Flux RSS

Infrastructure serveur

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2924 documents trouvés, affichage des résultats 1771 à 1780.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(25/06/2008 10:55:18)

Rackable Systems double la densité de ses serveurs

Avec ses cinq nouveaux serveurs, Rackable Systems double la densité de son offre actuelle. Ces systèmes seront disponibles du format 2U au format 9U (notamment pour l'offre Rackable de « datacenter in the box » - ou salle de serveurs modulable livrée en container). Et ils auront la particularité d'alimenter deux cartes mères avec une seule source d'énergie. Ce qui permettrait de doubler la capacité de calcul des serveurs sans consommer plus d'énergie, mais qui implique aussi qu'une défaillance sur l'alimentation risque de causer une panne de l'ensemble du système. Pour Goeffrey Noer, directeur marketing de Rackable Systems, ce n'est pas un problème. En doublant la densité totale dans une grande salle de serveurs, si l'une des alimentations tombe en panne, les autres serveurs peuvent supporter la charge. Ils tournent avec des processeurs bi- ou quadri-coeurs Intel ou AMD, la seule différence se situant au niveau de la mémoire maximale supportée (48 Go pour les serveurs à base d'Intel et 64 Go pour ceux à base d'AMD). Ces serveurs sont surtout destinés à des secteurs gourmands en calcul haute performance comme la banque, la pétrochimie ou la recherche scientifique. Ils seront disponibles d'ici un mois, mais Rackable Systems n'a pas encore annoncé de prix. (...)

(20/06/2008 16:52:48)

ARM veut jouer dans la cour des serveurs

Lancée l'an dernier, le processeur multicoeur Cortex-A9 d'ARM devrait faire son apparition dans les téléphones portables d'ici l'an prochain. Selon Ian Ferguson, directeur de la division entreprise d'ARM, certains fabricants de serveurs ont approché sa société pour utiliser cette puce quadricoeur dans leurs serveurs. Elle leur permettrait de réduire la consommation énergétique de leurs produits et donc d'offrir un meilleur TCO (coût total de possession) à leurs clients. Bien que certains puissent y voir une réponse à l'arrivée d'Intel sur le marché des netbooks et autres ultraportables avec Atom, pour Ian Fergusson, il ne s'agit que de répondre à un besoin émergent dans les entreprises. « Il ne s'agit bien sûr pas de retirer un x86 pour le remplacer par un coeur ARM. Nous tentons plutôt de résoudre le problème lié à la l'équation 'puissance, électricité et refroidissement.' » En effet, toute augmentation de la puissance entraine une augmentation de la consommation électrique, mais aussi de l'importance du système de refroidissement, ce dernier augmentant encore davantage la consommation électrique. Une cible de serveurs d'entrée de gamme Bien sur, comme le rappelle Nathan Brookwood, analyste pour Insight 64, « les disques durs, la mémoire et les connexions réseaux utilisent beaucoup plus d'énergie que le processeur. » Ian Ferguson rappelle que les serveurs équipés de processeurs ARM seraient de toutes façons des systèmes d'entrée ou de milieu de gamme capables de jouer sur le nombre de coeurs activés en fonction de l'activité. Ils seront davantage utilisés comme serveur Web ou pour de petites applications open source que pour du calcul haute performance. Enfin, reste à savoir si il existe encore suffisamment de logiciels tirant partie de l'architecture ARM. Sur le marché visé, la majeure partie des programmes sont écrits pour des infrastructures x86, et de moins en moins pour l'infrastructure RISC utilisée dans les puces du fondeur. (...)

(20/06/2008 15:24:16)

Revirement : Arès veut sortir de l'infrastructure

Alors qu'elle représentait jusqu'ici l'un des deux grands piliers sur lesquels misait Arès pour redresser sa situation, l'activité de la SSDI autour des infrastructures ne devrait bientôt plus faire partie de ses métiers. Dans un communiqué publié le 19 juin en fin de journée, le groupe Arès a annoncé la mise en vente des trois pôles regroupant son savoir-faire dans ce domaine, à savoir SIS (ventes d'infrastructures), LOC (location - financement) et RMS (réseaux, mobilité et sécurité). La nouvelle intervient près d'un mois après la publication du chiffre d'affaires annuel de l'entreprise en recul de 18,5% à 335,5 M€. Le résultat opérationnel, qui sera divulgué la semaine prochaine, devrait rester dans le rouge. Cette restructuration annoncée recentrerait Arès autour des services informatiques, fédérés par son pôle ITS (expertise technique, infogérance, hébergement, et développement d'applications), et de l'intégration de progiciels menée par son pôle Solutions Applicatives. Mais elle l'amputerait également de 223 M€ de chiffre d'affaires, correspondant aux revenus cumulés pour l'exercice 2007-2008 des activités mises en vente : 181,5 M€ pour SIS, 8,4 M€ pour LOC et 33,9 M€ pour RMS. Elle devrait en outre avoir un fort impact social puisque les pôles qu'Arès entend conserver dans son périmètre emploient environ 1200 des 2000 salariés du groupe. L'action Arès chute de 18% avant l'annonce de la mise en vente "Nous avons été surpris par le fait que cette annonce ne soit pas précédée d'une information des représentants du personnel, alors qu'une réunion ordinaire du CE s'était tenue dans la matinée du 19 juin", indique Max Bouvier, membre du CE d'Arès. En revanche, certains investisseurs semblent avoir eu le nez fin... En effet, alors qu'Arès n'a dévoilé ses intentions qu'après la clôture de la bourse, le cours de son action a chuté de plus de 18% durant la journée avec près de 177 000 titres échangés. Aux dires d'Arès, « le produit attendu des cessions n'est pas destiné à financer des opérations de croissance externe. » Ce type d'opérations a jalonnés l'actualité de la SSDI ces derniers mois, en commençant par la vente des activités de PC, imprimantes et consommables à InmacWstore en octobre 2006 puis la cession des logiciels Arcole en avril dernier à De Gamma. Cette dernière vente a été précédée du rachat de Selectis en juin 2007 et de ceux d'Adequat (ventes d'infrastructures) et de Databail (location et financement) en décembre dernier. Avec le recul, ces deux dernières opérations n'auront finalement pas été d'une grande utilité à Arès. (...)

(20/06/2008 12:58:25)

IBM, Intel et Linux squattent le Top500

Sans surprise, le Roadrunner d'IBM a doublé tous les autres supercalculateurs dans le monde au sein du Top500. Deux fois par an, ce dernier classe les 500 supercalculateurs les plus puissants du monde. Le système pétaflopique installé par IBM à Los Alamos pour le DoE (Department of Energy) s'est installé en haut de l'échelle, loin devant tous les autres. Le numéro 2 ne dépasse pas le score, pourtant déjà très honorable, de 500 Tflops. Les numéros 2 et 3 sont aussi signés IBM avec son architecture BlueGene spécialisée dans le calcul. Le constructeur ne compte pas moins de 210 machines parmi les 500 étudiées alors qu'HP y place 183 de ses systèmes. Tous les autres constructeurs sont loin derrière. Les Etats-Unis accueillent la moitié des systèmes sur leur sol contre seulement 34 pour la France. Mais l'Hexagone s'améliore avec deux calculateurs dans le top 10 : l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS) du CNRS avec un BlueGene d'IBM (9e avec 12 Tflops) et Total avec une machine Altix de SGI (10e avec 106 Tflops). En attendant que la machine offerte par le gouvernement au Cines entre, elle aussi, dans la danse avec ses 147 Tflops. Sun, avec une configuration réunissant 63 000 quadri-coeurs AMD, reprend une bonne place juste derrière les 3 premiers IBM. Ce sont également des puces AMD qui animent le 5e supercalculateur du Top500, un Cray, mis en oeuvre avant que le constructeur ne choisisse de désormais privilégier Intel. Les processeurs du numéro un des fondeurs équipent quant à eux 75% des systèmes contre seulement 11% pour son concurrent, qui se place même derrière les Power d'IBM à 13,6%. Près des quatre cinquièmes de ces monstres de calcul comptent entre 1 000 et 4 000 processeurs. Linux domine lui aussi largement la compétition avec 427 systèmes dans sa besace contre seulement 25 pour Unix et 5 pour Windows. Une consommation moyenne de 1,32 MWatt dans le top 10 Pour la première fois, le Top500 affiche aussi la consommation électrique des systèmes testés (sans leurs environnements de protection électrique ou de refroidissement). Cette consommation est évaluée durant l'exécution du test Linpack, qui sert à jauger la puissance de calcul des machines. Volontairement, c'est bien la consommation électrique et non la performance énergétique des systèmes (rapport entre la consommation électrique et la puissance) qui est exploitée. Cette dernière ne vaut en effet comparaison que si les systèmes sont tous de même taille, ce qui, de fait, n'est pas le cas ici. La consommation moyenne du Top 10 est de 1,32 MWatt, Le prochain Green 500 -équivalent du Top500 qui positionne les systèmes en fonction de leur performance énergétique -, devrait être publié fin juin. Celui de février montrait une domination écrasante d'IBM qui occupait les 26 premières places ! (...)

(19/06/2008 09:04:25)

HP équipe à son tour ses serveurs de SSD

Quelques jours après Sun, c'est au tour de HP d'annoncer qu'il s'apprête à doter ses serveurs de SSD (Solid state drive), ces successeurs des disques durs magnétiques reposant sur de la mémoire électronique. Le constructeur s'est associé pour l'occasion à la jeune entreprise Fusion-io, qui lui fournira ses supports de stockage à base de flash Nand. Ils prendront place sur les ports PCI Express des serveurs HP et devraient fournir un espace de stockage de 640 Go par carte. Une capacité qui devrait atteindre 1,28 To en 2009. Si David Flynn, le directeur technique de Fusion-io, refuse d'indiquer le prix et la date à laquelle seront disponibles les premiers serveurs HP équipés de SSD, il se montre en revanche plus prolixe pour évoquer les avantages présentés par ce type de produits, notamment les plusieurs centaines de milliers d'I/O par seconde pour des vitesses d'écriture et de lecture dopées. Au final, toujours selon David Flynn, les gains de performances pourraient atteindre 40% sur certaines applications. L'annonce de ce partenariat entre HP et Fusion-io illustre l'intérêt que portent de plus en plus de grands constructeurs de serveurs pour le SSD. Sun indiquait ainsi récemment qu'il comptait remplacer dans les prochains mois tous les disques durs de ses serveurs par des SSD. (...)

(17/06/2008 16:51:38)

Intel crée SpectraWatt, une société spécialisée dans l'énergie solaire

Intel vient de créer SpectraWatt, une société de développement des technologies de transformation de l'énergie solaire en électricité, à partir de son activité existante dans le domaine. Cette démarche n'a rien d'une lubie puisque les microprocesseurs et les panneaux solaires photovoltaïques sont fabriqués à partir d'une même matière : le silicium. IBM travaille d'ailleurs lui aussi sur la conception de panneaux. Le fondeur sera épaulé par trois sociétés, Goldman Sachs Group (une des plus grandes banques d'investissement américaines), Solon AG (un fabricant allemand de modules solaires et de systèmes photovoltaïques) et le fond PCG Clean Energy and Technology Fund (CETF). Ensemble, ils devraient injecter 50 M$ dans la nouvelle joint venture. SpectraWatt tentera de réduire le coût de l'énergie solaire SpectraWatt devrait livrer ses premières cellules photovoltaïques aux fabricants de panneaux solaires dès le milieu de l'année prochaine. La société s'emploiera également à diminuer le coût de l'énergie solaire, actuellement le double de celui de l'électricité distribuée au détail. Selon Intel, cette baisse des tarifs devrait encourager les entreprises et les particuliers à opter pour le solaire, et soutenir ce marché avec une croissance de l'ordre de 30 à 40 % par an. Dirigée par Andrew Wilson, ancien directeur général de la division « nouvelles initiatives commerciales » d'Intel, SpectraWatt est situé dans l'Oregon. (...)

(17/06/2008 15:37:02)

Avec 240 coeurs, les puces Nvidia se mettent au calcul haute performance

Plus puissantes, les nouvelles puces GeForce GTX 280 ne se limitent pas à la gestion de l'affichage. Pour leur fabricant, elles sont aussi faites pour le calcul haute performance. Deux cent quarante coeurs, 1,4 milliard de transistors et une performance 933 gigaflops. La nouvelle puce graphique GeForce GTX 280 de Nvidia affiche des chiffres spectaculaires et propose jusqu'à 400 % d'augmentation des performances par rapport à ses anciennes puces, les GeForce 9800. Et pour une fois, les joueurs et les vidéastes ne seront pas les seuls à en bénéficier. Avec ces cartes, Nvidia cible aussi la communauté scientifique qui pourrait s'en servir pour les calculs massivement parallèles en exploitant le langage Cuda de Nvidia. Des calculs en virgule flottante en double précision L'un des obstacles majeurs a même été levé puisque les cartes sont désormais capables de réaliser des calculs en virgule flottante en double précision. Dans ce mode, la puissance reste de 116,6 gigaflops. De plus, à condition d'avoir un autre chipset graphique Nvidia installé sur le même ordinateur, il est possible d'utiliser la carte graphique pour des calculs haute performance sans avoir un écran noir (dans le cas contraire, la carte, occupée au calcul, ne peut en effet plus gérer l'affichage). La technologie HybridPower permet de basculer la gestion de l'affichage de l'un à l'autre suivant les besoins. Les puces GeForce GTX 280 sont déjà disponibles. Point of View a notamment annoncé les premiers modèles les utilisant à 549 euros. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >