Flux RSS

Infrastructure serveur

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2924 documents trouvés, affichage des résultats 1431 à 1440.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(27/03/2009 12:27:33)

Dell améliore le design énergétique de ses Poweredge

Au même titre que les performances pures, la quantité de mémoire ou le nombre de connexions, il est désormais de bon aloi pour un constructeur de serveurs d'afficher une bonne performance énergétique de ses machines. Dell, qui a renouvelé mercredi sa gamme Poweredge, n'échappe pas à la règle. « Nous avons une équipe de R&D spécifique qui ne s'occupe que de l'énergie, de la gestion des flux d'air et du refroidissement », précise Hugh Jenkins, directeur marketing entreprise pour Dell au Royaume-Uni. Dans ce laboratoire, le constructeur étudie en particulier les flux d'air par le biais de la simulation numérique de la dynamique des fluides. Il en découle une disposition des composants dans le boîtier qui permet une circulation de l'air optimisée. Celle-ci doit réduire au maximum les besoins en refroidissement et, par conséquent, la consommation électrique. Dell a aussi travaillé sur l'efficacité de ses ventilateurs. Ses nouveaux serveurs en rack n'en comptent plus que cinq, contre six précédemment. Le Texan réduit ainsi la consommation électrique tout en améliorant la ventilation. 46 watts de moins que la précédente génération de serveurs D'après le constructeur, la plateforme rackable R170 devrait être plus performante de 46 watts par rapport aux serveurs de la génération précédente, PowerEdge 2950. En fonction du remplissage du rack, la machine devrait ainsi consommer entre 150 et 500 watts. « Nos nouveaux modèles seront certifiés Climate Savers Computing », complète Hugh Jenkins. Dell est membre de ce consortium qui définit des bonnes pratiques pour une meilleure efficacité énergétique de l'informatique. Enfin, comme beaucoup de constructeurs, Dell a amélioré les blocs d'alimentation. « Et désormais, nous livrons en standard cette nouvelle alimentation, plus efficace et plus intelligente », explique Hugh Jenkins. L'alimentation classique, moins optimisée, ne sera plus disponible qu'en option pour les utilisateurs qui auront besoin d'un maximum de puissance. (...)

(26/03/2009 17:57:12)

AMD migre une machine virtuelle entre des Opteron de générations différentes

Par le biais d'une vidéo, AMD fait la démonstration de la migration à chaud d'une machine virtuelle sous ESX de VMware entre trois générations de processeurs Opteron : deux quadri-coeurs 65 et 45 nm et son prochain hexa-coeurs, Istanbul. L'exercice est loin d'être trivial. La migration à chaud d'une machine virtuelle, un des principaux atouts de la virtualisation, se heurte encore aujourd'hui à une restriction de taille. Elle ne peut se faire qu'entre serveurs dotés du même modèle de processeur. Tant AMD qu'Intel ont ajouté à leurs dernières générations de processeurs des extensions pour faire sauter cette limitation. En position de challenger, AMD est celui des deux qui communique le plus sur le sujet, mais Intel est aussi sur la brèche. Les hyperviseurs ne sont pas égaux devant la migration inter générations Bien entendu, la migration entre générations sera effective uniquement d'une génération n à toutes celles qui la suivent. De plus, tous les hyperviseurs ne sont pas sur un pied d'égalité pour supporter ce type d'opérations. Pour Hyper-V, dépourvu pour l'instant de migration à chaud, la question ne se pose pas. Dans le cas d'ESX, AMD et Intel coordonnent Enhanced vMotion (ESX 3.5 Update 2) avec les extensions de leurs processeurs. Chez AMD, il s'agit d'Extended Migration et de Rapid Virtualization Indexing, deux fonctions qui font partie d'AMD-V. Chez Intel, VT FlexMigration joue le même rôle au sein du jeu d'instructions Intel VT-x. En novembre dernier, AMD avait utilisé l'hyperviseur KVM, depuis adopté par Red Hat pour faire la démonstration d'une migration de machine virtuelle entre deux plateformes serveurs hétérogènes animées, d'un côté, par un Intel Xeon E5420 et, de l'autre, par un AMD Opteron. Difficile de faire plus éclectique. A l'époque, tant Intel que VMware, mis devant le fait accompli, avaient considérablement minimisé la portée de l'exercice... Sur Xen, Guillaume Le Tyrant, directeur marketing produit chez Citrix France, confirme que la fonction, si elle est présente dans la version open source, n'est pas intégrée dans Xen Server. (...)

(26/03/2009 17:36:40)

Nehalem et virtualisation au coeur de l'offre Dell

Après Cisco, c'est au tour de Dell d'adopter le Nehalem dans sa nouvelle gamme de serveurs Poweredge, 11e du nom. Mais l'effet est plutôt tombé à plat car Intel compte encore garder le secret sur le détail de ses puces jusqu'à la semaine prochaine. Le Nehalem, devenu Xeon 5500, est un quadri-coeur plus performant et moins gourmand en énergie, il est conçu en 45 nm, gère davantage de mémoire et est optimisé pour la virtualisation. C'est à peu près tout ce que l'on sait du nouveau bébé. Dell a donc enrichi sa gamme de serveurs, mais aussi son offre de stockage et enrobe le tout avec un ensemble d'outils d'administration. L'arrivée de Cisco sur le marché, quelque peu effacée par les rumeurs de rachat de Sun par IBM, a néanmoins poussé les constructeurs, dont Dell, à procéder à des annonces groupées. Un moyen sans doute de notifier au nouveau venu qu'ils sont toujours bel et bien dans la place. Cinq serveurs plus adaptés à la virtualisation Une tour (T610), deux lames (M610 et M710) et deux serveurs en rack (R610 etR710). Ainsi se décline la nouvelle offre PowerEdge de Dell qui, comme le Unified connected system de Cisco, parie sur la virtualisation. Pour ce faire, les nouveaux serveurs disposent au choix d'un hyperviseur Citrix, Microsoft ou VMware. Dans le même but, ils sont dotés d'une quantité de mémoire maximum de 192 Go pour les configurations les plus puissantes et d'une capacité d'entrées/sorties accrue. Dell a aussi amélioré la performance énergétique de ses nouveaux modèles avec un design approprié et des ventilateurs plus efficaces. Le serveur en rack R710 consomme ainsi en moyenne 46 watts de moins que la gamme précédente. Le constructeur explique enfin avoir mis l'accent sur un design plus convivial. Ainsi, dans les cinq nouveaux modèles, les composants sont disposés de la même façon. Par ailleurs, sur tous les PowerEdge, Dell propose désormais DMC (Dell management console), une console d'administration unique pour l'ensemble de ses actifs matériels ou virtuels (contre neuf produits différents précédemment). Celle-ci s'appuie sur la technologie Altiris de Symantec. Elle gère les serveurs matériels et virtuels, réalise des diagnostics, surveille les OS et réalise des mises à jour applicatives. Les serveurs embarquent aussi, sur une simple carte SD, des pilotes, des mises à jour et des outils d'administration et de roll back évitant la livraison des CD avec la machine. Une fois définies, les configurations peuvent être sauvegardées chez Dell pour un déploiement jusqu'à deux fois plus rapide selon le constructeur. Du SSD dans les EqualLogic PS6000 Les cinq nouveaux systèmes de stockage EqualLogic PS6000 ont eux-aussi été conçus pour s'adapter aux environnements virtualisés. Ils disposent ainsi de contrôleurs de nouvelle génération. Dédiés, ils tirent le meilleur parti de disques SSD qui ne sont pas forcément parmi les plus chers et gèrent jusqu'à 4 ports Gigabit Ethernet. Les systèmes s'appuient sur des processeurs plus rapides et disposent de deux fois plus de mémoire cache. Ils adoptent le Raid 6 et sont prêts pour le vStorage de VMware. Enfin, l'administration SAN HQ est capable par exemple d'une intégration avancée de SAN dans Hyper-V de Microsoft. (...)

(25/03/2009 17:11:13)

Le cloud d'Amazon directement accessible depuis Eclipse

Les développeurs utilisant Eclipse peuvent désormais prévoir les déploiements dans le 'cloud' d'Amazon, EC2, directement depuis leur environnement de développement favori. Un billet sur le blog officiel d'Amazon Web Services annonce en effet la publication d'un plug-in gratuit et Open Source pour Eclipse, AWS Toolkit for Eclipse. « Vous pouvez concevoir un cluster basé sur Tomcat entièrement hébergé dans EC2 directement depuis Eclipse, indique le billet de blog. Vous pouvez spécifier le nombre d'instances désirées et le type d'instance que vous souhaitez. [...] Le plug-in gérera votre cluster, démarrera les instances en fonction des besoins. » Amazon explique ce geste par la popularité de plus en plus grande d'Eclipse au sein de la communauté des développeurs. Néanmoins, cette popularité n'est pas franchement nouvelle. L'élément nouveau serait plutôt à chercher du côté d'Azure, le cloud de Microsoft, directement relié à l'outil de développement maison, Visual Studio. Pour l'heure, le plug-in supporte les déploiements d'applications Java dans le serveur d'applications Tomcat, mais l'éditeur d'EC2 prévoit de « supporter d'autres langages et serveurs d'applications au cours du temps, tels que Glassfish, JBoss, WebSphere et WebLogic ». (...)

(24/03/2009 14:22:28)

Suse Linux Entreprise 11 sous le signe de la cohabitation avec Microsoft et de la virtualisation

Novell livre la version 11 de Suse Linux Entreprise (SLE), deux ans après la version 10. Issue d'OpenSuse 11, SLE est la distribution supportée par Novell auprès des entreprises. Elle traduit à la fois les liens qui unissent Novell à Microsoft et l'effort de l'éditeur pour s'adapter à la virtualisation des serveurs. SLE est proposée en deux versions. Une pour serveurs, Suse Linux Enterprise Server (SLES), et une pour poste individuel, Suse Linux Enterprise Desktop (SLED). Les deux reposent sur la version 2.6.27 du noyau Linux. Deux fonctions de SLE 11 s'expliquent par la collaboration entre Novell et Microsoft. On y trouve ainsi pour la première fois Mono, qui permet de faire tourner sur Linux des applications écrites pour le framework .Net, ainsi que son dérivé MoonLight, version Linux de Silverlight 2.0, client riche que Microsoft pose en concurrent de Flash/Flex d'Adobe. Novell confirme aussi son attachement à l'hyperviseur open source Xen 3.3 soutenu à la fois par Citrix et Microsoft. Une façon de se démarquer de Red Hat qui a annoncé le mois dernier faire de l'hyperviseur KVM (Kernel-based virtual machine) son prochain cheval de bataille. Toujours dans le domaine de la virtualisation, SLES 11 devrait prochainement recevoir le Studio Appliance Toolkit qui permettra à des entreprises ou des éditeurs tiers de créer des 'appliances' virtuelles avec un JeOS (Just Enough Operating System), version minimaliste de SLES. Moonlight, OpenOffice et Firefox en standard dans Sled 11 Novell compte aussi enrichir ses pilotes paravirtualisés (Virtual Machine Driver Pack) pour Windows Server 2003 et 2008, Windows XP, Vista et, également, pour REHL 4 et 5. SLES 11 intègre aussi de nouvelles extensions pour la haute disponibilité. Quant à la version desktop, SLED 11, elle marque un net progrès en termes de facilité d'utilisation, en particulier dans la dimension multimédia avec la présence de Banshee et, aussi, de MoonLight. Elle est aussi livrée avec la dernière version d'Evolution, client mail professionnel compatible avec Microsoft Exchange. SLED utilise la version 2.24 de l'interface Gnome et la 4.1.3 de KDE. L'OS est livré avec les versions 3.0 d'OpenOffice et de Firefox. (...)

(24/03/2009 14:29:20)

Intel prévoit de revaloriser les stock-options de ses employés

Les rémunérations des dirigeants qui n'augmentent pas, mais des stock-options revalorisées pour les employées : c'est un programme très social que va présenter Intel à ses actionnaires le 20 mai prochain. Dans un document ('proxy statement') remis à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine, Intel annonce en effet son intention de demander à ses actionnaires d'approuver un plan d'échange des stock-options, afin de compenser la perte virtuelle due à la baisse du cours de l'action. Comme l'explique Intel dans le 'proxy statement', « environ 95% des employés » se voient attribuer des stock-options en fonction des performances annuelles de l'entreprise. A ce jour, 73 100 personnes (soit 87% des employés d'Intel) en détiendraient encore. Elles peuvent exercer leurs stock-options - c'est-à-dire acheter des actions à un tarif moins élevé que le cours de Bourse, généralement pour les revendre en empochant une confortable plus-value - pendant un laps de temps déterminé, sachant que le prix d'exercice est celui du cours de Bourse au jour où les stock-options sont attribuées. Il n'y a donc plus-value que si l'action monte. Or, vu la situation économique, Intel constate que 99% des stock-options ont des prix d'exercice plus élevés que le cours actuel de l'action : les stock-options auraient des prix d'exercice compris entre 13,59 $ et 72,88 $, pour un cours de Bourse à fin décembre 2008 de 14,18 $. Le fabricant de processeur souhaite donc mettre en place un programme, dit « Option Exchange », qui permettra à ses collaborateurs d'échanger leurs stock-options contre de nouvelles, plus attractives. Ce qui « est dans le meilleur intérêt des actionnaires », explique Intel, puisque le but des stock-options est de « motiver et retenir les collaborateurs talentueux ». La rémunération du PDG Paul Otellini plafonnée à 12,7 M$ Ce programme, précise encore Intel, ne sera pas accessible aux cinq principaux dirigeants de l'entreprise. La plupart ont vu leur indice de rémunération grimper en 2008, mais celui-ci ne bougera pas en 2009. Le cours de l'action compte en effet davantage que les 5,3 milliards de bénéfices de 2008. « Etant donné la performance financière d'Intel en 2008 ainsi que l'environnement économique incertain, le comité [établissant les rémunérations] a décidé de conserver en l'état les salaires de base et les primes annuelles en 2009 pour tous les dirigeants. » Le pauvre Paul Otellini, président et CEO d'Intel, avait déjà plafonné à 12,7 M$ en 2008, malgré une hausse de son salaire de base de 30% et de sa prime annuelle de 40%, à cause de la baisse de l'action. Les autres dirigeants devront se contenter d'une rémunération tournant autour des 5 M$, le directeur financier étant le plus mal loti avec 2,5 M$. (...)

(23/03/2009 15:25:48)

SAS prépare son propre cloud pour l'an prochain

SAS, un des principaux acteurs du marché du décisionnel, se lance dans le cloud computing avec ses propres armes. Plutôt que de profiter de plateformes génériques déjà opérationnelles, comme celle d'Amazon, l'éditeur préfère investir dans la construction d'un datacenter de 3 500 m² en Caroline du nord. L'enveloppe globale atteindra 70 M$, dont 20 à 22 M$ consacrés à la construction proprement dite du site qui intègrera toutes les dernières innovations en matière d'économie d'énergie et de développement durable. La première tranche de serveurs, qui occupera 1 000 m², sera opérationnelle à la mi-2010. La seconde commencera à entrer en service d'ici trois à cinq ans lorsque la première aura atteint 80% de sa capacité de traitement. Dans la continuité de SAS OnDemand Le choix par SAS de mettre en place son propre environnement de cloud computing s'explique à la fois par l'ampleur de la quantité des données à manipuler et par la haute confidentialité qui doit entourer les données traitées. De plus, ce projet, s'inscrit dans la continuité de l'offre SAS OnDemand, prestation de logiciel en ligne qui croit de 30% par an. SAS OnDemand repose sur une infrastructure composée de serveur Sun, d'équipements de stockage NetApp et EMC. Les choix technologiques pour l'équipement informatique du nouveau datacenter n'ont pas encore été arrêtés, mais SAS utilise depuis quatre ans les logiciels de VMware pour supporter l'infrastructure de ses équipes de développement. 22% du chiffre d'affaires investis en R&D Plus gros éditeur détenu par des actionnaires privés, SAS revendique un chiffre d'affaires de 2,26 Md$ pour 2008 (+5%), dont 43% en provenance de l'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique. La société affirme aussi investir 22% de son CA 2008 en recherche et développement. Elle compte plus de 11 000 salariés. En janvier dernier, Gartner Group plaçait SAS Institute parmi les sept principaux acteurs dans le monde du décisionnel (business intelligence) aux côtés d'IBM/Cognos, de Microsoft, de SAP/Business Intelligence, d'Oracle, d'Information Builders et de MicroStragegy. SAS se démarque en étant le mieux placé sur l'échelle des "visionnaires". En revanche, il figure en bas du classement des sept premiers sur celle de la "capacité à exécuter". Il y côtoie tous les autres éditeurs spécialisés, le Gartner accordant plus de crédit dans ce domaine aux éditeurs généralistes. (...)

(23/03/2009 11:05:51)

Les nouveaux racks de serveurs Rackable supportent jusqu'à 40°C

Pour limiter la consommation électrique des datacenters et les coûts associés, il est possible, entre autres, de réduire la surface occupée et le niveau de refroidissement. Rackable Systems, constructeur de serveurs et de solutions de stockage, a décidé d'exploiter ces deux solutions simultanément. Son nouveau châssis, le CloudRack C2 intègre ainsi jusqu'à 320 processeurs, soit 1280 coeurs, par cabinet en s'appuyant sur sa technologie MicroSlice. Et surtout, il supporte des températures montant jusqu'à 40°C. Ainsi, plutôt qu'un ventilateur par serveur, seuls quelques uns sont nécessaires à l'arrière du rack. La version 23U en compte 18 et la version 46U en comprend 42. La part de consommation énergétique liée au refroidissement est ramenée à 8 % contre 25 % dans les cabinets traditionnels. Pour réduire encore davantage la consommation énergétique, le CloudRack C2 utilise des redresseurs de courant pour transformer le courant alternatif entrant en courant continu de 12 volts, et mieux rediriger ainsi l'alimentation électrique à l'intérieur de la machine, avec une efficacité annoncée de 99 %. Outre les futurs processeurs pour serveurs Nehalem d'Intel, les processeurs classiques déjà présents sur le marché des serveurs, et ceux utilisés par l'architecture MicroSlice, le constructeur envisage également d'adapter des puces pour netbook à son CloudRack C2. Il rejoint ainsi la vision développée récemment par Microsoft. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >