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(20/07/2010 13:59:48)
Pas de vacances sans Internet pour les français
Se passer du Web pendant les vacances paraît difficile pour 71% des Français interrogés dans le cadre d'une enquête menée par MediaprismGroup. Ce pourcentage monte à 84% chez les cadres supérieurs, désireux de rester connectés même en congés.
Pour plus de la moitié des sondés, l'usage de la Toile en vacances est pratique (57%). Les cadres (66%) et les 18-24 ans (65%) partagent encore plus cet avis. Pour preuve, la lecture des e-mails personnels (85%), devant la recherche d'informations touristiques (47%) ou la recherche d'informations personnelles (39%) sont les utilisations les plus fréquentes d'Internet en vacances.
Les réseaux sociaux pour les plus jeunes
Les e-mails professionnels ne sont consultés que par un Français sur cinq, bien que les cadres soient deux sur cinq à les consulter même en congés. Les plus jeunes consultent leurs mails personnels avant tout (84%) mais souhaitent aussi rester connectés à leurs réseaux sociaux (75% contre 33% de l'ensemble des sondés).
Cette enquête a été réalisée en ligne du 13 au 16 juillet 2010 auprès d'individus âgés de 18 ans et plus issus de la communauté de 12 millions d'Internautes Email&Vous. L'échantillon de 2 335 personnes a été redressé pour être représentatif de la population étudiée sur des critères de sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle de l'individu, région et revenus.
Crédit Photo: D.R
(...)(19/07/2010 15:39:59)Le e-commerce progresse toujours en France
Au cours du deuxième trimestre dernier, le montant des transactions par carte bancaire enregistré par les sites Internet français de e-commerce a progressé de 23,7% par rapport à la même période en 2009 pour s'établir à 5,23 milliards d'euros, selon le baromètre e-commerce de l'ACSEL publié ce lundi 19 juillet. Au total, la carte bancaire a été utilisée pour 62,4 millions d'opérations en ligne.
Tous moyens de paiements confondus, les sites français ont enregistré 73,5 millions de transactions au cours du second trimestre dernier, soit une hausse de 26% par rapport à la même période en 2009. Au total, le chiffre d'affaires de ces plateformes de vente en ligne a augmenté de 31% pour s'établir à 6,88 milliards d'euros. Comparé au trimestre précédent, la progression est plus timide, évaluée à +1%.
Crédit photo : Rudyanto Wijaya
Google acquiert Metaweb
Google a annoncé vendredi avoir acquis Metaweb, société gérant une base de données généraliste mise à disposition des webmasters. Le prix de la transaction n'a pas été révélé, et comme à l'accoutumée avec les rachats de la firme de Mountain View, Metaweb a affirmé qu'il continuerait d'assurer le support à sa clientèle, mais qu'il n'en prendrait pas d'autre durant l'intégration de la société.
Cette acquisition risque de poser un problème à Microsoft, qui utilise Metaweb pour son moteur de recherche, Bing, lui offrant la possibilité d'afficher des Instant Answers. Celles-ci, d'après l'entreprise (http://www.metaweb.com/bing), apparaissent en haut de la page, publiant des réponses aux éventuelles questions posées. Microsoft n'a pour le moment pas encore commenté l'impact de cette acquisition.
Vers de meilleures recherches ?
Selon Jack Menzel, directeur de la gestion de produits chez Google, Metaweb pourra aider le moteur de recherche à fournir de meilleures réponses à des questions plus complexes. Il illustre ceci en précisant que le moteur offre des réponses aux requêtes factuelles telles que « Anniversaire de Barack Obama » car il prend en compte les individus et les événements. Il admet cependant que des demandes du type « universités sur la côte ouest ayant des frais d'inscriptions inférieurs à 30 000 $ » n'obtiennent pas de réponses toujours très satisfaisantes. « Ce sont des questions difficiles, et avec notre acquisition, nous serons capables de fournir des réponses plus adaptées et pertinentes ».
Les produits actuels de Metaweb comprennent des modules intégrables sur les sites ou blogs par les clients. Ils affichent des informations complémentaires sur les sujets traités depuis une sélection, paramétrable, de sources. La société gère aussi une base de données ouverte et collaborative, Freebase, qui contient des informations à propos de 12 millions de personnes, d'endroits et autres éléments. Google précise que celle-ci restera gratuite, ouverte et mise à jour.
Trimestriels Google : Des bénéfices qui ne font plus recettes
Une certaine lassitude s'est emparée des marchés financiers lors de la publication des résultats trimestriels de Google. Et pourtant, le chiffre d'affaires est en progression de 24% sur un an à 6,82 milliards de dollars et le bénéfice croît de 24,3% pour atteindre 1,84 milliards de dollars. Comme les analystes attendaient une hausse plus forte du bénéfice, le titre Google a baissé, pour la seconde fois, lors de la publication des résultats. Les sites Google représentent 66% des revenus totaux et les sites partenaires 30%. Plus de la moitié des recettes (52%) est réalisée à l'extérieur du territoire américain. Sur le plan de la trésorerie, l'éditeur dispose de 30,1 milliards de dollars au 30 juin 2010.
Eric Schmidt, PDG de Google, a indiqué dans un communiqué « Nous avons réalisé un second trimestre robuste. Nous avons constaté de la solidité dans les principales catégories de produits. De plus en plus d'annonceurs traditionnels adoptent la publicité dans le moteur de recherche, et les gros annonceurs se lançent de plus en plus des campagnes combinant moteur de recherche, animation et publicité sur les terminaux mobiles. »
Engouement pour YouTube, mais pas de chiffres et un procès
Lors d'un entretien, Patrick Pichette, directeur financier de Google a souligné que les sociétés voulaient de plus en plus être présentes sur le site YouTube. Le responsable s'est toutefois bien gardé de dire si cette activité était bénéficiaire. Pour mémoire, l'éditeur de Moutain View avait acquis le site de vidéo pour 1,65 milliards de dollars.
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Patrick Pichette a aussi souligné la dépense de 100 millions de dollars pour assurer sa défense dans un procès l'opposant à Viacom. Ce dernier accuse Google de diffuser certains de ces contenus sans son autorisation. Un jugement a été rendu en faveur de Google, mais Viacom pourra faire appel.
Des dépenses ont été également affectées au recrutement. Le groupe compte 21 805 salariés au 30 juin contre 20 621 à la fin du premier trimestre 2010. Cette augmentation comprend l'intégration de certaines acquisitions, dont celle d'Admob, mais aussi l'embauche d'ingénieurs et de commerciaux pour renforcer ses activités émergentes, « source d'un très grand potentiel de croissance » selon Patrick Pichette. Cette activité à travers l'écosystème Android se porte bien, Google a indiqué que 160 000 téléphones sous cet OS sont activés chaque jour.
Jean Marc Tassetto prend les commandes de Google France
Mathias Emmerich, vice-président de Publicis a été pendant un temps pressenti à ce poste et c'est finalement Jean Marc Tassetto qui va devenir directeur général de Google France. La société était à la recherche depuis 9 mois d'un remplaçant à Mats Carduner.
Jean Marc Tassetto a participé à l'aventure SFR pendant 13 ans pour devenir directeur général de la division grand public et marketing. C'est à lui que l'on doit notamment le lancement des offres Illimythics, une offre d'abondance en matière d'Internet mobile. Il y a quelques mois, des rumeurs le donner en partance pour Canalsat, filiale de Vivendi, mais sans suite. Sa nomination a été annoncée au comité de direction de Google France, il reportera directement à Carlo d'Assaro Biondo, vice-président Europe de Google, ancien dirigeant d'AOL France, société vendue à Neuf Cegetel qui a fusionné avec SFR.
Les sujets du futur responsable seront nombreux, les relations avec les opérateurs sur la neutralité des réseaux, la protection des données personnelles avec l'affaire Google Street View, les liens avec les éditeurs de contenus (presse, audiovisuelle, etc.). Jean Marc Tassetto est attendu avant la fin de l'année 2010 à son poste. (...)
Le site France.fr fait pschittt
Selon Thierry Saussez, directeur du Service d'information du gouvernement (SIG) lors d'un entretien accordé à Europe1, le site France.fr se veut « une vitrine de la France dans le monde ». Mis en ligne symboliquement le 14 juillet, le site France.fr pointe depuis aujourd'hui aux abonnés absents. Et selon Thierry Saussez, qui répondait aux questions du JDD, « je dois prévenir les usagers que nous ne remettrons pas en service France.fr tant que le serveur ne sera pas d'aplomb ». Car le site a été victime de son succès et le serveur n'a pas supporté la charge de trafic. D'après le responsable de la communication gouvernementale « lors du lancement de site, le nombre de connexions a atteint la barre des 2.000. Mercredi matin, le cap des 25.000 était franchi, provoquant la paralysie du serveur ». Un audit a été diligenté sur cette panne.
Un site riche
Ce site s'adresse principalement aux étrangers qui souhaitent obtenir des informations touristiques ou professionnelles (sociétés, expatriés, etc.) sur la France. Il est disponible en 5 langues et comprend près d'un million de documents. Plusieurs rubriques sont mises à disposition, « connaître » avec des cartographies interactives; « visiter » recensant le patrimoine touristique de la France; « vivre » ; « étudier » ; « travailler » et « entreprendre ».
Une version 2.0 est prévue pour le mois de novembre prochain en espérant que la plateforme d'hébergement choisie ait été dimensionnée et configurée en conséquence.
Open Text a intégré Vignette plus facilement que prévu, selon son PDG
Quel bilan tirez-vous de l'acquisition de Vignette et de son offre WCM, un an après ?
John Shackleton : L'intégration de Vignette s'est déroulée plus facilement et plus rapidement que prévu à la faveur de synergies auxquelles nous ne nous attendions pas. Le passage de la version 5 de leur offre à la 6 leur avait posé de gros soucis. Un grand nombre de leurs clients avaient rencontré toute une série de problèmes. Généralement, ce genre de situation entraîne, dans un premier temps, une baisse des ventes de licences. Mais lorsque les revenus de la maintenance prennent le même chemin, cela signifie que les gens ne veulent pas du logiciel. Nous sommes parvenus à stabiliser le produit, en améliorant les processus d'assurance qualité et d'ingéniering pour venir à bout de la majorité des problèmes rencontrés par les clients. Nous avons corrigé tout cela dans la version 8 et nous avons vu revenir certains clients qui avaient lâché la maintenance. Des clients que l'on croyait avoir perdu et qui, évidemment, ont payé l'arriéré. C'est donc très encourageant et, de fait, il s'agit d'un très bon produit. Seule cette version 6 s'est révélée problématique.
Cette acquisition fut tout de même un pari risqué pour Open Text.
C'est vrai. Mais, nous nous intéressions à Vignette depuis un certain temps déjà. Il y a quatre ans, j'avais rencontré le CEO et lui avait demandé de nous prévenir si jamais quelqu'un voulait les racheter. Nous savions qu'il fallait les regarder de près. Ainsi que vous l'avez rappelé, nous avons d'autres produits de WCM. Mais Vignette a toujours été le meilleur dès qu'il s'agit de monter en puissance, de prendre de l'ampleur. C'est une robuste application d'entreprise, avec de très fortes capacités d'extension lorsqu'il faut en étendre le périmètre (scalable). Son point faible, c'est sa difficulté d'accès pour les non-informaticiens. A l'inverse, le produit que nous avions était très simple à utiliser, mais il ne pouvait pas monter en puissance. Nous avons donc apporté à Vignette la simplicité d'accès de notre logiciel et en avons fait notre offre de WCM numéro 1. Néanmoins, nos autres produits de WCM continueront à être commercialisés, de préférence sur le marché des PME, en particulier en Europe, mais aussi, dans doute, en mode « Software as a service » (SaaS).
En février, vous avez racheté Nstein Technologies et son moteur d'analyse textuelle (text mining). Quelle est votre stratégie dans ce domaine ?
Considérez la Business Intelligence (BI) et les offres de Business Objects, Cognos, etc. Elles s'appliquent à des données structurées stockées dans des bases relationnelles. Il y a cinq ans, 60% de l'activité des entreprises étaient gérés dans ce type de bases. Maintenant, c'est moins de 10%. L'enjeu, c'est donc de faire de la BI sur un volume important de données non structurées. Il faut l'organiser afin d'obtenir l'information de façon plus efficace. L'analyse textuelle est une réponse. Mais que faire des flux vidéos, de la voix sur IP... qui représentent aussi de l'information. Comment s'y prendre de façon intelligente.
Nous travaillons par exemple avec la BBC pour répertorier tous les enregistrements vidéos effectués depuis 1911, avec un objectif multiusage. Nous étudions donc l'ensemble de ces possibilités, à la fois ce qu'apporte Nstein, mais aussi la façon de gérer de façon plus efficace les actifs multimédias, les contenus riches, et comment on peut les analyser. Nstein est un commencement, nous procèderons à d'autres acquisitions. Il y a des produits qui ont été mis au point par des services de renseignements gouvernementaux. Ils ont travaillé pendant dix ans sur des outils qui so12nt maintenant commercialisés. Certains nous intéressent. Nous investirons dans ce domaine. Et nous travaillerons aussi avec Business Objects.
Lire la suite de l'entretien
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Google Chine revient en version light pour défroisser les autorités
La semaine dernière, Google.cn, dont les visiteurs étaient, depuis le mois de mars, automatiquement redirigés vers le site non censuré de Google sur Hong Kong, a retrouvé sa page d'accueil. Mais la page Google.cn, qui a maintenu un lien cliquable laissant aux utilisateurs la possibilité d'être orientés « manuellement » vers le site de Hong Kong, permet uniquement d'effectuer des recherches sur des produits, trouver de la musique en ligne, ou utiliser le service de traduction.
Une volonté évidente de contenter les autorités chinoises
C'est Google qui a décidé d'offrir des services limités sur son site chinois, « ceux qu'elle peut proposer sans avoir à en censurer les résultats de recherche, » comme l'a indiqué une source au fait du dossier. « Une manière pour l'entreprise de trouver un équilibre entre les exigences du gouvernement chinois et sa politique déclarée de ne pas censurer les résultats sur Google.cn, » a encore commenté cette source, sous couvert d'anonymat. Ainsi, les visiteurs qui accèdent à la page Google.cn peuvent bien effectuer des requêtes générales sur le Web dans la zone de recherche, sauf que, lorsqu'ils cliquent sur le bouton « Rechercher », ils sont dirigés sur le site de Hong Kong où tous les résultats sont affichés. Le lien permettant de se rendre directement sur le site de Hong Kong sans avoir à inscrire un mot clef dans la boîte de recherche a été maintenu. Les utilisateurs peuvent également utiliser les moteurs de recherche spécialisés pour trouver de la musique ou des produits figurant sous le domaine Google.cn, sans être redirigé, de même qu'ils peuvent avoir accès au service de traduction en ligne.
Sur la route de Canossa
Le gouvernement chinois n'a pas exigé de Google qu'elle cesse de proposer des services de recherche généraux sur Google.cn pour lui accorder le renouvèlement de sa licence. « Google a unilatéralement décidé de stopper la redirection automatique vers le site de Hong Kong, » a indiqué la source. Le conflit remonte au mois de janvier de cette année, lorsque Google s'est plaint publiquement avoir été l'objet de nouvelles attaques malveillantes menées en décembre depuis le territoire chinois, lesquelles avaient mis à mal certains de ses systèmes et visé les comptes mail de défenseurs des droits de l'homme en Chine. À l'époque, Google avait déclaré que, en représailles, elle cesserait de censurer les résultats de recherche sur Google.cn, même si cela allait à l'encontre des exigences du gouvernement chinois et pouvait mettre fin à ses activités dans le pays.
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En mars, Google mettait sa décision à exécution en instaurant une redirection automatique de Google.cn vers le site de Hong Kong, tout en faisant valoir que, d'une part elle tenait sa promesse de ne pas censurer les contenus de son site chinois, mais qu'elle respectait aussi les lois du gouvernement de Pékin. Cependant, le mois dernier, alors que l'échéance du renouvellement de sa licence de fournisseur de contenu internet se rapprochait, le gouvernement chinois a spécifiquement fait savoir que la redirection automatique vers le site de Hong Kong représentait un problème potentiel. Google a entendu le message, rétablissant la page de Google.cn la semaine dernière, mais en proposant un nombre beaucoup plus limité de services. Vendredi dernier, le gouvernement chinois renouvelait sa licence. « Nous sommes très heureux que le gouvernement ait renouvelé notre licence FCI et nous sommes impatients de continuer à fournir à nos utilisateurs situés en Chine des services de recherche Internet et des produits locaux, » a déclaré Google dans un communiqué.
Des concessions pour refaire du business
Selon Ben Sargent, analyste pour la société d'études de marché Common Sense Advisory, « Google s'est bien sortie de cette controverse, ce qui va lui permettre de retirer dès maintenant des profits importants. » Ajoutant que « le renouvellement de licence résulte d'un compromis tactique qui, apparemment, satisfait aux exigences du gouvernement chinois et permet à Google de rester en Chine et d'y accomplir sa mission sans se dédire, » a t-il déclaré. « Si il devait s'avérer que Google a fait d'autres concessions au gouvernement chinois, cela pourrait être embarrassant. Mais si l'entreprise a obtenu sa licence simplement en concédant un clic supplémentaire pour accéder au site de Hong Kong, elle a plutôt démontré des talents d'habile négociateur, » a t-il dit. « Mais la bataille n'est pas finie. Google s'attend à 5 ou 10 ans de conflits à mener pour le respect de la vie privée et les questions de censure en Chine, » a t-il ajouté.
Un pari sur l'avenir
Sauf que, en maintenant sa présence en Chine, Google peut ouvrir les marchés et s'adresser à la nouvelle population en quête d'information et de consommation. «À long terme, Google risque de gagner une position considérable en Chine, » a t-il estimé. « En fin de compte, le gouvernement chinois va continuer à cibler Google jusqu'à ce que la bataille se déplace sur d'autres technologies et d'autres enjeux. Mais la Chine ne perdra pas Google, et Google ne perdra pas la Chine, » a conclu Ben Sargent.
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