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(28/10/2010 16:07:34)

1er étude Médiamétrie sur l'Internet mobile : Google caracole en tête

Après l'audience des médias traditionnels (TV, radio, cinéma, etc.) et de l'Internet fixe, Médiamétrie dissèque désormais la consultation du Web depuis les téléphones mobiles. Cette nouvelle mesure trimestrielle, élaborée conjointement avec l'AFMM (Association française du multimédia mobile) et les opérateurs (Bouygues Telecom, SFR et Orange), analyse les audiences des sites, des portails et des applications consultés via l'Internet mobile.

"L'usage de l'Internet mobile continue de s'accélérer à travers le développement des réseaux 3G, le succès des offres d'accès à l'Internet Mobile et l'arrivée des smartphones : au 3ème trimestre 2010, la France compte 45,9 millions de personnes équipées de téléphones mobiles et 13,7 millions de mobinautes dernier mois" explique Franck Abihssira, président de l'AFMM.

Sans surprise Google en tête

Le premier classement de l'audience de l'Internet mobile en France place Google en tête. Au cours du troisième trimestre 2010, le moteur de recherche et ses services associés (Google Maps, YouTube, etc.) totalisent 9.286.973 visiteurs uniques. A titre de comparaison, Google représente 35,25 millions de visiteurs uniques (septembre 2010) sur l'Internet fixe, où il domine également le classement.

Les sites et applications d'Orange pointent en deuxième position (quatrième sur l'Internet fixe), avec 8,62 millions de visiteurs uniques de juillet à septembre. Facebook est le troisième site le plus consulté sur les mobiles, avec 8,14 millions de visiteurs uniques sur cette période (près de 25 millions sur l'Internet fixe en septembre).

Suivent les opérateurs SFR et Bouygues Telecom, avec respectivement 7,32 et 4,7 millions de visiteurs uniques, Apple (4,2 millions), PagesJaunes (3,7 millions), les sites et services en ligne de Microsoft (3,6 millions), le portail Yahoo! (près de 3 millions), et le groupe Wikimédia, qui édité l'encyclopédie en ligne Wikipédia (2,84 millions).

Les médias bien placés

Aux vingt premières places de ce classement figurent aussi des sites et applications de médias, comme Lagardère (Europe 1, Elle, Paris-Match, etc.), TF1, Le Figaro (1,96 million de visiteurs uniques) ou Le Monde (1,57 million), le site de la SNCF, mais aussi la plateforme vidéo Dailymotion (1,63 million), le portail cinéma AlloCiné et Météo France.

Cette mesure repose sur la collecte exhaustive et anonyme des connexions de l'ensemble des téléphones mobiles sur les réseaux des trois opérateurs historiques, et sur un panel représentatif de 10.000 mobinautes. Le baromètre prend en compte les consultations via les téléphones mobiles, et exclut de la mesure les autres terminaux mobiles comme les baladeurs Wi-Fi ou les tablettes Internet. Pour des raisons de confidentialité ou de contrainte technique, les smartphones BlackBerry, les navigations sécurisés en "https", la navigation via le logiciel Opera, et les clients des opérateurs mobiles virtuels (MVNO), sont également écartés du panel.

Au total, cette première étude a porté sur 5.286 sites et 407 applications mobiles.

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(28/10/2010 13:56:18)

Google rehausse sa recherche locale

Google a revu la manière dont son moteur organise et présente les informations de services locales. Elle a notamment éliminé certaines rubriques qui avaient tendance à se chevaucher, et a réuni les informations pertinentes pour les afficher au même endroit dans la page de résultats. En plus de ces améliorations, Google a renommé son service de recherche locale, maintenant appelé Place, et l'a ajouté comme option dans le menu situé en haut à gauche de la page de résultats.

Désormais, lorsque les utilisateurs rechercheront un restaurant, un parc, une école, un hôtel, une entreprise et d'autres lieux de proximité, Google affichera les résultats en tête de page. Le nom du lieu sera accompagné de l'adresse, d'une vignette image, de ses numéros de téléphone, du repère qui permet de le situer sur une carte Google Maps, plus des liens vers des sites comme Yelp, Citysearch, Zagat et TripAdvisor où on peut accéder à des articles sur le lieu en question, s'il y en a. « Plus de 20% des recherches sur Google sont liées à une demande de localisation, ce qui représente un pourcentage très important,» a déclaré Jackie Bavaro, chef de produit chez Google. « Nous voulons rendre la recherche relative à la localisation plus rapide et plus facile, » a-t-elle encore déclaré. « Place Search, qui sera déployé au niveau mondial en plus de 40 langues au cours des prochains jours, permet actuellement d'accéder à des centaines de millions de sites rapportant à plus de 50 millions de lieux physiques, » a-t-elle ajouté.

Améliorer la visibilité web des petites entreprises

L'annonce de Place Search se situe juste après le lancement de Boost effectué par Google cette semaine, un programme de recherche de publicité conçu spécifiquement pour les entreprises locales. Depuis des années, Google fourni déjà aux petites entreprises le moyen de signaler leur activité dans un répertoire d'adresses appelé Local Business Center - et renommé Places il y a quelques mois - dans lequel pouvaient figurer leur adresse, les heures d'ouverture, des photos, leurs numéros de téléphone, et des liens vers leur site Internet. « Ce n'était qu'un élément d'une aventure beaucoup plus importante pour Google, » a déclaré l'analyste Greg Sterling, de Sterling Market Intelligence.

Avec Place Search et Boost, Google veut saisir l'opportunité de mieux servir les utilisateurs finaux à la recherche d'information sur les entreprises de proximité, mais aussi d'attirer les annonceurs locaux, en particulier les sociétés et commerces de petite taille, traditionnellement difficiles à cibler, » a commenté Greg Sterling.

 

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(28/10/2010 12:01:51)

Le patron de Google s'excuse d'une gaffe sur Street View (MAJ)

Eric Schmidt, patron de Google, est revenu sur ses propos, après qu'il ait suggéré aux malheureux utilisateurs du web dont la maison était affichée sur le site Street View de déménager. Au cours d'une interview accordée à CNN, la journaliste Kathleen Parker avait questionné le dirigeant sur les aspects de confidentialité de Street View. Eric Schmidt avait alors répondu : « Street View poursuit sa route, quoiqu'il en soit, alors, les utilisateurs n'ont qu'à déménager, pas vrai ? ». Suivirent des rires, rendant le message peu clair, dans la mesure où l'on ne savait pas si ce dernier plaisantait ou non.  En dépit du fait que ce commentaire ait été coupé de l'enregistrement final, une vidéo de la gaffe d'Eric Scmidt a été diffusée sur internet.

Des données accidentellement collectées par les voitures Street View

La frénésie web concernant cette déclaration a conduit le PDG de la firme de Mountain View à clarifier le message découlant de cette interview. « Comme vous pouvez le voir dans l'entretien non diffusé, mes commentaires avaient été effectués durant un assez long allez et retour sur la question de la vie privée, et je m'en excuse. » a-t-il déclaré. Si Street View vous cause des ennuis et si vous souhaitez que votre maison soit floutée , contactez Google et nous nous en chargerons, a t-il ajouté.
Le service Street View est une extension de Maps qui fournit des photos en temps réel de villes à travers le monde. Les clichés sont effectués par des voitures Google. La gaffe d'Eric Scmidt  intervient alors que la firme a admis que les données de ses voitures Street View avaient accidentellement été collectées depuis des réseaux Wifi, incluant messages électroniques, adresses de sites web et également mots de passe.

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(27/10/2010 14:24:25)

Le PC reste la plate-forme de référence pour les réseaux sociaux

Selon cette étude, réalisée en association avec l'Agence France Presse (AFP), 93% des personnes interrogées qui surfent sur les réseaux sociaux, les blogs ou les forums, accèdent à ces plateformes depuis l'écran de leur ordinateur, contre 5% qui le font depuis leur mobile et seulement 1% depuis un téléviseur ou une tablette tactile. L'ordinateur est également l'outil le plus utilisé par les internautes pour visionner des vidéos numériques type YouTube ou Dailymotion (71%), devant le téléviseur (23%).

"Ce n'est pas complètement faux de parler de l'émergence des smartphones dans les comportements, du boom des applications et des contenus disponibles, mais il ne faut pas enterrer l'ordinateur qui reste, et de loin, le principal écran d'accès à Internet, notamment pour des raisons de confort et de taille", souligne Philippe Person, directeur de clientèle "Entertainment" chez GfK.

Sans surprise l'offre "gratuite" reste majoritaire

Cette étude fait également le point sur le type de contenus consommés par les internautes français. Ainsi, concernant les contenus "gratuits", ce sont les séries TV qui sont les plus téléchargées ou visionnées (61%), devant les films (52%), les vidéos amateurs (40%), les documentaires (30%), les clips (29%) et les actualités (29%).

En matière de livres numériques, seuls 28% des ouvrages téléchargés ou consultés par les internautes sont des titres payants, contre 72% pour des oeuvres disponibles gratuitement. Toujours au rayon livres, ce sont les titres de littérature et les romans qui sont en tête des téléchargements (55%), suivis des ouvrages "pratiques" (cuisine, jardinage, etc.).

Autre enseignement, près de la moitié (47%) des internautes qui écoutent de la musique téléchargée sur le web se la procure sur des sites peer-to-peer (Torrents, Rapidshare, etc.). Les plateformes légales type iTunes Amazon.fr ou Fnac.com arrivent en deuxième position (46%), devant les réseaux Facebook ou MySpace (29%), les sites d'artistes ou d'éditeurs (27%), les blogs (13%), et les sites des opérateurs de téléphonie mobile (12%).

La presse numérique nationale devance les autres titres

Enfin, interrogés sur leurs habitudes en termes de lecture de la presse numérique, les Français connectés qui consomment ce type de média continuent à lire, pour 56% d'entre eux, de la presse papier. La presse quotidienne nationale arrive en tête des consultations (73%), devant la presse quotidienne régionale (38%), les magazines hebdomadaires d'information (34%), la presse people (26%), la presse sport/auto (24%) et la presse magazine féminine (19%).

Ce baromètre "Référence E-Content" a été réalisé par GfK et l'AFP auprès de 1.000 personnes âgées de 15 à 65 ans.

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(27/10/2010 11:13:21)

Selon l'Idate, le très haut débit fixe et mobile va décoller

En 2014, il devrait y avoir 306 millions de foyers raccordés en très haut débit dans le monde. C'est-à-dire de foyers raccordés en fibre optique jusqu'à l'abonné ou en fibre optique en bas de l'immeuble (FTTH/FTTB). Dans le même temps, on devrait compter 207 millions d'abonnés aux réseaux mobiles LTE (Long Term Evolution), les réseaux cellulaires à haut débit, selon le cabinet d'analyse Idate, qui ne mentionne pas en revanche le Wimax.

Fin 2009, il y avait 40 millions d'abonnés aux réseaux FTTH/FTTB (Fibre to the Home et Fibre to the Building) dans le monde, soit 15% de plus que l'année précédente. Et le mouvement devrait s'accélérer de manière significative. En 2014, on atteindrait près de 306 millions de foyers raccordés en FTTH/FFTB, dont la plus de la moitié sera située en Asie, et 18% en Europe de l'Ouest. Côté abonnés, l'Europe (y compris la Russie) représente 3,5 millions de clients, avec des pays telsque la Russie, la Lithuanie ou la Slovaquie particulièrement en pointe. En fait, l'Europe de l'Est devrait afficher plus d'abonnés à la fibre optique en 2012 que l'Amérique du Nord.

La saturation déjà effective en Asie

Dans d'autres pays, en particulier en Asie, les opérateurs télécoms se sont lancés intensivement dans la promotion de ce type de services, car la saturation est déjà atteinte dans certaines zones spécifiques. Un opérateur télécoms comme HKBN à Hong Kong propose le prix le plus compétitif du marché au monde : 16 € par mois pour 100 Mbit/s. En 2014, 18 pays auront déployé des réseaux optiques vers plus de la moitié de leurs foyers, ce qui est 10 pays de plus qu'en 2009. 

Côté réseaux mobiles, l'Idate prédit un avenir radieux au LTE avec 207 millions d'abonnés à la fin de 2014.  Les services LTE vont être lancés avant la fin de 2010 au Japon et aux Etats Unis et fin 2011 - début 2012 en Europe de l'Ouest et en Chine. Les lancements récents en Scandinavie étant également comptabilisés.  L'Inde, bien entendu, ne doit pas être ignorée non plus de par son énorme population et la mise aux enchères récentes des spectres radio 3G et 4G en avril 2010, mais l'Idate ne voit pas de décollage du LTE en Inde avant 2015. 

En 2014, 10% des abonnés mobiles devraient donc avoir basculé sur les réseaux LTE, le pourcentage réel dépendant de chaque pays. Le nombre d'abonnés LTE devrait passer de 27 millions à 207 millions entre 2012 et 2014, un développement essentiellement du à l'Europe, le Japon, la Chine et les Etats Unis.

Illustration : Connecteur FreeBox optique, crédit photo D.R.

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(25/10/2010 14:32:40)

MAX 2010 : Project Rome, le logiciel de création à tout faire d'Adobe

Le projet Rome d'Adobe permet de réaliser aussi bien des documents destinés à être imprimés, comme des flyers, ou des cartes de visite, que des fichiers électroniques ou des pages à publier sur Internet. Tous peuvent contenir des éléments graphiques, des photos, du texte, de la vidéo, de l'audio, des animations, et des liens interactifs. L'outil permet aussi de créer des sites web simples, et des animations. En environnement professionnel, Rome peut servir à créer des présentations, des documents marketing, de la publicité en ligne et des sites Internet. Quant aux particuliers, ils peuvent utiliser Rome pour réaliser des carnets de vacances illustrés, des sites web familiaux, des invitations, des albums numériques, des CD et des DVD de présentation, ou tout autre projet multimédia personnel. Les enseignants se voient gratifiés d'une version spéciale éducation appelée Project Rome for Education qui leur permet de réaliser des supports de cours visuels pour exposer leurs sujets. Dans tous les cas, le logiciel permet d'enregistrer les documents aux formats PDF, SWF, JPG, PNG, SVG, ou FXG ou comme fichiers web compatibles avec tout site hébergé.

Les versions grand public - Home & Business - et la version Education de Rome permettent toutes deux de travailler avec la gamme complète de médias et supportent l'ensemble des formats et des projets disponibles. La version grand public permet de se connecter à Adobe.com avec son identifiant, l'hébergement Web et les échanges communautaires. En ce qui concerne la version destinée à l'enseignement, l'institution qui utilisera le logiciel devra disposer de Google Apps for Education et/ou du module de gestion de l'apprentissage Moodle. Rome for Education prend également en charge la protection de contenu publié sur Internet et sait gérer les contraintes liées aux modes de fonctionnement des infrastructures informatiques.

En local ou sur le cloud d'Adobe

L'application multiplateforme existe soit sous forme de programme Adobe AIR à utiliser sur le bureau soit comme service basé sur un navigateur web. Celle-ci peut en effet fonctionner en mode cloud et permet alors de partager des fichiers via Acrobat.com, Google Apps, ou via la bourse d'échange Project Rome Template Exchange. Les utilisateurs peuvent également créer des liens sur Facebook, Twitter et Google buzz pour renvoyer directement leurs visiteurs vers les créations réalisées avec Rome. Enfin, pour l'instant, le logiciel ne fonctionne pas sur les téléphones et autres appareils mobiles. Le logiciel est disponible dès maintenant en préversion gratuite, téléchargeable sur http://rome.adobe.com/ en version anglaise uniquement. Cette version peut être installée sur un PC ou un Mac doté de 2 Go de RAM, au minimum. Les utilisateurs ont également besoin de Flash Player 10.1.x et d' AIR 2.0.3 ou plus pour faire tourner l'application sur le bureau.

Adobe attend les retours des utilisateurs avant de lancer l'application dans le commerce. Le prix de la version commerciale n'a pas encore été fixé. On sait cependant que Rome sera offert comme un service sous forme d'abonnement payant.

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(25/10/2010 11:06:13)

Twitter mise beaucoup sur la pub

(Source EuroTMT) C'est chose faite, Twitter accueille la publicité. L'opération a été mise au point par Dick Costolo, qui vient d'être promu au rang de PDG en remplacement d'Evan Williams le co-fondateur de la société. La publicité va permettre à Twitter de franchir une étape cruciale : celle de la rentabilité. Une logique suivie par la plupart des sites communautaires comme Facebook qui ont déjà commencé à remplir leur page de garde de publicité. C'est d'ailleurs la raison qui a poussé la direction de Twitter à admettre la publicité, juste pour renforcer l'idée et le concept de concurrence avec Facebook.

Dans quelques jours, les choses vont donc prendre un nouveau tournant pour le site de micro-blogging qui compte aujourd'hui 160 millions d'utilisateurs, contre 3 millions seulement il y a deux ans. Hier encore, le site vivait grâce aux financements accordés par les fonds d'investissements et les sociétés de capital-risque. Les annonceurs vont arriver et vont devoir apprendre à gazouiller pour faire bref du moins au départ.  Twitter devient finalement une affaire vraiment rentable sur le long terme. C'est du moins ce qu'espère l'équipe de Dick Costolo qui table sur l'augmentation constante du nombre de visiteurs et d'abonnés au site pour attirer les annonceurs. D'autant qu'une étude publiée par le Wall Street Journal affirme que chaque annonceur serait prêt à dépenser quelque 100 000 dollars pour les publicités sur le site.

Après avoir commencé par dresser un magnifique bilan prévisionnel, la direction de Twitter a réfléchi aux modalités de présentation des annonces sur le site. C'est la fin des vieilles méthodes habituelles : bandeaux publicitaires ou newsletters. Elles ont été remisées au grenier pour faire de la place à de nouvelles formes de sponsorisation dites « plus proches de la clientèle ».

Des campagnes ciblées


Celles-ci peuvent par exemple prendre la forme d'un message instantané, d'un profil ou du résultat d'une recherche. La semaine dernière, la société a déjà réalisé un premier gros ballon d'essai avec le lancement des comptes Twitter. Moyennant une sorte de redevance payée par les annonceurs, le système peut suggérer à certains utilisateurs, de cliquer sur un profil après avoir été averti qu'il s'agit d'une annonce publicitaire. Chaque annonce sera classée dans un groupe en fonction de l'argument traité.

La plateforme adopte donc le modèle de la publicité ciblée car les suggestions de comptes aux utilisateurs se fonderont sur un algorithme s'appuyant les comptes déjà suivis par les utilisateurs. Le système publicitaire mis au point tire les enseignements d'un premier test réalisé en avril dernier avec les « promoted Tweet » : à savoir, des messages publicitaires plutôt très courts disséminés le long des pages de garde du site. Les utilisateurs pouvaient alors les consulter immédiatement, les classer pour les ouvrir un peu plus tard, voire carrément les enregistrer. La plateforme a ainsi indiqué être actuellement en test avec Hootsuite, pour proposer un service de syndication de tweets promotionnels. Selon Dick Costolo qui a tenu les comptes de cette première opération, au moins 5 % des utilisateurs accepteraient, aujourd'hui, d'ouvrir un message publicitaire.  5 % de 160 millions d'abonnés, c'est déjà un sacré point de départ. « Nous travaillons avec plus de 40 annonceurs, près de 80 % d'entre eux sont déjà devenus des acheteurs réguliers » a récemment déclaré Carolyn Penner, responsable de la communication de Twitter.

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(22/10/2010 17:47:24)

Les enfants européens de plus en plus connectés

La moitié des enfants européens n'ont aucune connaissance d'éléments basiques sur la sécurité Internet, comme savoir contrôler les paramètres de confidentialité ou bloquer les contacts indésirables. Cependant, les menaces rencontrées par les enfants sur Internet sont en diminution, selon une étude par la Commission européenne. Seulement 5% des enfants en Europe disent avoir été victimes d'intimidation en ligne, avec un maximum de 14 % en Estonie et en Roumanie.

L'enquête EUKidsOnline a interrogé plus de 23 000 enfants et un de leurs parents dans 22 Etats membres de l'UE, ainsi que la Turquie et la Norvège. Elle a constaté que, en moyenne, les enfants européens commençaient à utiliser Internet, à l'âge de sept ans, mais un tiers des enfants âgés de entre 9 et 12 estiment qu'il y a de « bons services en ligne pour les enfants ». D'une manière générale, les enfants se connectent plus tôt dans les pays nordiques, les Pays-Bas et Royaume-Uni, mais plus tard dans les pays méditerranéens. Les utilisateurs les plus actifs sont âgés de 15 et 16 ans avec un taux d'usage quotidien de 77%.

Les enfants à l'enquête déclarent utiliser l'Internet, surtout pour les travaux scolaires (84%) ou regarder des vidéos (83%), jouer (74 %) et communiquer par messagerie instantanée (61%). La grande majorité des enfants utilisent Internet à la maison (85 %) et à l'école (63%). Si les enfants utilisent principalement les ordinateurs pour surfer, un tiers d'entre eux passent par les téléphones mobiles pour accéder à Internet.

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