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(07/09/2010 12:23:47)
Les outils grand public s'invitent discrètement dans l'entreprise
Les travailleurs sur informatique sont de plus en plus nombreux à utiliser des outils issus du grand public dans leur entreprise pour accroitre leur productivité. Cette tendance sert la performance de l'entreprise mais demeure invisible pour la direction dans la plupart des cas. De ce fait, cette tendance n'est ni optimisée ni soutenue. C'est du moins l'enseignement essentiel de la dernière étude réalisée pour le compte d'Unisys sur le sujet (voir fiche technique).
Parmi les outils concernés, on trouve aussi bien du matériel (tablettes, netbooks, smartphones...) que du logiciel (messageries instantanées...) et du service (médias sociaux...). Les matériels sont souvent la propriété des salariés concernés, les comptes sur les logiciels et services également personnels. Tout cela se fait généralement en dehors de toute politique d'entreprise et est largement sous-estimé.
Des acquisitions discrètes
Ainsi, 99% (sic !) des travailleurs interrogés déclarent utiliser « au moins un appareil personnel qu'ils ont acheté eux-mêmes à des fins professionnelles ». Cette tendance est mal voire pas perçue, avec des écarts importants selon les pays. Pour prendre l'exemple du smartphone (dont le plus populaire pour cet usage reste le Blackberry), 24% des travailleurs interrogés en utile alors que seuls 6% des employeurs pensent que tel est le cas. En Grande Bretagne, les chiffres sont respectivement de 38% et 14%.
La moitié des biens de cette catégorie seraient acquis à la fois à titre privé et avec un objectif professionnel. Cela concoure à entretenir plus de confusion entre la vie privée et la vie professionnelle.
Mais certains employeurs acceptent de financer les achats
Si ces produits sont en principe achetés par les salariés à titre privé, donc avec leur argent, certains employeurs commencent à aider au financement de ces acquisitions. France et Grande Bretagne sont en avance sur de telles pratiques puisque respectivement 76% et 71% des entreprises interrogées déclarent « offrir des moyens d'achats plus flexibles à leurs employés » pour acquérir de tels outils, contre 41% aux Pays Bas et 35% en Belgique.
A l'inverse, la France est plus méfiante vis-à-vis des outils web 2.0 que les autres pays : 34% des entreprises permettent aux employés de les utiliser sur le lieu de travail contre 64% aux Pays Bas et 54% en Allemagne.
Le développement de ces pratiques devrait cependant, sous réserve d'un bon encadrement, contribuer au développement de la productivité des entreprises.
Réduire les URL en un clic sous Mac OSX
Twitter, ainsi que d'autres services en ligne, ont fait de l' URL simplifiée une tâche régulière. De telles adresses s'avèrent pratique non seulement sur les réseaux sociaux mais aussi à chaque fois qu'il s'agit de partager un lien, notamment lorsque celui-ci est long. Il existe de nombreux moyens de raccourcir les URL, certains étant même intégrés aux réseaux sociaux via des applications spécifiques. Mais pour disposer d'un tel outil à tout moment et n'importe où, des utilisateurs du site MacOSXHinters ont découvert un moyen de développer un service de ce genre via Automator, rendant possible de raccourcir toute URL dans n'importe quelle application en un seul clic.
Accélérer le micro-blogging
Pour cela, il suffit d'ouvrir Automator, logiciel d'automatisation des tâches sur Mac, et de créer un service. Dans la barre du haut, il faut régler Service Receives sur URLs, et In sur Any Application. Il faut ensuite faire glisser l'action Run AppleScript à partir de la section Utilities, et de copier le code suivant dans sa fenêtre de saisie, en remplaçant tout ce qui pouvait déjà s'y trouver :
on run {input, parameters}
return (do shell script "/usr/bin/curl 'http://qgf.in/api.php?url=" & (item 1 of the input) & "'")
end run
En dessous, il s'agit enfin de faire glisser l'action Copy to Clipboard, et de sauvegarder ce service désormais paramétré. Ceci fait, il suffira alors de faire un Contrôle-clic sur n'importe quelle URL et de sélectionner le service créé préalablement dans le sous-menu Services. L'adresse raccourcie devrait alors être disponible dans le presse-papier, prête à être collée sur Twitter, dans un email ou ailleurs.
Cette astuce utilise le peu connu service de réduction de liens « qgf.in », mais il est possible d'en mettre un autre du moment que celui-ci dispose d'API. Pour ce faire, il suffit de remplacer http://qgf.in/api.php?url= du code ci-dessus par l'adresse du service désiré sur le modèle http://nom.du.service/api?url=.
(...)
Skype propose des appels vidéo en groupe de 10
Dans un blog, Skype explique que cette fonctionnalité sera en démonstration gratuite, suggérant qu'elle deviendra payante par la suite, sans donner plus de précision sur le montant. Pour utiliser cette solution, tous les participants doivent disposer de Skype 5.0 beta 2. Cette dernière ne devrait pas être compatible avec les Mac avant la fin de l'année.
Une réponse à Google
L'annonce de ce service intervient quelques jours après celle faite par Google d'ajouter les appels en VoIP dans Gmail. Cette solution permet aux utilisateurs d'appeler gratuitement aux Etats-Unis et au Canada et de payer pour les appels vers d'autres pays. Skype autorise des appels gratuits entre ordinateurs ou terminaux connectés à Internet, mais ils deviennent payants vers les téléphones classiques, via le service SkypeOut. Les appels vidéo entre ordinateurs entre utilisateur Skype sont gratuits.
Allmyapps lève 1 M€ et rejoint IDEES de Microsoft
Allmyapps, éditeur de Allmyapps.com, plateforme de téléchargement d'applications pour Windows, annonce aujourd'hui une levée de fonds de 1 million d'euros auprès d'Elaïa Partners, une société de capital d'investissement spécialisée dans l'économie numérique. Créée en juin 2009, Allmyapps s'est fixé pour objectif de simplifier la gestion des applications sur PC. Le site, qui compte actuellement plus de 30 000 membres, donne aux utilisateurs la possibilité de créer des listes d'applications installables et ré-installables en un seul clic. Plus d'un million d'entre elles ont d'ores et déjà été installées depuis la création de la solution. Pour Arnaud Coulondre, co-fondateur d'Allmyapps, cette levée devrait contribuer à accélérer les développements qui permettront à la plate-forme de devenir « l'application store » de référence sur le marché Windows.
Entrée au programme IDEES de Microsoft
En parallèle, Allmyapps fait également son entrée dans le programme IDEES (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up) de Microsoft. Lancé en octobre 2005 par la filiale française de l'éditeur de Redmond, ce dispositif de parrainage vise à favoriser, chaque année, le développement de start-ups innovantes de l'industrie française du logiciel.
L'arrivée de l'entreprise au programme IDEES favorisera son accès à de nouvelles ressources qui l'aideront dans le développement des produits à venir. En effet, en plus de l'hébergement de la plate-forme de téléchargement sur Azure, les prochaines versions d'Allmyapps utiliseront de manière poussée le framework .NET et en particulier WPF.
Signalons qu'Allmyapps est entré dans les programmes de soutien aux jeunes entreprises innovantes de Microsoft avec BizSpark. Inspiré par IDEES, ce dispositif mondial, né il y a deux ans, s'adresse aux entreprises en phase d'amorçage et aux porteurs de projets dans les domaines du logiciel et du web. Il leur fournit l'accès à une sélection de logiciels (Windows 7, Visual Strudio, Expression Studio...), à son service MSDN et à son support pendant trois ans, à l'issue desquels la start-up verse une redevance de 100 dollars.
Facebook renforce sa sécurité pour protéger les comptes
Les utilisateurs de Facebook disposeront bientôt d'un moyen d'expulser les spammeurs de leurs comptes. L'entreprise devrait prochainement sortir un module de sécurité qui affichera quels ordinateurs et autres appareils sont connectés aux comptes. Il leur offrira la possibilité d'enlever ceux qui ne devraient pas y avoir accès. Cette fonctionnalité a pour but de faire face à un problème prenant progressivement de l'ampleur sur le réseau social. Les spammeurs utilisent en effet des sites de phishing pour piéger les utilisateurs de Facebook et leur faire entrer leurs login et mots de passe. Ils utilisent ensuite ces informations pour envoyer des messages indésirables à un maximum d'amis de ces victimes.
Ce genre de spam est alors très efficace, puisqu'il apparaît avoir été envoyé par une source fiable - un ami - et des experts en sécurité affirment que de nombreux spammeurs utilisent des programmes automatisés qui se connectent aux comptes piratés et qui envoient ces messages indésirables. Rien que la semaine dernière, des escrocs ont fait usage de comptes piratés pour envoyer de fausses offres d'iPad gratuit.
Un ajout rassurant
En plus d'écarter les spammeurs, cette fonctionnalité offre aussi la possibilité de se déconnecter à distance de machines récemment utilisées, comme le smartphone d'un ami ou le PC d'une bibliothèque par exemple. Pour autant, tout le monde ne pourra pas avoir immédiatement accès à ce module. Il sera mis en place graduellement, selon un email de Facebook. Ceux des utilisateurs qui feront partie des premières vagues d'instauration du module pourront y accéder en allant dans les Paramètres du Compte puis dans la section Sécurité du Compte. A cet endroit, ils seront en mesure de visualiser la liste des ordinateurs s'étant connectés sur Facebook, l'heure de ces connexions, quel navigateur et quel OS ont été utilisés pour chacune d'entre elles, mais aussi une estimation de leur localisation (grâce aux informations de l'adresse IP). En un clic, l'utilisateur pourra alors « terminer l'activité » sur n'importe laquelle de ces sessions. Quelqu'un qui aurait été piraté aura donc moyen de vérifier, via ces informations, que son compte a effectivement été compromis et sera à même de changer son mot de passe.
Ce module fait suite la fonctionnalité de notification des connexions présentée au mois de mai dernier, qui avertit les utilisateurs par mail ou par SMS lorsqu'un autre appareil se connecte à leur compte Facebook. Néanmoins, contrairement aux mises à jour concernant les moyens d'ajouter les amis ou autres améliorations relevant de l'activité générale du site, ce module de sécurité ne devrait pas être mise en avant sur la page d'accueil, à l'instar de son prédécesseur. Cela signifie qu'il faudra que les utilisateurs fouinent dans leurs paramètres pour le découvrir et en tirer avantage.
Twitter passe le cap des 145 millions de membres
La progression du réseau social est fulgurante, puisque le site annonçait 100 millions d'utilisateurs il y a seulement quatre mois. Dans un message publié sur le blog officiel du site, Evan Williams a également souligné l'importance des applications mobiles de Twitter. Selon lui, le nombre d'utilisateurs sur mobiles a augmenté de 62% depuis la mi-avril. De plus, 16% des récents inscrits utilisent d'abord ce média sur leur téléphone portable avant leur ordinateur.
Des applis en croissance
Le nombre d'applications tierces développées pour permettre aux mobinautes d'utiliser Twitter s'élève à 300.000, a ajouté le patron du site. Une application dédiée à l'iPad a d'ailleurs fait son apparition cette semaine. Dans le classement des 10 applications les plus utilisées pour accéder au site de microblogging, c'est le site officiel Twitter.com qui arrive en tête (78%), devant sa version mobile M.twitter.com (14%), les SMS (8%), l'application pour iPhone (8%), et celle pour BlackBerry (7%).
Illustration: Evan Williams, fondateur de Twitter
Crédit Photo: D.R
(...)(03/09/2010 09:55:43)Internet par satellite : petit prix, petits services
Le gouvernement a annoncé jeudi avoir labellisé quatre premières offres Internet par satellite à moins de 35 euros par mois (hors achat et pose du kit parabole soit 399 € environ) dans le cadre du programme "Haut débit pour tous". Ces offres, qui répondent à des critères spécifiques, sont destinées aux foyers situés dans les zones rurales sous-équipées. Ces forfaits sélectionnés sont ceux de NordNet, Vivéole, SHD (avec SFR), et Connexion Verte. Selon un communiqué du gouvernement, environ 2% des foyers en France n'ont aujourd'hui pas accès à l'Internet haut débit filaire, que ce soir via l'ADSL ou par le câble.
Pas vraiment Intéressante financièrement vu les prix pratiqués par les opérateurs spécialisés, cette offre ne remplacera toutefois jamais un accès haut débit ADSL, les temps de latence des connexions par satellite (600 millisecondes environ) entrainent en effet un délai de réponse très lent. Le débit théorique est également limité (jusqu'à 3 Mbits en descendant et 256 Kbits en ascendant) et le volume échangé limité par les forfaits (de 1 à 4,7 Go par mois). Reste que pour les entreprises et les foyers trop éloignés d'un DSlam et hors couverture 3G ou Wimax, c'est aujourd'hui le seul moyen d'accéder à Internet à moyen débit. En option, les abonnés peuvent également bénéficier d'un abonnement à la téléphonie IP et d'un accès à un panel de chaines TV moyennant l'installation d'une seconde tête.
Illustration et crédit photo NordNet
20,37 millions de foyers abonnés au haut débit
Au deuxième trimestre, l'Arcep recensait 20,37 millions d'abonnements au réseau Internet fixe à haut ou très haut débit, dont un peu plus de 20 millions d'abonnements en haut débit, et 365.000 en très haut débit. En un an, le nombre global d'abonnements a progressé de 1,65 million (+9%). Parmi les abonnements haut débit, 95% d'entre eux demeurent des lignes ADSL, le reste étant constitué essentiellement des clients du câble. Par ailleurs, le nombre de consommateurs ayant renoncé à l'abonnement téléphonique de France Télécom au profit du dégroupage total s'élève désormais à 7,14 millions (au 30 juin 2010), soit un accroissement de près de 1,47 million d'accès en un an.
Côté très haut débit, sur les 365.000 abonnés à la fibre optique en France, la majorité (275.000) ont un accès avec terminaison en câble coaxial en pied d'immeuble, tandis que pour 90.000, la fibre arrive directement au domicile (FTTH). Selon l'Arcep, environ 910.000 logements se situent aujourd'hui dans des immeubles reliés en fibre optique FTTH, et sont donc potentiellement éligibles à l'Internet grande vitesse. Ce chiffre est en hausse de 9% par rapport au premier trimestre.
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