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Infrastructure serveur

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(12/07/2006 18:05:52)
Une solution serveur intégrée IBM pour JD Edwards
IBM lance une solution intégrée combinant serveur et logiciel pour héberger le PGI de JD Edwards, propriété d'Oracle. Baptisé IBM System i520 Solution Edition for Oracle's J.D. Edwards EnterpriseOne, le package s'adresse avant tout aux entreprises de moins de cent employés. L'ensemble s'appuie sur un serveur iSeries 520 (nouveau nom des AS/400) motorisé par les processeurs Power 5 de la marque, ainsi que sur l'OS maison I5. Big Blue précise qu'il supporte également Windows, Linux et AIX. Disponible dès le 11 août, la solution devrait être commercialisée au prix de 21 921 $. La tarification et la disponibilité pour l'Europe ne sont pas actuellement communiquées. L'offre est une bonne nouvelle pour Oracle dans sa tentative de conserver la confiance des clients des sociétés qu'il a rachetées. En avril dernier, l'éditeur avait ainsi confirmé son engagement auprès des 5 000 utilisateurs JD Edwards, en prolongeant après 2013 le support du PGI sur les serveurs IBM iSeries. Selon IBM, le marché des PME couvre 20% de son chiffre d'affaires annuel. (...)
(12/07/2006 18:04:07)[MàJ] L'UE inflige à Microsoft une amende de 280,5 M€
Le couperet est de nouveau tombé. La Commission européenne, exaspérée par l'attitude de Microsoft à ne pas se conformer à la décision de 2004, inflige à l'éditeur de Redmond une amende de 280,5 M€. Une sanction financière toutefois moins lourde que celle infligée en 2004, qui s'élevait alors à 497 M€. Cette première amende avait été versée suite au verdict de la Commission qui condamnait Microsoft pour abus de position dominante sur le marché des OS. Parmi les sanctions, la Commission avait également sommé l'éditeur de développer une version de Windows sans le Media Player et de fournir les protocoles de communications de ses OS serveurs. Aujourd'hui, la Commission sanctionne Microsoft pour ne pas avoir respecté ce dernier point selon le calendrier fixé initialement. L'éditeur a par ailleurs jusqu'au 18 juillet prochain pour soumettre une version finalisée de l'ensemble des documents techniques. A l'issue de cette date, Microsoft pourrait se voir infligé une pénalité journalière de 3M€. La Commission avait initialement menacé Microsoft d'une amende de 2 M€ par jour. Le montant de l'amende de 280,5 M€ est calculé sur une base de 1,5 M€ par jour, du 15 décembre au 20 juin. Lors d'une conférence de presse, la commissaire européenne Neelie Kroes, qui succède à Mario Conti, a déclaré que la Commission ne pouvait plus tolérer qu'une telle conduite illégale se poursuive indéfiniment. Et "n'avait alors plus d'autres alternatives que d'infliger à Microsoft une amende". Elle reconnaît toutefois que les efforts fournis par l'éditeur ont été "contructifs". "Presque 50% de la documentation est examinée par un comité. Microsoft a réalisé un excellent travail au cours de ces trois dernières semaines. Mais pourquoi ne pas l'avoir fait avant?" La Commission avait donné 120 jours à Microsoft pour se conformer à sa décision de 2004. En mars 2005, puis en juin dernier, à bout de nerfs, elle avait menacé l'éditeur de sanctions financières supplémentaires. La semaine dernière, Bruxelles avait obtenu le feu vert des 25 régulateurs européens pour sanctionner Microsoft. Microsoft : "une sanction inappropriée" Microsoft a immédiatement rejeté la sanction. Brad Smith, directeur des affaires juridiques de l'éditeur à Bruxelles, outré, juge le niveau de la sentence injustifiée et estime l'amende "inappropriée au regard des efforts, de bonne foi, fournis par Microsoft pour se conformer au jugement de 2004". "L'amende est plus importante que celle infligée par la Commission dans le pire cas de violation de la loi", s'indigne-t-il. Et de nouveau de pointer du doigt le manque de clarté des demandes de la Commission dans son précédent jugement. Ainsi, Microsoft prévoit de faire appel auprès de la Cour européenne qui devrait alors déterminer si, oui ou non, la sanction était justifiée, et les efforts de Microsoft à s'y conformer suffisants. (...)
(11/07/2006 14:56:51)Trois serveurs Opteron de plus dans la famille Sun Galaxy
Sun complète sa famille Galaxy de trois serveurs moyenne gamme, positionnés pour les centres de données. Les Galaxy, présentés en septembre dernier, incarnent la stratégie de Sun de prendre la quatrième position des constructeurs de serveurs x86, en s'appuyant sur les processeurs Opteron d'AMD, moins gourmands en énergie. D'ores et déjà, indique Lisa Sieker, vice-présidente marketing systèmes, le constructeur est passé sur ce marché de la seizième place en 2003 - année du choix d'AMD - à la sixième place en 2005. Après les serveurs d'entrée de gamme présentés en septembre, viennent donc des modèles beaucoup plus puissants. Le Sun Fire X4600 peut accueillir jusqu'à huit puces double-coeur, visant clairement le marché de la consolidation. « La consolidation au travers de la virtualisation est une tendance lourde du marché aujourd'hui, explique Lisa Sieker. Les clients peuvent consolider 50 serveurs Xeon sur un seul Sun Fire avec le X4600. » Sun a même poussé le vice jusqu'à créer un supercalculateur, à l'Institut de technologie de Tokyo, à destination des 10 000 étudiants ingénieurs, avec la participation de NEC : le système comporte 655 serveurs équipés chacun de huit Opteron double coeur, soit 10480 coeurs... Et ce nombre devrait doubler avec un passage au quadruple-coeur en 2008. Le Sun Fire X4500 est ce que Sun appelle un serveur hybride, combinant un serveur deux voies avec 48 disques S-ATA, pour une capacité totale de 24 To de stockage. Le tout dans un rack de 4U d'épaisseur (moins de 18 cm). Enfin, le Sun Blade 8000 est un châssis équipé d'un système de ventilation et de son propre système d'entrées-sorties (ce qui simplifie la configuration en cas de changement de lames), capable d'accueillir dix serveurs lames - davantage que les châssis comparables de HP ou IBM. (...)
(04/07/2006 09:27:59)Unisys troque ses puces CMOS pour de l'Intel
Unisys, à la recherche d'un second souffle, envisage d'abandonner les processeurs CMOS au profit de puces Intel. Le constructeur prévoit de livrer ses premiers mainframes haut de gamme ClearPath à base de Xeon fin 2007. Et pour finaliser la migration, la société entend également doter MCP et OS 2200 -les deux OS maison du constructeur- du support de Windows et Linux. Intel n'est pas un inconnu des mainframes ClearPath. Les processeurs du Californien motorisent déjà les systèmes ClearPath milieu et bas de gamme, qui tournent sous MCP. Unisys précise par ailleurs qu'il en poursuivra le développement et le support. Après l'annonce de résultats catastrophiques au premier trimestre de son exercice fiscal, Unisys est à la recherche de leviers de croissance. Mi-juin, la constructeur se tournait alors vers l'open source, espérant y trouver son salut. L'éventuel abandon de CMOS pour Intel serait la deuxième mesure d'économie d'ampleur prise par Unisys pour redresser la barre. (...)
(04/07/2006 09:28:21)Météo France quintuple ses performances de calcul [corrigé]
Le centre de calcul toulousain de Météo France recevra à la fin de l'année un ordinateur vectoriel NEC SX qui, à sa mise en service vers mi-2007, devrait s'avérer cinq fois plus rapide que le supercalculateur Fujitsu VPP 5000 à 1,2 téraflops actuellement en usage. Météo France prévoit même une mise à jour dans trois ans, « pour atteindre 21 fois la vitesse de l'ordinateur actuel : il sera alors capable de traiter environ 28 billions (millions de millions [voir encadré, NDLR]) d'opérations informatiques par seconde ». L'intérêt d'un ordinateur vectoriel, par rapport à l'architecture scalaire des ordinateurs classiques, est de pouvoir paralléliser les calculs, les processeurs pouvant commencer de nouvelles opérations avant que celles en cours ne soient terminées. Mais, ces architectures sont plus onéreuses, et nécessitent des modèles de programmation plus complexes. Météo France a développé plusieurs millions de lignes de code en Fortran 90 qui devront être adaptées. Il y a deux ans, Dominique André, directeur adjoint des systèmes informatiques, expliquait au Monde Informatique : "On passe presque autant de temps à recoder les sources dans la forme la plus adaptée à l'architecture matérielle qu'à faire des sciences !" Météo France estime que la puissance apportée par le supercalculateur NEC lui permettra de mailler le territoire avec une précision de 2,5 kilomètres. D'après l'institut, ce superordinateur est un des dix plus puissants d'Europe. (...)
(30/06/2006 09:57:14)Sun va intégrer Xen à Solaris
Selon nos confrères américains d'Eweek, Sun a officialisé l'incorporation prochaine de Xen dans Solaris x86. Citant des propos de Tim Marsland, le directeur de la technologie systèmes d'exploitation du constructeur (CTO of operating platforms), eWeek indique que Sun promet l'arrivée d'ici 4 mois de Xen dans Open Solaris. Comme cela a été le cas pour ZFS, la technologie de virtualisation développée par l'Université de Cambridge devrait ensuite être incorporée dans la version commerciale de Solaris, vraisemblablement d'ici à la mi-2007. Depuis presque un an, Sun ne cache pas qu'il travaille sur Xen. Après quelques tests avec Xen 2.0, les développeurs de l'OS de Sun sont proches d'une implémentation satisfaisante de Solaris sur Xen 3.0. A JavaOne, la firme a renouvelé son intérêt pour la technologie de XenSource qu'elle considère comme un complément à sa technologie de partitionnement logiciel à base de conteneurs. L'intégration d'un hyperviseur dans Solaris pourrait par exemple faciliter la cohabitation de l'OS avec Linux sur les mêmes serveurs. Il est à noter toutefois que Sun travaille par ailleurs avec la communauté Open Solaris sur BrandZ (ex-projet Jonas), qui permettra l'exécution transparente de programmes Linux dans Solaris x86. (...)
(29/06/2006 18:39:23)Dell améliore son offre de support aux grands comptes
Dell a lancé hier une nouvelle offre de service pour ses grands clients baptisée Platinum Plus, qui permet aux entreprises disposant de plus de 100 serveurs de la marque de bénéficier de services améliorés. Les clients qui souscrivent à l'offre Platinum Plus bénéficient d'un support 24x7 pour leurs matériels et leurs logiciels, mais aussi d'un service prioritaire pour l'envoi de pièces détachées afin d'assurer 100% des interventions en moins de 4 heures. Platinum Plus permet au client de suivre en temps réel les activités de support qui le concernent au travers d'une interface Web 2.0 de type Mashup, combinant des informations de Google Earth Pro avec les informations logistiques en temps réel fournies par Dell. Un autre outil permet aux entreprises de se benchmarker face à leurs concurrents sur des questions comme le support aux utilisateurs, la disponibilité des serveurs.... L'objectif est d'aider les entreprises à améliorer leurs processus de support pour les aligner sur les meilleures pratiques de l'industrie. (...)
(29/06/2006 18:30:02)Blue Gene toujours en tête du Top 500 des super calculateurs
Alors que la conférence internationale sur les supercalculateurs bat son plein à Dresde en Allemagne, le site Top500 a publié hier sa mise à jour semi-annuelle de la liste des supercalculateurs les plus performants de la planète: IBM truste les trois premières places. La liste Top500 classe les supercalculateurs de la planète en fonction de leurs performances au test linPack, un benchmark contesté mais qui, à défaut de mieux, fait pour l'instant office de baromètre pour la météo mondiale des superordinateurs. Au jeu du benchmark LinPack, le plus fort reste pour l'instant Blue Gene/L, le supercalculateur conçu spécifiquement par IBM pour les laboratoires Lawrence Livermore du ministère de l'énergie américain. Blue Gene/L affiche une performance en crête de 367 Tflops et une performance soutenue de 280,6 Tflops. Au deuxième et au troisième rang viennent d'autre machines signées Big Blue, Blue Gene Watson (IBM Labs), avec 40 960 processeurs et un résultat de 91,3 Tflops et ASCI Purple (Lawrence Livermore National Laboratories) avec 12 208 puces Power 5 à 1.9 GHz et 75,8 Tflops. Le Cluster Itanium à base de serveurs Altix assemblé par SGI pour la Nasa occupe la 4e place avec 51,8 Tflops suivi par le Tera-10 assemblé par Bull pour le CEA avec 42,9 Tflops. Notons pour la petite histoire que Tera-10 utilise des puces qui ne sont officiellement pas disponibles (à savoir des Itanium 2 "Montecito")... Parmi les nouveaux venus figurent le Cluster "Thunderbird" des Sandia National Laboratories assemblé par Dell (9024 Xeon 3.6 GHz et 38,3 Tflops) et le Cluster Tsubame assemblé par Sun pour l'institut de technologie de Tokyo à partir de serveurs Opteron. Tsubame embarque 5 184 puces Opteron bi-coeur et des co-processeurs signés ClearSpeed. Lors de ses premiers tests préliminaires, il a atteint une performance LinPack de 38,2 Tflops. L'Earth Simulator de NEC, lancé en 2002 et qui a longtemps dominé le classement, figure toujours dans le Top 10 avec une performance de 35,9 teraflops. Globalement la performance cumulée des systèmes classés dans le Top 500 a augmenté de près de deux tiers en un an et il faut aujourd'hui plus de 4,7 Tflops pour figurer dans le Top100. HP et IBM dominent le classement avec respectivement 240 et 157 machines. Les USA concentrent 60% des plus grands systèmes de la planète loin devant l'Asie et ses 93 systèmes et l'Europe avec ses 83 systèmes. (...)
(28/06/2006 18:35:14)Les serveurs x86 Dell, bêtes noires des utilisateurs américains
Gabriel Consulting Group, un cabinet d'étude plutôt connu jusqu'alors pour ses études de satisfaction sur les serveurs Unix a présenté récemment les résultats d'une étude de satisfaction sur les serveurs x86 dans les grandes entreprises. Menée au premier trimestre auprès de 212 grandes entreprises américaines avec en moyenne 25 à 50 serveurs et 4000 à 10000 salariés, l'étude place IBM en tête pour la technologie mais aussi pour la satisfaction client et relègue Dell au quatrième rang loin derrière Sun. Rappelons que Dell est le premier vendeur de serveurs x86 aux Etats-Unis. Bref, les serveurs les plus achetés aux Etats-Unis seraient aussi ceux sur lesquels les utilisateurs portent le jugement le plus critique. Selon GCC, les utilisateurs interrogés ont classé IBM premier pour sa technologie (une note sur 13 critères couvrant des points tels que la performance des systèmes, l'aptitude à la montée en charge, la fiabilité...). Big Blue obtient une note globale de 103 contre 96 pour HP, 88,7 pour Sun et 60,6 pour Dell. IBM est notamment plébiscité pour sa technologie et la performance de ses machines, tandis que HP mène pour les critères de fiabilité, de simplicité d'administration et de maintenance. Dell est classé 4e sur tous les points évalués. Côté satisfaction client, un point sur lequel Dell vante sa supériorité du fait de son modèle direct, le constructeur Texan est aussi classé 4e, avec une note de 70,8, contre 80,6 pour Sun, 88,1 pour HP et 95,6 pour IBM. Big Blue est n°1 pour ses capacités d'architecture et de service et pour sa tenue des plans produits. HP, de son côté, est n°1 pour ses innovations et son aptitude à supporter Linux, ainsi que pour la qualité de sa force de vente. Il est à noter que la plupart des utilisateurs interrogés estime qu'HP sera le numéro un mondial des serveurs x86 à cinq ans. Pas de quoi rassurer Dell. (...)
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