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(10/02/2009 18:00:33)

IBM donne une division à Blue Cloud

Le cloud computing d'IBM qu'il nomme Blue Cloud prend corps au travers d'une nouvelle division. Annoncé en novembre 2007, il atteint sa phase opérationnelle en ce début d'année. L'infrastructure, qui repose, pour l'instant (*), sur neuf datacenters, les Cloud Labs, dont un site européen installé à Dublin depuis mars 2008, propose des ressources aux entreprises qui aspirent à équilibrer leurs charges de traitement entre leur propre cloud et celui d'IBM. IBM baptise ce concept "hybrid cloud". Un accès "transparent" est garanti par un maillage réseau qui reposera sur des équipements réseau de Juniper Networks et des composants logiciels ajoutés à Tivoli. L'objectif est de permettre la répartition des tâches afin d'optimiser les ressources et la qualité de services. L'annonce d'IBM mélange allègrement les produits disponibles et ceux qui le seront seulement ultérieurement. A terme, la logithèque de Blue Cloud s'organisera autour de la console Service Management Center for Cloud Computing. Elle repose sur Tivoli Provisionning Manager 7.1 et Tivoli Service Automation Manager. L'ensemble automatise le déploiement et l'administration d'une infrastructure en cloud computing. IBM revendique cinq clients dont Elizabeth Arden [[page]] Avec IBM Rational AppScan 7.8, les clients pourront s'assurer de la sécurité et de la conformité aux contraintes légales des services web mis en cloud. Rational AppScan OnDemand assure quant à lui la surveillance de ces services. Tivoli Storage as a Service est une prestation qui assure le suivi de la sauvegarde et sa facturation au volume. Enfin, IBM Design and implementation for cloud test environments doit faire gagner 20% du temps nécessaire aux utilisateurs pour déployer une plateforme cloud de test sur leur propre infrastructure. IBM revendique avoir rallié cinq clients à son offre Blue Cloud dont le plus connu est le groupe cosmétique Elizabeth Arden. Ce train d'annonces intervient au moment ou IBM crée sa division dédiée à Blue Cloud. Il place à sa tête Erich Clementi avec le titre de General Manager for Enterprise Initiatives. Cet italien, qui a rejoint IBM en 1984, prend en charge l'avenir d'une division qui se positionne sur un marché en très forte croissance. IDC, qui estimait le marché du cloud computing à 16 Md$ l'an dernier, le voit atteindre 42 Md$ en 2012. (*) En septembre 2008, IBM annonçait son projet de porter à treize le nombre de ses Blue Labs en en ouvrant quatre autres dans des pays émergents : Corée du Sud, Vietnam, Inde et Brésil. (...)

(10/02/2009 17:16:18)

Google s'appuie sur l'ActiveSync de Microsoft pour la synchronisation de ses applications

Avec son nouveau service Google Sync, Google rejoint la longue cohorte des concurrents de Microsoft - Apple en tête - qui sont également des clients et des partenaires de l'éditeur. La société vient en effet de signer un accord de licence autour du protocole Exchange ActiveSync. Un fait que Google avait passé sous silence, mais dont Microsoft s'est félicité dans un communiqué officiel : cet accord de licence « est une reconnaissance claire des innovations dont est capable Microsoft », se félicite Horacio Gutierez, vice-président en charge de la propriété intellectuelle et des licences chez Microsoft. Concrètement, Google Sync - pour l'instant en bêta - permet de synchroniser les contacts et l'agenda d'un utilisateur entre son téléphone, sa messagerie Outlook ou Gmail et son calendrier Google. Chaque modification, qu'elle soit faite sur le téléphone ou sur le Web, est automatiquement synchronisée et 'poussée' vers le téléphone. C'est pour ce push que Google a installé ActiveSync sur ses serveurs d'hébergement : l'outil servira à envoyer les données Google (contacts Gmail, Gtalk, événements inscrits à l'agenda) vers le mobile. Ce service fonctionne avec les smartphones sous Windows Mobile, mais aussi les Blackberry, les Nokia, les Sony Ericsson et l'iPhone d'Apple. L'an dernier, Apple avait également dû souscrire une licence ActivSync pour se connecter aux serveurs Exchange des entreprises. (...)

(10/02/2009 16:59:39)

Cyberdouane veut endiguer la fraude sur le Web

Protéger les consommateurs et lutter contre la cyberdélinquance. Tels sont les objectifs de la Cyberdouane, un service inauguré le 10 février par Eric Woerth, le ministre du Budget. Placé sous la responsabilité de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, ce service s'inscrit dans le cadre de l'explosion du nombre de transactions commerciales réalisées sur le Web. Cette tendance s'accompagne inévitablement de son lot de margoulins et autres trafiquants, s'adonnant à l'échange de biens illicites (stupéfiants, cigarettes, contrefaçons, etc.). Pour y remédier et « créer un sentiment d'insécurité pour les cyberdélinquants », Cyberdouane s'appuiera sur huit spécialistes du renseignement et sept enquêteurs maîtrisant « les protocoles de communication d'Internet ». Leur mission : « détecter les transactions illicites et déclencher les contrôles douaniers ainsi que des enquêtes approfondies ». Il s'agit là de la première étape d'un plan de lutte plus général contre la délinquance sur le Web, qui comprendra au total neuf volets incluant notamment la coopération avec les fournisseurs d'accès et les sites marchands, le démantèlement des filières et la responsabilisation des consommateurs. Ces derniers, estime le ministre, ne doivent être « ni acteurs, ni complices, ni victimes de la fraude sur Internet ». (...)

(10/02/2009 16:58:04)

Intel annule sa conférence IDF de Taipei

La crise touche le marché des TIC dans son ensemble mais elle atteint plus particulièrement le secteur des composants. Pour preuve, Intel a décidé d'annuler sa conférence annuelle IDF (Intel developer forum) qui devait se tenir à Taipei, la capitale administrative de Taiwan. Le numéro un des processeurs réduit par ailleurs sa conférence de Pékin à une seule journée, le 8 avril 2009, au lieu de deux préalablement prévues. Pour Intel, les IDF sont à la fois un moyen de montrer ses innovations et un moment de rencontre entre ses techniciens et les développeurs qui travaillent avec ses composants. Le fondeur devrait utiliser le Computex de Taipei, qui se tiendra du 2 au 6 juin 2009, pour procéder aux annonces habituelles. De plus, pour ne pas décevoir ses développeurs, Nick Jacobs, directeur de la communication pour Intel Asie Pacifique, explique que l'entreprise organisera davantage de séminaires et de travaux en ligne avec ses développeurs, des opérations qu'il a multipliées ces dernières années. Le fondeur organise ses conférences à Taipei depuis 1996. Et la seule fois où il a dû annuler ses IDF asiatiques, c'était au premier semestre 2003 pour cause de virus du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) ! Signe des temps, Intel n'est pas le seul à sacrifier ses conférences sur l'autel de la crise financière mondiale. Le Gartner Group a ainsi annoncé officiellement début janvier l'annulation de ses deux symposiums de printemps. Quant à Apple, il a décidé de ne plus honorer de sa présence les salons Macworld, consacrés annuellement à ses offres. (...)

(10/02/2009 15:58:29)

Techdays'09 : Visual Studio, Windows 7 et Azure, fers de lance de la stratégie de développement de Microsoft

Prévus pour durer trois jours, les Techdays ont démarré ce mardi matin au Palais des Congrès de Paris avec un tour d'horizon d'une heure des nouveautés concernant les développeurs. Devant un amphithéâtre quasiment comble, Thomas Serval, nouveau directeur plateformes et écosystème (suite à la nomination de Marc Jalabert au poste de directeur du marketing et des opérations, au comité de direction de Microsoft France), a passé en revue les technologies et concepts tels que Surface, LiveMesh, Windows 7, .Net 3.5, Solver Foundation, S+S, Azure... Développement et débogage PHP directement dans Visual Studio Le pivot de toutes ces démonstrations était l'atelier de développement Visual Studio ; une importance résumée par un slogan 'emprunté' à Tolkien : « un seul outil pour les programmer tous ». La seule véritable nouveauté était d'ailleurs l'annonce de l'intégration d'un plug-in PHP dans Visual Studio 2008. Intérêt: la possibilité non seulement de profiter de la puissance de Visual Studio pour écrire du PHP, mais aussi de déboguer directement le code produit. Jusqu'à présent, il fallait soit utiliser deux ateliers différents, soit, pour combiner Visual Studio et PHP, bidouiller une intégration, éventuellement avec des bouts de code fournis en Open Source, ou acheter un plug-in auprès de JCX Software (environ une centaine d'euros). Microsoft a conclu un accord commercial avec l'éditeur de ce plug-in pour inclure sa technologie avec Visual Studio. En France, la filiale de l'éditeur a même décidé de le fournir gratuitement, nous a précisé Laurent Ellerbach, responsable des relations avec les développeurs. Des milliers de personnes inscrites pour voir les nouveautés de Seven [[page]] Passant rapidement sur WPF (Windows Presentation Framework), l'interface riche qui devait se généraliser lorsque Vista aurait connu le succès, l'équipe de Microsoft a pris le temps de présenter Windows 7. « Vous vous êtes inscrits par milliers aux sessions sur Seven, on a dû réagencer l'agenda, il y a désormais deux sessions par jour », a expliqué Eric Mittelette, responsable des relations techniques développeurs. Survolant quelques nouveautés de Seven - dont la personnalisation de la barre de tâches, ou le support natif du 'multitouch' (manipulation des objets de l'écran avec plusieurs doigts) -, Microsoft a pressé les développeurs de tester leurs applications sur le système d'exploitation. L'idée, nous a expliqué par la suite Thomas Serval, est « que les éditeurs de logiciels tiers soient prêts et puissent bénéficier du raz de marée attendu avec Seven ». Le discours était certes le même avant la sortie de Vista, mais il est vrai que, de ce que la bêta laisse voir pour l'instant, Windows 7 est bien plus prometteur. Après avoir donné un aperçu des nouveautés qui viendront avec la version 2010 de Visual Studio - comme un éditeur de tests fonctionnels capturant automatiquement en vidéo les scénarios de test (un must pour les rapports de bugs) -, Microsoft a proposé une explication de texte toujours utile de sa stratégie S+S. S+S et Azure pour la plus grande liberté de choix possible Guère pressé de rejoindre le clan des éditeurs de Saas (applicatifs disponibles en ligne), Microsoft avait présenté sa stratégie Software plus services (S+S) qui a l'avantage de conserver l'importance des logiciels installés sur les postes clients. Puis est venu le train du 'Cloud computing', auquel Microsoft a rattaché ses wagons, avec l'annonce de Windows Azure. Au final, tout cela aboutit à « la plus grande liberté de choix possible pour le développeur et l'éditeur de logiciels », a expliqué Thomas Serval. Aujourd'hui, le développeur peut recourir à des briques techniques (comme SQL Server Data Services) voire des services applicatifs en ligne (comme Exchange Online), héberger son application en ligne (sur Azure - s'il s'agit d'une application .Net : la liberté de choix a tout de même ses limites), rien qu'en sélectionnant l'option de déploiement dans Azure au sein de Visual Studio. Et il suffit de modifier le fichier de configuration l'accompagnant pour modifier le nombre d'instances souhaitées. Zoomant sur un des services en ligne de Microsoft, l'outil de synchronisation LiveMesh, l'équipe de développement de Microsoft France a montré une première mondiale: l'utilisation du service de synchronisation de fichiers pour synchroniser une application, réalisant ainsi un service applicatif de collaboration en temps réel. (...)

(10/02/2009 15:41:27)

Annuels GFI Informatique : des contrats importants au 4e trimestre

La SSII française GFI Informatique a réalisé un chiffre d'affaires de 768,1 M€ en 2008, ce qui représente une croissance organique de +2,9% par rapport à 2007. A périmètre courant, c'est-à-dire sans tenir compte des acquisitions, sa croissance totale atteint 11,6% sur l'année. Le chiffre d'affaires réalisé par la France s'élève à 514,4 M€ (67% du CA total), soit une progression de 5% en croissance organique, et de 14% en croissance totale. En octobre 2007, GFI Informatique avait absorbé sa filiale Algoriel et racheté le groupe BTD. Rappelons qu'outre le conseil et l'intégration de systèmes, l'activité du groupe comporte un pôle Infrastructures et production et un pôle Solutions. L'activité d'édition de GFI Informatique le plaçait en 2007 au 6e rang des éditeurs français de logiciels, derrière Dassault Systèmes, GL Trade, Sopra Group/Axway, Cegid et Cegedim (selon le classement EuroSoftware publié fin 2008 par PricewaterhouseCoopers, avec PAC et l'Afdel, notamment). Sur le dernier trimestre 2008, toujours en France, la croissance organique se limite à 0,6% (+3,3% à périmètre courant) sur un chiffre d'affaires de 137,2 M€. La SSII indique avoir remporté plusieurs contrats importants sur cette période, malgré la crise économique, en particulier avec le Groupe Caisse d'Epargne, BNP Paribas, la RATP et EADS. Le pôle Solutions a également signé des contrats dans le secteur public avec ses offres de gestion des temps. +4,4% de croissance en Espagne [[page]] A l'international, le quatrième trimestre enregistre une légère croissance organique en Europe du Sud (+0,7% dont +4,4% en Espagne). En revanche, pas de croissance organique sur l'année pour trois régions, l'Espagne/Portugal, l'Italie et l'Europe du Nord, qui pèsent respectivement 14%, 8% et environ 6% du chiffre d'affaires total de GFI Informatique. Au contraire, au Canada, l'activité enregistre une croissance organique de +6,2% à taux de change comparable (et de +95% en tenant compte des rachats, en 2008, d'Accovia et Bell Solutions d'affaires). Enfin, au Maroc, la croissance organique s'élève à +26,8%, mais sur un CA de 4,1 M€ qui ne pèse qu'un peu plus de 0,5% du CA total. A noter que le groupe dit se fixer comme priorité de renforcer l'utilisation de ses centres de services en France, en Espagne, au Canada et au Maroc. Cette activité implique 1 200 personnes. GFI Informatique comptait fin décembre 6 079 personnes en France (9 893 au total dans le monde), avec un taux de rotation des effectifs de 16%. Ses résultats financiers complets seront communiqués le 17 mars 2009. (...)

(10/02/2009 15:21:43)

Le Conseil économique et social lance des pistes pour une couverture nationale en fibre optique

Le Conseil économique, social et environnemental (CES) vient de présenter, dans un avis commandé par le Premier ministre, ses pistes pour la couverture numérique du territoire. Si l'ADSL offre un accès à Internet à 98% de la population, il subsiste encore des zones blanches. De plus, le déploiement de la fibre risque de ne concerner qu'une petite partie des ménages. Face à cet état des lieux, le CES veut contribuer « à équiper notre pays pour que la population ait accès aux usages. Nous sommes en plein dans la problématique des tuyaux », a expliqué André Marcon, le rapporteur de l'avis. L'Etat stratège doit donner le top départ du déploiement L'Etat devra « jouer pleinement son rôle de garant de l'intérêt national », notamment en faisant « prévaloir les critères d'aménagement du territoire sur ceux de concurrence », en imposant la mutualisation des réseaux de fibre optique entre opérateurs et en dopant les pouvoirs de l'Arcep pour que l'autorité puisse accompagner le déploiement du très haut débit de façon harmonieuse d'une partie du territoire à l'autre. Les collectivités, qui doivent elles aussi prendre leur part dans ce projet de couverture numérique, devront pouvoir participer à la gouvernance de l'Arcep et intervenir sur les sujets concernant les conditions d'accès aux infrastructures de France Télécom par exemple. Le rôle des collectivités consistera également en la création de syndicats mixtes, conçus sur le même modèle que celui des syndicats départementaux d'électrification. Leur mission - organiser le déploiement de la fibre dans les territoires - passera par une connaissance des réseaux existants, le travail avec les opérateurs et la mise en oeuvre d'une péréquation régionale. Ce dernier point est particulièrement important dans la mesure où il conditionne la réalisation du déploiement sur l'ensemble du territoire, en permettant aux régions les plus reculées de bénéficier des mêmes soins que les dorsales urbaines. Pour cela, les syndicats mixtes pourraient, préconise le Conseil économique et social, prélever les collectivités membres à hauteur de 10 € par an et par habitant. En dix ans, ce système permettrait de dégager quelque 6 Md€. Une somme largement insuffisante pour couvrir les coûts du déploiement généralisé de la fibre, estimé par le CES entre 40 et 50 Md€. Une dizaine de milliards devrait être supportée par les pouvoirs publics, le reste étant pris en charge par les opérateurs. Aux côtés du prélèvement opéré par les syndicats mixtes, le CES propose d'instaurer une taxe de 0,50 € sur les abonnements (Internet, téléphonie mobile et fixe, etc.). Cette autre source de financement serait susceptible, elle aussi, de dégager 6 Md€ en dix ans. Le plan France numérique 2012 trop frileux Le CES regrette que le numérique soit absent - ou à tout le moins fort peu présent - du Grenelle de l'environnement et du plan de relance économique. L'implication de l'Etat est pourtant indispensable à la couverture numérique de l'ensemble des territoires. Le CES note bien les ambitions du plan France numérique 2012 (100% des foyers connectés en 2012) mais déplore que ce 'service minimum' ne prévoit qu'un accès ADSL à 512 Ko/s. Or, « ce dont l'utilisateur a besoin, c'est avoir accès au triple play ». Le CES estime donc nécessaire de porter à 2 Mb/s le débit minimum dont tous les ménages doivent être en droit de profiter avant 2012. Ce plan n'est cependant qu'une vue à court terme. Le véritable enjeu réside dans « la généralisation du très haut débit, avec un choix technologique à faire une fois pour toutes : celui de la fibre optique ». L'objectif du CES -amener ce très haut débit « partout dans dix ans » et faire disparaître la fracture numérique - n'est réalisable que si les pouvoirs publics s'investissent considérablement. « Si on laisse faire, seul le marché décide des implantations » et des pans entiers du territoire seront laissés de côté. Il faut donc « une implication beaucoup plus grande de l'Etat et des collectivités locales » : « si l'Etat stratège ne donne pas le top départ du déploiement de ces installations, on continuera à se regarder le nombril ». (...)

(10/02/2009 15:19:01)

Index Freelance.com : la demande en spécialistes d'Unix reprend

Le top 10 des compétences les plus recherchées sur des missions ponctuelles subit de nouveaux changements, d'après l'index du site Freelance.com qui propose aux entreprises les services d'informaticiens en freelance. La demande en spécialistes d'Unix (ingénieurs, développeurs, consultants et administrateurs) a progressé de cinq points par rapport au mois dernier et se retrouve désormais en tête de classement. En revanche, la demande en compétences Oracle recule de cinq points. Elle se situe au même niveau que la demande en experts J2EE et Microsoft .net. Après quelques semaines d'absence, les développeurs J2EE sont donc revenus au top 10 des compétences les plus recherchées sur des missions ponctuelles, de même que les administrateurs et les développeurs PHP. Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 298 offres de projets informatiques disponibles au 09 02 2009 (pondération par rapport à l'importance de la demande). (...)

(10/02/2009 11:05:45)

Forrester prévoit un report de la publicité vers le Web grâce à la crise

Récession oblige, la publicité en ligne n'aura pas la croissance attendue sur le marché européen, mais elle devrait tout de même représenter une part de plus en plus importante des dépenses publicitaires, prévient Forrester : elle dépassera les 15% en 2013 (contre 11% environ en 2008), un chiffre plus élevé que ce que le cabinet prévoyait jusqu'à présent. La crise devrait en effet pousser les annonceurs à reporter leurs budgets vers le Web et les outils publicitaires plus ciblés. Pour le reste, le cabinet d'études a globalement revu ses prévisions à la baisse. Alors que fin 2007, il tablait sur un taux de croissance annuel moyen pour la publicité en ligne de 13% d'ici à 2012, il annonce maintenant du 9% par an d'ici à 2013. Cette année, Forrester estime que le taux de croissance devrait être de 10% - à comparer au taux de 30% enregistré en 2007. Comme lors de la précédente récession, écrit Forrester, c'est le marché du 'display' (la bannière publicitaire) qui trinquera le plus. Pour le cabinet, les annonceurs chercheront à toucher une audience plus ciblée, grâce aux liens sponsorisés - « qui comptaient pour 49% des dépenses publicitaires en ligne en Europe en 2008, note Forrester, et qui continueront de croître plus rapidement que tout autre format pendant les cinq prochaines années ». La France 3e marché publicitaire européen Un autre format va toutefois émerger : la vidéo, censée retenir davantage l'attention des internautes. « Près de la moitié des agences disent qu'elles achèteront des bannières vidéo l'année prochaine », indique l'étude. Forrester prévoit, par conséquent, que le marché de la publicité vidéo quadruplera d'ici à 2013, pour atteindre 986 M€. Forrester ne propose pas de prédiction en ce qui concerne la répartition géographique des revenus, mais note tout de même le niveau de dépenses en 2008. Il apparaît que la France bénéficie - de façon atténuée par rapport à la Grande-Bretagne et à l'Allemagne - d'une prime aux grands marchés. La France aurait totalisé 1,158 Md€ de dépenses publicitaires en ligne en 2008. Elle se situe devant l'Italie (506 M€) et derrière l'Allemagne (2,138 Md€) et la Grande-Bretagne (3,099 Md€). Les trois premiers pays représentent donc à eux seuls 66% du marché total. Mais la France a un atout en plus pour 2009, signale Forrester: « Les nouvelles réglementations limitant la publicité sur les télévisions publiques vont pousser à plus de dépenses publicitaires sur Internet. » (...)

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