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(10/07/2008 17:28:35)

Les Français se distinguent sur Imagine Cup 2008

Le concours Imagine Cup de Microsoft s'est terminé mardi 8 juillet sur la victoire d'une équipe australienne dans la catégorie « conception logicielle », considérée par l'éditeur comme la catégorie reine. Leur projet, SOAK, est une plateforme logicielle et matérielle pour aider les fermiers à mieux contrôler certains systèmes tels que les arrosages automatiques. Cette année, le concours portait en effet sur le thème du développement durable. Les jurys étaient en conséquence constitués de spécialistes dans le domaine et d'experts des TIC. Les Français, champions des systèmes et réseaux Les finales se sont déroulées à Paris et les Français sont loin d'avoir démérité. Ils ont obtenu une médaille d'or et une médaille de bronze, ainsi que plusieurs prix spéciaux. Ainsi, la première place de la difficile catégorie « Systèmes et réseaux » est revenue à Jean-Benoît Paux, de l'INSA Lyon. Contrairement aux autres catégories, « Systèmes et réseaux » teste la compétence des candidats et non la valeur du projet, et elle ne concerne pas des équipes mais des individus. Pour la finale, les étudiants doivent mettre en place en 24h une infrastructure complète en déployant six serveurs avec Exchange, SQLServer, un accès Internet, le tout en environnement sécurisé. Pour recréer des conditions réelles d'entreprise, toutes les 4 ou 5 heures intervient un événement perturbant comme une attaque de virus ou un crash matériel. « Depuis la création de cette catégorie en 2005, les Français ont toujours gagné des médailles », se félicite Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division plateforme et écosystème de Microsoft France. La France a par ailleurs obtenu le bronze dans le design d'interface. L'équipe Edelweiss a développé une application pour les enfants dans laquelle un ours interactif apparaît sur écran pour enseigner aux plus petits les gestes écologiques. Un concept qui pourra plus tard être adapté à un véritable ours en peluche. Edelweiss est une équipe doublement mixte : elle réunit un garçon et une fille, un ingénieur de l'EFREI et un étudiant en design du Strat College. [[page]] L'Imagine Cup parisienne a aussi récompensé des étudiants de l'EFREI pour le design d'une interface avec un prix spécial « accessibilité ». Enfin, l'équipe gagnante de la finale française dans la « conception logicielle », SmartCooking (Supinfo Lille, Supinfo Montpellier, les Gobelins) a aussi été récompensée. Des candidats de plus en plus jeunes et d'un « niveau excellent » Imagine Cup 2008 a rassemblé 200 000 étudiants provenant d'une centaine de pays. « En moyenne, ils avaient au moins entre 17 et 18 ans, soit six mois à un an de moins que ceux de 2007, raconte Laurent Ellerbach, impressionné. Le niveau était vraiment excellent. » Le plus jeune finaliste n'a que 16 ans. « Parmi les changements cette année, nous avons aussi noté que les écoles proposaient plus fréquemment à leurs étudiants de présenter un projet à Imagine Cup qui compterait pour l'obtention de leur diplôme, plutôt qu'un projet 'dans le vide'. » Apprendre à vendre ses projets ou à creuser certains points techniques avec des spécialistes, collaborer avec d'autres disciplines, etc., les candidats ont tous apprécié. « Je crois que nous sommes en passe d'atteindre l'objectif principal de l'Imagine Cup : redorer ces filières techniques, redonner goût aux technologies », conclut Laurent Ellerbach. Les gagnants reçoivent des prix qui atteignent jusqu'à 25 000 dollars. Et Microsoft propose aussi à certaines équipes primées d'intégrer l'Imagine Cup Innovation Accelerator pour les aider à développer leur projet. (...)

(10/07/2008 15:47:24)

Les micro-revenus en ligne pourraient être taxés à hauteur de 13%

Club Sénat, entité de rencontre entre sénateurs et "le monde de l'entreprise", s'est intéressé aux micro-revenus en ligne et, surtout, au fait qu'ils échappent à toute forme de prélèvements obligatoires. Son rapport préconise ainsi de les inscrire dans un cadre légal, autrement dit de les soumettre au paiement de l'impôt et des charges sociales ainsi qu'au respect de la réglementation sur le commerce à distance. La vente en ligne de biens d'occasion seraient elle-aussi taxée Si ce projet de taxer certains revenus en ligne est légitime, il pêche par son manque de précision. Ainsi, la revente de biens d'occasion en ligne, par exemple, serait elle-aussi taxée. Quant à la description du profil des utilisateur, elle surprend par son évidence : « Étudiants, femmes au foyer, jeunes, salariés y voient un moyen d'améliorer leurs fins de mois. Ils sont chaque jour plus nombreux à utiliser les plates-formes de services. Et ce n'est qu'un début.» Le rapport justifie une éventuelle taxation en avançant que ces micro-revenus pourraient atteindre l'équivalent d'un mois de salaire par an. Difficile de faire moins précis. L'hypothèse de base énonce que la France compterait d'ores et déjà près de 2 millions d'internautes percevant des micro-revenus d'un montant total de 455 M€, soit une moyenne de plus de 200€ par personne. Les projections pour l'avenir sont tout aussi irréalistes. Les e-Bay et consorts seraient mis en position de percepteurs Notons, enfin que ni eBay, première plateforme mondiale d'achat et de vente en ligne, ni Google, première plateforme mondiale de liens sponsorisés, n'ont été entendus par les rapporteurs. Ces sites seraient pourtant en première ligne. Le rapport préconise en effet une taxation des revenus à la source qui les mettraient en position de percepteur. Le document, qui préconise une dîme de 13%, y inclut à la fois une taxation fiscale et des charges sociales. Ces dernières pourraient contribuer à l'accumulation de points de retraite. Autant, le rapport est prolixe sur le concept de micro-activités, autant il passe totalement sous silence la façon dont pourrait être comptabilisé ces points. Notons enfin que le rapport envisage aussi de taxer aussi les gains aux jeux en ligne. Gains qui, dans le monde réel, sont exonérés. (...)

(10/07/2008 10:49:22)

Jerry Yang juge Microsoft déstabilisant

Au tour de Jerry Yang. Cela faisait deux jours qu'aucune des parties impliquées dans l'interminable saga Yahoo-Microsoft n'avait pas lancé une salve contre le camp adverse. Après Carl Icahn, lundi, puis Microsoft dans sa foulée, et Yahoo mardi, le portail garde la main avec l'entretien accordé par un Jerry Yang, le patron de Yahoo, déterminé à ne pas se laisser impressionner. « Faire confiance à Mr Icahn et à son équipe est un mauvais choix » Alors que Microsoft et Carl Icahn répètent inlassablement qu'un accord pour le rachat de Yahoo pourrait être trouvé si l'équipe dirigeante en place était désavouée lors la prochaine assemblée générale (prévue début août), Jerry Yang lance des avertissements. « Faire confiance à Mr Icahn et à son équipe est un mauvais choix », lance-t-il, comme s'il tenait à mettre en garde les actionnaires du portail de ne pas se tromper lors du prochain renouvellement du conseil d'administration. En d'autres termes, de ne pas céder leur vote à Carl Icahn, qui a lancé un proxy fight - ou bataille de mandats - afin de renverser l'équipe en place. Se faisant accusateur, le co-fondateur de Yahoo s'en prend également directement à Microsoft. Selon lui, « la déstabilisation dont Microsoft est à l'origine est devenue de plus en plus intentionnelle. » Mais que les actionnaires se rassurent, il existe une solution à ce désordre : Jerry Yang lui-même. Comme un candidat en campagne, le PDG du portail estime qu'il « peut ramener la stabilité au sein de Yahoo et veut continuer à bâtir cette entreprise. » (...)

(10/07/2008 09:18:00)

Yahoo ouvre les conditions d'utilisation de son API de recherche

Faute de pouvoir étendre seul ses parts de marché dans la recherche sur Internet, Yahoo tente de le faire par le biais des partenariats. Le moteur de recherche a en effet annoncé une ouverture sensible des conditions d'utilisation de son API de recherche, interface de programmation permettant d'utiliser la technologie Yahoo au sein de ses propres offres. Jusqu'à présent, l'API de Yahoo donnait simplement la possibilité d'intégrer au sein de sa page la technologie Yahoo, pour un nombre limité de recherches (5000 par jour). Désormais, les sites pourront amplement personnaliser les résultats des recherches, qu'il s'agisse de l'ordre des résultats ou de la façon dont ils sont présentés (tags, images...). A court terme, Yahoo proposera aussi un modèle de partage des revenus. Les sites recourant à sa plateforme Boss (Build your own search service, Bâtissez votre propre service de recherche) auront la possibilité de monétiser le service. Moyennant quoi, prévient Karsten Weide, analyste chez IDC, Yahoo touchera un dividende. Ce qui lui offre une source de revenus complémentaire, et lui attache des partenaires aux idées neuves. Tels ceux qui ont déjà souscrit à l'offre, comme Me.dium Search, qui se veut un moteur de recherche « social », ou Cluz, qui ajoute une couche de sémantique aux résultats retournés. (...)

(10/07/2008 09:12:27)

Les grands des TIC s'allient face à une faille des DNS

Découverte par Dan Kaminsky il y a un an, une faille au coeur même du protocole DNS (Domain Name System) permettrait de rediriger la navigation et les courriers électroniques en direction d'un domaine vers un autre, sous le contrôle d'un pirate. Cette faille vient seulement d'être révélée. Plusieurs acteurs des TIC habituellement concurrents (Microsoft, Cisco, Red Hat, Sun Microsystems, et Internet Software Consortium), fournisseurs principaux de serveurs DNS, se sont alliés pour sortir un correctif contre cette vulnérabilité. Chez Microsoft, cette correction fait partie des neuf rustines publiées avec le « Patch Tuesday » de juillet. Pour autant, pour Rich Mogull, directeur de Securosis, une SSII spécialisée dans la sécurité, si la faille découverte par Dan Kaminsky permet très simplement de détourner à son profit le trafic Web, elle n'est pour l'instant pas très dangereuse. « Ceux qui sont au courant font partie des 'gentils'. Votre risque n'est pas plus grand aujourd'hui qu'il ne l'était hier. » Ceci pourrait pourtant bien changer : Dan Kaminsky a en effet l'intention de révéler plus de détails techniques sur cette faille lors de la prochaine Black Hat Conference, qui aura lieu du 2 au 7 août prochains à Las Vegas. En attendant, il recommande aux administrateurs réseaux de patcher leurs systèmes ou, à défaut, d'utiliser des technologies Open Source comme Open DNS (non concernées par cette faille). Et pour les particuliers qui veulent savoir s'ils sont protégés ou non, son blog propose un 'widget' capable d'éprouver la sécurité d'un réseau d'entreprise ou d'un fournisseur d'accès. (...)

(09/07/2008 07:24:10)

NSP attaque Google pour pratiques anticoncurrentielles

« On ne sait pas se battre contre ça. » Julien Musso, directeur marketing de NSP, éditeur français d'une solution d'analyse de statistiques de fréquentation des sites Web, ne cache pas son désarroi face à la concurrence de plus en plus pressante de Google Analytics. Qui l'a conduit à assigner l'éditeur américain devant le tribunal de commerce de Paris pour pratiques anticoncurrentielles. Elaborée à partir du rachat d'Urchin en 2005, et proposée gratuitement, la solution d'analyse de Google a sensiblement modifié l'environnement concurrentiel du secteur. « Nous avons de grosses difficultés quand nous approchons de nouvelles entreprises, explique Julien Musso. Elles ne veulent pas payer pour quelque chose que Google propose gratuitement. Et certains clients qui avaient des besoins plus limités sont allés sur Google Analytics. » Les clients de NSP seraient démarchés Proposer un service gratuit, financé par la publicité, est un modèle économique valable ; Julien Musso le reconnaît, tout en précisant que Google Analytics ne correspond pas à ce cas de figure. « Google ne finance pas Google Analytics par la publicité, au contraire de Xiti, par exemple, un de nos concurrents en France : Xiti propose un module gratuit, moyennant un échange de visibilité. Mais dans le cas de Google, il y a juste une volonté affichée de prendre des parts de marché ; certains de nos clients ont même été contactés, il y a un démarchage actif. » [[page]] Pour une petite société comme NSP (5 personnes en tout, environ 200 000 euros de chiffre d'affaires), s'attaquer publiquement à Google peut aussi passer pour une volonté d'assurer sa publicité à moindres frais. « Dans tout autre secteur d'activité, cela paraîtrait tout à fait normal, se défend Julien Musso. Le droit français existe, il faut le respecter. » Autre argument avancé : l'action de NSP participerait aussi de la défense du consommateur. « Google collecte des informations dont on ne sait pas vraiment ce qu'il en fait, avance Julien Musso. Et je rappelle qu'aux Etats-Unis, depuis le Patriot Act passé après le 11 septembre, le gouvernement peut aller voir toutes les informations stockées sur des serveurs aux Etats-Unis. » Google explique être ouvert à tous, gratuitement et librement Cet aspect ne sera pas pris en compte par le tribunal de commerce, néanmoins il n'est jamais inutile de rappeler que les services gratuits ont des politiques de confidentialité liées à l'utilisation des données parfois un peu floues. Google vient juste de préciser la sienne. La première audience aura lieu le 11 Septembre 2008. Le service de relations publiques de Google fait savoir de son côté « qu'il n'est pas dans les habitudes de Google de commenter les affaires en cours ». Et précise que « Google Analytics est une offre gratuite utilisable par tous, mais qu'il existe aussi une offre payante, toujours appelée Urchin, pour des entreprises ayant des besoins plus avancés ». (...)

(08/07/2008 17:09:36)

Yahoo reste flegmatique face à Microsoft

Si Microsoft, Yahoo et Carl Icahn ne sont pas prêts à travailler ensemble, ils font preuve de la courtoisie la plus élémentaire dans leurs échanges épistolaires, ne manquant pas de répondre dans les plus brefs délais aux missives qu'ils reçoivent. Ainsi, alors que l'investisseur milliardaire et l'éditeur adressaient, hier, une lettre aux actionnaires de Yahoo pour dénoncer, une énième fois, l'incompétence des dirigeants du portail, ces derniers rétorquent aujourd'hui par voie de communiqué. Pas de surprise : Yahoo, fidèle à son habitude, rejette la responsabilité de l'échec des négociations sur les parties adverses et précise avoir rencontré Steve Ballmer en juin. Un entretien résumé par le portail à quelques mots prononcés par le patron de Microsoft : celui-ci n'est plus intéressé par le rachat de Yahoo. Et le rapprochement du géant de Redmond et de Carl Icahn n'aurait pour autre dessein que le rachat des activités de recherche du portail, ce qui n'irait pas dans le sens des intérêts des actionnaires. Enfin, Yahoo s'interroge sur la vision stratégique du milliardaire : « s'il a un autre projet pour Yahoo que la signature d'un accord avec Microsoft, nous serions vraiment intéressés de l'entendre ». (...)

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