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(17/01/2007 16:22:44)
Les opérateurs européens traînent à assurer la transition vers la fourniture de services IT aux entreprises, selon Forrester
Les opérateurs européens ont commencé leur transition vers la fourniture de services IT aux entreprises, mais à un rythme plutôt lent, constate Forrester, dans son étude sur les contrats passés au premier semestre 2006. Le cabinet d'analystes a recensé 68 contrats de plus d'un million d'euros sur cette période, et y a vu « des preuves que certains des acteurs majeurs des télécoms, tels que BT Global Services, T-Systems et Orange Business Services, gagnent des affaires dans le domaine des services IT ». Toutefois, sur les 68 affaires en question, « seulement 28 avaient explicitement une composante IT ». La plupart des contrats portaient en effet sur la gestion d'infrastructures WAN (wide area network, réseaux étendus) pour la voix et/ou les données. Or, d'après une étude auprès des entreprises (301 responsables dans de grandes entreprises européennes), Forrester indique que ces dernières verraient d'un bon oeil (à 56%) les telcos leur offrir davantage de services liés à l'informatique, notamment des services hébergés. La raison principale : elles font confiance à ces fournisseurs. A noter d'ailleurs que cette confiance vaut surtout pour les telcos de même nationalité. L'étude des contrats révèle en effet qu'à l'exception de BT, tous les opérateurs ont conclu quasiment tous leurs contrats - généralement multinationaux - avec des sociétés basées dans le même pays qu'eux. Trois contrats en France, dont deux pour Orange Business Services La plupart des affaires concernaient des montants compris entre 1 et 5 millions d'euros, pour un ou deux services. « Seuls cinq contrats allaient au-delà de cinq ans », souligne Forrester. Le Royaume-Uni concentre le plus grand nombre de contrats d'externalisation (21), devant les Pays-Bas (18) et la Belgique et l'Allemagne (à égalité avec 8 contrats chacune). Forrester a dénombré seulement 3 contrats pour la France, ce qui en revanche la positionne en troisième place du classement en valeur, avec 164 M€. La deuxième marche du podium est occupée par le Royaume-Uni, avec 245 M€, et la première place par les Pays-Bas, avec 706 M€. Côté classement des opérateurs, le Hollandais KPN totalise le plus grand nombre de contrats (15 sur 68, pour un total de 309 M€), devançant de justesse BT Global Services (14 contrats), qui enregistre pour sa part la valeur la plus importante : 627 M€. Orange Business Services ne compte que deux affaires. La majorité des services ont une orientation typiquement télécoms : gestion des réseaux étendus voix et données, gestion de la sécurité, gestion du PBX IP... 28% des services concernent toutefois la gestion des réseaux locaux, 25% la gestion des infrastructures, ou encore 22% le help desk, soit des services plus colorés IT. Pour Forrester, cette tendance devrait s'accentuer, les telcos cherchant justement des moyens de compenser l'érosion de leur marge sur les services voix. Un bon moyen de le faire sans concurrencer frontalement les SSII consiste à nouer des partenariats avec des acteurs de l'informatique, à l'image de celui conclu entre BT et HP, avance Forrester, qui prévoit ainsi des contrats d'externalisation plus complets mais aussi plus complexes. (...)
(17/01/2007 16:20:23)Le « back door de la NSA » dans Vista fait sourire Bloor Research
Nigel Stanley, du cabinet Bloor Research, s'amuse de la rumeur d'un back door de la NSA (National Security Agency) implanté dans Vista. Goguenard, il compare volontiers le tumulte ambiant à la passion qu'éprouvent quelques allumés pour la zone 51, elle aussi alimentée par la théorie du complot (concernant cette fois les extra-terrestres). Selon lui, il ne saurait exister d'accord secret entre Microsoft et la NSA. Il cite ainsi certains bruits de couloir indiquant que le code malicieux a été introduit en dépit de l'accord de l'éditeur : « ça ne fait aucun doute, ironise-t-il, que des personnages inquiétants errent la nuit dans les halls de Microsoft et pénètrent par effraction dans les salles des serveurs ». Nigel Stanley estime ensuite que le complot, pour être viable, ne tolère aucune fuite et le silence de tous. Des centaines de personnes ont travaillé sur Vista et il paraît improbable qu'aucune d'entre-elles n'ait rapporté le moindre fait suspect, dit-il. On apprenait la semaine dernière que la NSA, l'agence de renseignements américaine, avait prêté main forte à Microsoft pour la sécurisation de Windows Vista. L'agence a ainsi aidé le géant du logiciel à vérifier que son système d'exploitation ne présente pas de faille et satisfait aux exigences du DoD (le ministère de la Défense), d'après le porte-parole de la NSA. Ce type de collaboration ne serait pas une première : Microsoft aurait précédemment reçu l'appui de la NSA pour améliorer la sécurité de Windows XP et 2000. A la suite de cette information, de nombreuses voix se sont élevées pour s'inquiéter de la collusion entre l'éditeur et l'agence gouvernementale. D'autant que Microsoft a refusé que ses dirigeants soient interrogés à ce sujet. Très vite, les théories alarmistes ont fusé avec, toujours, l'idée sous-jacente d'un complot orchestré par le riche groupe américain et les barbouzes. « Une alarme résonne quand l'agence d'espionnage travaille avec le premier développeur de systèmes d'exploitation du secteur privé », martèle ainsi Marc Rotenberg, le directeur de l'Epic (Electronic Privacy Information Center). La crainte la plus partagée concerne l'implantation d'un « back door » (trappe ouvrant la voie à un logiciel espion) dans le code de Vista. Si la NSA s'en défend bec et ongles - en rappelant que sa mission consiste notamment à protéger l'information et qu'elle n'a pas développé de code pour Vista - la rumeur est lancée et se répand à grand pas. (...)
(17/01/2007 16:01:06)Les processeurs d'Intel facilitent la virtualisation sous Linux
En intégrant des outils de virtualisation, dits Intel VT (Virtualization Technology), au coeur même du jeu d'instruction x86 de ses processeurs, Intel veut donner un coup de pouce aux développeurs Linux. Lors de la dernière conférence Linux Australia, Jeff Dikes, ingénieur chez Intel, a expliqué que les extensions Intel VT supportent des « environnements invités totalement virtualisés tout en leur laissant l'ensemble des instructions x86 ». Ce qui, concrètement, permettrait de faire tourner un noyau Linux sans aucune modification dans un environnement virtualisé sur un seul processeur au coeur d'un serveur. Et si Linux est le système hôte, « les systèmes d'exploitation invités s'intègreront à l'interface habituelle de l'utilisateur, sans différenciation ». Dans son allocution, il a indiqué que les Intel VT permettent trois méthodes de virtualisation : l'une basée purement sur le matériel, une deuxième dite UML (User Mode Linux) et une autre appelée KVM (Kernel Virtual Machine). Avec cette dernière méthode, le noyau Linux traite les instructions VT comme un pilote qu'il met à disposition des divers processus. « Lorsqu'un processus ouvre KVM, il apparaît comme une boîte à processus pour les différents invités », a expliqué Jeff Dikes. « L'idée de tout contrôler à partir de son espace habituel permet à un environnement invité d'apparaître comme un code binaire et donc d'être intégré à un script facilement ». Avec KVM, la virtualisation devient un module qu'il est possible d'ajouter et non une part obligatoire de l'infrastructure du noyau. Du côté des développeurs Linux, selon Jeff Dikes, il faut désormais travailler sur une méthode commune pour gérer divers environnements virtualisés. Ce qui pourrait se faire en utilisant libvit, une API qui permet aux logiciels d'utiliser les capacités de virtualisation de Linux. (...)
(17/01/2007 12:38:22)Résultats Intel : comme AMD, les indicateurs dans le rouge
Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 35,4 Md$ (-9%) Bénéfice net : 5 Md$ (-42%) En dépit de résultats en baisse au quatrième trimestre et sur l'ensemble de l'année, les chiffres publiés par Intel n'ont pas affolé les observateurs. Le fondeur a bouclé le dernier trimestre sur un chiffre d'affaires en baisse de 5%, à 9,7 Md$, et un bénéfice net de 1,5 Md$, qui s'effondre de 39% sur un an. Si ces valeurs ne sont guère reluisantes, elles sont toutefois supérieures aux estimations des analystes. Il en va de même pour les résultats annuels. Intel publie des revenus de 35,4 Md$, en baisse de 9%, et un bénéfice en berne de 42%, à 5 Md$. Là encore, ces chiffres s'avèrent supérieurs aux attentes des observateurs. Ces mauvais résultats (encore, qu'au vu du bénéfice, il soit permis de relativiser) s'expliquent par le poids de la réorganisation initiée au début de l'exercice, qui a notamment conduit à la cession de sa division Xscale à Marvell et à 10 500 suppressions de postes. Surtout, le fabricant pâtit de la guerre des prix qui l'oppose à AMD, lequel a également publié des résultats en nette régression. Ainsi, en dépit d'un volume de ventes record, les tarifs pratiqués ont été trop bas pour accélérer la croissance. Les résultats seront meilleurs en 2007, promet le PDG Paul Otellini. Intel devrait ainsi profiter du passage de l'ensemble de ses lignes de production à la technologie de gravure en 65 nm, de l'installation des processeurs quadri-coeurs dans davantage de produits et du lancement de Santa-Rosa, une nouvelle plate-forme pour PC portable. Si les propos se veulent rassurants, Intel ne prévoit cependant pas d'améliorer sa marge brute au cours de l'exercice 2007. Le groupe table ainsi sur une marge de 49% au premier trimestre et 50% pour l'ensemble de l'année, soit globalement autant qu'en 2006. Rappelons qu'en 2005, le fondeur réalisait une marge supérieure à 60%. (...)
(17/01/2007 12:31:44)HP lance un logiciel pour surveiller la consommation énergétique des ProLiant
La réduction des dépenses énergétiques fait vendre. Du coup, HP étend son logiciel Insight Control Environment à ses serveurs ProLiant. Ce produit, qui fait partie de la gamme d'outils de gestion pour serveurs Insight Control Management, se compose de deux parties. La première, Insight Power Manager, permet de contrôler les besoins électriques de chaque serveur afin d'optimiser la place dans un data center. Les utilisateurs se fient habituellement à la valeur indiquée par le constructeur qui, pour des raisons de sécurité, surestime la consommation. Il serait donc possible de mettre plus de serveurs dans un même rack et, grâce au logiciel, de distribuer la charge de travail sur l'ensemble des processeurs pour faire des économies d'énergie. La deuxième, Service Essential Remote Support Pack, avertit l'utilisateur lorsqu'un de ses serveurs n'est plus sous garantie et, si un incident survient alors qu'il est sous garantie, envoie automatiquement un rapport vers le SAV d'HP. Pour chaque serveur, la licence d'Insight Control Environment est de 550 dollars. (...)
(17/01/2007 11:57:29)HP rassemble ses compétences en gestion de données dans une entité spécifique
La division logicielle de HP continue sa réorganisation avec la création de l'entité Business Information Optimization (BIO), qui se consacrera à la gestion des données. L'entité BIO sera en fait constituée de deux groupes, précise David Gee, vice-président marketing chez HP Software. Le premier se focalisera sur le décisionnel (datawarehouse, applications analytiques...), en reprenant les compétences acquises via le rachat du cabinet de consulting Knightsbridge Solutions - fort de 700 consultants - ainsi que la ligne de produits Neoview (serveurs et solutions de stockage pour les entrepôts de données). Le second se spécialisera sur le stockage de l'information (archivage, administration...). Le groupe BI (décisionnel) a d'ores et déjà un patron : Ben Barnes, l'ancien PDG d'ActivIdentity. Qui a commencé par déclarer que HP n'avait aucunement l'intention de concurrencer les acteurs du décisionnel, mais plutôt de nouer des partenariats plus étroits. Le mois dernier, HP avait créé une entité BTO (Business Technology Optimization), à la suite du rachat de Mercury. (...)
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