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(17/11/2006 17:18:01)
Le statut associatif de l'Esigetel ne remet pas en cause le soutien de la CCI
Cinq mois après le changement de statut de l'Esigetel (école supérieure d'ingénieurs en informatique et génie des télécommunications), les inquiétudes sur un éventuel désengagement de la CCI (Chambre de commerce et d'industrie) de Melu, qui avait créé l'école en 1986, semblent apaisées. L'Esigetel, le diplôme est habilité par la commission des titres d'ingénieur, est devenue une association le 17 juin dernier. Cette subtilité lui permet d'accueillir des entreprises dans son CA, de bénéficier de subventions des pouvoirs publics et de définir une nouvelle stratégie dans le domaine de la professionnalisation. Sans que cela ne remette en cause l'engagement de la CCI à son égard, indique Jean-Pierre Hubert, vice-président de la CCI 77 : « Au contraire, le statut associatif va permettre d'ajouter de nouveaux soutiens, de rechercher de nouveaux appuis et non de diminuer le nôtre ». Directeur de la formation de la CCI 77, Thierry Stelmaszyk complète : « La stratégie qui a été définie est d'élargir le cercle des partenaires institutionnels naturels de l'école comme le Conseil Général et le Conseil Régional, se rapprocher d'autres écoles, mais surtout conclure des partenariats avec les entreprises en les impliquant davantage dans le choix des grandes orientations. Bien entendu, la CCI continuera à jouer son rôle en soutenant le développement de l'Esigetel par le biais d'une subvention annuelle ».
Un double renforcement des partenariats « entreprises » d'une part et académiques d'autre part
Des rencontres entre entreprises, élèves ingénieurs et enseignants vont se renforcer en vue, selon Nacef Berkoukchi, directeur de l'Esigetel, de proposer « une formation pragmatique qui répond aux plus hautes exigences de l'entreprise ». Et bien sûr de former des ingénieurs opérationnels. Ce renforcement sera également fait sur le plan académique. Déjà membre du Polytechnicum de Marne-la-Vallée, l'Esigetel est aussi partenaire de plusieurs universités et instituts de recherche : participation au projet Telepat (RNTS sur la télé-surveillance à domicile des personnes âgées en vue de détecter des situations de détresse) ou collaboration avec le Crestic de Reims sur deux thèses dans le domaine de la télé-vigilance médicale et dans celui de la biométrie multimodale. Nacef Berkoukchi veut aller plus loin encore « dans le domaine de la recherche par la valorisation du laboratoire IDTR (informatique distribuée et temps réel) et dans le renforcement des partenariats académiques avec l'international. Nous allons aussi développer des programmes de masters spécialisés avec d'autres établissements français ou étrangers pour élargir l'offre de l'Esigetel en vue, par exemple, d'un double diplôme. » Sans nul doute, ce changement de stratégie est destiné à marquer des points dans un marché saturé où pour survivre, les écoles d'ingénieurs devront faire preuve d'innovation pour répondre aux critères de professionnalisation exigés par les pouvoirs publics et les entreprises. (...)
Les transports au coeur des journées internationales d'études des ingénieurs et scientifiques
Du 20 au 23 novembre se déroulera la 4e édition des « journées internationales d'études », sous le thème des « ingénieries & technologies communes aux transports terrestres, maritimes, aériens et spatiaux ». Le colloque se déroulera au ministère de la Recherche sous le parrainage du CNISF (conseil national des ingénieurs et des scientifiques de France). Ces journées d'études ont pour objectif de mettre en exergue des plates-formes communes, s'appuyant sur des compétences et des technologies correspondant aux besoins et susceptibles d'être soutenues par les pouvoirs publics nationaux et européens. Elles s'appuieront sur des échanges d'expériences de concepteurs, développeurs et chercheurs. Elles permettront aussi de faire des prospectives pour les 20 ans à venir dans des domaines aussi variés que les grands systèmes, les méthodes de conception tenant compte de la prévision du cycle de vie, l'énergie, la mécatronique, la simulation, les matériaux à hautes performances, ainsi que dans celui de la stratégie en matière de R&D. (...)
(17/11/2006 17:03:19)Accenture devient le n°1 mondial des intégrateurs systèmes, devant IBM
Selon IDC, Accenture vient de dépasser IBM au classement des plus grands intégrateurs de systèmes mondiaux. Selon le cabinet d'analyse, Big Blue occupait le premier rang mondial de ce marché depuis la fin des années 90 (la période à partir de laquelle IDC a commencé à suivre ce marché). Selon les analystes en charge de l'étude, Accenture profite pleinement du renouveau de ce marché qui connaît actuellement une reprise. "Après des années de morosité, le marché mondial des services d'intégration de systèmes a renoué avec une croissance de 4% en 2005" explique ainsi IDC. Accenture, de son côté, a crû deux fois plus vite que le marché en augmentant ses ventes de 8%. Stephanie Torto, qui suit le marché de l'intégration pour IDC, explique que l'amélioration de la conjoncture économique a permis aux entreprises de reprendre leurs dépenses en matière d'intégration de systèmes notamment dans le cadre plus général de la migration vers les architectures SOA et d'améliorations apportées à leurs infrastructures. L'accent mis par Accenture sur les architectures orientées services a largement contribué aux succès d'Accenture sur le marché de l'intégration de systèmes selon Torto. Accenture entend d'ailleurs poursuivre ses efforts puisque la firme a annoncé en juillet son intention d'investir 450 M$ sur les services SOA au cours des 3 prochaines années. Il est à noter qu'aux Etats-Unis IDC note que la bonne santé des marchés gouvernementaux et notamment ceux de la défense et de la sécurité, a permis à des acteurs comme Lockheed Martin, CSC, ou SAIC de tirer également leur épingle du jeu. IDC note au passage que le marché US est moins fragmenté que le marché mondial où s'affronte une multitude de petits acteurs et d'acteurs régionaux. (...)
(17/11/2006 17:01:01)Alfresco rejoint l'ODF Alliance
Alfresco poursuit son ascension. L'éditeur open source de solutions de gestion de contenu pour entreprise (ECM - Enterprise Content Management) a décidé discrètement de rejoindre l'ODF Alliance. L'éditeur dans la version 1.4 de son outil dotera les modules Records Management et Document Management d'un convertisseur virtuel de fichiers au format ODF. ODF, format bureautique XML ratifié par l'Oasis soutenu par la sphère Open Source, est une norme ISO depuis mai 2006. Il reste le concurrent direct d'OpenXML, format maison de Microsoft, en attente de validation auprès du même organisme de normalisation. ODF attire pour l'heure les administrations, notamment européennes, pour gérer leurs échanges de fichiers. Un marché également enclin à adopter des solutions Open Source, comme Alfresco. (...)
(17/11/2006 16:59:50)Ballmer : les utilisateurs Linux sont redevables envers Microsoft
C'est bien connu, les Linuxiens doivent tout à Microsoft. Et en particulier, le fait de les autoriser à utiliser ses technologies brevetées. A l'occasion d'une session de questions / réponses lors de la conférence Professional Association for SQL Server à Seattle, le bouillonnant (et théâtral) Steve Ballmer, président de Microsoft, a déclaré que la principale motivation de l'éditeur de se rapprocher de Novell était de "fournir aux actionnaires un retour économique sur nos innovations". Car "Linux utilise notre propriété intellectuelle". "Le fait que ce produit [Linux] exploite nos propriétés intellectuelles brevetées est un problème pour nos actionnaires. Nous dépensons 7Md$ en R&D par an, nos actionnaires attendent de notre part de protéger, licencier ou tirer des bénéfices de nos technologies brevetées", a-t-il enchaîné. Début novembre, Microsoft et Novell ont signé un accord d'interopérabilité entre Suse Linux et Windows. Dans les termes de la transaction, il est prévu que Novell reverse, à un rythme annuel, la somme de 40 M$ à Microsoft. Une opération qui, pour nombre de défenseurs de l'Open Source, s'apparentait à une dîme -"impensable" chez Red Hat-, pour compenser un éventuel viol par Novell de la politique intellectuelle de Microsoft. Ballmer confirme ainsi cette dernière idée et enfonce le clou: "Novell nous paie pour avoir le droit de dire à leurs clients que quiconque utilise Suse est couvert correctement". Dans ce contexte, poursuit-il, "seul un utilisateur qui possède Linux Suse a payé pour l'utilisation de la propriété intellectuelle de Microsoft". Et seulement. Une façon de tourner tous les regards vers les autres éditeurs Linux, alors dans l'illégalité. "Nous souhaiterions passer le même accord avec Red Hat ou d'autres éditeurs Linux". Pour Red Hat, il n'en est de toute façon pas question. (...)
(17/11/2006 16:57:45)Passe d'armes entre IBM et HP sur l'efficacité énergétique des serveurs lames
IBM a profité hier du lancement de la seconde génération de sa technologie de gestion d'énergie PowerExecutive pour affirmer que ses serveurs lames BladeSystem consomment jusqu'à 30% de moins que la dernière génération de BladeCenter d'HP. On se rappelle qu'HP avait fait de l'efficacité énergétique l'un de ses grands arguments lors du lancement du BladeCenter Class-c. Selon IBM ses serveurs lames sont "fondamentalement meilleurs" que ceux d'HP pour ce qui concerne l'efficacité énergétique. Dans un test mené en interne [et dont les conditions n'ont pas été détaillées], IBM a mesuré que son BladeCenter équipé de lames LS21 à base d'Opteron consomme 30% d'énergie en moins qu'un BladeCenter équipé de lames Opteron BL465c au repos et 18% de moins en pleine charge. Avec des lames Intel (HS21 et BL460c), IBM affirme être 26% plus efficace au repos et 13% en charge maximale. "Maintenant nous savons pourquoi HP utilise le terme ligths out pour ses serveurs lames" a expliqué Doug Balog, le vice-président de la ligne de produits BladeCenter d'IBM :" l'extinction de la lumière dans le datacenter est conçue pour compenser l'inefficacité de leurs serveurs lames". L'agressivité du commentaire est plutôt rare dans le monde habituellement sage des fabricants de serveurs. Elle l'est d'autant plus que le test d'IBM ne repose pas sur une méthodologie ouverte ce qui ne permet pas de vérifier les dires du géant d'Armonk. C'est d'ailleurs ce que fait remarquer HP tout en affirmant que la firme serait heureuse de participer à un test indépendant opposant ses équipements à ceux de Big Blue... Pour mieux comprendre la guerre des mots en cours, il faut replacer l'affrontement entre les deux constructeurs dans son contexte. Depuis 5 ans, HP et IBM rivalisent pour la domination du marché des serveurs lames, un marché qui s'adresse notamment aux grands datacenters. Selon IDC, les lames devraient ainsi compter pour 30% du nombre de serveurs installés dans les datacenters d'ici 2010. Du fait de la densification des architectures informatiques liée à l'utilisation des lames, les questions d'alimentation électrique et de refroidissement des lames sont devenues l'une des préoccupations des administrateurs de grands centres informatiques. Le sujet est d'autant plus "chaud" aux Etats-Unis que le prix de l'électricité y est significativement supérieur aux tarifs européens et que certaines régions sont en quasi sous-capacité de production. Une situation qui pousse un électricien comme le californien PG&E à rembourser 300€ par serveur vieillissant retiré de la production et à offrir une prime de 1000€ sur l'achat de serveurs réellement économes en énergie comme les serveurs T1000 ou T2000 de Sun Microsystems. (...)
(17/11/2006 16:05:44)HP profite de son T4 pour ravir à Dell la première place des constructeurs
Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 91,7 Md$ (+6%) Bénéfice net : 6,2 Md$ (+158%) Alors que le plan de restructuration entrepris en juillet 2005 touche à sa fin - et va conduire, au final, à la suppression de 15 200 emplois - et en dépit du vil scandale d'espionnage ayant touché le groupe ces derniers mois, HP vient de publier des résultats en nette progression pour son quatrième trimestre et son exercice fiscal 2006. Sur l'ensemble de l'année, les revenus augmentent ainsi de 6% et s'alignent à 91,7 Md$. L'ensemble des divisions - à l'exception des services financiers - voient leurs chiffres d'affaires augmenter. Notons ainsi les 23% de croissance de la branche logiciels, à 1,3 Md$, les 9% réalisés par la division Personnal Systems - recensant les ordinateurs de bureau et portables - à 29,2 Md$ ou les 6% de progression de la branche impression. Sur le seul quatrième trimestre, la division stockage s'avère décevante en n'affichant qu'une hausse de 1%. Cela n'empêche pas le groupe de multiplier ses bénéfices par quatre sur la dernière période de l'année, à 1,7 Md$ et de profiter de cette envolée pour voir les profit s'envoler sur l'ensemble de l'exercice. Ils atteignent ainsi 6,2 Md$, en hausse de 158% par rapport à 2005. HP profite également de ce quatrième trimestre pour ravir à Dell la place de premier vendeur d'ordinateurs sur la planète. Une première en trois ans. Selon les chiffres publiés par le Gartner, la part de marché de HP atteint 16,3% contre 16,1% pour le constructeur texan. Fort de ces bons résultats, le groupe de Palo Alto table sur des revenus de 97 Md$ en 2007. Pour le premier trimestre de l'exercice, HP vise un CA compris entre 24,1 et 24,3 Md$. (...)
(17/11/2006 15:57:33)Red Hat cherche à développer les revenus de JBoss
Appliquer à JBoss le modèle commercial et de développement de ses distributions Linux, c'est l'idée à laquelle travaille actuellement l'éditeur Red Hat. Ce dernier s'apprête en effet à proposer une version communautaire gratuite et une version payante de son serveur d'applications JBoss, s'inspirant du modèle adopté pour le couple de distributions Linux Fedora Core/Red Hat Enterprise Linux. Sans ambages, Charlie Peters, directeur financier de Red Hat, ne cache la logique mercantile associée à cette idée : ce changement de modèle « s'inscrit dans la stratégie de l'entreprise pour transformer les onze millions d'utilisateurs de JBoss en clients payants. Nous avons une base installée d'utilisateurs prêts à devenir des clients payants à partir du moment où ils recherchent un meilleur support. » Aucun calendrier précis d'évolution du modèle de développement et de distribution de JBoss n'a encore été communiqué. Pour l'heure, Red Hat commercialise déjà des services de conseil, de formation et de support pour JBoss. (...)
(17/11/2006 15:30:43)Google s'approprie iRows pour améliorer ses outils bureautiques
Google vient de recruter Toah Bar-David et Itai Raz, les fondateurs du service iRows pour améliorer ses outils de bureautique en ligne, et plus particulièrement son tableur Google Spreadsheets. Google a lancé son outil Spreadsheets en juin dernier en s'appuyant sur la technologie acquise avec 2Web Technologies. Spreadsheets souffre de lacunes que le service iRows est susceptible de pouvoir combler. Les fondateurs d'iRows vont rejoindre les équipes du centre de recherche et développement de Google à Tel Aviv et Haifa le 31 décembre prochain. A cette date, le service iRows sera purement et simplement fermé, au grand dam de certains de ses utilisateurs qui n'ont pas manqué de réagir à l'annonce sur le blog d'iRows : leurs données seront détruites à la fermeture du service. Toah Bar-David et Itai Raz ont malgré tout pris la peine d'indiquer aux utilisateurs d'iRows comment migrer leurs données vers Google Spreadsheets avant la fermeture. Reste que les graphiques créés avec iRows vont disparaître : le tableur de Google ne supporte pas cette fonctionnalité. (...)
(17/11/2006 14:21:13)Crypter ses fichiers professionnels peut constituer une faute grave
La Cour de cassation a confirmé qu'une entreprise peut licencier pour faute grave un salarié ayant crypté ses fichiers, empêchant ainsi son employeur de consulter son ordinateur en son absence. L'arrêt, rendu le 18 octobre dernier, édicte que les documents de l'ordinateur d'un salarié sont présumés professionnels, et qu'à ce titre l'employeur doit pouvoir y accéder à tout instant. Sont exclus de cette appréciation les dossiers et documents expressément désignés par le salarié comme personnels. (...)
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