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(16/11/2006 11:35:29)

Plus de Bull à Bordeaux avec le centre de services mobilité

L'inauguration, ce 15 novembre à Bordeaux, du centre de services dédié aux projets de mobilité d'entreprises s'inscrit dans la stratégie volontariste de Bull pour réaliser, dès 2008, 50% du chiffre d'affaires dans les services. Les 150 ingénieurs, techniciens et experts du centre bordelais capitalisent sur leur historique de services auprès des opérateurs télécoms (Orange et Bouygues notamment) et autres grands projets de portails d'entreprise pour développer des services autour des solutions de mobilité (goélocalisation, vidéosurveillance embarquée) et autres services aux personnels itinérants. Comme les équipes regroupées dans les deux autres centres inaugurés en novembre 2005 à Grenoble (600 personnes) et en mai 2006 à Marseille (150 personnes) sous la bannière de l'expertise Open Source, les équipes bordelaises misent sur l'approche industrielle sous-tendue par l'atelier et la méthodologie NovaForge. "Ce dispositif, en droite ligne de la pratique Open Source de la R&D de Bull, permet de fédérer les développements, de concevoir, réaliser et maintenir industriellement des applications en mode réparti", commente Hassan Maad, directeur général de Bull Evidian, impliqué, pour sa part, dans l'offre de solutions de sécurité qui renforce d'autant la montée en puissance de Bull sur le terrain de la mobilité. Ce qui, induit-il, "présage d'ouvertures de postes pour des développeurs". Si plan d'embauche il y a pour 2007, "via des recrutements locaux", précise Jean-Pierre Barbéris, directeur général des activités services de Bull, le groupe ne l'affiche pas en clair (en nombre) pour chacun de ces trois centres de services. (...)

(15/11/2006 17:48:23)

TechEd ITForum 2006 : Microsoft espère une adoption rapide de Vista par les entreprises

Après le lancement officiel de Windows Vista la semaine passée, Microsoft concentre désormais ses efforts sur l'adoption de son nouvel OS par les entreprises. Selon Microsoft, Vista est l'OS entreprise le plus abouti jamais proposé par Microsoft. L'éditeur met notamment en avant sa sécurité renforcée, sa plus grande simplicité de déploiement et d'administration ainsi que la facilité avec laquelle les entreprises peuvent migrer de Windows 2000 ou XP vers Vista. Cette simplicité de migration a été mise en avant hier par Bob Muglia, le vice-président de Microsoft. Lors de son discours, Muglia a notamment expliqué que Microsoft avait durement appris sa leçon avec les moutures précédentes de son OS et que cette fois-ci Microsoft avait tout fait pour permettre une migration en douceur des parcs installés vers Vista (pour peu que les PC respectent les exigences de l'OS en termes de performance et de mémoire). Interrogée sur le fait que les entreprises françaises ont souvent été lentes à adopter les derniers OS, de Microsoft [nombre de comptes utilisent encore Windows 2000 et non XP], Stella Cherniak, une responsable de l'équipe Vista a expliqué qu'elle comprenait la réticence des entreprises à adopter les dernières technologies. "Les entreprises sont libres de leur choix, mais Windows 2000 est déjà vieux de 6 ans et son coût de maintenance est élevé (...). Ce que nous disons à nos clients est que Vista est simple à déployer et qu'il devrait réduire significativement les coûts d'administration des PC". Faciliter les migrations Pour faciliter la migration, Microsoft met en avant plusieurs outils dont l'Application Compatibility Tool, qui permet d'évaluer la compatibilité des applications déployées dans le SI avec Vista. Comme l'explique Cherniak, "un agent installé sur les PC scanne le parc logiciel installé et fournit un diagnostic permettant de détecter en amont les éventuels problèmes de compatibilité que poserait la migration". Microsoft a également mis à jour ses outils de création d'images et de déploiement comme BDD (Business Desktop Deployment) pour permettre un déploiement de Vista à grande échelle. Il pointe aussi les outils comme ceux de Softricity pour simplifier le déploiement sur Vista d'applications existantes. Les versions professionnelles de Vista, Vista Business et Vista Entreprise, incluent aussi Virtual PC pour permettre une transition en douceur depuis Windows 2000 vers Vista. Une entreprise peut ainsi imaginer de cloner ses vieux environnements Windows 2000 ou XP dans une machine virtuelle pour préserver un accès à des applications non compatibles avec Vista. Il est à noter que la version entreprise supporte jusqu'à 4 machines virtuelles sous Windows ou Linux, contre une seule sous Windows pour Windows Business. Une autre innovation mise en avant par Stella Cherniak est le support du multilangage dans Windows Vista Entreprise qui permettra d'avoir une image unique pour les entreprises internationales, tout en offrant une interface en langage natif dans chacun des pays où l'entreprise est présente. Jusqu'alors l'absence de support multilingue (MUI) contraignait les entreprises à gérer des images différentes selon les pays ou à standardiser sur une langue unique, en général l'anglais. (...)

(15/11/2006 17:13:46)

Faute de repreneurs valables, Borland filialise ses outils de développement

"Nous avons reçu d'intéressantes offres de la part de potentiels investisseurs, mais nous estimons qu'elles ne reflètent pas la valeur de cette ligne de produits", a déclaré en substance Tod Nielsen, PDG de Borland, écartant tout rachat de ses outils de développement. Les éventuels acquéreurs - Borland parle de cinq sérieuses offres - n'étant visiblement pas à la hauteur des espérances du groupe, Borland s'est finalement décidé à faire de sa branche développement "Developer Tools Group", une filiale. Elle sera rebaptisée CodeGear et devrait être opérationnelle dès le début 2007. Ben Smith, en poste chez Borland depuis un an, assurera les fonctions de PDG. L'éditeur avait annoncé en février son intention de vendre sa division dédiée aux outils de développement. Une initiative attribuée à la rude concurrence des EDI (environnement de développement intégré) tels qu'Eclipse qui, selon lui, érodaient les parts de marché de Jbuilder, son EDI maison. Cette vente devait notamment permettre à Borland de se repositionner sur le marché, plus prometteur, de la gestion du cycle de vie des applications (ALM). La vente de la branche avait, à l'origine, été fixée à septembre 2006. CodeGear sera la marque des EDI de Borland : Developer Studio (Delphi, C++ Builder et C# Builder), Jbuilder, Turbo et Interbase. Borland couvrira désormais les outils ALM. En outre, la nouvelle entité disposera d'équipes opérationnelles et de direction dédiées. Un troisième trimestre encore dans le rouge, les ventes ALM en forte progression Pour son troisième trimestre, clos le 30 septembre, l'éditeur creuse un peu plus ses pertes, à 12,2 M$ contre 5,3 M$ il y a un an. Les activités ALM de Borland ont généré, quant à elles, un chiffre d'affaires de 54,7 M$ sur la période, soit une hausse spectaculaire de 91% par rapport à l'année dernière. Des revenus dopés notamment par les ventes de licences, qui enregistrent une fulgurante progression de 115% en un an, à 29,7 M$. Ce qui représente 60% du CA total du groupe sur la période, à 82,4 M$, en hausse de 21%. Le groupe qui compte bien profiter de son repositionnement dans l'ALM et la séparation ses activités d'EDI (en baisse de 25%, à 15,1 M$ sur la période), prévoit de revenir à la profitabilité en 2007, après deux années de trou noir. (...)

(15/11/2006 16:48:46)

EDS rachète Global Enterprise Management Solutions

EDS vient de faire l'acquisition de Global Enterprise Management Solutions (Gems), fournisseur de solutions de gestion d'entreprise et de la relation client basées sur les progiciels de SAP. Avec cette opération, EDS entend améliorer son support SAP mais aussi enrichir son offre de services applicatifs sur plateforme SAP et accélérer le développement de nouvelles offres SAP. Gems figure en effet parmi les partenaires de l'éditeur allemand et officie principalement dans les domaines des services SI, de la production de produits finis, de la logistique et des transports. Gems propose des prestations de développement, de conseil en déploiement et revente de solutions. La solution mServices de Gems a particulièrement attiré l'attention d'EDS : il s'agit d'une solution complète pré-packagée censée faciliter le déploiement d'applications SAP dans les PME ou les divisions de grandes entreprises. Le rachat doit être finalisé d'ici la fin de l'année. Les conditions financières de l'opération n'ont pas été communiquées. (...)

(15/11/2006 16:19:33)

Microsoft lance la bêta de son antivirus Forefront

Voilà qui n'aidera probablement pas à apaiser les tensions entre Microsoft et les éditeurs de logiciels de lutte contre les virus et les logiciels espions : le géant de Redmond vient d'ouvrir au public le programme de bêta test de son outil de lutte contre les logiciels malveillants d'entreprise, Forefront Client Security. Forefront Client Security est en développement depuis plusieurs années. Il doit notamment combiner les produits de l'éditeur d'anti-virus GeCAD, acquis par Microsoft en juin 2003, avec ceux du spécialiste de l'éradication des logiciels espions Giant Company Software, racheté par le géant de Redmond en décembre 2004. En test privé depuis plusieurs mois, Forefront Client Security doit sortir fin juin 2007, soit six mois plus tard que prévu initialement. Mais deux produits de la gamme Forefront devraient être disponibles dès ce mois de décembre, Forefront Security for Exchange Server et Forefront Security for SharePoint. Le premier sera proposé à 12,60 $ par an et par utilisateur pour 250 utilisateurs, contre 5,88 $ par utilisateur et par an pour le second. (...)

(15/11/2006 12:12:32)

Antitrust : Microsoft à une semaine d'une nouvelle astreinte

Une semaine. C'est le délai que Neelie Kroes, la commissaire européenne à la concurrence, a donné à Microsoft pour qu'il fournisse l'ensemble des éléments de documentation relatifs à ses systèmes d'exploitation. Faute de satisfaire à cette exigence, le géant de Redmond se verra infliger une astreinte journalière de 3 M€. Les menaces proférées par la Commission en juillet sont donc sur le point d'être mises à exécution. L'exécutif européen avait alors condamné Microsoft à une amende de 280,5 M€ pour avoir échoué à se conformer à la décision de 2004 l'enjoignant notamment - en plus de le condamner pour abus de position dominante et de l'obliger à fournir une version de XP expurgée du Media Player - à fournir les protocoles de communication de ses OS. Neelie Kroes avait souligné que le montant de l'astreinte pourrait être sérieusement surévalué si les choses n'évoluaient pas. Face à la léthargie dont semble faire preuve l'éditeur, et si l'ensemble des spécifications techniques n'est pas livré le 23 novembre, Microsoft devra s'acquitter d'une astreinte de 3 M€ par jour. « Ma vie n'est pas éternelle, souligne Neelie Kroes. Je ne suis pas impressionnée si on me dit que 90% de la documentation est là alors que nous avons besoin de 100%. Selon moi, ces informations auraient dû être disponibles il y a quelques mois ». (...)

(15/11/2006 11:44:57)

Les éditeurs de logiciels étrangers trustent le marché français, selon l'Afdel

Un an après sa formation, L'Afdel l'association française des éditeurs de logiciels publie les premiers résultats de ses travaux. L'association s'est ainsi associée au cabinet d'études PAC pour réaliser un panorama du secteur de l'industrie des logiciels en France et en Europe. Baptisé indice PAC/Afdel, ce panorama, qui porte sur l'étude de 1000 sociétés d'édition, met d'abord en évidence la domination des acteurs étrangers en France qui représentent 67% d'un marché de l'édition que PAC évalue à 7,8 Md€ (maintenance et support compris). La part des éditeurs français descend même à 6% pour les logiciels systèmes contre 54% pour le marché des applications. Du coup, sur les vingt principaux éditeurs présents sur le marché national, seulement six sont français. Au niveau européen la France tient néanmoins son rang et ceci malgré l'extrême domination américaine. Ainsi l'hexagone place 9 éditeurs dans le top 100 européen, contre 53 américains, 9 britanniques et 4 allemands. Autre enseignement de cette étude : les éditeurs français sont peu internationalisés. Ainsi, si les deux champions nationaux que sont Dassault Systèmes et Business Objects (respectivement au 13ème et 17ème rang européen) réalisent plus de 90% de leurs revenus à l'international, cette proportion tombe à 30% pour les 98 éditeurs suivants. « Il existe une corrélation entre la taille des acteurs et leur degré d'internationalisation », commente Patrick Bertrand, président de l'Afdel. L'indice PAC/Afdel met également l'accent sur l'extrême fragmentation du marché. Ainsi, les deux tiers du top 100 des éditeurs français réalisent moins de 15 M€ de CA. Plus grave, ces derniers sont presque exclus des parcs des grands donneurs d'ordre français au profit des grands éditeurs internationaux. Une assertion qui est également valable pour les grands comptes publics (notamment l'administration centrale). Pour remédier à cette situation, le président de l'Afdel, appelle les pouvoirs politiques à développer la commande publique en faveur des éditeurs français. De même, il encourage les grandes SSII et les grands intégrateurs, plus avancés dans leur processus d'internationalisation à faire preuve de plus de solidarité vis à vis des éditeurs nationaux en les représentant dans les zones où ils ne sont pas encore afin de favoriser leur implantation dans les grands comptes. (...)

(15/11/2006 11:39:01)

Pour l'anglais, critère de recrutement, les jeunes Français améliorent leur position

Selon le suivi annuel des scores obtenus aux tests d'anglais professionnel (TOEIC, Test of English for International Communication) effectué par la filiale française d'ETS (Educational Testing Service), le niveau d'anglais des jeunes diplômés issus des écoles d'ingénieurs et de commerce s'est nettement amélioré depuis 1997, passant de 724 points en moyenne à 755 points en 2005. Ce qui atteste de l'atteinte du niveau "opérationnel" de base selon le cadre européen commun de référence (CECR) (égal ou supérieur à 750) atteint par une majorité des étudiants (50% chez les jeunes ingénieurs, 60% chez les futurs managers issus des Sup de Co). Pour les employeurs, comme pour les salariés, parler l'anglais est devenu un critère incontournable de l'embauche de cadres. En 2005, selon une étude du même organisme ETS auprès de 26 multinationales d'obédience française, 60% de ces groupes citaient l'anglais comme langue officielle du groupe. Et 30% la désignaient comme unique langue officielle. A noter qu'à l'examen des scores TOEIC obtenus en 2002 et 2003 par plus de 2 millions d'étudiants de 29 nationalités, dont 44% d'Européens, les Français se classaient en sixième position, derrière les voisins allemands et portugais, et nettement moins bons que les Canadiens, les Libanais et les Philippins. Mais pas si mal. (...)

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