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(11/07/2007 11:19:26)
IBM casse les prix de ses logiciels sur processeur Power6
IBM a mis en place un mode de facturation de ses logiciels qui favorise nettement ses dernières puces Power, les Power6. Alors que ces nouveaux processeurs délivrent deux fois plus de puissance que leurs prédécesseurs, les Power5+, la facturation des logiciels n'augmentent que de 20%. Comparée aux processeurs Itanium, la démarque est aussi notable. Et il en est de même lorsqu'on s'intéresse aux derniers processeurs X64 quadri-coeurs. Le secret de cet avantage réside dans la manipulation de la PVU (Processor Value Unit), unité de compte qu'IBM attribue à chaque coeur des processeurs qu'il supporte. C'est à partir de ces PVU que sont calculés les tarifs des 350 logiciels commercialisés par IBM en 1300 versions différentes. On y trouve, parmi les plus connus, DB2, WebSphere, Lotus et Tivoli. L'écrasante majorité des processeurs actuels (Opteron, Xeon, PowerPC...) est dotée d'une PVU de 50 par coeur. Les choses deviennent plus complexes - et subtiles - lorsqu'on s'intéresse aux puces dotées de plus de deux coeurs qui viennent chatouiller IBM sur des configurations plus musclées. Ainsi, le Sparc T1 de Sun, qui est le seul aujourd'hui à embarquer huit coeurs, voit chacun d'entre eux notés 30 PVU. Au total, cela donne 240 PVU qui font flamber la facture logicielle pour ce processeur. De même, IBM attribue 50 PVU a chacun des coeurs des processeurs X64. Avec une PVU totale de 200, les vrais/faux quadri-coeurs Xeon d'Intel, qui n'apportent qu'un gain de 50% de performances par rapport aux bi-coeurs sont donc nettement désavantagés. Pour IBM, c'est sans doute la meilleure méthode pour maintenir en vie et faire croître l'écosystème autour de ses processeurs Power. Avec ceux des Alpha (DEC), des Mips (Silicon Graphics) et des PA-Risc(HP), le cimetière des architectures processeurs est déjà bien rempli de cadavres. (...)
(10/07/2007 16:45:05)AMD baisse de 25% le prix de ses processeurs de bureau
AMD revoit en moyenne de 25% le prix de ses processeurs pour machine de bureau. Notons, outre le haut de gamme Athlon 64 FX-64 à 3 GHz, dont le prix par paire chute de 25% à 600$, six modèles bicoeurs qui passent sous la barre des 100$. A noter la disparition des Athlon 64x2 3600 et 3800 et la présence deux processeurs monocoeurs sous la barre de 50$. Les prix des processeurs AMD pour portables ne changent pas. On attend la réponse d'Intel à AMD avant la fin du mois. Le 22 juillet exactement. (...)
(10/07/2007 16:26:09)Intel met un pied dans VMWare
Après avoir misé sur SWSoft en 2005 et Virtual Iron, Intel Capital investit aujourd'hui dans leur rivale, VMware, à hauteur de 218,5 M$. En échange, Intel recevra environ 2,5 % des actions de la société (dont moins d'1 % des actions avec droit de vote) et l'un de ses directeurs intégrera le conseil d'administration de VMware. Plus qu'un simple bon placement financier, ce choix est surtout pour Intel une façon détournée de doper la présence de ses processeurs - qui intégrent des outils de virtualisation - sur le marché professionnel. En effet, si la virtualisation fait une entrée en force dans les salles de serveurs, elle se positionne surtout sur les serveurs de milieux de gammes utilisant des processeurs x86 fournis par Intel ou par AMD. Intel et VMware ont d'ailleurs signé à côté de cet investissement un accord de partenariat technologique pour « accélérer l'adoption des outils de virtualisation VMware sur des architectures Intel ». SWSoft, qui a bénéficié d'un coup de pouce similaire d'Intel en 2005, reconnaît que l'apport en a été plus que bénéfique : « L'investissement monétaire était plus qu'utile, mais la relation de travail qui s'en est suivie était encore d'une plus grande valeur, » affirme Serguei Beloussov, directeur exécutif de SWSoft. « Pour nous, travailler avec Intel nous a permis d'avoir des produits plus efficaces et commercialisés plus vite. » Si cet accord n'inquiète pas SWSoft, plutôt positionné sur les PME et le grand public, c'est en revanche une mauvaise nouvelle pour Microsoft qui a fait de la virtualisation l'un des principaux composants de Windows Server 2008. (...)
(09/07/2007 14:36:16)AMD investit 7,5M$ dans Transmeta
AMD, pourtant mis en difficulté par des ventes moyennes de ses processeurs et toujours occupé à digérer ATI, vient d'investir 7,5 M$ dans Transmeta, spécialiste du processeur basse consommation. Bien que conséquente, cette somme ne lui permet pas de devenir actionnaire principal de l'entreprise. Il s'agit plutôt officiellement d'assurer la survie d'un allié important pour le développement de puces à basse consommation, qu'il pourra ensuite utiliser dans ses portables pour contrer les Centrino d'Intel. Rappelons également qu'AMD a annoncé l'année dernière qu'il revendrait les puces Efficeon de Transmeta sous sa propre marque. Officieusement, il s'agit aussi de soutenir un allié judiciaire contre Intel. Dans un procès en cours au Delaware, Transmeta défend que tous les processeurs x86 d'Intel depuis le Pentium Pro violent jusqu'à 10 de ses brevets. L'ex-étoile montante des processeurs économes, en mauvaise santé, a affiché pour le premier trimestre de son exercice fiscal 2007, une perte de 18,7M$, contre une perte de 1,6 M$ par rapport à la même période en 2006. (...)
(03/07/2007 14:33:34)Dell met du VMWare dans ses prochains serveurs
Dell aurait-il cédé aux sirènes de la virtualisation ? C'est ce que portent à croire différents témoignages de clients privilégiés du fabricant texan. Aux dires de ceux-ci, la prochaine ligne de serveurs de Dell, baptisée VESO, disposera en natif d'outils de virtualisation, fournis par VMWare. Attendue pour l'automne, cette ligne de produit aura des capacités d'entrées/sorties et de mémoire étendues, des services de migration d'un environnement physique à un environnement virtuel. Et surtout un hyperviseur intégré : l'ESX Lite de VMWare. Si pour l'instant, Dell refuse à confirmer cette information, l'idée semble bien accueillie par les analystes. Pour Gordon Haff, d'Illuminata Group, intégrer la virtualisation dans les serveurs dès le départ est une tendance « incroyablement évidente » pour les constructeurs : « Si les rumeurs sont vraies et que Dell fait du travail correct, comment les autres revendeurs de serveurs X86 pourraient ne pas suivre cet exemple ? » (...)
(02/07/2007 17:49:38)AMD et Intel : la bataille des processeurs se prépare pour août
Pas de trêve estivale en vue dans la guerre entre Intel et AMD. Alors que ce dernier clame qu'il va livrer comme promis les premiers exemplaires de son quadri-coeur Barcelona au mois d'août, Intel se prépare à lui couper l'herbe sous le pied en prévoyant de commercialiser une version plus basse consommation de ses Cloverton, ces Xeon 5300 bi-double coeurs qui lui ont permis de reprendre la tête de la course à la performance depuis la fin de l'an dernier. Cela veut dire qu'à la rentrée scolaire, les gammes de serveurs auront beaucoup bougé. AMD n'avait pas besoin de cela. Afin de tenir sa promesse de livrer les Barcelona à la mi-2007, le fondeur va sortir des modèles à 1,9 et 2 GHz. Leurs performances, si elles surpassent de 50% celles des bi-coeurs Opteron actuels, ne seront pas suffisantes pour reprendre nettement le dessus sur les Cloverton d'Intel. D'après les analystes, il faudra attendre le quatrième trimestre pour voir arriver des versions plus rapides, à 2,5 GHz, de Barcelona à même de traduire, dans les faits, la promesse d'AMD de fournir un chip 40% plus performant que les Intel Cloverton. Mais, à cette époque, la donne pourrait avoir changé : Intel prévoit de livrer Harpertown, son premier quadri-coeur qui sera, de plus, produit en 45 nanomètres. D'ici là, Intel, qui claironne avoir déjà livré plus d'un million de Xeon 5300, ne reste pas inactif. Son annonce d'août viendra renforcer sa position là où elle est la plus faible : au niveau de la consommation électrique. On prête à Intel le projet d'annoncer des Cloverton 2 GHz qui ne consommeraient que 50 watts alors que chez AMD, on est plus proche des 100 watts. (...)
(02/07/2007 17:41:25)IBM met les supercalculateurs à portée des entreprises
IBM a beau se prévaloir de son implication dans l'Open Source, pour le calcul haute performance (HPC), la société n'accorde plus une confiance indivisible à Linux. Ni même à son Unix maison. En effet, pour convaincre les entreprises d'intégrer des supercalculateurs dans leurs salles de serveur, Big Blue - comme HP avant lui - a préféré s'allier avec Microsoft. Pour cela, le groupe a modifié son système existant (l'IBM Cluster 1350) pour y intégrer Windows Computing Cluster Server (CCS) 2003, le multicoeur des BladeCenter les serveurs System x, et enfin de nouvelles options de stockage et de connexions au réseau. Ce choix est motivé par la volonté d'IBM de conquérir de nouveaux clients pour ses grappes de calculs dans l'industrie de la finance. Et donc de leur proposer une interface plus familière avec le logiciel de Microsoft. Selon Wendy McGee, directrice System X chez IBM : « Le Nasdaq et la bourse de New York vont avoir besoin d'infrastructures, de solutions créées pour faire des calculs extrêmement intensifs. » Pour les utilisateurs qui préfèrent Linux, l'IBM Cluster 1350 est aussi disponible avec Novell SuSE Linux Enterprise Server 10. La configuration allant de deux à plusieurs milliers de serveurs dans une même grappe, le prix varie suivant les produits choisis. (...)
(28/06/2007 09:11:24)Super calculateurs : Blue Gene/L toujours et encore le plus puissant
D'un semestre à l'autre, le Blue Gene/L d'IBM reste campé à la plus haute marche du Top 500 des super calculateurs. Big Blue perd en revanche son rang de premier vendeur au profit de HP. Sur les 500 systèmes répertoriés, 38,4% sont en effet estampillés IBM alors que HP en compte 40,4%. Il y a un an, les super machines IBM représentaient près de la moitié de toutes celles recensées dans le classement biannuel réalisé par Linpack. Le Blue Gene/L installé au ministère américain à l'Energie n'a pas eu à forcer son talent pour conserver la tête du benchmark. Il affiche une puissance de calcul de 280,6 teraflops (milliers de milliards d'opérations par seconde), soit exactement la même valeur qu'il y a un an et deux fois mieux que son premier poursuivant, le Jaguar de Cray. IBM travaille au successeur du Blue Gene/L et prépare le /P qui devrait être capable d'afficher une puissance de 3 petaflops. Le classement révèle par ailleurs que l'utilisation des processeurs Intel dans les super calculateurs est en hausse. 58% des machines listées sont équipées de puces Intel alors qu'elles étaient 52,5% il y a six mois. Parallèlement, AMD recule de 1,6 point, à 21%. Notons pour finir la percée des calculateurs installés en Europe. Alors qu'ils n'étaient que 83 à figurer dans les 500 machines les plus puissantes du monde en 2006, ils sont désormais 127. De leur côté, les Etats-Unis voient leur nombre de super machines reculer de 298 à 281. (...)
(27/06/2007 16:52:29)Le HPC met l'industrie high-tech en émoi
Une nouvelle source de revenus privilégiés se profile à l'horizon pour l'industrie informatique. En effet, IDC indique que le segment des serveurs HPC (High-performing Computing ou calcul haute performance) connaît une croissance de près de 20% par an. Selon Earl Joseph, chef du département HPC chez IDC, ce marché devrait générer md$ de revenus en 2007 et croître de 19,2%. Cette croissance s'expliquerait selon lui par un coût de revient plus faible par rapport aux super-calculateurs, alors que dans le même temps les performances de ces serveurs dédié se sont accrues. Si les utilisateurs s'y intéressent, notamment pour traiter les données de leurs outils décisionnels, les fabricants semblent eux aussi avoir un regain d'intérêt pour ces techniques. Ainsi, SGI fait un retour remarqué sur ce marché avec le lancement de serveurs lames dédiés. Son offre, le SGI Altix ICE 8200, peut contenir jusqu'à 128 processeurs quadricoeurs dans un même rack pour délivrer, selon la société, une puissance de calcul de 6 teraflops. Ce système est livré avec SuSE Linux Entreprise Server 10 et des outils maison pour faciliter le calcul haute-performance sous Linux. Le tout pour un prix de départ d'environ 350 000 dollars. Pour HP et Microsoft, qui ont déjà tous deux une offre sur ce secteur, l'intérêt est plutôt de séduire de nouveaux clients. Pour cela, les deux sociétés ont décidé de promouvoir dans un même package, les serveurs HPC d'HP et le Windows Computing Cluster Server (CCS) 2003. Ils ont même convaincu l'éditeur Ansys de porter ses logiciels d'aide à la conception Ansys 11 et Flunet 6.3 sur cette plateforme. Enfin, Intel a lancé deux technologies pour aider à la mise en place d'une grappe de calcul. La première, Intel Cluster Ready, fournit des spécifications de compatibilité en logiciels et matériels pour pouvoir rapidement assembler une grappe en fonction des besoins et répliquer à l'identique une autre grappe existante. La deuxième, Intel Connects Cable, vise à remplacer les câbles de cuivre dans les ports d'entrée/sortie par des matériaux plus légers et plus courts, pour permettre des échanges de données plus rapides d'un serveur à l'autre. (...)
(26/06/2007 16:05:29)Sun se relance dans la course au supercalculateur
Lors de l'ISC (International Supercomputer Conference) qui se déroule actuellement à Dresde en Allemagne, Sun a annoncé son nouveau supercalculateur : le système Constellation. Contrairement aux autres systèmes - tel le Blue Gene d'IBM -, celui-ci se base sur des composants entièrement standard. « Nous avons essayé de prendre tous les éléments que les clients utilisaient pour avoir un cluster haute-performance, et de les assembler dans un produit que vous pouvez acheter en l'état », explique Michael McNerneau, directeur des ventes serveurs lames chez Sun. Le résultat est une grappe de 48 serveurs lames sous Linux ou OpenSolaris, ayant une puissance de calcul maximale de 1,7 petaflops. Le seul élément propriétaire de l'ensemble est le switch - baptisé Magnum - doté de 3456 ports d'entrées/sorties avec une bande passante de 110 téraoctets par seconde. Pour son stockage, Constellation s'appuiera sur deux serveurs Sun Fire X450 dotés de processeurs AMD Opteron Barcelona et 16 G0 de mémoire, le tout pour un espace de stockage de 48 T0. Côté logiciels, Sun fournit OpenSolaris mais également un ensemble de logiciels de gestion de la charge de travail, comprenant Sun Studio 12 et Sun HPC Cluster. Le premier modèle de Constellation en production devrait être installé d'ici le 15 octobre prochain au TACC (Texas Advance Computing Center) de l'université du Texas. A condition qu'AMD puisse livrer ses processeurs Barcelona à temps. Il ferait alors une entrée directe dans le peloton de tête des 500 supercalculateurs les plus puissants. En effet, ce premier modèle disposera d'une puissance de calcul de 420 teraflops, loin devant le Blue Gene / L en production au Lawrence Livermore Lab et ses 280 teraflops. En attendant la prochaine génération de Blue Gene annoncée par IBM. (...)
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