est que les DSI français devraient être un peu plus gâtés que leurs homologues étrangers. Gartner, qui a interviewé 16 entreprises françaises (totalisant 4 Md$ de dépenses informatiques), arrive à la conclusion qu'en France les budgets devraient connaître une légère augmentation, de 1,26% en moyenne. (...)
(09/01/2009 17:24:35)L'Etat publie les documents de référence de l'administration électronique
Depuis plus de deux ans, le fameux RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité) fait couler beaucoup d'encre. Etabli par la DGME (Direction générale à la modernisation de l'Etat), ce document est censé établir les bonnes pratiques relatives aux systèmes d'information au sein des administrations, notamment en ce qui concerne les très conflictuels formats de fichiers, même si les sujets abordés sont très larges et touchent également, par exemple, les questions d'organisation. Ce document est désormais disponible sur un site de la DGME : http://www.references.modernisation.gouv.fr, ainsi que les autres référentiels établis par la DGME, comme le RGAA (Référentiel général d'accessibilité pour les administrations, qui concerne l'adaptation des SI aux handicapés), le RGS (Référentiel Général de Sécurité) et la Charte ergonomique des sites Internet publics qui détaille les bonnes pratiques en matière d'ergonomie Web, en plus des particularités propres aux sites publics, comme les conventions de nommage. Un référentiel général de sécurité très détaillé Sur le plan juridique, ces documents ne sont pas encore d'application obligatoire au sein des administrations puisque leurs différentes validations n'ont pas encore eu lieu. Le premier référentiel écrit, le RGI, est le seul à ne pas être du tout accessible sur le site au-delà d'une courte présentation. Visiblement, les conflits à son sujet ne sont donc pas éteints. A l'inverse, le RGS est quasiment finalisé et particulièrement détaillé dans ses recommandations. Pour les DSI du secteur public, commencer à se conformer aux recommandations de ces référentiels ne peut qu'être une bonne idée, pour anticiper leur application obligatoire. Et même, pour tous les DSI, appliquer ces référentiels disponibles gratuitement et issus d'une intense réflexion de spécialistes de haut niveau est tout autant une bonne idée. En effet, les cabinets de consultants en tous genres font payer fort cher des recommandations bien moins détaillées et pratiques. (...)
(06/01/2009 16:40:59)Atos Origin convoque une AG pour changer sa gouvernance
La SSII Atos Origin a annoncé la convocation, le 10 février prochain, d'une assemblée générale portant sur le changement de sa structure de gouvernance d'entreprise. Le groupe, qui dispose jusqu'à présent d'un directoire et d'un conseil de surveillance, doit en effet adopter une structure comprenant un conseil d'administration et un président-directeur général. Ce changement s'inscrit dans le cadre du plan de consolidation et de développement de l'entreprise, mis en oeuvre dès la fin de cette année par Thierry Breton, nouveau PDG d'Atos. Dans cette optique, le conseil de surveillance soumettra au vote de l'assemblée la mise en place d'un conseil d'administration de douze membres, ainsi qu'un administrateur indépendant supplémentaire proposé au suffrage des actionnaires, et dont le nom sera annoncé au plus tard à la date de convocation de l'assemblée. Enfin, il sera pourvu à l'élection d'un représentant des salariés actionnaires, conformément aux dispositions de l'article L. 225-23 du Code de commerce. En 2008, Atos avait été l'objet d'une querelle entre sa direction et les fonds Centaurus et Pardus Capital Management LP, lesquels s'étaient vus attribuer chacun un siège au conseil de surveillance à l'issue d'une assemblée générale houleuse. (...)
(10/12/2008 13:36:01)Neurones crée un pôle conseil en management et organisation
La SSII Neurones vient d'acheter un cabinet français spécialisé dans le conseil en management et organisation. Cette société, dont le nom n'a pas été communiqué, a réalisé un chiffre d'affaires de 15 M€ en 2008, pour un résultat opérationnel qui représente 13%. Cette opération permet à Neurones de créer un pôle conseil en management et organisation. Celui-ci sera constitué de la centaine de consultants de la société acquise par la SSII et des 10 consultants intégrés suite au rachat de Pragma Team en novembre 2007. « Cette activité de conseil en management se distingue de nos pôles de conseil traditionnels comme la sécurité du système d'information, l'architecture logicielle, l'intégration d'ERP ou l'infogérance... Mais elle vient parfaitement compléter notre offre », explique Luc de Chammard, PDG de Neurones. Selon lui, il est capital pour les SSII de proposer une palette de services allant au-delà du système d'information et ce pour deux raisons principales. D'une part les entreprises sont de plus en plus à la recherche de prestataires capables de répondre à une demande complète, et pas seulement en informatique. D'autre part, comme l'observe Luc de Chammard, les décisions budgétaires ont progressivement glissé des DSI vers les directions opérationnelles. Et qu'il s'agisse d'informatique ou d'autres pôles stratégiques, les clients préfèrent avoir à faire à un interlocuteur unique. Neurones compte désormais 2500 collaborateurs et espère réaliser un chiffre d'affaires de 180 M€ en 2008, pour une marge opérationnelle comprise entre 8,5 et 9%. Les modalités de la transaction n'ont pas été communiquées. (...)
(09/12/2008 11:24:37)CIO Magazine : la version téléchargeable tous les 15 jours est disponible
Le premier numéro du magazine CIO dématérialisé au format PDF est téléchargeable gratuitement. A partir de janvier 2009, il paraîtra deux fois par mois. CIO donne une large place aux retours d'expérience des DSI, aux guides de mise en place de stratégies et de solutions, aux conseils en gestion de carrière, ainsi qu'aux attentes des directions générales et des directions métiers. Dans le numéro de lancement, qui peut être téléchargé ici, vous trouverez : - Remettre un projet sur les rails - Piloter la transformation du système d'information grâce à l'infogérance - Crise financière : Bâle II inutile ? - Comment séduire un chasseur de tête pour obtenir un poste à l'international En janvier 2009, CIO lance aussi CIO Club, le 1er réseau social réservé aux DSI et aux Managers IT. (...)
(28/11/2008 17:29:29)Tribune libre : les 'digital natives' en coaches technos des managers
Et si, au lieu de les dénigrer, les managers d'entreprise valorisaient au contraire les jeunes, et apprenaient à tirer parti de leur façon d'utiliser les nouvelles technologies. Telle est l'idée soumise par Frédéric Soussin, consultant indépendant, dans une toute nouvelle tribune libre, publiée en vidéo dans notre blog Experts. Frédéric Soussin estime en effet que, du point de vue technologique, nombre de managers sont des analphabètes, qui gagneraient à se faire coacher par des 'digital natives'. (...)
(10/11/2008 16:36:25)[Vidéo] Bruno Ménard, nouveau patron du Cigref, sur le plateau d'IT News TV
Un mois après avoir été élu président du Cigref, Bruno Ménard livre à IT News TV ses premières impressions et ses ambitions pour le Club informatique des grandes entreprises françaises. Interrogé par notre confrère de CIO-online.com, Bruno Ménard explique notamment qu'il faut « dépasser le débat entre informatique privée et informatique professionnelle », et « s'interroger non seulement sur ce que sera l'informatique d'entreprise en 2020, mais aussi sur ses usages dans la société». Ce n'est qu'ainsi, dit-il, que le Cigref pourra dégager des idées d'organisation et « d'opportunités de marché ». Bruno Ménard revient également sur l'épisode rocambolesque de la normalisation par l'ISO d'OpenXML, le format bureautique de Microsoft. Il refuse de dire que le Cigref a ménagé la chèvre et le chou dans cette affaire, préférant souligner la volonté d'agnosticisme de l'association. Qui, dit-il, « demande des standards qui facilitent l'interopérabilité, qu'ils viennent du fournisseur x, du fournisseur y ou de l'Open Source ». L'entretien est découpé en trois parties : - La présentation du Cigref, et la façon dont ce non-technicien, au cursus de contrôleur de gestion et de direction opérationnelle, a pris la tête de l'IT chez Sanofi puis la présidence du Cigref. - La situation du Cigref et les activités à développer en 2009, notamment dans la perspective des 40 ans du club. - Le rôle du Cigref en tant qu'association de défense des DSI face à des fournisseurs parfois trop gourmands. (...)
(16/10/2008 15:43:46)Selon le Gartner, les DSI devront tailler dans les coûts de personnel
Les analystes du Gartner énumèrent une vingtaine de conseils pour aider les DSI à faire des économies. Cette liste est publiée alors que le cabinet révise à la baisse ses prévisions sur les investissements IT en raison de la crise actuelle. En envisageant le scénario le plus sombre, il table désormais sur une croissance mondiale des investissements informatiques de 2,3% contre 5,8% auparavant. Pire, ces quelques points de croissance ne seront dus qu'aux pays émergents. Les DSI européennes devraient réduire leurs budgets, tandis que les américaines parviendront à les maintenir. Alléger la hiérarchie C'est dans les coûts de personnel que le Gartner conseille de tailler en premier. Le cabinet se fonde sur le fait que ce poste représente 37% du budget total. Ces économies doivent s'accompagner d'un allègement de la hiérarchie en confiant la responsabilité d'équipe d'une vingtaine de personnes à un seul cadre, au lieu de six à sept auparavant. A équipe réduite, optimisation de la structure : le conseil est de regrouper le plus possible les compétences. Par exemple, en n'ayant plus qu'un service support. Réduire les coûts d'impression Un contrôleur de gestion attaché à la DSI est aussi préconisé. Il pourra, entre autres, s'attacher à chasser les coûts cachés comme ceux d'impression ou de consommation électrique. Cette chasse passe aussi par le dépouillement minutieux des factures des fournisseurs et par l'éradication des licences des logiciels inutilisés et par leur transfert d'un salarié à un autre. Les appels d'offres sont aussi l'occasion idéale pour mettre un fournisseur sur la sellette et pour évaluer le coût d'un changement. Passer à la téléphonie sur IP, abandonner le spécifique [[page]] Le poste télécommunications, tout particulièrement en France (ndlr), est aussi à scruter de près. Faire appel à un prestataire qui analyse les factures télécoms est toujours rentable. La centralisation des achats de mobiles vaut bien sûr mieux que leur remboursement aux utilisateurs. La mise en place de la téléphonie sur IP s'impose avec encore plus de force. L'écart de prix entre une garantie de services à cinq 9 (99,99999%) et une à seulement trois (99,999%) mérite que l'on s'interroge. L'abandon de toutes les solutions spécifiques saute aux yeux. En particulier dans le domaine des réseaux où l'usage de l'infrastructure d'Internet doit remplacer des WAN coûteux. Dans les datacenters, serveurs consolidés et virtualisés, doivent être associés à des systèmes de stockage optimisés (déduplication, thin provisionning). Enfin, le report d'un éventuel passage à Vista est fortement conseillé. (...)
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