Flux RSS
Infrastructure serveur

2924 documents trouvés, affichage des résultats 1751 à 1760.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(16/07/2008 12:15:53)
IBM investit 1,5 Md$ supplémentaires dans la recherche sur les semiconducteurs
IBM va investir 1,5 Md$ pour stimuler ses efforts de recherche et de fabrication de semiconducteurs dans l'Etat de New-York. Il répartira cette somme entre trois projets sur les nanotechnologies, sans divulguer la somme affectée à chacun. Le géant va ainsi améliorer son usine de East Fishkill, étendre ses activités à l'Université de nanosciences et de nanoingénierie d'Albany, et créer un nouveau centre de recherche pour le packaging des puces dans un lieu qui reste à déterminer. L'Etat de New-York alloue au géant une subvention de 140 M$ pour ces projets. Il espère en effet que ces derniers génèreront un millier de nouveaux emplois high-tech sur son territoire. Les chercheurs d'IBM étudient la miniaturisation des circuits jusqu'au niveau de l'atome pour des semiconducteurs gravés à 32 nm et 22 nm (un nanomètre est égal à un milliardième de mètre.) Réduire ainsi la taille des circuits devrait permettre de fabriquer des ordinateurs plus puissants sans consommer plus d'électricité pour autant. Bien entendu, Intel et AMD ne sont pas en reste et améliorent constamment leurs technologies de fabrication afin de miniaturiser les puces. Le premier est passé à un procédé à 45 nm l'an dernier et AMD a prévu d'en faire autant dans l'année. Intel espère atteindre 22 nm en 2011. IBM étudie aussi les nanotransistors à base de nanotubes de carbone IBM travaille aussi sur la nanophotonique de silicium dont le principe consiste à remplacer certaines connexions sur la puce par des impulsions lumineuses sur de minuscules fibres optiques. Un moyen de transporter les informations à la vitesse de la lumière sans augmenter la consommation électrique. Big Blue travaille aussi avec certaines universités sur l'utilisation de nanotubes de carbone pour mettre au point des nanotransistors. (...)
(11/07/2008 16:04:46)Siemens envisagerait de se retirer de Fujitsu Siemens
Tant Siemens que Fujitsu se refusent à commenter l'information selon laquelle l'Allemand envisage de se retirer de leur co-entreprise, Fujitsu-Siemens Computer (FSC), le dernier grand acteur européen sur le marché de la micro et des serveurs X64. Selon l'agence Reuters, des représentants de Siemens ont fait le voyage au Japon pour envisager sérieusement cette éventualité. La décision pourrait être prise d'ici la fin de l'année. Si aucune des deux sociétés ne dénonce le contrat qui la fonde, la co-entreprise sera reconduite pour cinq ans, jusqu'en 2009. Le patron de Siemens estime FSC insuffisamment profitable A la tête du groupe Siemens qu'il transforme en profondeur, Peter Loescher a déclaré que FSC n'était pas suffisamment profitable. En février dernier, Bernd Bischoff, patron de FSC, estimait pourtant que sa société se trouvait, avec une marge de 1,7% à 2%, parmi les acteurs les plus rentables du secteur. Pour son dernier exercice fiscal clos en mars dernier, FSC a réalisé un CA de 6,6 Md€ (-5%) et un résultat avant impôts de 105 M€ (+15%). Essentiellement actif en Europe, le groupe emploie 10 000 personnes. Maintenant qu'il s'est retiré de marchés peu rentables (téléviseurs, PDA), il revendique des progressions supérieures au marché pour ses serveurs et ses portables. Un désistement de Siemens pourrait signer la fin de cette entreprise. Fujitsu n'ayant ni les ressources, ni la visibilité sur le marché européen pour la maintenir seule. (...)
(11/07/2008 14:00:45)Soldes sur le calcul HPC distant
Pour faire connaître leurs activités, les PME informatiques ont elles-aussi recours aux soldes. C'est le cas d'Oxalya qui propose une promotion jusqu'au 15 septembre prochain sur « Virtual Node », sa prestation de calcul haute-performance (ou HPC) à distance. Elle propose ainsi la location de noeuds de calcul à partir de 1 euro de l'heure. Pour ce prix, l'utilisateur dispose de deux noeuds de huit coeurs chacun (avec des processeurs Intel à 3 GHz) sous Linux. Il lui suffit de les réserver 48 heures à l'avance sur le site de la société, puis d'envoyer les données au moment voulu. Les prix varient en fonction des logiciels à utiliser, et la société offre même des heures d'évaluation gratuites à ses prospects. (...)
(11/07/2008 11:59:28)Intel vend son activité RFID
Intel a annoncé la vente de son activité RFID au fabricant californien Impinj de lecteurs RFID. Celui-ci pourra donc concevoir des modèles plus petits et mieux adaptés aux marchés comme l'authentification, ou le suivi des stocks. Les puces RF1000 d'Intel, lancées en mars 2007, rassemblent en effet dans un même processeur près de 90 % des composants électroniques nécessaires pour faire un lecteur RFID. Cet accord, dont le montant n'a pas été dévoilé, s'est fait par échange d'actions. Intel obtient donc un siège au conseil d'administration d'Impinj, et la société reprendra moins de 10 salariés provenant de chez Intel. (...)
(10/07/2008 15:55:02)Sun décline son offre Open Storage dans toutes les tailles
Trois baies de stockage adaptées à presque toutes les entreprises (de celles de tailles moyennes aux très grands comptes) et un renouveau de son offre pour le calcul hautes performances (HPC), Sun ne lésine pas sur les moyens matériels pour promouvoir son initiative pour un stockage ouvert, Open Storage. A moins que le constructeur ne fasse l'inverse et ne se serve de ce label « open source » de ses logiciels pour vanter les économies d'échelles que permettent ses baies de stockage. En effet, le constructeur promet jusqu'à 10 fois plus d'économies en utilisant ses nouvelles baies J4000, à condition de les utiliser en combinaison avec le système d'exploitation Open Solaris, et le gestionnaire de fichiers ZFS. Pour Ray Austin, responsable marketing stockage de Sun, la majeure partie des économies est réalisée non seulement sur l'absence de prix de licences (l'offre Open Storage démarrerait ainsi à 1$ le gigaoctet), mais aussi sur l'unification possible des outils de supervision que Sun propose entre ses plateformes serveurs et stockage. Par ailleurs, Sun insiste toujours sur le fait que son offre est ouverte, « aux standards de l'industrie », et sans élément propriétaire. Il faudra néanmoins toujours payer l'assistance technique, et réaliser l'intégration avec une plateforme d'administration. La plateforme hybride « Thumper » peut abriter 4 coeurs et 48 disques [[page]] Vendues immédiatement à partir de 3000 dollars, les baies Sun Storage J4000 ont des capacités maximales allant de 46 To à 480 To. La plus petite, la J4200 peut accueillir jusqu'à 46 disques SAS (Serial attached SCSI) ou SATA (Serial ATA), et la plus grande la J4500 s'étend sur 4 racks et peut accueillir jusqu'à 480 disques SATA. Dans la même famille que ces trois baies, Sun a ajouté le connecteur Storage Tek SAS RAID Host Bus pour relier directement ces baies à des serveurs utilisant Linux, Windows ou Solaris dans des environnements Open Storage. Sun a également mis à jour sa plateforme hybride « Thumper » qui sert à la fois de serveur et d'espace de stockage - pour des entreprises disposant de peu de place. Le SunFire x4540 est donc désormais armé d'un processeur quadricoeur (contre un bicoeur pour son prédécesseur) et d'une mémoire de 32 Go (contre 16 Go précédemment) et peut stocker jusqu'à 48 disques. Il est disponible à partir de 22 000 dollars. (...)
(09/07/2008 07:24:00)Bal tragique chez VMware : la fondatrice congédiée
Surprise chez le numéro un de la virtualisation VMware. La fondatrice et PDG, Diane Greene, a soudainement été évincée hier, mardi 8 juillet. Le communiqué de la firme américaine n'explique pas clairement ce départ éclair. Le document ne fait par exemple aucun lien direct avec l'annonce quelques heures plus tôt d'une croissance un peu plus faible que les 50% prévus. Première conséquence de l'annonce : l'action a plongé de près de 25% passant sous la barre de 39$ dans l'après-midi de mardi. Et le malheur des uns fait le bonheur des autres. Ainsi, Diane Green est-elle remplacée sur le champ par Paul Maritz qui dirigeait jusque-là la division cloud computing d'EMC. Poste auquel il avait accédé parce qu'EMC venait d'acheter, en février 2008, Pi Corporation, éditeur d'un logiciel de cloud computing qu'il avait fondé... Auparavant, Paul Maritz avait passé 14 années chez Microsoft, où il avait dirigé, entre autre, le marketing et le développement de Windows 95 et Windows NT. (...)
(09/07/2008 07:24:07)Deux versions de Windows Server 2008 pour l'automne
Windows Essential Business Server (EBS) 2008 (pour les entreprises de taille moyenne jusqu'à 300 PC) et Windows Small Businesse Server (SBS)2008 (pour les petites entreprises jusqu'à 75 PC) seront les deux nouveaux systèmes d'exploitations lancés officiellement par Microsoft le 12 novembre prochain. Plus exactement, il s'agit de « packages » regroupant Windows Server 2008 et d'autres logiciels que l'éditeur estime nécessaires au bon fonctionnement d'une entreprise. Ainsi SBS comprendra outre Windows Server 2008, Exchange Server 2007 Standard Edition, Sharepoint Services 3.0, Office Live Small Services, et une version d'essai de Forefront Security for Exchange Serveret Windows Live OneCare for Server. La version premium comprendra, en outre, une licence supplémentaire pour Windows Server 2008 et SQL Server 2008. SBS 2008 ne devrait être disponible que pour les serveurs X64. Le pack EBS comprend trois licences de Windows Server 2008, à installer sur des machines physiques différentes. Le premier sert de contrôleur de domaine et de serveur d'administration, avec le logiciel Microsoft dédié. Le deuxième fait office de serveur de messagerie avec Exchange Server 2007 Standard Edition. Et le troisième est dédié à la sécurité avec Forefront Security for Exchange Server et Forefront Threat Management Gateway. En version premium, une quatrième licence est disponible pour installer SQL Server 2008 sur une autre machine. Dell, Fujitsu Siemens et Wortmann AG ont déjà annoncé leur intention de commercialiser des serveurs avec SBS 2008 ou EBS 2008 pré-installés. (...)
(08/07/2008 15:15:34)Des chercheurs font bouillir de l'eau pour refroidir les processeurs
En utilisant les nanotechnologies, des chercheurs du Rennsselaer Polytechnic Institute (dans l'état de New York) ont réussi à faire bouillir de l'eau trente fois plus vite que dans des conditions normales. Ils espèrent ainsi obtenir des puces avec une meilleure dissipation thermique, pour fabriquer à terme des ordinateurs plus petits et plus puissants sans rencontrer de problèmes de surchauffe. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, selon Nikhil Koratkar, faire bouillir de l'eau pourrait bien être l'une des méthodes pour refroidir des processeurs. Pour obtenir une ébullition plus rapide mais qui reste efficace (une ébullition qui n'omet pas la phase de vaporisation), les chercheurs ont utilisé des nano-filaments de cuivre qui emprisonnent plus d'air entre eux, et permettent ainsi la création d'un plus grand nombre de bulles simplement en chauffant un peu l'eau. « Les interconnexions de processeurs sont déjà en cuivre, estime Nikhil Koratkar. Il devrait donc être simple et peu cher d'ajouter des nanofilaments du même métal aux composants. Quand on se retrouve avec un « hot spot » dans une puce et que l'on veut le refroidir, l'idée est d'ajouter un liquide refroidissant dans la puce. Celui-ci s'évapore et l'énergie qui a permis ce phénomène quitte la puce. En évaporant plus de liquide refroidissant, on extrait encore davantage de chaleur de la puce. Avec les nanofilaments, on peut procéder à cette opération à n'importe quel moment et la puce est ainsi plus vite refroidie. » Entre 6 et dix fois, selon les estimations des chercheurs. (...)
(07/07/2008 15:43:20)Digi présente ses premiers modules pour serveurs à base d'ARM
Quelques semaines seulement après les propos d'ARM concernant ses ambitions sur le marché des serveurs, Digi International annonce son Digi Connect ME 9210. Ce module Ethernet est destiné au marché OEM. Il est basé sur le processeur ARM9 cadencé à 75 MHz, déjà utilisé dans de nombreux téléphones portables et des consoles de jeux dont la Nintendo DS. Le tout avec 8 Mo de RAM et 2 ou 4 Mo de mémoire Flash, il intégrera des FIM (Flexible Interface Module) pour s'adapter aux besoins des constructeurs finaux et contient d'entrée de jeu un module de cryptage AES matériel, 10 fois plus rapide que ses équivalents logiciels selon Digi International. Côté gestion d'énergie, Digi International propose soit du PoE (Power over Ethernet) pour alimenter les produits directement via le lien Ethernet, soit Digi Dynamics Power Control, un assortiment d'outils logiciels et matériels pour moduler la consommation d'énergie du serveur selon ses besoins. Le Digi Connect ME 9210 sera commercialisé à partir de 399 dollars. Avec ce module, ARM entre par la petite porte sur le marché des serveurs ; à défaut d'être au coeur de la machine, il s'attaque aux franges, en mettant en avant ses deux avantages principaux : les économies d'énergie et les prix réduits. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |