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(15/01/2009 12:43:30)
Google va distribuer sa suite Google Apps en mode indirect
La suite bureautique en ligne Google Apps, que Google destine aux entreprises, pourra désormais être commercialisée par les partenaires qu'il aura agréé. Les revendeurs, VAR et intégrateurs percevront chaque année 20% de l'abonnement payé par le client, soit 8 euros sur 40. « 3 000 entreprises adoptent chaque jour notre suite Google Apps Premium et nous ne souhaitons pas assurer nous-même la formation et le suivi des clients, explique Peter Lorant, directeur du Réseau Partenaires Europe de Google Enterprise. Il est donc essentiel pour nous de nous appuyer sur des partenaires à valeur ajoutée, comme les intégrateurs, les VAR ou les spécialistes du Web 2.0. ». La suite de Google intègre un traitement de texte, un tableur, un outil de présentation, un agenda, un outil de création de site, un système d'échanges de vidéos, une messagerie, des utilitaires de sécurité et une assistance technique accessible 7/7 jours et 24/24 heures. Des critères souples Dans un premier temps, Google n'exigera pas de certification pour agréer ses partenaires. Pour entrer dans ce nouveau réseau, les candidats devront simplement avoir eu un premier projet portant sur au moins 25 utilisateurs. « Les revendeurs que nous avons interrogé souhaitent tout particulièrement rester maîtres de la relation avec leurs clients et de la facturation, explique Laurent Lasserre, directeur commercial France Google Enterprise. Nous souhaitons réaliser la totalité de nos ventes en indirect, même si le client final conserve le choix d'acheter comme il l'entend. Les services générés par la vente d'une suite Google Apps représentent une réelle opportunité ». (...)
(15/01/2009 11:03:57)Le gouvernement inaugure le chantier du (pas très) haut débit pour tous
François Fillon, le Premier ministre, l'avait annoncé lundi, en présentant la mise en oeuvre du plan France numérique 2012 ; c'est désormais chose faite : le gouvernement a posé la première pierre du chantier qui permettra à tous les Français d'accéder à Internet en haut débit d'ici à 2012. Mais, en publiant l'appel à manifestation d'intérêt qui inaugure ce 'haut débit universel', l'exécutif fait preuve de bien peu d'audace. En premier lieu, le gouvernement ne prévoit pas de contribuer financièrement à cette couverture de tous les ménages, en investissant dans le déploiement de nouveaux réseaux par exemple ; il se contentera de délivrer des labels aux offres des FAI (fournisseurs d'accès à Internet) répondant au cahier des charges. Ensuite, les caractéristiques techniques de l'accès haut débit dont pourront bénéficier les populations visées laissent sans voix tant elles sont éloignées de la réalité du Web de 2009 : le débit descendant peut se limiter à 512 kbit/s, contre 96 kbit/s en débit montant. Pire, les FAI auront tout loisir de limiter le volume des données échangées mensuellement à 2 Go en descendant, et 300 Mo en montant. La consultation de vidéos sur Youtube ou toute autre activité gourmande en bande passante ne seront pas au programme des « Français durablement exclus de la société de l'information », dont le gouvernement estime le nombre entre 1 et 2 millions. Et qui paieront au maximum 35 € par mois pour bénéficier d'une offre étiquetée 'haut débit universel'. L'appel à manifestation d'intérêt est ouvert jusqu'au 1er mars. Il vise à identifier les FAI désirant participer au programme gouvernemental et à recueillir leurs observations sur le cahier des charges. (...)
(14/01/2009 14:45:48)Succession de Besson : Bruno Retailleau pressenti à son tour
Les rumeurs se multiplient autour du nom du futur secrétaire d'Etat à l'Economie numérique. Eric Besson, l'actuel titulaire, est en effet pressenti pour succéder à Brice Hortefeux au ministère de l'Immigration. Après que plusieurs sources ont évoqué les noms de Frédéric Lefebvre ou de Patrick Devedjian pour le remplacer, le Figaro affirme que Bruno Retailleau pourrait finalement être nommé. Présenté par Philippe de Villiers comme son « fils spirituel », l'intéressé est actuellement sénateur de la Vendée. Sa nomination répondrait à la volonté de Nicolas Sarkozy de poursuivre ses démarches d'ouverture, en se concentrant cette fois sur la droite de l'échiquier politique. La prise en charge du secrétariat d'Etat par Bruno Retailleau serait finalement assez peu surprenante, eu égard aux travaux menés par le sénateur sur le terrain de l'IT. Rapporteur lors de l'examen de la loi Création et Hadopi, il avait notamment défendu le remplacement de la suspension de l'abonnement à Internet par une amende et avait souligné le caractère déséquilibré du projet législatif, jugé trop répressif. Il était également à l'origine d'un amendement imposant à l'Hadopi de ne s'en prendre qu'aux internautes dont les agissements illicites auraient été préalablement prouvés. Bruno Retailleau s'était en outre illustré pendant les débats entourant la Dadvsi en stigmatisant les aspects du texte défavorables à l'interopérabilité et au logiciel libre. (...)
(14/01/2009 07:07:49)La Malaisie collabore avec le CNRS sur les technologies sémantiques
L'agence gouvernementale malaise de recherche appliquée Mimos a signé un partenariat avec le CNRS pour le développement de plateformes sémantiques. Ces techniques consiste à s'appuyer sur le sens des contenus pour les organiser et les retrouver. Elles sont à la base de ce qu'on appelle déjà le Web 3.0. C'est l'équipe Représentation des connaissances et des raisonnements (RCR) du Lirmm (Laboratoire d'informatique, de robotique et de Micro-électronique de Montpellier) qui collaborera avec Mimos. Le laboratoire français fournira une formation de haut niveau en intelligence artificielle au groupe Knowledge technology cluster de l'agence malaise. Michel Chein, professeur émérite d'informatique au Lirmm et chercheur au RCR, a ajouté que le laboratoire allait accompagner les chercheurs malais afin qu'ils puissent utiliser, adapter voire même étendre les outils Cogitant et Cogui développés par son équipe. Cogitant est une plateforme de développement d'applications qui s'appuie sur l'utilisation des graphes contextuels et Cogui l'exploite pour la construction interactive et l'interrogation de bases de connaissance. « L'équipe de recherche en technologie de la connaissance de Mimos pourra ainsi utiliser des versions étendues de nos logiciels pour le développement de la technologie sémantique de prochaine génération », a complété Michel Chein. Un marché de 52 Md$ en 2010 « Les technologies sémantiques sont très prometteuses pour ce qui est de résoudre les plus gros cauchemars des entreprises, et la gestion de l'information client n'est qu'un des très bons exemples des services qu'elles pourraient rendre, a ajouté le Dr Dickson Lukose, directeur du Technology kowledge cluster de Mimos. Ces technologies ont la capacité de déployer de l'intelligence dans des applications pour certains secteurs verticaux en particulier, comme les finances, l'agriculture, la médecine, l'automobile et la sécurité publique. » « MIMOS collabore avec différentes universités et organisations étrangères sur ces sujets afin que la Malaisie soit reconnue comme la première société Web 3.0 dans le monde, ajoute le Dr Dickson Lukose. De plus, dans le marché des TIC, le sémantique aura représenté 283 milliards de dollars entre 2006 et 2015. En 2006, la part de ce marché n'était que de 2 milliards de dollars, mais elle devrait déjà peser 52 milliards en 2010, dont 12,6 pour l'Asie. » (...)
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