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(03/06/2010 16:15:17)

Une librairie Javascript au secours de Flash sur iPad

Appelée Smokescreen, cette librairie transpose les publicités développées en Flash en JavaScript et HTML 5 dans tout navigateur internet, y compris ceux ne supportant pas Flash nativement. Principalement développé par Chris Smoak de RevShockAds, Smokescreen évite donc aux entreprises qui réalisent des annonces publicitaires en Flash à créer une version spécifique pour toucher les millions de propriétaires d'iPhone et d'iPad. « Beaucoup de gens veulent continuer à utiliser leurs outils Adobe pour réaliser leurs publicités, et le fait de devoir faire appel à un autre outil de développement pour créer des pubs pour une plate-forme unique leur semble stupide, » indique le blog de Smokescreen.

Autre avantage, cet outil n'a pas besoin que les navigateurs Internet soient à jour : le site présente des publicités de démonstration tournant sous Firefox 3.6, Chrome 5, Safari 4 et la version mobile de Safari. La librairie de Chris Smoak ne fonctionne pas encore sur Microsoft Internet Explorer 9, même si cela « semble prometteur, » selon les développeurs. Et ils indiquent des « problèmes connus » sur Opera 10.5 « mais en voie d'amélioration.»

Des développeurs excités, mais critiques


Le code de Smokescreen sera bientôt disponible sous licence Open Source et ses développeurs ont déjà posté une version de prévisualisation avec des démos de publicités. Un support technique minimum et pas cher, plus, éventuellement, certains services, sont envisagés, indique également le blog de Smokescreen. Ce qui est sûr, c'est que les développeurs semblent très excités par cette librairie. Simon Willison, co-créateur de Django, qui permet de construire des applications Web dans le langage Python, a écrit sur son blog que « Smokescreen, le lecteur Flash de Chris Smoak écrit en JavaScript, est un outil incroyable. »

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Toutefois, ce dernier tempère un peu son enthousiasme en ajoutant que « mon seul souci est la performance, je remarque que cet outil pèse 175 Ko et comporte plus de 8.000 lignes de code JavaScript, ce qui pourrait poser problème sur des appareils mobiles peu puissant. »

En effet, la compilation de code doit être téléchargée et exécutée sur un navigateur Web. Dans la mesure où les appareils mobiles ont beaucoup moins de capacité de traitement que les ordinateurs de bureau, le temps nécessaire pour restituer la publicité peut varier selon l'appareil. Les développeurs préviennent que Smokescreen n'est pas aussi rapide qu'un plugin Flash, mais que ses performances pourraient être améliorées. Le test de Smokescreen sur un iPhone a montré que plus l'animation est complexe, plus le rendu de la publicité est lent. Testée et comparée sur un ordinateur de bureau, la performance de la bibliothèque s'est avérée bien meilleure.

Le blog de RevShockAds averti qu'«étant donné que Smokescreen est écrit en JavaScript, il est plus lent que le plugin Flash et limité en vitesse par la performance du navigateur. » Et de poursuivre que « en attendant que nous sortions d'autres astuces de nos manches, il faut savoir que certaines démos ne fonctionneront pas à une vitesse acceptable sur des appareils de type iPad / iPhone / iPod. »

(...)

(03/06/2010 10:33:44)

La vision de l'éthique numérique selon l'UMP

Hadopi, Dadvsi, diatribes aberrantes et répétées du porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre... Le parti du Président de la République a bien besoin de se refaire une santé dans l'opinion des internautes et des informaticiens. Dans cette optique, des députés UMP ont constitué le groupe de travail « Ethique du Numérique » qui vient de publier un rapport.

L'angle de ce travail est clairement sécuritaire. Internet est avant tout une source de dangers et de menaces, en dehors de banalités dans l'introduction et d'un rapide paragraphe sur les « opportunités du monde numérique ». Il est vrai que le souci des députés UMP était de voir le rôle du législateur face au développement du numérique en général, de l'Internet en particulier.

On trouve dans le rapport beaucoup d'idées courantes sur la nécessité d'améliorer la gouvernance d'Internet. Les députés proposent, de façon plus originale, de créer une « CNIL européenne » qui émanerait des différentes autorités de protection des données personnelles et issue du fameux G29 qui coordonne déjà les travaux des organismes nationaux. Son rôle serait d'amener une harmonisation des règles (ce que fait déjà le Parlement Européen au travers des Directives et le G29) et de proposer des référentiels de bonnes pratiques pour les fournisseurs, ceux les suivant étant labellisés.

L'identité numérique et le droit à la vie privée est, à juste raison, considéré comme une source importante de problèmes.On notera ainsi un paragraphe (de rédaction prudente) fustigeant le pseudo-anonymat sur Internet qui déresponsabiliserait les internautes et les inciterait à commettre toutes sortes de délits (diffamation, contrefaçon...). La contradiction entre refus de l'anonymat et défense de la vie privée n'a pas effleuré les députés, même dans un dialogue à l'Assemblée Nationale entre l'un des auteurs et la secrétaire d'Etat à l'économie numérique.

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Mais le coeur du rapport est clairement sur l'un des thèmes chers à Nathalie Kosciusko-Morizet : le droit à l'oubli numérique. Les actions envisagées relèvent à la fois de la sensibilisation des internautes et autres usagers mais aussi par, encore une fois, des référentiels de bonnes pratiques pour les acteurs eux-mêmes (au premier rang desquels Google ou Facebook), la CNIL pouvant se charger de les labelliser (à leur frais).

La sensibilisation est clairement insuffisante

Au-delà de la sensibilisation, les députés sont conscients d'un manque de formation de la population. Ils désirent donc accroître la formation des enseignants et des étudiants du supérieur. Le développement des connexions haut débit des écoles est une nouvelle fois réclamé, avec un objectif de 100% de couverture. S'il n'est pas prévu de faire passer leur B2I aux députés, sénateurs et membres du gouvernement, le rapport mentionne enfin, page 25, la nécessité de former les élus.

Mais c'est pour aussitôt revenir à la marotte de l'UMP dès que l'on parle Internet ou numérique : la défense coûte que coûte de la propriété intellectuelle. Les errements sécuritaires autour de la DADVSI ou de l'Hadopi n'ont donc pas suffit. Cependant, il faut reconnaître que les députés prennent enfin conscience que l'approche adoptée jusqu'à présent est d'une part déjà techniquement obsolète, d'autre part favorisant une relation déséquilibrée entre vendeurs et consommateurs, avec faveur aux premiers.

LCEN : la remise en cause d'une distinction trop dichotomique

Autre marronnier des députés, la remise en cause de la distinction simple entre prestataire technique et responsable du contenu posée par la LCEN (loi sur la confiance dans l'économie numérique). Les députés UMP ne sont toujours pas convaincus que la jurisprudence ait bien fixé les limites de responsabilité et d'irresponsabilité... sans poser de cas concret de problème relevant du législateur.

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Il est vrai que plusieurs soucis sont soulignés : les sites de notation (restaurants, hôtels, médecins...) sont parfois aux limites de la diffamation, les procédures judiciaires sont souvent trop lourdes face à de nombreux petits litiges...

L'ogre Google face au gentil Microsoft

Le rapport contient également une partie au titre prometteur : « des abus de position dominante dans le monde numérique ». Mais l'UMP continue de soutenir Microsoft, seul éditeur de logiciels à avoir été consulté selon la liste fournie en annexe. Il n'est donc pas mentionné dans cette partie le problème des ventes liées logiciels-matériels (notamment l'installation de Windows sur presque tous les PC vendus en grande surface) ou celui du respect de formats vraiment ouverts. Par contre, la position dominante de Google dans la recherche et le domaine de la régie publicitaire en ligne est bien mentionnée. Les accords entre Yahoo et Microsoft ainsi que la sortie de Bing n'ont donc pas été suffisants pour abattre Google : l'UMP est appelée au secours.

Notons cependant que le rapport mentionne la faible contribution fiscale des acteurs du numérique au regard des chiffres d'affaires générés. Les députés songeraient-ils à des éditeurs installés en Irlande pour vendre leurs produits en France ? De même, le seul site d'éditeur mentionné dans les liens recommandés par Ethique du Numérique, c'est encore une fois Microsoft.

(...)

(02/06/2010 10:24:22)

Le haut débit passe le cap des 20 millions d'abonnés en France

Selon l'Arcep, la France comptait au premier trimestre 2010 quelque 20,06 millions d'abonnements à Internet sur réseaux fixes, soit 1,7 million de plus qu'au cours de la même période en 2009.

Ce parc se compose de 19,72 millions d'abonnements haut débit, dont 18,81 millions d'abonnements ADSL (95% du marché), et 330.000 abonnements très haut débit (contre 200 000 il y a un an).

75 000 abonnements très haut débit sont liés à la fibre optique jusqu'aux abonnés ou aux immeubles (FFTH ou FFTB), tandis que 255.000 sont des accès en fibre avec terminaison en câble coaxial. Le chiffre relatif à la fibre optique peut paraître faible, compte tenu du nombre de logements se situant dans des immeubles éligibles aux offres très haut débit (860.000 au 31 mars).

Pour les collectif Libre Choix, ces chiffres sur le très haut débit démontrent l'incohérence du système de zonage prévu par le régulateur. Pour mémoire, l'ARCEP prévoit une zone 1 correspondant aux régions à forte densité où la concurrence est forte, une zone 2 moins denses où la mutualisation est privilégiée et une zone 3 pour les territoires les moins peuplés où le financement incombera aux collectivités locales. L'association demande la création d'un réseau national commun "Fibre de France".

(...)

(01/06/2010 17:50:42)

Adobe dévoile un outil de lecture numérique sur iPad

Adobe a dévoilé une technologie de lecture numérique permettant de porter les publications médias sur les tablettes, y compris l'iPad d'Apple. La démonstration a été réalisée avec le concours du magazine Wired du groupe Condé Nast.

Le magazine numérique comprend des vidéos, des présentations, des images à 360°. Pour Adobe, ce lecteur doit accompagner les habitués du support papier vers l'interactivité du format numérique.

Steve Burkett, vice-président et directeur général de la division Creative Solutions d'Adobe souligne « Nous voulons mettre à disposition de tous les éditeurs  notre logiciel de visualisation numérique sur plusieurs plates-formes matérielles. Si vous travaillez déjà sur InDesign CS5, vous serez à même de produire une belle version numérique de votre publication ».

Cette annonce est une bonne nouvelle pour ceux qui pensaient que la technologie et les logiciels d'Adobe n'intégreraient jamais nativement l'iPad, iPhone ou iPod touch, après les propos et les actions de la firme de Cupertino. Condé Nast pense lui que ce lecteur apportera avec l'interactivité des opportunités en matière de publicité. « Le partenariat avec Adobe nous a permis de repenser la maquette des magazines en une expérience étonnante sur iPad », a déclaré Thomas J. Wallace, directeur éditorial de Condé Nast. « Notre travail avec Adobe ne fait que commencer, ajoute-t-il. Nous nous attendons à utiliser cette technologie sur plus de publications au cours des prochains mois. »

(...)

(01/06/2010 09:54:30)

Zscaler arrive en France

Un nouvel  acteur  arrive en France et en Europe sur le marché de la sécurité, Zscaler. Créée en 2006, Zscaler est une start-up américaine, spécialiste du filtrage des flux web sortants.  Sa solution permet le filtrage par antivirus, mais apporte aussi le contrôle des flux et une vision centralisée pour l'entreprise des contrôles d'accès de chaque utilisateur. Voilà pour l'aspect purement sécurité.

Zscaler innove également en étant totalement Saas et totalement cloud. En clair, elle s'est dotée d'une infrastructure mondiale avec une vingtaine de points de présence. Partout dans le monde le nomade professionnel peut accéder à ses données, mais l'entreprise peut connaître le trafic.  C'est une sécurité à la fois plus simple et plus centralisée. « Au lieu d'acheter et de maintenir en condition une solution matériel et logiciels, il suffit de configurer pour être redirigé vers le cloud », note Frédéric Bénichou, directeur EMEA.

Depuis ses débuts, la société américaine est distribuée totalement en indirect et en one tiers. La société utilise trois types de partenaires : des intégrateurs spécialisés en sécurité  (tels que Nomios ou NES conseil), de grands intégrateurs pour les grands comptes (Telindus, Integralis, OBS) et des spécialistes du Saas comme SecureView (...)

(01/06/2010 09:55:20)

Trois usages de SharePoint 2010 chez Sony Electronics

Au cours des dernières années, le groupe Sony Electronics a intégré plusieurs fonctionnalités pour porter toujours plus de contenus vers SharePoint, depuis la version 2003 jusqu'à celle de 2007, et depuis sur la version 2010. « Entre la fin de 2007 et la mi-2009, nous sommes passés de 5 sites équipés à plus de 400 » explique Jim Whitmoyer, responsable des applications business chez Sony Electronics. Avec 180 000 employés répartis à travers le monde, le groupe s'est tourné vers la dernière version de SharePoint pour améliorer l'outil de réseau social ainsi que les fonctionnalités de partage de documents présents dans la version 2007.

Sony, l'un des premiers à avoir adopté SharePoint 2010, a entrepris depuis un an déjà d'étendre ses fonctionnalités  sociales. « Les wikis sont d'un grand intérêt pour nous », a déclaré Jim Whitmoyer. «Les employés nous disaient qu'il leur était difficile de travailler avec la fonctionnalité wiki de SharePoint 2007 et Microsoft les a amélioré. » La société d'électronique avait bien regardé du côté de quelques éditeurs de solutions de réseau social pouvant être intégrées à SharePoint, comme NewsGator et Socialtext, mais la firme a finalement convenu que la solution de Microsoft « offrait une palette d'outils sociaux suffisamment fournie qui ne justifiait pas de notre part de faire entrer d'autres technologies » souligne le responsable.

Voici trois applications importantes de SharePoint 2010 que Sony utilise.

Une recherche plus rapide


Microsoft a intégré dans SharePoint 2010 la technologie de recherche acquise en 2008 à l'entreprise FAST pour fournir un moteur plus affiné. Les employés de Sony se plaignaient souvent de ce que les requêtes de recherche effectuées dans la version 2007 renvoyaient des milliers de documents qu'il était difficile de parcourir. « L'arrivée de la recherche FAST était très attendue et nous avons eu beaucoup de retours positifs des employés » a dit Jim Whitmoyer. Les résultats de recherche FAST sont filtrés par type de documents, par auteur, par site ou encore par période, et se limitent à une douzaine de documents contre des milliers auparavant. La fonction FAST permet aussi de trouver dans l'entreprise la personne spécialisée en rapport avec les mots clefs recherchés, si bien que si quelqu'un est expert sur un sujet, son profil sera associé aux résultats

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Les réseaux sociaux avec MySites

Même si Sony a introduit la gestion de documents depuis l'édition 2007, elle n'a guère utilisé MySites - l'accès à des sites personnels offrant un ensemble de fonctionnalités de réseau social. Avec la popularité des sites de médias sociaux et du fait de l'embauche de salariés plus jeunes, Sony a voulu utiliser MySites pour introduire dans l'entreprise une méthode de travail moderne. « Nos utilisateurs présents dans le monde entier doivent tous faire face à des problèmes de distance » explique le responsable. « SharePoint 2010 offre une meilleure façon de conserver des liens sociaux et d'accéder à des profils plus riches grâce à MySites. Si bien que, si quelqu'un recherche quelque chose sur un sujet en particulier, il peut rapidement obtenir l'aide d'un de ses collègues. »

« SharePoint 2010 est une opportunité pour remodeler l'environnement de travail chez Sony, » estime Jim Whitmoyer, « où les salariés échangeront et donneront leur avis sur les forums de discussion au lieu de s'envoyer des mails, et utiliseront les wikis au lieu de suivre les modifications apportées aux différentes versions de documents Microsoft Word qui transitent en pièces jointes avec les e-mails. » « Dans mon groupe, nous publions tous nos rapports vers notre wiki au lieu de faire circuler des docs Word par mail, » a t-il déclaré. « Des alertes m'informent lorsque les personnes travaillant avec moi ont ajouté de nouvelles pages sur le wiki et mon patron reçoit aussi des alertes lorsque je mets de nouvelles pages à jour. »

La fusion de SharePoint avec OCS (Office Communications Server) a également été une aubaine pour Sony, apportant un moyen plus facile de communiquer et limitant l'utilisation des mails. « Si je vois quelqu'un dans SharePoint, grâce à la gestion de présence d'OCS, je peux lui envoyer un rapide message instantané au lieu de trois ou quatre e-mails en va et vient », fait remarquer Jim Whitmoyer.

Pour rassurer le service juridique de Sony, les salariés doivent signer un accord d'utilisation avant de créer une page MySite, s'engageant en substance à agir de façon professionnelle et à ne pas poster de contenu inapproprié.

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Partage de document en amont et en aval du pare-feu

Le groupe utilise également la gestion de documents pour mettre fin à la confusion qui concerne les documents envoyés par mail. « Nous préconisons l'envoi de liens au lieu de l'envoi de documents » explique Jim Whitmoyer. L'une des questions que Sony n'a pas encore résolues, est de savoir comment satisfaire les utilisateurs mobiles qui ne peuvent pas accéder au logiciel, uniquement disponible sur l'intranet de l'entreprise. Mais ce n'est plus un problème si les salariés utilisent leur ordinateur personnel grâce à SharePoint Workspace, une fonctionnalité qui leur permet d'accéder hors ligne aux sites. Ainsi, toutes les modifications apportées localement sur un ordinateur non connecté au réseau d'entreprise seront synchronisées avec le serveur SharePoint, automatiquement ou manuellement.

Sony envisage également d'utiliser la suite BPOS (Business Productivity Online Services) de Microsoft, qui comprend des versions online d'Exchange et de SharePoint, afin que les utilisateurs mobiles, voire même les clients, puissent partager des documents en ligne. «Nous laisserons les données sensibles de l'entreprise sur la version client de SharePoint, et utiliserons l'outil en ligne pour une meilleure collaboration avec les clients et les partenaires» conclu Jim Whitmoyer. (...)

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