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(07/07/2008 14:43:30)

Serveurs : Gartner remet IBM premier d'un marché qui ne croît plus que de 2,5%

Le Gartner group a révisé son classement des vendeurs de serveurs pour le premier trimestre 2008. Du coup, IBM reste le premier en terme de chiffre d'affaires, à quelque 139 M$ devant HP. Malgré ce que Gartner disait en mai dernier, il faudra donc probablement attendre encore quelques mois pour que HP supplante pour la première fois IBM sur ce marché en valeur. Pour les volumes, étant donné la position dominante d'HP sur le créneau des serveurs X64, les jeux sont faits depuis longtemps. Le Gartner en profite pour revoir un peu tous ses autres chiffres. Ainsi, le marché des serveurs au premier trimestre ne progresse plus de 4% à 13,5 Md$, mais de 2,5% à 13 Md$. A l'exception de l'échange de place entre IBM et HP, le classement des autres fournisseurs et leur progression restent inchangés. (...)

(03/07/2008 09:03:54)

IBM réduit la concurrence sur le mainframe en rachetant PSI

IBM rachète finalement Platform Solutions (PSI), constructeur de mainframes compatibles, mettant ainsi terme à une bataille juridique entre les deux firmes entamée en novembre 2006. A l'époque, IBM avait intenté une action contre PSI pour contrefaçon de brevet. Le californien propose en des machines à base de processeurs Intel capables d'exécuter Unix, Linux, Windows mais surtout le système d'exploitation z des mainframes d'IBM... De quoi agacer Big Blue. Dès janvier 2007, PSI a contre-attaqué, accusant à son tour IBM de violation des lois antitrust et concurrence déloyale. L'association Computer and Communications Industry Association (CCIA), qui réunit des dirigeants seniors de l'industrie IT américaine pour la promotion d'environnements ouverts, a déploré cette acquisition. Selon elle, il s'agit pour IBM d'un moyen d'avaler un de ses concurrents les plus significatifs sur le marché du mainframe. PSI était en effet un des survivants crédibles du marché un temps florissant des mainframes compatibles. Il faut dire que ses fondateurs sont issus d'Amdahl, un des ex-géants du secteur. « Une acquisition qui conduira à une domination totale d'IBM » «Cette acquisition est comme un « trou noir, s'est ému Ed Black, président de la CCIA, dans un communiqué. Elle aspire toute la vie qui vient de ce marché et en détruit la matière. » Cette opération transforme un marché avec un vrai potentiel concurrentiel en un marché « avec de très faibles perspectives pour autre chose qu'une domination totale d'IBM ». Les termes financiers du rachat n'ont pas été dévoilés. Et son montant pourrait rester sous le seuil qui impose une revue obligatoire par les autorités de régulation antitrust européennes et américaine. Mais la CCIA encourage ces institutions sur les deux continents à bien étudier l'impact potentiel de cette vente sur le marché des grands systèmes. Plusieurs menaces de plaintes pour situation monopolistique planent encore sur IBM, provenant du département de la justice américain mais aussi de T3 Technologies, un autre vendeur de mainframes. Pour IBM, un moyen de renforcer la compétitivité de ses grands systèmes Pour répondre à la CCIA, Tim Breuer, porte-parole d'IBM, a rappelé qu'IBM avait ouvert ses mainframes en y accueillant Linux et Java ainsi qu'un grand nombre d'applications du marché. Selon lui, « IBM évolue dans un marché mondial très concurrentiel avec une grande variété de plateformes proposées par d'autres acteurs. L'acquisition de PSI est un moyen de renforcer la compétitivité de nos grands systèmes vis à vis de ces environnements. » Selon le Gartner, le marché global des mainframes dans le monde (incluant IBM mais aussi Unisys, Siemens, et les autres...) aurait perdu près de 12% en valeur l'an dernier. Politiquement correctes, les deux firmes ont exprimé leur satisfaction liée à cet acquisition. (...)

(02/07/2008 17:38:42)

Microsoft tente un retour dans le supercalcul

HPC Server 2008, version de Windows Server 2008 destinée au calcul haute performance, pourrait enfin permettre à Microsoft de rentrer sur le créneau des supercalculateurs. Pour l'instant, il se contente d'y faire de la figuration. Sa première Release Candidate (RC) réduit à 2 millisecondes le temps de latence entre les noeuds qui communiquent à 2 Gbits/s en Infiniband. Une performance clé pour ce type de systèmes distribués. Microsoft parvient à l'atteindre grâce à la technologie NetworkDirect Remote Data Memory Access (RDMA), codéveloppée avec Mellanox Technologies. Il a amélioré le nombre de noeuds gérés (plusieurs milliers), le dispositif de répartition de charge et les outils de maintenance. La version finale d' HPC Server 2008 est attendue pour la fin de l'année. Microsoft est entré dans l'univers du HPC (High performance computing) avec Windows Compute Cluster Server en 2006, mais n'est jamais parvenu à percer. Fin 2006, tous les systèmes sous Windows avaient ainsi disparu du classement du Top 500 , qui recense les 500 plus grands systèmes de la planète, au grand dam de l'éditeur. Un système à la 23ème place du Top500 Depuis, l'éditeur de Redmond s'échine à revenir sur un créneau aussi prestigieux que lucratif. Dans le trente et unième classement semestriel du Top 500 qui vient de paraître, on ne trouve encore que 5 systèmes sous Windows, soit 1% contre 427 calculateurs (85,4%) animés par Linux. Mais sur les 5 machines Windows, 3 utilisent déjà HPC Server 2008 et celle du NCSA se place 23ème sur un système Dell d'un total de 9600 processeurs. (...)

(02/07/2008 10:55:19)

Windows Server 2008 bien accueilli par les informaticiens américains

Vista qui pleure et Windows Server 2008 qui rit. Une enquête réalisée par Computerworld (voir encadré ci-dessous) auprès de 403 de ses lecteurs responsables informatiques indique un accueil favorable de la dernière version de Windows Server. Ils sont 63% à s'être déclarés prêts à intégrer Windows Server 2008 dans leurs projets d'investissement. Un intérêt qui tranche avec le peu d'entrain que les DSI américains montrent à l'endroit de Vista. Sur les 63% de DSI qui prévoient d'installer Windows Server 2008, 59% ont planifié un déploiement dans les douze mois et 55% prévoient de l'avoir déployé sur tous leurs serveurs d'ici deux ans. Les plus enthousiastes se trouvent dans les entreprises de 100 à 1000 salariés. 69% se déclarent prêts à commencer un déploiement dans les douze mois à venir. Premier usage de Windows Server 2008 : serveur d'applications L'intérêt pour 2008 se fonde principalement sur les améliorations apportées à sa sécurisation (73%), à de meilleures performances (69%), aux améliorations apportées à Active Directory (64%), au coeur du système (45%). Par ordre de popularité, Windows Server 2008 sera utilisé pour les serveurs d'applications, la gestion des domaines et Active Directory, DNS/DHCP, les serveurs Web et la virtualisation avec Hyper-V. Ce dernier usage pourrait progresser rapidement, Hyper-V et ses outils d'administration sortant à peine des limbes. En attendant, c'est, avec 42%, VMWare qui emporte le plus de suffrages (42%) des adeptes de la virtualisation, devant Hyper-V (24%), sachant que 31% des DSI interrogés déclarent ne pas être intéressés par la virtualisation. (...)

(01/07/2008 09:33:36)

Les fondeurs et les constructeurs en plein désaccord sur Energy Star

Au moment de rendre sa copie, l'industrie des TIC a réservé une bien mauvaise surprise à l'EPA (Environmental Protection Agency) américaine. Chargée par le Congrès des Etats-Unis de définir de nouvelles normes Energy Star (consommation électrique) pour les serveurs d'entreprise, l'agence avait demandé leur avis aux industriels du secteur pour un premier brouillon de spécifications. Or chacun d'entre eux, fondeurs (Intel ou AMD) comme constructeurs (Dell, HP ou IBM), a sa propre idée des économies d'énergie liées à ses process de fabrication, mais aussi à ses arguments commerciaux. Et leurs corrections diffèrent donc grandement, y compris sur les termes choisis. Ainsi, ils ne s'accordent même pas sur la définition d'un serveur d'entreprise. Faut-il prendre en compte uniquement les machines conçues pour un tel usage (comme les serveurs lames) ou inclure les PC classiques utilisés comme des serveurs dans les petites structures ? Autre point de contentieux : les systèmes multiprocesseurs doivent-ils être considérés séparément ou vaut-il mieux une spécification globale ? Tous s'accordent à dire qu'on ne peut attendre la même consommation d'un serveur mono-processeur et d'un multi-processeurs, mais AMD concentre ses calculs sur le nombre de processeurs alors qu'Intel préfère compter en « sockets ». IBM, quant à lui, choisit de distinguer un serveur mono-socket d'un multi-sockets, sans plus de précision. Enfin, Dell et AMD en rajoutent puisqu'ils ne veulent pas qu'on tienne compte du benchmark SPECPower ssj2008 (qui mesure justement l'efficacité énergétique des puces) tandis qu'Intel veut l'inclure dans les spécifications. Avec autant de points de vue différents, trouver un accord va se révéler plutôt difficile. (...)

(30/06/2008 12:02:29)

HP libère le code du gestionnaire de fichiers d'Unix Tru64

HP a annoncé qu'il publiait en licence libre GPLv2 le code du gestionnaire de fichiers Advanced File System (AdvFS), originellement écrit pour Tru64, l'Unix de Digital Equipment (aujourd'hui propriété d'HP). Ce système d'exploitation demeure une référence en terme de fiabilité et de fonctionnalités et AdvFS est considéré par les spécialistes comme un des meilleurs gestionnaires de fichiers sous Unix. HP, qui avait caressé un temps l'idée de le porter sur son propre Unix, HP-UX, lui a préféré Storage Foundation de Veritas. Le portage de ce dernier promettait d'être plus rapide. HP donne aussi le code de ce portage avorté. Notons qu'il ne donne pas les extensions TruCluster d'AdvFS, pour le clustering. Toutefois, Gordon Haff, analyste chez Illuminata, doute par exemple qu'AdvFS soit jamais effectivement porté sur Linux. Tout au plus pourrait-il servir de modèle pour les développements ultérieurs des gestionnaires de fichiers de Linux. Pour l'heure, ext3 a succédé à ReiserFS dans le noyau Linux, avec ext4 en vue. Le gestionnaire de fichiers cible destiné aux technologies contenues dans AdvFS pourrait être un projet ultérieur appelé Btrfs. Développé à l'origine par Oracle, ce gestionnaire de fichiers très sophistiqué ne devrait pas voir le jour avant 2011-2012 au bas mot. (...)

(30/06/2008 11:47:06)

Cognos a porté sa plateforme décisionnelle sur mainframes System z10

Cognos vient d'annoncer la disponibilité de sa plateforme décisionnelle Cognos 8 Business Intelligence pour Linux sur les serveurs mainframes z10 d'IBM. La migration de l'offre dans cet environnement va permettre aux utilisateurs du mainframe de déployer des applications d'analyse de données portant sur des centaines de millions de transactions. "La décision de porter Cognos 8 sur zSeries a été décidée à la suite du rachat par IBM et a été communiquée dès le mois de février dernier, rappelle Olivier Métier, directeur avant-vente de Cognos France. Le portage, facilité par l'architecture orientée services (SOA) de l'application, n'a pris que trois mois et permet de proposer aux utilisateurs la même interface et les mêmes fonctionnalités." Les clients européens souhaitant évaluer l'application sur le mainframe, en interaction avec d'autres solutions du catalogue IBM, pourront se tourner vers le centre de compétences System z installé à Montpellier. Société du groupe IBM depuis la finalisation de son rachat le 31 janvier dernier, Cognos s'inscrit dans la stratégie globale 'Information on demand' établie par Big Blue avec l'objectif de fournir l'ensemble des composantes de la gestion de l'information (traitement des données structurées, mais aussi non structurées avec l'intégration des outils de gestion des processus métiers de FileNet). IBM propose déjà avec Cognos un ensemble de solutions packagées, notamment pour certains marchés verticaux comme la banque ou l'administration. (...)

(30/06/2008 11:43:28)

Microsoft croit aux datacenters en container

« Le concept de datacenter modulaire et portable est essentiel pour le futur de l'industrie » a déclaré David Costello, directeur de recherche datacenter pour Microsoft à l'occasion de la conférence Structure08 de GigaOM consacrée aux infrastructures du cloud computing. Il considère en effet que les nouvelles offres modulaires en container que proposent certains fabricants de serveurs (comme Sun, Rackable Systems ou APC) sont un moyen idéal d'améliorer l'efficacité énergétique et de réduire les coûts. Et selon lui, ils ne seront pas seulement utilisés pour augmenter la puissance de calcul d'une structure existante mais pour poser les premières pierres de systèmes complets. Microsoft a ainsi inclus les containers dans son effort pour repenser ses propres centres informatiques. « Nous réexaminons tous les composants de nos datacenters, jusqu'à leur toit ! insiste David Costello. » Le numéro un du logiciel a pris contact avec tous les grands fournisseurs de ces offres. Beaucoup d'éléments restent à améliorer Les containers seraient selon Microsoft, plus économiques qu'un ensemble de racks. Ils n'ont pas besoin d'autant de place ni de câblage. Enfin, un container consomme moins au m² qu'un datacenter traditionnel. Pour autant, tout n'est pas encore rose. Ainsi, le contenu de ces « boîtes » tient encore plutôt du bricolage, avec des serveurs conçus pour un environnement traditionnel et plus ou moins adaptés à un volume plus étroit. « Il faudra concevoir spécifiquement les systèmes pour ces espaces particuliers que sont les containers, » prévient David Costello. Par ailleurs, les containers actuels ne peuvent accueillir que les serveurs de leur constructeur. En cas de panne électrique, c'est l'ensemble des serveurs qui s'arrêtent. Enfin, il faudra aussi résoudre le problème de la fin de vie de ces environnements : pourront-ils être réutilisés ou devront-ils être détruits ? « Les modèles financiers restent à définir, insiste David Costello. Nous avions l'habitude de parler d'un PC sur chaque bureau, alors pourquoi pas un datacenter dans chaque ville ? » (...)

(27/06/2008 16:11:20)

Virtualisation : Microsoft livre son hyperviseur

Microsoft annonce la version finale d'Hyper-V, son très attendu hyperviseur pour exploiter Windows Server 2008 comme plateforme de virtualisation. C'est donc seulement avec quatre mois de retard et non six par rapport au lancement lui-même retardé de la version 2008 de Windows Server que Microsoft commence à commercialiser un concurrent de VMWare. La version d'Hyper-V sur support optique est annoncée d'ici 6 à 8 semaines. Hyper-V est très attendu puisque, selon Damien Buisson, en charge de ce logiciel chez Microsoft France, 90% des grands comptes français ont au moins une version de VMWare pour évaluation. Selon lui, les premiers tests d'Hyper-V montrent qu'il délivre un niveau de performance tout à fait satisfaisant. Notons, sur ce point, le fait que toutes les machines virtuelles sous d'autres systèmes d'exploitation sont désormais en paravirtualisation. Autrement dit, ces OS peuvent exploiter directement les ressources matérielles, en particulier les extensions des jeux de commandes des processeurs dédiées à la virtualisation, d'où un net gain de performances. C'est en particulier le cas pour Windows Server 2000 en machine virtuelle (VM). Cette version a été rajoutée in extremis dans les versions de Windows Server supportées. On comprend pourquoi lorsque l'on sait que cette version représente encore 22% du parc actif en France. Il sera toutefois difficile d'en savoir plus sur les mérites respectifs d'Hyper-V versus VMWare, ce dernier interdit en effet dans sa licence d'utilisation la publication de mesures de performance sans son autorisation. Une tarification à plusieurs étages [[page]] Hyper-V est livré en standard avec les différentes versions de Windows Server 2008. Mais seule la version Datacenter, facturée 2 500 dollars par processeur (Microsoft France n'a pas encore fixé ses prix) permet de faire tourner autant de machines virtuelles sous Windows Server sans facturation supplémentaire. L'utilisation d'Hyper-V avec les deux autres versions (Standard - 900 $, pour les serveurs quadri processeurs, une VM gratuite- et Enterprise -2 500 $ pour les octoprocesseurs, 4 VM gratuites) implique l'achat d'une licence pour les Windows Server en machine virtuelle. Suse, seul Linux pour l'instant Seule Suse, la distribution Linux de Novell, est pour l'instant supportée par l'hyperviseur. Aucune date n'a été communiquée pour le support de RHEL de Red Hat. Signalons par ailleurs que la version du logiciel d'administration System Center qui supporte Hyper V sera disponible dans trois mois. Microsoft Assessment and Planning (MAP) Toolkit 3.1, nouvel outil pour "accélérer la planification et le déploiement de la virtualisation", est annoncé en bêta. Il sera mis à disposition gratuitement d'ici un mois. Enfin, pour être conforme avec les règles concurrentielles en vigueur en Europe, Microsoft commercialise une version de Windows Server 2008 sans Hyper-V, l'économie atteint 28 euros... (...)

(25/06/2008 12:12:56)

Dès 2009, le Niagara 3 de Sun pourrait exécuter 16 threads par coeur

Alors que Sun présentait en avril les premiers serveurs équipés de son Ultrasparc T2 Plus, alias Niagara 2, il pourrait présenter le prototype d'un nouveau processeur de la gamme dès 2009, si l'on en croit plusieurs sites anglo-saxons. Niagara 3 compterait huit coeurs capables de traiter chacun 16 threads simultanés, soit le double des puces actuelles. Un serveur comptant huit chipsets exécuterait ainsi jusqu'à 2048 threads en parallèle. Sun n'a souhaité ni confirmer, ni démentir l'information. Jean-Yves Migeon, responsable de l'offre serveur chez Sun France précise simplement que le Californien « veut aller encore plus loin sur le multithreading et le multicoeur. Et nous aurons de nouveaux processeurs avec la nouvelle version de Niagara courant 2009. » Huit, seize ou trente-deux ? Il faudra attendre l'année prochaine pour en avoir le coeur net. (...)

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