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(16/01/2007 17:37:53)

SAP met à jour la version de son PGI destinée aux PME

SAP annonce une mise à jour de SAP All-in-One, la version de son progiciel de gestion intégrée (PGI) qui vise les entreprises de taille moyenne (moins de 2 500 salariés). Rappelons que cette offre est commercialisée sous la forme de déclinaisons métiers développées par un réseau de partenaires. All-in-One s'appuie maintenant sur le socle mySAP ERP 2005, dernière version livrée du PGI de SAP. Celle-ci apporte à l'offre l'ouverture de son architecture orientée services ce qui, notamment, facilite l'ajout de fonctionnalités par les partenaires. La nouvelle version intègre également des fonctions de gestion de la relation avec les clients (GRC) : gestion de contacts et d'activités, suivi d'opportunités commerciales et gestion de campagnes marketing, notamment. Elle exploite par ailleurs les capacités d'intégration avec la suite bureautique Microsoft Office pour l'analyse de données. Il est ainsi possible de créer des rapports standards ou d'éditer des rapports ad hoc à partir d'une interface Microsoft Excel. Parallèlement à SAP All-in-One, l'éditeur allemand propose un autre PGI, SAP Business One, pour les entreprises comptant jusqu'à 250 salariés. Contrairement à All-in-One, cette deuxième offre pour PME, issue d'un produit acquis il y a quelques années par SAP, ne repose pas sur l'architecture mySAP ERP. Elle est distribuée par un réseau de revendeurs. (...)

(16/01/2007 17:24:39)

L'embauche d'informaticiens et la demande de prestations des DSI restent soutenues

En trois ans, la demande de prestations informatiques enregistrée par la place de marché Hitechpros a progressé de 77%. Selon le baromètre semestriel de cet intermédiaire, la tendance se confirme pour 2007. Selon les prévisions d'achats d'assistance technique ou de projets au forfait (infogérance exclue), 38% des DSI ont l'intention d'augmenter leur budget pour ces prestations (intentions recueillies en novembre 2006) contre 18% un an plus tôt (prévisions de novembre 2005). Et 38% des DSI envisagent une stabilité pour ce poste budgétaire. Pour les informaticiens, et pour leurs employeurs de tous acabits, le marché de l'emploi risque de se tendre un peu plus encore, puisque, parallèlement à l'embauche et au retour à un fort turnover suscités par les ambitions de croissance des SSII (7% selon l'estimation de Syntec Informatique), au premier semestre 2007, 53% des DSI prévoient d'embaucher, alors que 47% recherchent la stabilité des effectifs et aucun n'envisage de réduire la voilure, selon le panel interrogé par HiTechPros. Au second semestre 2007, la tendance à la stabilisation des effectifs (pour 63% des DSI) devrait l'emporter sur le renforcement des équipes (31%). Une croissance sans excès du marché Du côté des SSII, le rythme soutenu de la demande profite à toutes les catégories techniques. Avec cependant une forte disparité selon les spécialités. Le volume des interventions dans le domaine dit des « nouvelles technologies » (Java, serveurs d'application, architectures Web) a progressé de plus de 60% par rapport à 2005 (28% de la demande globale, contre 22% en 2004). Parmi les autres catégories de prestations en forte progression se distinguent le conseil (+58% entre 2005 et 2006, pour 13% de la demande globale), les projets client-serveur (+41%, pour 28% de la demande) et les chantiers mainframe (+44% entre 2005 et 2006, 7% de la demande globale). Pour autant, tout au long de 2006, l'équilibre entre l'offre des SSII (qui ont beaucoup recruté) et la demande des DSI clientes a placé ce marché de la prestation (hors infogérance) sous le signe d'une progression des tarifs relativement modérée (+3,2% en 2006). Une hausse notoirement raisonnable (+10% en 3 ans) qui, selon le suivi et l'analyse de HiTechPros, « traduit une croissance saine et sans excès du marché ». (...)

(16/01/2007 17:01:18)

91 pourcent des Français disposés à travailler sous l'autorité d'un patron issu de l'immigration

En France, le créateur d'entreprise d'origine étrangère est moins exposé à la discrimination que le demandeur d'emploi issu de l'immigration. Tel est le constat principal de l'étude Ipsos réalisée pour l'Afpa (association pour la formation professionnelle des adultes) concernant les conditions d'insertion dans l'emploi. Alors que de récentes opérations de « CV testing » (études Cegos ou Adia) ont montré que l'origine ethnique reste le tout premier facteur de discrimination, et ce, à tous niveaux de qualification et surtout parmi les cadres, 63% des Français interrogés (sur un échantillon représentatif de 963 personnes) considèrent que les sociétés créées et dirigés par des personnes issues de l'immigration sont des entreprises comme les autres. Voire plus ouvertes (pour 11% des réponses). «Lorsqu'on est salarié, la discrimination semble un sujet dépassé», note l'étude Ipsos-Afpa, puisque dans 91% des cas les Français se disent prêts à travailler sous l'autorité d'un tel patron. En informatique, les exemples ne manquent pas, à commencer par le PDG du groupe C-S (Communications et systèmes), Yazid Sabeg, grand promoteur de l'égalité des chances et de la charte de la diversité. Publiée lors de la remise des « 9e prix de la réussite » (deux des quatre premiers lauréats sont des informaticiens) qui distinguent des anciens stagiaires Afpa créateurs d'entreprise, cette étude remet cependant l'accent sur le besoin d'accompagnement de ces cadres-entrepreneurs, qu'ils aient ou non fait l'objet auparavant d'une discrimination. Près d'un Français sur deux reconnaît le surcroît de difficultés lié à l'origine du créateur d'entreprise. Ce qui donne à l'Afpa l'occasion de rappeler, d'une part, que 3700 personnes formées à l'Afpa créent leur entreprise, dont 1400 stagiaires du cursus « gestion pour repreneur et créateur d'entreprise ». D'autre part, que 7,4% des stagiaires (11 255 personnes) accueillis à l'Afpa, tous cursus confondus, sont d'origine étrangère, dont 20% en provenance des pays de l'Union européenne. Pour la petite fraction de ces derniers (4,7%) qui sont de niveau bac+2/+3, on trouve une large majorité d'informaticiens, développeurs, techniciens supérieurs réseaux et techniciens supérieurs en automatisme et informatique industrielle. (...)

(16/01/2007 16:56:31)

BEA fait converger ses clients français au Cnit

BEA a invité aujourd'hui, mardi 16 janvier au Cnit de Paris La Défense, ses clients et partenaires français à venir partager leur vision de la SOA : approches métiers et exemples concrets d'architectures orientées services ont de fait émaillé la conférence d'ouverture. Malhar Kamdar, vice-président consulting Emea de BEA, a ainsi illustré ses propos avec ses dernières interventions dans de grandes entreprises, soulignant que selon les besoins et les approches, la solution a pu être « top-down », partant d'une volonté stratégique de la direction générale, comme « bottom-up », partant des initiatives des départements informatiques. Malhar a plus particulièrement mis l'accent sur la nécessité de la gouvernance de la SOA, « afin d'éviter de recréer un environnement de nature chaotique ». Bernard Dubs et Christophe Toulemonde, du cabinet BIT Group, ont de leur côté détaillé leur vision de l'évolution des systèmes d'information, à l'aide du classique schéma montrant le passage d'une architecture de silos à une architecture matricielle, puis à une architecture en réseau (des composants autonomes, reliés par un couplage lâche), dite ici « à géométrie variable », où il s'agit de « reconfigurer les briques du puzzle ». « Un projet de long terme dont il faut démontrer les bénéfices à court terme » Plus original, mais au risque d'ajouter encore de la confusion, Christophe Toulemonde a expliqué qu'il opérait un distinguo entre SOA et SOA, c'est-à-dire entre l'architecture orientée services et l'approche orientée services. La première reste du domaine des informaticiens, tandis que la seconde vise à impliquer les directions métier des entreprises, voire à réorganiser l'entreprise. « Il faut bien comprendre que c'est un projet stratégique d'entreprise, de long terme », a-t-il rappelé. Le problème consistant à « démontrer les bénéfices à court terme ». Pour cela, il faut choisir des bons projets candidats, « qui ont de vrais besoins métier ». L'ex-analyste du MetaGroup n'a pas donné de projet type, mais a prévenu : « ne cherchez pas à refaire la paie en SOA, cela n'aurait aucun sens ! » On peut mentionner encore quelques conseils de clients invités à témoigner. Brian Nolan, CIO de Completel, a ainsi invité les gens à privilégier le côté générique des applications, indispensable pour pouvoir réutiliser ses développements. Pour cela, il faut impliquer les autres équipes de l'entreprise, pas seulement informatiques, afin de bien définir les besoins, a-t-il indiqué. De son côté, Paul Cohen-Scali a mentionné le projet chez Bouygues Telecom, dont il est directeur du pôle clients et Internet. Chez l'opérateur, le projet est venu de l'informatique, il s'agissait de piloter de façon plus simple la gestion de la relation client. Paul Cohen-Scali a souligné les progrès réalisés dans le domaine des standards, l'outillage et « la facilité de mise en oeuvre des services Web ». Tout en reconnaissant que lorsque ces derniers ne peuvent tenir la charge, Bouygues Telecom recourt à d'autres solutions, de type Tuxedo. Le bon vieux moniteur transactionnel de BEA. (...)

(16/01/2007 16:55:30)

Un système RAID compatible SAN et NAS sous MacOS X

Une baie de stockage compatible avec l'ensemble des Unix (dont Mac OS X), Linux et Windows et capable d'être utilisée en NAS comme en SAN, voici ce qu'a promis Storage Elements lors du dernier Macworld en lançant son serveur de stockage Mythos iSCSI. Brad Wensel, P-DG de la compagnie, le définit même comme « le premier système RAID complet pour entreprise basé sur Mac OS X. Les utilisateurs ordinaires peuvent accéder à leurs données via une connexion TCP/IP classique, tandis que les 'super-utilisateurs' peuvent y accéder en passant par une fibre optique ». En effet, le serveur Mythos est un logiciel qui s'installe sur un serveur Xserve Raid d'Apple (au sein ou non d'une baie de stockage plus importante) et qui pilote jusqu'à 75 To de mémoire contenue dans des disques connectés en FC, SCSI ou SATA, et formatés aux format CFIS (Windows), NFS ou AFP (propre à Apple). Basé sur une interface Java, il fonctionne en natif sur Mac OS X et peut être piloté par n'importe quel ordinateur Apple (avec des processeurs G4, G5 ou Intel). Outre sa compatibilité avec la plupart des infrastructures de stockage, ce logiciel se caractérise également par sa grande facilité d'installation. Lors de sa présentation à Macworld, il s'est déployé sur un système de taille moyenne en cinq minutes, presque tous les processus étant automatisés. Brad Wenzel va même plus loin et affirme qu'il « ne faut qu'une heure ou deux tout au plus de formation » pour maîtriser complètement son logiciel quelle que soit la configuration de l'entreprise et l'hétérogénéité de son parc. Commercialisé uniquement par des revendeurs, le Mythos iSCSI est vendu à partir de 20 000 dollars (y compris l'Apple Xserve RAID où réside le logiciel). (...)

(16/01/2007 12:07:03)

Trimestriels Tata : la santé de l'externalisation ne faiblit pas en Inde

Résultats troisième trimestre : Chiffre d'affaires : 1,1 Md$ (+48,8%) Bénéfice net : 252 M$ (+45%) Tata Consultancy Services, le numéro un indien de l'externalisation, n'en finit pas de publier, trimestre après trimestre, une affolante croissance. Pour la troisième période de son exercice 2006-2007, le groupe a enregistré un chiffre d'affaires de 1,1 Md$, en hausse de 40,8% par rapport à la même période de l'année précédente. Mieux : le bénéfice s'envole de 45% et atteint 252 M$. En dépit de la dépréciation de la roupie par rapport aux grandes monnaies, TCS s'est montré capable d'accroître sensiblement ses revenus grâce à de forts volumes d'activité - notamment cinq contrats de plus de 50M$ signés au cours du trimestre-, aux lancements de nouveaux services et des prix en hausse. Le groupe s'est, en outre, montré capable de faire progresser sa marge en réduisant ses coûts et en recourant à de la main-d'oeuvre située hors des frontières indiennes. Signe de la bonne santé de l'entreprise : Tata a poursuivi sa politique de recrutement, et compte nouveaux 5562 salariés qui portent le total de ses employés à 83 500. A l'image de Tata, les autres acteurs du Sous-continent ont également affiché d'excellents résultats au cours du trimestre. Infosys a ainsi publié un chiffre d'affaires en hausse de 47%, à 560 M$, pour un bénéfice de 218 M$ qui bondit de 52% sur un an. (...)

(16/01/2007 12:05:52)

Egenera lance les serveurs avec refroidissement liquide intégré

Egenera a ajouté un système de refroidissement à son nouveau châssis pour serveurs lames BladeFrame EX pour en limiter la dispersion thermique. Constitué d'un rack de 42U, ce châssis peut contenir jusqu'à 24 lames dotées de quatre processeurs bicoeur Opteron et un SAN, le tout relié à 10Gbits/s à une carte-mère. Egenera a greffé des radiateurs sur la carte-mère, ceux-ci sont reliés à des pompes contenant du gaz réfrigérant (non toxique) qui peuvent être situées jusqu'à 45 mètres des serveurs eux-même. Chaque pompe abaisse l'énergie des BladeFrame EX à 1500 W et peut refroidir jusqu'à huit châssis. Ce système de refroidissement, appelé CoolFrame, ajoute un surcoût de 300 à 400 $ par lame. Et le châssis complet (serveurs inclus) coûte environ 89 000 $. (...)

(16/01/2007 10:22:20)

FTTH : Neuf Cegetel rachète Mediafibre

Neuf Cegetel acquiert Mediafibre « pour un montant non significatif »... Aussi peu significatif que le nombre d'abonnés de l'opérateur Palois (2 800) ! Pur produit de Pau Broadband Country Mediafibre est un fournisseur de services triple play (téléphonie, télévision et Internet à 100 Mbps) qui s'appuie sur le réseau fibre optique construit par la communauté d'agglomération de Pau (dans le cadre du projet Pau Broadband Country). Bien que disposant d'un potentiel de 38 000 foyers, Médiafibre est encore loin d'avoir atteint son objectifs de 4 000 client raccordés. En 2005, il a réalisé un chiffre d'affaires de 121 000 euros et vise le million en 2006 (Source Les Echos). Neuf Cegetel met donc la main sur un acteur emblématique (Pau fut un précurseur hautement médiatique sur la fibre optique) mais vraiment peu éclatant. Mediafibre est tout de même un laboratoire intéressant. La course à la fibre Ce rachat n'est que la conséquence logique d'une course poursuite entamée par Free sur le FTTH (Fiber To The Home). Le FAI a pris tous ses concurrents de vitesse en annonçant vouloir investir 1 milliards d'euros sur 6 ans dans la fibre. Il a ainsi poussé France Télécom, mollement impliqué sur le FFTH, à réagir . Neuf Cegetel entre donc à son tour dans la partie. Et ce n'est qu'un début dans la course au débit. Cette euphorie sur la fibre est tout de même étonnante. La pensée unique écarte toute autre alternative (comme le FFTC par exemple). Rappelons tout de même, qu'à part quelques expérimentations ou initiatives des collectivités locales, le coeur de cible des opérateurs FFTH reste les grandes agglomérations (notamment dotées d'égouts visitables). Ensuite, il faudra creuser, ou faire du micro-génie civil, et ce n'est plus du tout le même coût. Une France aux multiples vitesses Nous connaissions la France à deux vitesses, entre RTC et adsl. Nous allons passer aux multiples vitesses : les oubliés en RTC, les mal lotis en adsl dégradé, les partageurs en Wimax à 10Mbps partagé, les heureux en full adsl à 28 Mbps et les nantis en fibre à 50Mbps ou 100 Mbps. La Fracture numérique n'a pas fini de se creuser... (...)

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