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(19/01/2009 17:07:35)

Les candidats pour gérer le « .fr » dans les starting-blocks

Le 15 janvier, Luc Chatel, secrétaire d'État chargé de l'Industrie et de la consommation, a lancé l'appel à candidatures en vue de la désignation de l'office d'enregistrement du domaine Internet « .fr », pour une durée de sept ans renouvelable. Depuis cette date court une période de 52 jours pendant laquelle les candidats intéressés peuvent déposer un dossier auprès du ministère de l'économie. A l'issue de la consultation publique qui se termine le 8 mars 2009 avant 16 heures, la ministre de l'économie désignera l'office d'enregistrement. Actuellement, c'est l'Afnic (association Française pour le Nommage Internet en Coopération) qui est chargée de la gestion administrative et technique des noms de domaine en .fr (France) et .re (Île de la Réunion). Luc Chatel souligne la croissance constante de l'extension .fr, avec plus de 1 315 000 noms enregistrés en janvier 2009. L'appel à candidatures publié le 15 janvier fait suite au décret du 6 février 2007 sur les modalités de gestion du domaine Internet .fr et des extensions d'outre-mer. Une consultation publique a été lancée le 25 avril dernier sur ce sujet et plus d'une trentaine de réponses ont été reçues, de la part des acteurs directement concernés (bureaux d'enregistrement, titulaires de noms de domaine, titulaires de droits de propriété intellectuelle et de noms protégés), mais également formulées par des particuliers, utilisateurs d'internet. La synthèse de ces réponses a été publiée fin 2008 sur le site www.telecom.gouv.fr. (...)

(19/01/2009 17:01:12)

Antitrust : Microsoft à nouveau dans le collimateur de Bruxelles, cette fois pour IE

C'est une communication des griefs qu'a envoyée, le 15 janvier, la Commission européenne à Microsoft. Le document, premier maillon des enquêtes antitrust conduites par Bruxelles, reproche à l'éditeur l'inclusion du navigateur Internet Explorer dans Windows. Ce dossier tire son origine dans une plainte déposée il y a un an par Opera Software, l'éditeur d'un navigateur concurrent d'IE. De fait, l'exécutif européen reprend les arguments avancés par Opera, qui regrettait qu'un « monopole effectue les choix à la place des consommateurs ». La Commission va même plus loin, en indiquant qu'elle « apporte la preuve » que la vente liée d'IE et de Windows nuit à la concurrence. Bruxelles fonde son argumentaire sur trois points. En premier lieu, l'inclusion d'IE dans Windows, en ce qu'elle aboutit sur la présence du navigateur sur 90% des PC commercialisés dans le monde, « confère à IE un avantage artificiel en matière de distribution, avantage que les autres navigateurs Web sont incapables d'offrir ». Ensuite, la Commission européenne estime que la concurrence faussée fait naître un « préjudice au rythme de l'innovation et à la qualité des produits que les consommateurs obtiennent en fin de compte ». Cet argument pourra être contesté par Microsoft, qui n'aura qu'à évoquer la richesse des développements issus de Mozilla - avec Firefox 3 - ou de Google - avec Chrome - pour illustrer l'existence d'une réelle innovation dans ce secteur. Enfin, Bruxelles déplore que « l'omniprésence d'IE incite artificiellement les fournisseurs de contenu et les développeurs à concevoir des sites ou des logiciels essentiellement pour Internet Explorer ». Microsoft a huit semaines pour répondre Autant d'éléments susceptibles d'inquiéter Microsoft et de réjouir Opera. Jon von Tetzchner, le PDG d'Opera Software, se félicite de l'intérêt porté par Bruxelles à cette affaire. « Il est clair qu'ils prennent cela très au sérieux », commente-t-il. Mais l'homme reste prudent, notamment en ce qui concerne les conclusions auxquelles pourra aboutir Bruxelles. Ainsi, Jon von Tetzchner ne souhaite ainsi pas que la Commission impose à Microsoft de commercialiser une version de Windows amputée d'IE. « Le seul moyen d'offrir aux consommateurs un réel choix, est d'extirper IE de Windows et de le remplacer par un navigateur concurrent ou de proposer une liste de navigateurs alternatifs. » Microsoft dispose de huit semaines pour apporter ses réponses aux questions soulevées par la Commission. Au-delà de ce délai, l'éditeur pourra être auditionné. Bruxelles, de son côté, évoque la possibilité d'infliger une amende à l'éditeur, de l'obliger « à mettre fin à l'abus » et lui imposer une « mesure corrective (...) qui permettra d'assurer une concurrence par les mérites ». En mars 2004, l'exécutif européen avait condamné Microsoft pour son abus de position dominante sur le marché des systèmes d'exploitation du fait d'imposer la présence de Media Player dans Windows. Le géant de Redmond avait écopé d'une amende de 497 M€, confirmée en appel en 2007, à laquelle s'est greffée une astreinte de 899 M€, prononcée en février 2008 pour le non respect des obligations prononcées quatre ans plus tôt. (...)

(19/01/2009 17:08:36)

Enquête de satisfaction lecteurs

Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite à répondre à une enquête en ligne, qui nous aidera à orienter nos services et notre contenu. Loin de l'image de la tour d'ivoire parfois associée à la presse, LeMondeInformatique.fr se veut proche de ses lecteurs. Parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Nous continuons également notre série de petits-déjeuners / entretiens avec la rédaction. Le prochain aura lieu le 26 février à 8h30 précises dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. Pour plus de renseignements, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(19/01/2009 12:29:30)

Les patrons de Yahoo et Microsoft relancent les rumeurs de rapprochement

Quelques jours seulement après la nomination de sa nouvelle PDG, Yahoo reprend contact avec Microsoft. Le New York Times indique ainsi, dans son édition datée du 16 janvier, que Steve Ballmer et Roy Bostock, les présidents des deux géants de l'IT, se sont rencontrés informellement la semaine dernière. Mercredi, Carol Bartz, qui vient de succéder à Jerry Yang au poste de PDG de Yahoo, expliquait à ses salariés qu'elle aussi avait pris contact avec le même Steve Ballmer, par téléphone cette fois. Ces deux entretiens en quelques jours peuvent simplement illustrer la volonté des deux groupes de poser les bases d'une relation cordiale. Mais ils sont également susceptibles de poser les jalons d'un rapprochement, que Jerry Yang s'est toujours acharné à refuser mordicus. Même si Carol Bartz estimait, mercredi, qu'un accord publicitaire entre Yahoo et Microsoft n'était pas une bonne idée, elle précisait néanmoins qu'elle allait se pencher davantage sur la question. De son côté, Steve Ballmer répète inlassablement son désir d'une alliance entre les deux challengers de Google sur le terrain de la recherche en ligne. En décembre, il précisait même que « le plus tôt serait le mieux » . Le feuilleton Yahoo/Microsoft a rythmé l'année 2008. Débuté en février, avec l'offre de 44,6 Md$ formulée par le géant de Redmond, il a connu son lot de rebondissements, entre les faux retraits de Microsoft et les vaines tentatives de renversement du conseil d'administration de Yahoo. (...)

(19/01/2009 12:17:03)

Les Français ont dépensé 4,3 Md d'euros en ligne pour leurs cadeaux de Noël

Un peu plus de 3 Md€ l'année dernière, 4,3 Md€ cette année : les Français ont dépensé 29% de plus lors de ce Noël pour leurs achats en ligne. La Fevad, Fédération du e-commerce et de la vente à distance, qui publie les résultats d'une enquête réalisée avec l'institut DirectPanel, relève toutefois que le panier moyen a un peu baissé. Une première depuis la création du baromètre il y a cinq ans. Le budget moyen de cadeaux achetés sur Internet est passé de 226 euros (Noël 2007) à 216 euros (Noël 2008), tandis que le panier moyen de cadeaux tous modes d'achat confondus est passé de 431 à 410 euros en un an. L'étude relève notamment une forte progression des « petits » budgets. « 7,2% des répondants déclarent avoir consacré moins de 25 euros pour leurs cadeaux, contre 4,3% en 2006 et 2007. » La Fédération précise par ailleurs que pour la première fois, les cyber-acheteurs déclarent très majoritairement (49%) avoir choisi d'acheter leurs cadeaux en ligne en raison des prix plus attractifs, contre 41% qui mettent en avant l'aspect pratique des sites marchands et 29% qui ont souhaité éviter la foule des magasins. Et si la confiance semble être là au moment du paiement en ligne, la Fevad conseille aux cybermarchands « d'accompagner le déploiement des mesures d'authentification par un dispositif d'information suffisant ». D'après l'étude, 16% des acheteurs se sont déclarés « perturbés face aux nouveaux systèmes d'authentification au moment du paiement (tels que demande de date de naissance...) ». Les produits culturels en tête, belle percée des netbooks Comme en 2007, les internautes ont, dans leur majorité, acheté leurs cadeaux en ligne en décembre. 50% des personnes interrogées déclarent avoir commandé leurs cadeaux entre le 1er et le 15 décembre, et 20% ont attendu après le 15 décembre. Les acheteurs ont fait la majeure partie de leurs cadeaux en semaine, autant en journée qu'en soirée. Les produits culturels (CD/DVD) ont une fois de plus dominé les ventes de cadeaux sur le Web (27%), devant les livres (21%), les jeux/jouets (17%), les consoles de jeux/loisirs numériques (16%), les vêtements (15%) et les produits informatiques (13%). Côté high-tech, ce sont les appareils photo numériques, les consoles de jeux, les baladeurs MP3, les écrans plats et les netbooks - la Fevad parle de « belle percée » - qui ont été les cadeaux les plus prisés. Selon les estimations de la Fevad, le chiffre d'affaires de l'e-commerce français devrait franchir la barre des 20 milliards d'euros en 2008. Le bilan définitif de l'année, tiré d'après l'étude de plus de 40 000 sites, sera présenté le 28 janvier prochain. (...)

(16/01/2009 18:23:00)

Nathalie Kosciusko-Morizet bien accueillie par les acteurs de l'IT

Sans tarder, l'arrivée de Nathalie Kosciusko-Morizet, pour succéder à Eric Besson au poste de secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, a été accueillie favorablement par différents acteurs professionnels de la IT. L'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) apprécie en premier lieu de voir pérennisé un secrétariat d'Etat créé il y a moins d'un an et, de surcroît, confié à une personne qui « dispose de toutes les compétences requises par le sujet » et qui « a fait preuve lors de ses précédentes responsabilités de dynamisme et de volontarisme ». L'association espère y voir le signe que le gouvernement place, à l'instar de l'administration Obama, « l'économie high-tech et l'innovation au coeur de son programme de relance ». Au passage, l'Afdel salue le bilan « très positif » d'Eric Besson, avec lequel elle a collaboré à l'occasion des Assises du numérique. Un nouvel élan pour le plan France numérique 2012 De son côté, Syntec Informatique, la fédération des SSII et des éditeurs de logiciels, souhaite que cette nomination marque « un nouvel élan » dans la mise en oeuvre du plan France numérique 2012, une étape qui « doit être transformée aujourd'hui ». Jean Mounet, président du syndicat patronal, soulignait la semaine passée, à l'occasion de ses voeux, qu'une gouvernance devait être mise en place, avec un ministère spécifique en citant lui aussi en exemple la démarche engagée aux Etats-Unis par Barak Obama. Réaction très positive aussi de la part du club Renaissance numérique qui cherche à développer les nouvelles technologies en France et qui compte parmi ses membres Pierre Kosciusko-Morizet, PDG du site d'achat/vente PriceMinister et frère de la nouvelle secrétaire d'Etat à l'économie numérique. Parallèlement au remaniement ministériel, le patron de PriceMinister a reçu dans ses locaux Hervé Novelli, secrétaire d'Etat aux PME, pour faire un premier bilan du statut de l'auto-entrepreneur, quinze jours après son entrée en vigueur, le 1er janvier dernier. Nathalie Kosciusko-Morizet a balayé le risque de conflit d'intérêt avec son frère [[page]]Pierre Kosciusko-Morizet est une figure connue du monde Internet et ses liens de parenté avec la secrétaire d'Etat ont immédiatement été rappelés. Interrogée ce matin sur France-Inter, Nathalie Kosciusko-Morizet a balayé le risque d'un conflit d'intérêt : « Nous avons une culture Internet commune qui nous a amenés à nous intéresser aux mêmes sujets, mais de manière complètement différente, a-t-elle répondu au journaliste Nicolas Demorand. C'est comme si vous me disiez : vous ne pouvez pas devenir ministre des PME parce que vous avez des PME dans votre famille. » Pierre Kosciusko-Morizet est également président de l'Acsel, association de l'économie numérique et vice-président de l'IE-Club, qui s'est donné pour mission de rapprocher les PME high-tech des autres acteurs de l'innovation. La passation de pouvoirs a eu lieu hier soir, jeudi 15 janvier, à 17 heures, à l'hôtel de Broglie, entre Nathalie Kosciusko-Morizet et Eric Besson. Ce dernier a reconnu que son plan, France numérique 2012, ne constituait qu'une étape et que tout restait à faire : « la fibre optique, la télévision numérique terrestre, l'utilisation généralisée d'Internet. Ce ne sont que des bases, des principes ». S'appuyer sur le numérique pour créer de l'emploi La secrétaire d'Etat a pris ses fonctions en rappelant d'emblée qu'elle avait fait « beaucoup de prospective depuis 10 ans, en particulier dans l'écologie » alors que ce n'était pas un thème privilégié dans sa famille politique. Sur l'économie numérique, elle a rappelé qu'elle appartenait à la culture Internet : « j'ai beaucoup cherché à développer cela dans mes activités ; je sais tous les espoirs que cela porte pour les territoires, sur les plans culturel, personnel, économique... ». Interrogée sur les projets, elle a indiqué vouloir s'appuyer sur le numérique pour créer de l'emploi. Ce matin, sur France-Inter, elle n'a pas souhaité commenter « à chaud » l'amendement voté par le Sénat sur l'assujettissement des possesseurs d'ordinateurs à la redevance audiovisuelle. « J'aime faire les choses de manière très sérieuse. Sur l'écologie, j'ai tout étudié à fond avant de mettre en place les projets du Grenelle de l'environnement. Donc, je ne vais pas réagir, nommée hier, sur un événement de cette nuit ». Enfin, questionnée sur la nécessité de montrer plus de fermeté sur la question du téléchargement illégal, Nathalie Kosciusko-Morizet a rappelé que le projet en discussion allait à la fois dans le sens de la fermeté et de la lisibilité. « Ce qu'il y a de formidable dans l'outil numérique et dans Internet, c'est qu'il y a beaucoup plus de convivialité, c'est beaucoup plus participatif, de nouvelles communautés émergent mais, en même temps, l'outil peut nous couper de certaines réalités. C'est l'un des problèmes du téléchargement illégal : c'est indolore, il y a le sentiment que cela ne fait pas de mal. Il faut réussir à faire passer aussi le message, quitte à trouver de nouveaux vecteurs, des incitations, que, si, (...) ça déstructure, ça déconstruit, ça appauvrit et donc, finalement, cela peut tuer la création. » (...)

(16/01/2009 17:08:40)

L'édifiant portrait de Marc L, fruit de ses traces numériques

C'est un exercice original et inquiétant auquel se sont livrés les journalistes du Tigre, un bimestriel présenté comme un « curieux magazine curieux ». L'idée : dresser le portrait d'un parfait inconnu à partir d'informations glanées sur le Web. Le sujet - ou plutôt la victime - de ce portait Google est Marc L, un architecte d'intérieur de 29 ans habitant dans l'ouest de la France, utilisateur de réseaux sociaux et autres outils du web 2.0. Des instruments pratiques pour rester en contact avec ses amis mais néanmoins redoutables : en y éparpillant des morceaux de vie privée, les internautes s'exposent à être dépossédés de leur identité numérique. En témoigne ce portrait « violemment impudique » de Marc L, écrit « pour la bonne cause » avec une pointe de sarcasme : « après tout, c'est de ta faute, tu n'avais qu'à faire attention. » L'enquête sur la vie de Marc L débute à partir de quelques photos trouvées sur Flickr. En explorant les quelque 17 000 clichés mis en ligne par le jeune homme, on retrace ses voyages et découvre ses fréquentations et ses centres d'intérêt : séjour au Canada avec Helena et Jose en 2008, groupe de musique monté à la fin des années 1990 puis abandonné en 2002, retrouvailles avec Dom pour la fête de la musique en 2008. « Dom, c'est Dominique F., il est thésard à Bordeaux III », précise le Tigre. Un passage sur Facebook nous apprend que Marc L est hétérosexuel, qu'il a fréquenté Jennifer, puis Claudia, dont les parents vivent boulevard V, à Bordeaux. Claudia travaille avec Lukas au Centre culturel franco-autrichien de la préfecture de Gironde. Les trois amis se voient régulièrement, pour jouer à la pétanque à Arcachon ou « fêter les sous de la CAF », comme le 31 mai dernier. L'histoire avec Jennifer avait duré deux ans. En 2006, les amoureux sont partis en vacances en Bretagne. « Tu avais les cheveux courts à l'époque, ça t'allait moins bien. » La suite de l'article du Tigre regorge de détails sur la vie privée de Marc, que n'importe quel internaute curieux aurait pu dénicher en fouinant sur Google, Youtube, Pagesjaunes, les sites des journaux régionaux, etc. Ce qui est valable pour Marc l'est évidemment pour une multitude d'individus : si certains prennent grand soin de ne pas diffuser des informations personnelles, la plupart se laissent séduire par les outils qu'ils utilisent et éparpillent des pans de leur existence de ci, de là, sans avoir conscience de la facilité avec laquelle il est possible de rassembler les pièces du puzzle. (...)

(15/01/2009 16:07:09)

Google supprime une centaine de postes de sa division recrutement

Google a décidé de lever une partie du voile sur le nombre de sous-traitants qu'il compte remercier. Le géant des moteurs de recherche vient en effet d'indiquer qu'il allait mettre fin à la majorité des contrats passés avec ses fournisseurs de services de recrutement. Selon le billet posté sur le blog officiel de Google, Laszlo Bock, vice-président de l'activité "People Operations" de la firme de Moutain View précisait : « Google continue de recruter, mais à un rythme moins soutenu, compte tenu du climat économique actuel. Ce ralentissement des embauches nous a conduit à réduire la quasi totalité des contrats passés avec les prestataires qui nous fournissaient des services liés au recrutement ». L'entreprise a décidé d'aller plus loin en réduisant la taille de sa division recrutement, décision qui se soldera par la suppression d'une centaine de postes aux RH. Dans son billet, le vice-président de Google reconnaît que ce soudain changement d'orientation sera très difficile pour les personnes concernées, et il espère qu'elles pourront se reclasser au sein de l'entreprise : « Les salariés qui travaillent aux recrutements ont aidé à bâtir cette entreprise, grâce à l'embauche de nouveaux collaborateurs, et nous leur sommes extrêmement reconnaissants pour tout ce qu'ils ont fait ». Pas sûr que la centaine de salariés concernés par ces suppressions de postes soient sensibles à un tel gage de reconnaissance. (...)

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