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(13/10/2008 17:24:41)

La crise économique ajourne la présentation du plan Numérique 2012

Crise économique oblige, la présentation du Plan de développement de l'économie numérique, dit plan Numérique 2012, attendra. Le secrétariat d'Etat éponyme et l'Elysée, qui devaient dévoiler, aujourd'hui, le contenu de ce plan, ont annoncé que l'événement est reporté à la semaine prochaine. « En raison de la mise en oeuvre des conclusions du Sommet des Etats de la zone euro, le discours de M. le président de la République prévu ce matin sur le plan de développement de l'économie numérique est reporté à la semaine prochaine », explique le Château. Le plan Numérique 2012 vise à faire de la France « une très grande puissance numérique, à l'égal des économies les plus dynamiques de notre planète ». Lemondeinformatique.fr ne manquera pas de vous tenir informés des grandes lignes du plan concocté par Eric Besson dès que son contenu sera communiqué. (...)

(13/10/2008 14:38:00)

Seesmic licencie la moitié de ses effectifs

Patatras. Un an après sa création et deux prometteuses levées de fonds, d'un montant de 6 M$ chacune, la start-up Seesmic est rattrapée par la tourmente économique. Le site français de partage de contenu et de conversations vidéo va en effet se séparer de la moitié de ses salariés, soit sept personnes. Il y a quelques semaines pourtant, Loïc Le Meur, fondateur du site, affirmait que la crise n'avait pas encore atteint la Silicon Valley (où il s'est expatrié depuis un an). « Elle reste protégée, on ne note pas de ralentissement des levées de fonds », précisait Loïc Le Meur lors du lancement du programme Le Web'08. C'est un tout autre discours qu'il tient aujourd'hui sur son blog, en évoquant dans une vidéo des « temps difficiles et incertains », avant d'annoncer les licenciements. (...)

(10/10/2008 17:22:05)

Facebook ouvre une agence à Paris et lance un concours pour les développeurs

Le tout jeune fondateur de Facebook Mark Zuckerberg (24 ans) était hier à Paris pour annoncer la prochaine inauguration d'une agence parisienne ainsi que la conclusion d'un partenariat avec Netvibes, l'agrégateur de contenu Web. Facebook a aussi lancé un concours pour les développeurs, avec à la clé des sommes comprises entre 2000 et 5000 €. Ouvert jusqu'au 31 janvier 2009, le « French Application Contest » récompensera les trois applications les plus populaires développées en français. Un éditeur comme Alfresco propose déjà des applications Facebook pour les entreprises. Elles leur permettent de partager du contenu avec leurs clients, leurs partenaires ou leurs salariés. Facebook a par ailleurs ouvert les sources de sa plateforme à la communauté des développeurs en juin dernier. 24 000 applications auraient déjà été mises en ligne, et 400 000 développeurs y travailleraient, affirmait alors Ami Vora, responsable senior de la plateforme, sur son blog. Une utilisation professionnelle encore incertaine Reste à savoir si les entreprises utilisent réellement Facebook pour communiquer. Beaucoup restent frileuses à cette idée, essentiellement par souci de sécurité. Robert Fan, co-fondateur de la société 750 Industries (qui conçoit justement des applications professionnelles pour Facebook), avait lancé un pavé dans la mare en déclarant lapidairement que « personne ne sait réellement à quoi serviront les API professionnelles de Facebook » lors du Graphing Social Patterns West en mars dernier (un salon co-animé par les figures emblématiques du Web 2.0, comme Tim O'Reilly). Robert Fan avait ensuite précisé que l'évolution se ferait, mais qu'elle serait « lente ». Disponible en français depuis mars 2008, Facebook compte 4,1 millions de membres dans l'Hexagone, contre 3 millions il y a six mois et seulement 106 000 en avril 2007. (...)

(09/10/2008 17:05:07)

Riposte graduée : Viviane Reding se range du côté des eurodéputés

Une pierre de plus dans le jardin de la riposte graduée. Cette fois, c'est Viviane Reding, la Commissaire européenne à la Société de l'information, qui annonce qu'elle se range aux côtés des députés européens. Lesquels ont récemment étrillé, dans un amendement voté à une large majorité, le principe de la riposte graduée tel que le gouvernement français entend le mettre en place. Dans une lettre adressée à l'ARP (Association des réalisateurs et producteurs) pour justifier de son absence lors des prochaines Rencontres cinématographiques, Viviane Reding explique que « les instances européennes ne doivent pas se laisser instrumentaliser pour obtenir le cautionnement d'un modèle spécifiquement national à l'échelle communautaire. » En filigrane se profile une condamnation de la tentative de Nicolas Sarkozy d'intervenir auprès de José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, pour que soit rejeté l'amendement contesté. Une demande immédiatement repoussée par le patron de l'exécutif communautaire. « Pour respecter le droit des élus du peuple, la Commission se doit de transmettre cet amendement au Conseil, à toutes fins utiles », ajoute Viviane Reding. (...)

(09/10/2008 14:49:47)

Internet des objets: l'Europe des 27 demande un « droit au silence des puces »

«Les puces doivent pouvoir être déconnectées». C'est l'un des messages forts qu'ont voulu faire passer Eric Besson, secrétaire d'état français à l'économie numérique, et Viviane Reding, commissaire européen à la société de l'information, lors du sommet qui a réuni lundi 6 octobre les délégations ministérielles des 27 pays de l'Union. A l'heure où l'on prévoit l'extension des usages des technologies RFID et autres puces sans contact, au delà de la seule logistique, il est essentiel que la traçabilité des objets se fasse « dans le respect de la protection des données des entreprises et des citoyens », insiste la commissaire européenne. la souveraineté de l'Union européenne sur les infrastructures critiques de l'Internet du futur « Le développement de l'Internet des objets, lié à son acceptation, ne se fera que s'il est accompagné par ce droit au silence des puces », abonde le secrétaire d'état à l'Economie numérique. L'autre condition, retenue par l'assemblée des 27, est de donner de la consistance à la souveraineté de l'Union européenne sur les infrastructures critiques de cet Internet du futur. La France se pose en leader sur ce plan avec la constitution depuis le printemps dernier d'une toute première « racine » européenne pour un dispositif de nommage des objets (Object Naming Services) à l'initiative du consortium GS1 (30 000 entreprises adhérentes en France) et hébergée par l'opérateur Orange Business Services. Il s'agit de l'équivalent du DNS de l'internet actuel, (l'ONS américain relevant de Verisign). [[page]] «Il est indispensable que les choix technologiques faits aujourd'hui soient compatibles avec les usages envisagés. Les choix à opérer sont de nature politique car les enjeux sont au coeur de nos sociétés », souligne Eric Besson. Le sommet du 6 octobre a ainsi permis d'entériner le consensus des 27 sur cinq prises de position qui seront soumises à l'adoption du conseil européen des ministres télécoms lors de la prochaine réunion prévue pour le 27 novembre. Les cinq décisions retenues sont ainsi : - La nécessité de renforcer la sécurité et la résilience des réseaux, avec une coordination assurée par l'Enisa (Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information), ainsi que le renforcement des dispositifs de protection des mineurs. - La nécessité de coordonner au niveau européen la gestion du spectre de fréquences, aiguillonnée notamment par le passage au tout numérique du secteur audiovisuel. - L'objectif prioritaire de protection des libertés qui passe par la possibilité de désactiver (et réactiver) les puces. - L'affirmation du rôle moteur de l'Europe pour la gouvernance et l'émergence d'une gestion distribuée des infrastructures (et qui ne soit pas centralisée outre-atlantique), pour laquelle la « racine » française peut en quelque sorte servir d'expérience pilote. - Le renforcement de la coordination de la recherche et de l'échange des bonnes pratiques dans tous ces domaines. Tous ces sujets, avec l'accélération de l'accès au très haut débit indispensable à l'essor de l'Internet des objets, reviendront sur le tapis au niveau national dès la semaine prochaine. Nicolas Sarkozy devrait en effet présenter le plan pour le développement de l'économie numérique le 15 octobre. (...)

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