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(16/03/2009 15:24:57)

Des Nehalem d'Intel dans les serveurs avant la fin mars

Les nouveaux Mac Pro d'Apple ont servi de précurseurs pour les Xeon quadri-coeurs (Nehalem) d'Intel et ce dernier s'apprêterait à lancer la version serveur de ces puces d'ici le 30 mars. Le fondeur a déjà livré ses premières puces aux constructeurs depuis fin 2008, et les premières machines font peu à peu leur apparition. Un des blogs du New York Times affirme que le supercalculateur de test Hyperion en cours de construction au laboratoire californien Lawrence Livermore serait entre autres constitué de serveurs Dell équipés de Nehalem. Le constructeur a prévu d'annoncer une nouvelle gamme la semaine prochaine. Intel devrait par ailleurs profiter du Solutions summit destiné à ses partenaires, qui se tient en ce moment à Las Vegas, pour donner un aperçu détaillé de la puce à ses intégrateurs. En France, le fondeur devrait faire une annonce officielle d'ici à la fin du mois. Selon plusieurs sites anglo-saxons, Sun Microsystems devrait lui-aussi lancer officiellement sa nouvelle gamme de serveurs à base de Nehalem le 30 mars. Or, la société a l'habitude de présenter ses produits lorsqu'ils sont immédiatement disponibles pour les clients. (...)

(13/03/2009 18:00:02)

Les PME adoptent le green IT pour réduire les coûts

Par souci de réduction de coûts bien plus que par souci écologique, les PME ont engagé différents types d'initiatives pour réduire l'impact de leurs infrastructures informatiques sur l'environnement. C'est ce que montre l'enquête menée auprès des PME de 12 pays dont la France par Info-Tech Research Group pour le compte d'IBM, entre décembre 2008 et janvier 2009 (*). L'étude se penche sur les taux d'adoption et l'impact de onze initiatives green IT : la consolidation et la virtualisation de serveurs, la consolidation du stockage, la virtualisation des postes de travail, l'amélioration des salles serveurs déjà installées, la construction de nouveaux datacenters, les mesures globales de consommation électriques, le contrôle de la consommation des postes de travail, la centralisation des systèmes d'impression, la téléconférence, le télétravail et le recyclage de l'équipement IT. Autant de démarches motivées par la réduction de coût immédiate qu'elles génèrent (baisse de la consommation électrique, de l'utilisation de consommables...), mais qui débouchent aussi sur une diminution des émissions de CO2. Les projets déjà achevés sont couronnés de succès Plus de 80% des entreprises sondées ont lancé des chantiers green IT ou prévoient de le faire sous peu. Ainsi 52% ont déjà engagé un projet de consolidation du stockage (37% y pensent), 57% ont centralisé leurs impressions (31% vont le faire), 52% recourent à la téléconférence (36% l'envisagent), 51% ont déployé des stratégies de télétravail (33% vont s'y mettre), 56% disent recycler leurs équipements IT (32% le prévoient)... Plus précisément, 25% des PME interrogées ont déjà achevé certains projets de consolidation du stockage et de virtualisation. Et, bonne nouvelle, plus de 70% des projets sont couronnés de succès. Par exemple, dans 70% des cas, ils ont permis de réduire l'espace requis pour le stockage et dans 75% celui requis pour les serveurs. Dans 73%, ils ont débouché sur une réduction des investissements futurs sur le stockage et de 76% sur les serveurs. Parmi les motivations avancées pour la mise en place du télétravail, les entreprises évoquent, notamment, la réduction des coûts de transport pour leurs salariés et des dépenses liées aux surfaces de bureau. Les économes, les avocats de la cause Green et les autres... L'enquête fait apparaître quatre grands profils de démarche dans les PME interrogées. Les économes (38%) sont les plus nombreux : très engagés dans les projets de green IT, ils sont moins concernés par les aspects environnementaux. Les avocats de la cause (25%), eux, ont lancé leurs chantiers avec la sauvegarde de l'environnement en tête. Les observateurs (30%) ont engagé peu de choses et se sentent peu concernés par l'écologie. Enfin, pour les 7% restants, la Green attitude est bien là, mais les projets n'ont pas encore suivi. (*) L'enquête a été menée auprès de 1 047 responsables IT et décideurs (dont 8% en France), au sein d'entreprises comptant de 100 à 1 000 employés. 30% regroupent entre 100 et 250 salariés, 34% entre 250 et 500 salariés, 36% entre 500 et 1 000 salariés. Elles appartiennent à tous les secteurs d'activité. (...)

(13/03/2009 17:31:20)

IBM donne un coup de neuf à ses serveurs x64

IBM gonfle le haut de gamme de ses serveurs x86 System X, propose un châssis plus économique pour ses serveurs lames et renforce son offre de disques magnétiques et flash. Ces annonces viennent compléter celles de fin février, centrées autour de l'ajout d'Intel Xeon 7400 et AMD Opteron 8300 45 nm (Shanghai) dans ses serveurs System X. Aujourd'hui, c'est le System x3755 qui peut recevoir trois Opteron 8384 Shanghai et 15 Go de mémoire. La présence d'une carte Pass Thru Card et d'un système d'accélération de la mémoire permet à cette configuration triprocesseur d'avoir des performances qui taquinent celle d'un quadriprocesseur à un prix moindre. Le châssis BladeCenter E (7U -14 lames) embarque un gestionnaire de la consommation électrique et est proposé avec des alimentations de 2000 ou 2300 watts. Pour le stockage, IBM propose des disques SAS en 73 et 146 Go ainsi que deux disques SSD (mémoire flash) de 50 Go qui se différencient par leurs performances. Au quatrième trimestre, IBM était, parmi les grands fournisseurs de serveurs X64 (x86 en 64 bit), celui qui a perdu le plus de parts de marché. Ces trois mois détiennent en effet le record de la plus forte baisse tant en valeur (-17% à 6,5 Md$) qu'en volume (-11,7% à 1,8 million d'unités) pour ces systèmes. (...)

(13/03/2009 16:09:12)

Sun ajoute des disques SSD à ses serveurs lames et x64

Sun propose désormais en option des disques SSD pour ses serveurs lames, x64 et CMT (Chip MultiThreaded). Il s'agit de disques Intel X-25 SSD de 32 Go. Sun dit aussi avoir qualifié pour ces SSD son système de fichiers open-source Solaris ZFS. Ce dernier peut ainsi combiner dans un même ensemble de stockage de la DRAM, des SSD, et des disques durs traditionnels (SATA et SAS). La société lance également le logiciel Sun Flash Analyser, pour mieux gérer l'activité de ses serveurs et diriger les applications particulièrement gourmandes en transaction vers les disques SSD. Cet fonctionne sous Solaris 10, Windows et Linux. Les disques SSD de Sun sont disponibles dès à présent à partir de 1 100 euros seuls pour mettre à niveau des serveurs. En novembre dernier, Sun avait déjà lancé des disques SSD pour ses baies de stockage. Il a été rejoint depuis par HP, EMC, et Hitachi. (...)

(12/03/2009 08:29:27)

L'ERP Open Source de Compiere accessible depuis le cloud d'Amazon

Compiere annonce la disponibilité de son ERP Open Source depuis le cloud EC2 d'Amazon. Les clients de l'éditeur accèdent désormais aussi de cette façon aux modules de comptabilité, achats, gestion des commandes, gestion de la fabrication, gestion des stock et CRM de Compiere Cloud Edition. L'abonnement au service inclut le support applicatif, les services packs et l'accès aux mises à jour. Les clients de Compiere peuvent aussi choisir de disposer de services pour la mise en oeuvre, l'intégration et la définition d'images cloud personnalisées. Avec cette version de son logiciel, l'éditeur souhaite réduire les coûts de ses clients, accélérer les temps de déploiement de leurs environnements, leur donner les moyens d'ajouter des ressources à la volée et de réduire les dépenses d'infrastructure. Autant d'avantages que l'on prête au cloud aujourd'hui. Mais comme le rappelle Gary Barnett, analyste pour le cabinet de conseil The Bathwick Group, « la majorité des entreprises sont loin d'utiliser l'EC2 d'Amazon comme un jeu d'enfant ». A priori, Compiere destine plutôt sa version Cloud Edition aux PME qui ne sont pas encombrées par d'énormes quantités de données issues de SAP ou Oracle à migrer vers le cloud. Reste à savoir s'il s'agit d'une bonne idée. Une étude récente de Vanson Bourne émettaient de nombreux doutes sur l'intérêt des petites entreprises pour ce type d'environnements, auquel la plupart ne comprennent d'ailleurs pas grand chose. (...)

(11/03/2009 18:13:00)

Interview exclusive du DSI de Microsoft Corp.

« Je fais tout ce qu'on peut attendre d'un CIO, mais j'assure aussi un rôle clé : déployer et tester des logiciels Microsoft. » Tony Scott, « global CIO » de Microsoft, autrement dit responsable des systèmes d'information de l'éditeur au niveau mondial, était récemment de passage en Europe pour rencontrer les DSI européens de Microsoft et quelques grands clients triés sur le volet. Après une conférence de presse, il nous a accordé un entretien exclusif, à suivre en vidéo (VO sous-titrée) ou à lire ici. Par rapport à un DSI classique, Tony Scott a deux contraintes - qui semblent lui plaire énormément. La première est qu'il doit appliquer le « dog fooding » (de l'expression anglaise 'to eat its own dog food'). Autrement dit, ce que Microsoft propose à ses utilisateurs, l'éditeur se doit de l'appliquer en interne. « Nous avons les produits très en amont de leur cycle de développement, raconte Tony Scott. Non seulement nous les utilisons, mais en outre nous les déployons sur une échelle de plus en plus grande au fur et à mesure de leur maturation. » Un autre aspect de son métier : en tant que responsable haut placé de Microsoft - et placé aux premières loges en matière d'utilisation des logiciels - il doit assurer la relation avec les clients de Microsoft. « Je rencontre beaucoup de CIO tout au long de l'année, tant dans l'industrie que dans l'administration. J'en ai rencontré 60 ou 70 ces deux derniers mois. » On pourrait aussi ajouter une troisième contrainte : le fait d'utiliser de l'Open Source le moins possible. Toutefois, il y en a dans le système d'information de Microsoft, ne serait-ce, dit-il, que pour des raisons de « tests d'interopérabilité ». Mais Tony Scott s'empresse aussitôt de prendre un ton très sérieux pour expliquer que de son point de vue, et de par son expérience en tant que directeur technique de General Motors ou DSI de Disney, l'Open Source ne revient pas forcément moins cher. La tactique de Tony Scott : investir pour réduire les coûts Comme tout DSI, Tony Scott explique que sa première préoccupation est de réduire les coûts. « Il y a plusieurs stratégies face à cet impératif. Certains arrêtent de dépenser de l'argent. Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. J'ai déjà vu ça, plus tôt dans ma carrière, et c'est un modèle intenable à la longue, les CIO qui le pratiquent se font virer après 3 ou 4 ans. D'autres choisissent d'investir. Mon propre budget est en baisse, alors qu'il était étal l'année dernière. Or, j'ai dû augmenter les salaires. J'ai donc investi dans des technologies qui permettent de réduire les coûts, de 10 à 15% l'année suivante ; cette stratégie se révèle productive année après année. » Parmi les postes cités pour réduire les dépenses figurent la virtualisation (qui optimise l'utilisation des serveurs) et les communications unifiées. Technologie sur laquelle Tony Scott insiste beaucoup. « Cela nous permet d'économiser 60% sur la téléphonie. Et en plus les gens adorent le fait de disposer de toutes ces fonctionnalités agrégées (voix, messages vocaux, messagerie instantanée, visioconférence, tableau blanc, etc.) sur leur poste de travail. » Le DSI de Microsoft dit aussi recourir aux services hébergés - pour le courrier électronique notamment - et fonde beaucoup d'espoir sur le cloud - et donc Azure en particulier - pour absorber les pics de charge. Et de ce point de vue, cela lui facilite en effet la tâche, puisque les services en ligne de Microsoft ne sont pas de son ressort : il n'est alors qu'un client parmi d'autres. « Comme lorsque j'étais CIO de Disney », dit-il. (...)

(11/03/2009 17:14:37)

Stratus couple la virtualisation à la tolérance aux pannes, pour les PME

Stratus Technologies, spécialiste américain des systèmes x86 redondants, annonce la livraison gratuite de la version Foundation (entrée de gamme) de VMware Virtual Infrastructure 3 (VI3) avec ses ftServers. Cette promotion, qui représente une économie de 900 € HT environ, doit s'achever fin juin. L'intérêt de cette offre est simple : associé à VI3 Foundation, la redondance des éléments standards des ftServers permet d'obtenir un niveau de fiabilité sur un seul serveur Stratus supérieur à celui d'une configuration composée de machines x64 standards en cluster. En effet, pour Thierry Seror, directeur général de Stratus France, le couplage ftServer /VI Foundation assure une continuité de fonctionnement des machines virtuelles. Un cas de figure difficile à reproduire avec une configuration matérielle standard en cluster qui réclame un redémarrage des machines virtuelles, lequel se déroule en séquence. De plus, le couplage d'un ftServer avec VI Foundation permet aux PME d'éviter l'acquisition d'une configuration de deux serveurs, chacun avec leur licence ESX, l'OS, un SAN, des commutateurs et la version Standard de VI 3 (2700€ HT, première version de VI 3 à supporter la migration des machines virtuelles à chaud). Le prix de cet ensemble est bien plus élevé que les 35 000 € annoncés par Stratus pour une configuration opérationnelle avec sa baie de stockage en attachement direct (lire encadré). Au-delà de la cible des PME, Thierry Seror voit se préciser le marché des grands comptes qui, une fois achevée la phase de virtualisation de leurs serveurs d'infrastructure, réalise que la panne matérielle d'une configuration virtualisée paralyse l'équivalent d'une salle machine composée d'au moins une douzaine de serveurs physique. Par ailleurs, aux Etats-Unis et en Allemagne, Stratus commence à proposer une solution 100% logicielle appelée Avance qui ajoute la redondance à la virtualisation. Basé sur le code de l'hyperviseur XenServer de Citrix, Avance est vendu aux environs de 5000 dollars pour coupler deux serveurs x64 standards (HP, Dell....). Là encore, le but est d'abaisser le ticket d'entrée de configurations virtualisées résistantes aux pannes. (...)

(11/03/2009 16:54:19)

Le processeur Rock entrera en scène cet automne, affirme Sun

En février 2008, Sun avait annoncé un retard d'un an pour Rock, son processeur à 16 coeurs. Cette fois, le constructeur devrait pouvoir tenir sa promesse. John Fowler, vice-président exécutif de Sun responsable de la division Systèmes, l'a affirmé : la puce équipera des serveurs maison dès cet automne. « Le processeur est dans des stades divers de débogage, nous nous approchons [de la commercialisation]. » Le Rock aura deux fois plus de coeurs que le plus puissant processeur actuel de Sun, l'Ultrasparc T2, et son architecture de multi-threading (exécution parallèle des tâches) a été complètement revue. Il est destiné aux serveurs manipulant de grandes quantités de données, typiquement des serveurs de bases de données. Les applications devront être réécrites Toutefois, les applications devront être revues afin de tirer parti de ce surcroît de coeurs. John Fowler indique ainsi que Sun s'est attelé à une réécriture de son SGBD Open Source MySQL « afin qu'il puisse prendre en compte de plus en plus de threads et de coeurs ». Alors que des tests commencent à montrer que les performances ne croissent pas forcément au-delà de 8 coeurs, John Fowler explique qu'il faut vraiment considérer ce sujet au cas par cas. « Tous les logiciels sont différents », dit-il. Quoiqu'il en soit, tous les fabricants de processeurs sont engagés dans une course au nombre de coeurs. Ainsi, alors qu'AMD prévoit un hexacoeur vers la fin de l'année, Intel espère livrer dans le même temps son Nehalem octocoeur. A noter qu'IBM préfère de son côté augmenter les performances de son processeur Power6 en assemblant des bicoeurs. (...)

(11/03/2009 16:39:53)

Nvidia crée un fonds d'investissements pour les start-ups

Nvidia, le fabricant de processeurs graphiques, a annoncé mardi le lancement d'un programme d'investissement, baptisé GPU Ventures. A l'instar des programmes Idées et Bizspark de Microsoft, cette initiative vise à identifier, soutenir et investir dans des start-ups qui s'appuient sur des GPU (graphic processing units, ou processeurs graphiques). Le montant des investissements devrait s'étaler entre 500.000 et 5 M$ et profiter aux entreprises qui utilisent des solutions GPU pour des applications à la fois grand public et professionnelles dans des secteurs comme l'amélioration de la vidéo et de l'image, le calcul scientifique, l'analyse financière et les interfaces 3D. Nvidia rappelle avoir investi dans des jeunes pousses qui ont rencontré un vif succès comme Acceleware, Keyhole (racheté par Google pour Google Earth), Mental Images (racheté par Nvidia), MotionDSP et Right Hemisphere. Le fabricant en a profité pour annoncer le lancement de GPU Venture Zone , un portail descriptif de toutes les applications GPU innovantes développées avec les partenaires de son écosystème. (...)

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