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(24/09/2009 18:35:19)

6éme édition du salon E-commerce à Paris

Pour sa sixième édition, le salon E-commerce, qui se déroule du 29 septembre au 1er octobre porte de Versailles à paris, réunira une grande partie des acteurs de la vente en ligne. Ce rendez-vous européen concentrera sur ses 23.000 m² d'exposition Pixmania, Rue du Commerce, PayPal, eBay et Cdiscount. A noter que le grand absent sera PriceMinister qui n'interviendra qu'en tant que conférencier. Pendant trois jours, les 450 exposants présenteront leurs innovations technologiques sur leurs stands et lors de diverses conférences. Seize parcours thématiques seront mis en place cette année pour mieux guider les visiteurs professionnels. Pour la seconde année, le salon remettra les E-commerce Awards qui récompenseront les meilleures innovations de l'année en matière de vente sur Internet, dans huit catégories différentes dont "Technologies", "Confiance en ligne" et "Relations Client". (...)

(24/09/2009 17:03:20)

Seuls 2% des DRH recrutent par le biais des réseaux sociaux

Très prisés par les internautes, les réseaux sociaux numériques ne sont pas encore considérés par les entreprises comme des outils stratégiques ayant un impact sur leur organisation. C'est ce que fait apparaître la première édition d'un baromètre réalisé par Novamétrie et Digital Jobs sur les stratégies RH et les réseaux sociaux. Celui-ci combine une phase qualitative menée auprès de 27 directeurs des ressources humaines de grandes et moyennes entreprises (Areva, Cegid, Bouygues Telecom, SFR, Axa, IBM, TF1, Sephora, Groupama, PSA...) et une phase quantitative conduite auprès de 260 collaborateurs du 11 août au 14 septembre. Il apparaît d'emblée que les utilisateurs ont une perception plutôt technique et pragmatique des réseaux sociaux. Ils les voient comme un carnet d'adresses interactif, pour dynamiser leur réseau et débouchant sur des opportunités de carrières et de progression sociale. Mais ils ne sont que 12% à estimer que leur entreprise a mis sur pied un programme mature sur ce terrain et 13% seulement à constater une mise en oeuvre dans ce sens. A l'inverse, 45% affirment que leur entreprise n'a pas mené de réflexion dans ce domaine. En matière de recherche d'emploi, si 82% des collaborateurs sondés pour le baromètre considèrent que les réseaux sociaux externes sont un moyen efficace de trouver un poste, seuls 5% disent avoir déniché de cette façon celui qu'ils occupent actuellement. Quant aux DRH, ils ne sont que 2% à admettre utiliser les réseaux sociaux pour recruter. Selon Novamétrie/Digital Jobs, ils seront 10% à le faire en 2011. Des DRH plus enclins à développer des réseaux sociaux internes Pour les DRH, les réseaux sociaux sont d'abord (dans 80% des cas) un vecteur d'image et de communication pour l'entreprise. Un tiers d'entre eux n'ont de réflexion stratégique sur l'attitude à avoir vis-à-vis des réseaux sociaux externes, de type Viadeo ou LinkedIn. La moitié dit avoir tenu quelques réunions sur le sujet, en particulier pour répondre aux problématiques de la diversité en matière de recrutement. Seul un cinquième des DRH ont ébauché une stratégie, là encore, en liaison avec le recrutement. En revanche, ils semblent plus enclins à développer des projets sur les réseaux sociaux en interne, autour de l'intranet d'entreprise, par exemple, des blogs métiers ou des 'séminaires virtuels'. Il y a en réalité deux typologies d'entreprise, relève Christophe Excoffier, de Novamétrie : « Le modèle d'entreprise est déterminant pour la mise en place de ces outils ». Il distingue celles qui ont acquis une culture 'numérique'. « Celles-ci sont plus ouvertes et fonctionnent en mode projet, tandis que les autres sont plus classiques dans leur organisation, avec un système de décision pyramidale ». L'un des critères déterminant pour la mise en place des réseaux sociaux, c'est la façon dont s'organise la circulation de l'information dans l'entreprise. Les collaborateurs pointent les usages controversés des réseaux sociaux Les DRH sont par ailleurs plutôt bien avertis de la présence sur les réseaux sociaux de leurs collaborateurs. Ces derniers sont à 92% présents sur les réseaux externes et les 2/3 utilisent des réseaux internes. Seuls 20% des DRH disent ne pas savoir si les employés fréquentent des réseaux sociaux ou affirment ne pas s'y intéresser. Mais les collaborateurs témoignent aussi des usages controversés des réseaux sociaux externes en entreprise, qui va de la dégradation de l'image à la divulgation d'informations stratégiques. Questions délicates auxquelles s'ajoute la nouvelle porosité des frontières entre vie professionnelle et vie personnelle. Les collaborateurs sont donc favorables à un code de bonne conduite. Ils sont 86% à juger qu'il n'existe pas de charte d'utilisation des réseaux sociaux dans leur entreprise. « Il y a une sorte d'urgence dans ce domaine », constate Christophe Excoffier, de Novamétrie, en rappelant que les collaborateurs ont une vraie expertise des réseaux sociaux. « Ce sont eux les experts de ces outils ». (...)

(22/09/2009 10:48:55)

Facebook sonne le glas de Beacon et admet certains problèmes sur le site

Lancé il y a un peu plus de deux ans, Beacon, le programme de ciblage marketing de Facebook, est désormais mort et enterré. Après l'ouverture d'une action collective en août 2008 pour violation de la vie privée par son outil, Facebook a préféré trouver un terrain d'entente avec les parties impliquées plutôt que d'entamer une action en justice. Aux termes de cet accord, la société s'engage à éliminer complètement tous les vestiges de Beacon. Elle versera également 9,5 millions de dollars pour la création d'une fondation indépendante de financement de projets visant à promouvoir les causes de la vie privée et de la sécurité en ligne. Selon les termes de l'accord, jusqu'à un tiers du montant de cette somme pourrait toutefois être utilisé pour payer les avocats de vingt des plaignants. Avant d'entrer en vigueur, cet accord devra néanmoins être ratifié par le tribunal du district de Californie à San Jose, où la plainte avait été initialement déposée. Facebook admet rencontrer certains problèmes sur le site Facebook a par ailleurs confirmé hier, lundi 21 septembre, que certains de ses utilisateurs avaient rencontré des problèmes d'utilisation sur son site au cours des quelques derniers jours : des difficultés pour ouvrir une session, des contenus qui n'apparaissent plus, l'impossibilité de voir certains profils et des messages d'erreur lors de la publication de contenus. « Nous travaillons pour résoudre ces inconvénients », a indiqué brièvement le centre d'assistance. Facebook évoque des problèmes techniques sur les données gérées en cache. (...)

(21/09/2009 16:55:48)

Les moteurs de recherche auront désormais accès à certains Google Documents

Début octobre, Google changera sa politique concernant les documents réalisés et publiés avec sa suite bureautique en ligne Google Documents. Les fichiers créés avec ces logiciels qui font l'objet d'un lien depuis un site Web public, pourront être indexés et donc retrouvés par les moteurs de recherche du marché, dont celui de Google bien entendu. Sur son blog officiel, le géant précise bien que seuls seront concernés les documents expressément publiables - les textes et tableaux pour lesquels aura été cochée l'option « publier comme une page Web » ou les présentations avec l'option « publier en pièce jointe »-. Malgré tout, cette annonce ne rassure pas les utilisateurs de Google qui en réponse à l'annonce demandent déjà à la société d'indiquer plus clairement quels seront les éléments susceptibles d'être indexés ou non. Aucune société ne veut subir la même mésaventure que Twitter et retrouver toute sa correspondance interne étalée en place publique. (...)

(21/09/2009 16:52:46)

Le cap des 1,5 million de noms de domaine en .fr est franchi

Le nombre de noms de domaines en .fr a franchi le cap des 1,5 million, a annoncé ce vendredi 18 septembre l'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic). C'est une compagnie d'artistes professionnels en Haute-Savoie qui a enregistré le 1 500 000e nom de domaine le 10 septembre dernier. Dans un communiqué, l'Afnic rappelle que l'extension .fr ne comptait que 100 000 noms en octobre 2002 et 500 000 en juillet 2006. La barre du million avait été atteinte en janvier 2008. "Le .fr représente 80% de la croissance nette du marché des noms de domaine en France en 2008/2009, avec une augmentation de 25% en volume contre 10% pour l'ensemble du marché !", indique l'association. La forte croissance enregistrée ces deux dernières années est en partie liée à l'assouplissement des modalités d'enregistrement des noms de domaines .fr, ainsi qu'à leur ouverture aux particuliers en juin 2006. L'extension .fr a été créée le 2 septembre 1986. En Europe, l'extension allemande (.de) demeure la plus populaire avec 13 millions de noms de domaine. (...)

(21/09/2009 12:27:01)

Adobe veut partager les applications Flash... et les revenus associés

Adobe a présenté aujourd'hui Adobe Flash Platform Services for Distribution, un service hébergé destiné aux développeurs et aux entreprises, pour les aider à distribuer leurs créations Flash et autres applications Web et mobiles. L'éditeur note en effet qu'il n'y a pas aujourd'hui de moyen standardisé de distribuer un tel contenu, et que cela échappe donc souvent aux éditeurs du service. Avec cette plateforme, Adobe entend redonner le contrôle à l'éditeur, lui permettre de distribuer son service sur les PC, les réseaux sociaux sur le Web ou les mobiles, d'en mesurer l'utilisation, et in fine de le monétiser. Adobe s'appuie sur un partenaire, Gigya, spécialisé dans la distribution virale d'applications (notamment sur les réseaux sociaux : une prochaine version de l'offre Adobe les concernera directement). C'est une garantie, explique l'éditeur, de toucher une large audience. Il suffira au développeur d'ajouter à l'application un bouton de partage, qui donnera diverses destinations possibles. Seules les applications d'Adobe les plus récentes, Flex et la version 4 de la Creative Suite, pourront bénéficier de ce service (le contenu Flash créé avec la CS3 pourra toutefois être partagé en créant un menu ad hoc avec Dreamweaver). Les applications distribuées sur le Web et les mobiles - y compris l'iPhone Sur les mobiles, la distribution se fera à l'aide d'un lien envoyé par SMS. La plateforme, explique Adobe, détectera alors le type d'appareil utilisé, et enverra la version de l'application appropriée (y compris sur iPhone, donc, si une version pour iPhone a été prévue par le développeur). Si la technologie de Gigya permet de faire payer la distribution d'applications, Adobe compte surtout sur les revenus liés à la publicité. Des développeurs pourront en effet choisir de faire sponsoriser leur application par des annonceurs - qui paieront Adobe et Gigya pour figurer sur la plateforme de distribution. Adobe a ainsi prévu un logiciel pour mesurer les téléchargements et analyser l'utilisation des applications. Ce Distribution Manager offrira des outils d'analyse très graphiques : il utilise lui-même Flash, car il exploite la technologie de client riche d'Adobe, AIR (Adobe integrated runtime). Un des premiers clients annoncés par Adobe est le Wall Street Journal, qui prévoit de sortir prochainement des widgets permettant aux utilisateurs d'accéder à différents types de contenu. De son côté, Adobe, prévoit d'autres services hébergés complétant cette première plateforme. L'éditeur ne veut plus se contenter des revenus liés à la vente de ses technologies ; comme il l'a prouvé avec le rachat d'Omniture, il espère aussi une part du gâteau publicitaire lié à l'audience des sites et applications Web. (...)

(21/09/2009 11:28:31)

L'Union européenne se penche sur l'accord entre Yahoo et Microsoft

Après l'administration américaine, comme prévu, l'Union européenne s'intéresse à son tour au partenariat signé en juillet dernier entre Yahoo et Microsoft. Selon Jesse Verstraete, porte-parole principal de Microsoft, la société mène actuellement « des discussions informelles avec la Commission Européenne » pour savoir si cet accord doit être considéré comme un simple accord de collaboration ou bien comme une fusion, et donc soumis à une enquête formelle. L'accord avec Yahoo prévoit notamment que Microsoft soit, pendant dix ans, le fournisseur exclusif de technologie de Yahoo pour le moteur de recherche et la publicité en ligne. Étant donné l'omniprésence de Google en Europe dans la recherche sur Internet (90 % de part de marché, contre 75 % aux États-Unis), Microsoft s'attend à que ce l'Union Européenne fasse moins de difficultés autour de son accord avec Yahoo que le Ministère américain de la Justice, qui pourrait y voir une tentative de monopole. À la différence des États-Unis, la Commission européenne ne peut décider seule d'une enquête formelle sur ce sujet. Toutefois, si Microsoft et Yahoo refusaient de lui faire une notification officielle, en estimant qu'elle n'est pas nécessaire, les deux sociétés pourraient se voir infliger des amendes. Au terme de toutes ces tractations, Microsoft s'attend à ce que son partenariat technologique avec Yahoo entre en action dès 2010. (...)

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