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Infrastructure serveur

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(20/03/2009 15:42:35)

Un Linux Wind River pour certains serveurs Sun Niagara

Wind River System va porter sa distribution Wind River Linux 3.0 sur certains serveurs Niagara de Sun (processeur T2) réservés aux opérateurs télécoms. Il s'agit du modèle rack Netra T5220 et de la lame Netra CP3260 au format AdvancedTCA*. Wind River pallie la défaillance d'Ubuntu qui avait annoncé mi-2006 le portage de sa distribution sur les processeurs Niagara T1. Sun n'a donné aucun signe qui indiquerait qu'il envisagerait de soutenir un portage de Linux sur ses autres serveurs Niagara. *La spécification AdvancedTCA (Telecom Computing Architecture) pour serveurs lames a été développée par les opérateurs télécoms afin de répondre à leurs contraintes d'exploitation. Elle n'a a priori pas été retenue pour les lames x86 en raison du surcoût qu'elle engendrerait. Mais, au moins, il s'agit d'un standard. (...)

(19/03/2009 15:28:59)

Le Cloud Azure de Microsoft s'est volatilisé pendant 22 heures

Azure a essuyé 22 heures d'interruption de service entre vendredi et samedi dernier. En phase de Community Test Preview (CTP), autrement dit toujours en phase bêta -il est important de le souligner - le projet cloud computing de Microsoft n'est utilisé que par une poignée d'utilisateurs-testeurs. Hier, soit cinq jours après l'incident, Microsoft l'a décrit comme un "ralentissement" au niveau du réseau interne à la suite d'un problème rencontré lors d'une mise à jour du système d'exploitation. Fabric Controller, élément clé dans la gestion de charge, aurait automatiquement assuré le transfert des applications menacées. L'éditeur précise que seules celles qui ne disposaient que d'une seule instance ont été interrompues, contrairement à celles qui étaient actives sur plusieurs instances. Cette panne est intervenue juste au moment où Microsoft annonçait qu'il comptait, d'ici quelques mois, distribuer Azure sur plusieurs datacenters américains. Pour l'heure, l'infrastructure d'Azure est concentrée sur un seul site dans l'état de Washington, doté de 1 300 serveurs Dell. Microsoft a aussi annoncé l'ouverture d'Azure à des outils non-Microsoft comme PHP. (...)

(18/03/2009 16:49:38)

Avec son cloud, Sun vise les développeurs et les étudiants

Le Sun Storage Cloud et le Sun Compute Cloud se posent en concurrent des offres S3 (Simple storage service) et EC2 (Elastic cloud computing) d'Amazon. Sun, qui serait en pourparlers avec IBM pour se faire racheter, compte mettre son offre à disposition à compter de l'été prochain. Il s'agit des premières briques d'une stratégie baptisée Sun Open Cloud Platform. Sun justifie le vocable d'Open parce qu'il compte ouvrir largement ses API qu'il publiera sous le régime de la licence Creative Common. Il fait d'ores et déjà appel à l'API WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), extension du protocole http destinée à la gestion des fichiers. Sun précise qu'il continue de collaborer avec Amazon pour maintenir une comptabilité entre les deux offres. Les ressources mises à disposition sur le cloud de Sun le seront sous Linux, Windows et OpenSolaris sur plateformes X64 et Sparc. Contrairement à nombre d'acteur sdu domaine, le constructeur vise en priorité les développeurs, les étudiants et les jeunes pousses. De même, ses offres d'hébergement s'adressent avant tout à des projets en cours de développement et non à l'accueil d'éléments d'infrastructure. Ce positionnement rappelle celui du Sun Grid Computing Utility, la première tentative de Sun dans un domaine qui ne s'appelait pas encore le Cloud computing. (...)

(18/03/2009 09:28:43)

IBM serait en pourparlers pour acheter Sun

Selon le Wall Street Journal qui a contacté des sources proches des deux enterprises, IBM serait en discussion pour acheter Sun Microsystems. La publication signale que l'opération pourrait être concrétisée dès cette semaine et estime à 6,5 Md$ le montant de la possible transaction. Les rumeurs d'un rachat de Sun ne sont pas nouvelles. Et qu'il s'agisse de Java, du cloud computing, des datacenters, du marché des télécoms, les raisons pour IBM d'être candidat ne manquent pas. Sans surprise, ni IBM, ni Sun, contactés en France, ne souhaitent commenter ces rumeurs. (...)

(17/03/2009 17:58:38)

Intel nie à AMD le droit de vendre ses licences à ses usines filialisées

Intel n'accorde aucun répit à son concurrent AMD. Il considère que GlobalFoundries, la société au sein de laquelle AMD a transféré son outil de production avec le soutien d'Atic, un fonds d'investissement de l'émirat d'Abu Dhabi, ne peut bénéficier de l'accord de licences croisées signé avec Intel en 2001 pour fabriquer des processeurs X86. Dans une lettre à son rival, Intel « a invité son partenaire à corriger la situation, sans quoi il mettrait un terme dans les 60 jours à l'utilisation (par AMD) de ces droits". Une première phase de négociation entre le géant des processeurs et son challenger a échoué. Et AMD se défend d'avoir violé les termes de l'accord qui le lie à Intel. En revanche, AMD soutient que les manoeuvres de son concurrent visent à détourner l'attention des comportements anticoncurrentiels dont il l'accuse devant la Cour de justice européenne. (...)

(17/03/2009 17:36:16)

Les systèmes UCS de Cisco utilisent un accès unique au réseau et au stockage

Cisco fabrique des serveurs. Cette fois, la rumeur est devenue annonce. Mais quelques détails techniques s'imposent. Pour commencer, plutôt que de serveurs, il s'agit en quelque sorte de datacenters prêts à l'emploi en châssis, modulaires et évolutifs. La popularité de la virtualisation et celle de sa petite soeur, la consolidation, ont inspiré Cisco. Son infrastructure s'appuie sur l'utilisation combinée de serveurs physiques et virtuels et sur l'idée d'une augmentation de la capacité de traitement au fur et à mesure de l'évolution des besoins de l'entreprise. L'UCS (Unified Computing system) se compose de quarante châssis maximum dans chacun desquels se logent jusqu'à huit serveurs. Un calcul rapide conduit donc à une limite haute de 320 machines par configuration. Ces serveurs B-Series « made in Cisco » sont des machines banalisées articulées autour du quadri-Xeon d'Intel, le Nehalem. La puce devrait d'ailleurs être officiellement disponible à la fin du mois de mars. A cette occasion, le voile sera levé sur une technologie développée par Intel avec l'aide de Cisco et qui devrait permettre d'étendre la mémoire disponible dans des limites jamais atteintes. Des limites qui seront aussi précisées à l'occasion de l'annonce de la disponibilité du Nehalem. Cet outil d'extension de la mémoire est indispensable à l'UCS, comme le précise Eric Debray, responsable datacenter pour Cisco France. « Cette capacité est importante pour trois raisons. Elle permet de gérer davantage de machines virtuelles, de traiter des fichiers plus gros et d'utiliser des types de mémoire moins chers si besoin. » Le réseau et le stockage accessibles au travers d'un 'Network Fabric' Les châssis d'un UCS intègrent donc uniquement des serveurs et sont débarrassés des encombrants câblages et commutateurs réseaux. Pour ce faire, Cisco exploite son 'Network Fabric', module de deux commutateurs FCoE (Fibre Channel over Ethernet) de la famille Nexus. C'est au travers de ce module que chaque serveur se connecte aussi bien au réseau qu'au système de stockage. Chaque noeud intègre en effet deux cartes de connexion identiques pour la redondance, mais surtout des cartes capables de traiter à la fois des trames Fibre Channel et Ethernet. L'UCS est destiné à des environnements virtualisés. VMware est un des partenaires principaux de Cisco sur le sujet, mais le constructeur ne néglige pas Microsoft et son Hyper-V. C'est avec le premier néanmoins qu'il a mis au point un commutateur logiciel capable de mixer serveurs physiques et virtuels. « Le réseau est partie intégrante du processus, rappelle Eric Debray, même quand on souhaite migrer des machines virtuelles d'un serveur physique vers un autre, par exemple. » Enfin, Cisco installe aussi dans son UCS son outil d'administration unique de l'ensemble du système, UCS Manager. Il prédéfinit des profils de service pour certains types d'applications qui définissent les ressources d'infrastructure dont ces dernières ont besoin. Ces profils peuvent être réaffectés à volonté d'un serveur à l'autre pour une répartition de charge optimisée. Une offre disponible au deuxième trimestre L'offre sera disponible au deuxième trimestre 2009, sans plus de précision pour l'instant. Sa commercialisation passera par les partenaires du constructeur soumis à la certification ATP (Advanced technology partner). « Cela sera forcément plutôt réservé à des acteurs ayant des compétences à la fois dans le réseau et les serveurs, insiste Eric Debray. Mais Cisco va faire un gros investissement pour les accompagner. Sur le datacenter, nous avons aussi des équipes de vente traditionnelles qui, en plus des compétences réseau ou serveur, ont des compétences sur les applications, les ERP par exemple, le câblage, la consommation électrique, etc. Aujourd'hui, le marché du datacenter représente 85 Md$ et Cisco n'en a que 9% à travers les technologies réseau. Avec notre nouvelle offre, ce marché pourrait représenter jusqu'à 20 Md$ supplémentaires pour nous. » (...)

(17/03/2009 10:03:35)

Le nouveau serveur à tolérance de pannes de HP passe sous 200 000 €

Hewlett-Packard annonce un nouveau modèle dans sa gamme de systèmes à tolérance de panne NonStop hérités de Tandem par le biais de Compaq. Le NS2000 est un serveur rack 2U destiné à succéder à la Serie S à base de processeur Mips et est animé par un bicoeur Itanium 9100. Une configuration complète se compose de deux à quatre modules. HP promet que le NS2000 pourra accueillir les prochains Itanium quadri et octocoeurs. Ce modèle fait descendre le ticket d'entrée de la gamme NonStop sous la barre des 200 000€ en configuration opérationnelle. Cette annonce s'inscrit dans la tendance générale de proposer aux PME des systèmes réservés jusque-là aux grandes entreprises. L'année dernière, IBM a ainsi proposé une version "Business Class" de son grand système z10 à moins d'un million de dollars. Dans la même perspective, Stratus, lui aussi spécialiste des systèmes à tolérance de panne, mais fondé sur des composants x64, vient d'annoncer une configuration à 35 000€ qui allie les avantages de la redondance matérielle avec ceux de la virtualisation. (...)

(16/03/2009 19:10:38)

Cisco lance son offre serveurs, façonnée pour le datacenter

Entouré d'un impressionnant aréopage de grands patrons de l'IT, John Chambers, PDG du géant des réseaux Cisco, a procédé à l'annonce tant attendue de ses serveurs. Le système (ne l'appelez surtout pas « lame ») s'appelle Unified Computing Sytem (UCS). Le principe : réunir en un seul lieu l'ensemble des éléments d'infrastructure nécessaires à la mise en oeuvre d'un datacenter au sein d'un système unique mixant serveurs physiques et virtuels. A la façon d'un datacenter prêt à l'emploi et extensible, il regroupe la puissance de calcul, l'accès au stockage en réseau et la virtualisation. Multi-chassis, UCS inclut les serveurs B-Series de Cisco conçus à base de x86 (des Nehalem pour les premières moutures) et d'une connexion 10 Gigabit Ethernet à faible latence. Il accueille jusqu'à 320 machines et plusieurs milliers de machines virtuelles. Chaque module du système intègre des éléments facilitant l'administration globale de l'ensemble au travers de l'outil d'administration de Cisco, UCS Manager. Par ailleurs, l'allocation dynamique de ressources s'exécute au travers de profils de services prédéfinis privilégiant ainsi les applications et le métier de l'entreprise. Le Cisco UCS 6100 Series Fabric Interconnects, structure unique d'interconnexion, relie quant à lui l'ensemble des éléments du système. Il évite ainsi les câbles, adaptateurs et autres commutateurs qui se multiplient habituellement dans les datacenters. Les configurations détaillées de l'offre ne seront dévoilées qu'en avril. Windows et Linux, vSphere de Vmware et Hyper-V de Microsoft Parmi les acteurs majeurs qui ont participé au développement de cet environnement, Intel est un partenaire de choix puisque les systèmes de Cisco s'appuient sur ses puces. Mais les deux géants ont également travaillé ensemble sur la capacité des UCS à étendre la quantité de mémoire disponible pour tel ou tel service. Une fonction particulièrement utile avec la virtualisation. A ce propos, VMware et Microsoft assurent la compatibilité de leurs hyperviseurs respectifs sur le système. Le premier avait également annoncé récemment un switch virtuel avec Cisco. Le second est, quant à lui, également impliqué au travers de l'ensemble de ses systèmes d'exploitation qui tourneront sur la nouvelle machine. Linux n'est pas exclu puisque RHEL de Red Hat et Suse de Novell sont au programme. Quant à BMC, habitué de l'administration de systèmes hétérogènes, il a adapté son environnement pour gérer l'UCS et ses différents modules physiques, virtuels, de calcul, de stockage, etc. Enfin, green IT oblige, Cisco assure que son système aura besoin de moitié moins d'électricité et moitié moins de refroidissement qu'un environnement lames classique. L'intégration de l'ensemble à elle seule explique un besoin moindre d'alimentation électrique, par exemple. Mais le constructeur a aussi travaillé sur la circulation de l'air dans le châssis et l'efficacité des alimentations. (...)

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