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(20/06/2008 17:58:26)
Icahn dénonce les aberrations de gouvernance sur son blog, mais évite le thème Yahoo
A 72 ans, le milliardaire Carl Icahn fait ses premiers pas dans la blogosphère, en lançant son propre blog, baptisé The Icahn Report. La mise en page est sobre, et le titre est modestement suivi d'une autocitation datant de janvier 1988 : « de nombreuses personnes périssent en combattant la tyrannie, le moins que je puisse faire c'est de me prononcer contre ». Carl Icahn a commencé à alimenter son blog le 12 juin, mais il n'est consultable que depuis aujourd'hui. Le milliardaire se propose de dénoncer les absurdités de gestion dans les entreprises, à l'aide d'anecdotes imagées. Il épingle par exemple la « pilule empoisonnée », un procédé qui consiste à offrir aux actionnaires la possibilité d'acheter des actions à un cours inférieur à celui du marché, d'augmenter ainsi le nombre d'actions en circulation et de rendre le tarif de la société prohibitif en cas d'OPA inamicale. Le blog contient pour le moment sept billets. Une question brûle les lèvres, Carl Icahn a-t-il épluché et condamné la stratégie de Yahoo (dont il est actionnaire) sur son blog, comme il l'a fait lors des échanges épistolaires salés qu'il a eus avec la direction du portail ? Ceux qui attendaient du croustillant de ce côté là seront déçus, du moins pour le moment : pas un mot n'évoque Yahoo. Dans une lettre adressée à Roy Bostock, président du groupe, ce même Carl Icahn accusait pourtant Jerry Yang, PDG de Yahoo de concocter une pilule empoisonnée pour contrer Microsoft ! L'occasion rêvée pour le milliardaire d'illustrer son billet anti pilule. Mais Carl Icahn préfère ne pas mentionner Yahoo, sans doute histoire de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. Après s'être clairement positionné aux côtés de Microsoft, le milliardaire s'est en effet légèrement rétracté, en déclarant que l'accord entre Yahoo et Google « pouvait présenter un certain intérêt », sans pour autant retirer officiellement son soutien à Microsoft. (...)
(20/06/2008 16:32:46)Débâcle des cerveaux chez Yahoo
Les annonces de départs se succèdent chez Yahoo. Jeff Weiner, vice-président de la division réseau de la société, a également quitté son poste après sept ans de service. Il rejoindra en septembre prochain les capitaux-risqueurs Accel Partners et Greylock Partners. Avec ce départ, Yahoo perd encore une pointure de son équipe dirigeante. Jeff Weiner chaperonnait en effet une équipe de 3000 personnes, supervisant ainsi la gestion de produits et de services pour 500 millions d'internautes. Sa division génère un chiffre d'affaires de 3 Md$ chaque année. Il a également participé à de nombreux projets de développement stratégiques pour Yahoo, comme Yahoo Mail, Messenger, News, Answers... Sans compter le projet de réseau social ouvert, qu'il a lui-même mené à bien, ainsi que sa précieuse contribution dans l'acquisition de sociétés comme les moteurs de recherche Inktomi et AltaVista (en juillet 2003), Del.icio.us (un service de marque-pages, en décembre 2005) ou encore Flickr (site de partage de photos, en mars 2005 pour un montant de 35 M$). Ces différents rachats avaient permis à Yahoo de créer et d'enrichir son propre moteur de recherche, Yahoo Search Engine, sur lequel Microsoft a d'ailleurs tenté de mettre la main. Des départs en pagaille et un PDG sur la brèche Pour Yahoo, la pilule sera dure à avaler, d'autant que le pionnier de la recherche en ligne doit déjà digérer la fuite d'autres cerveaux. Simple hasard du calendrier, ou conséquence directe de l'obstination de Jerry Yang, PDG de Yahoo, à rejeter l'offre de Microsoft pour s'accoquiner avec Google ? Les départs sont trop nombreux pour croire à une pure coïncidence. Avant-hier, les deux fondateurs de Flickr, le Canadien Stewart Butterfield et l'Américaine Caterina Fake, ont quitté la société « pour des raisons personnelles ». Avant eux, Usama Fayyad, vice-président des solutions de données stratégiques, Matthew Berardo, chargé de l'international, ainsi que Jeremy Zawodny, responsable du développement, ont abandonné le navire. L'édition du New York Times datée d'hier rapporte également les départs de Qi Lu, vice-président exécutif en charge de la recherche et de la technologie publicitaire, de Vish Makhijani, encore une fois dans la recherche, et de Brad Brad Garlinghouse, vice-président sénior responsable de certains outils de communication comme le mail. Ce dernier est par ailleurs l'auteur du manifeste du beurre de cacahuète , qui dénonçait les erreurs de stratégie du PDG de l'époque, Terry Semel. Jerry Yang souffle sa première bougie de PDG dans un climat morose [[page]] Un an presque jour pour jour après avoir pris la place de Terry Semel, Jerry Yang semble se trouver dans une position de plus en plus précaire. Lors de la prochaine assemblée générale (en août), il devra rendre des comptes aux actionnaires de la société. Certains d'entre eux réclament carrément sa tête, furieux d'avoir vu une offre en or leur passer sous le nez en vertu des ressentiments personnels du PDG de Yahoo envers Microsoft. Jerry Yang devrait également remplacer les postes vacants, et surtout juguler l'hémorragie cérébrale qui semble avoir frappé Yahoo. Selon le Wall Street Journal, Yahoo envisage une modification drastique de l'organisation de ses activités afin de centraliser certains types de services au sein d'une même entité. Susan Decker, présidente de Yahoo, chapeautera cette restructuration, dont le but officiel est d'améliorer la communication en interne et favoriser les synergies. Les salariés de Yahoo craignent, quant à eux, que derrière ces termes se cache en réalité une réduction d'effectifs. (...)
(20/06/2008 11:50:44)Les outils du Web 2.0 restent mal identifiés dans l'entreprise
Incontestablement popularisés par leur usage grand public, les outils du Web 2.0 et les réseaux sociaux n'ont pas encore convaincu les entreprises. Un constat qu'il faut toutefois moduler en fonction de l'âge de l'utilisateur et de sa fonction. C'est ce qu'a établi l'étude réalisée entre février et mars 2008 par Jemm Research, à la demande d'IBM, avec l'objectif d'évaluer la perception et l'avancée du Web 2.0 en milieu professionnel. Le cabinet a approché quelque 12 000 collaborateurs dans 2 500 entreprises en France, pour interroger un panel d'une centaine de personnes. «Pour les utilisateurs, le Web 2.0 reste encore un concept très marketing, même s'il existe clairement un continuum entre les outils de collaboration déjà utilisés dans l'entreprise et les outils communautaires », note Christophe Toulemonde, directeur du cabinet JEMM Research et auteur de l'étude. Les tags et wikis peu connus, les mashups et les widgets complètement ignorés La différence n'est, par exemple, pas clairement perçue entre la messagerie (ou les forums) et des outils plus novateurs ou spécifiques aux réseaux sociaux. Si les blogs, les sites communautaires et les flux RSS sont bien associés au Web 2.0, en revanche, l'étude relève que « les outils plus spécialisés comme les wikis, les étiquettes (tags) et leurs partages sont moins connus ». Quant aux technologies utilisées (mashup, widgets, RIA, SaaS, services Web), elles sont ignorées par la majorité du panel. Pourtant, « des outils comme les widgets et les mashups ont été conçus essentiellement pour des utilisateurs sans compétences en informatique », rappelle le consultant. Du côté des usages, la messagerie instantanée est occasionnellement ou régulièrement utilisé par la majorité des répondants (MS Windows Live, Yahoo ! messenger ou IBM Lotus Sametime), sans qu'il soit vraiment établi s'ils l'utilisent de façon privée ou professionnelle. Christophe Toulemonde note, là encore, « un continuum de la sphère privée à la sphère professionnelle ». Une remarque qui vaut pour les blogs. La moitié du panel dit en lire, souvent via des flux RSS, mais en mêlant intérêt personnel et professionnel. Tout autant se sont inscrits dans un réseau social (Viadeo ou Facebook) et disent participer à un forum. Mais, il ne se dégage pas de participation active à ces communautés. L'écriture d'un blog, notamment, « entre en concurrence avec l'activité professionnelle », constate le directeur de JEMM research. Des acteurs mal identifiés [[page]]Les acteurs du Web 2.0 sont finalement tout aussi mal identifiés (40% des personnes interrogées ne peuvent citer aucun nom spontanément). Le réseau Viadeo est le plus connu dans le monde de l'entreprise, de loin, suivi de Facebook, IBM et Second Life, ce dernier bénéficiant de sa médiatisation. En revanche, Dailymotion ou YouTube ne sont apparemment pas utilisés professionnellement alors que le second propose plus de « 6 000 vidéos sur un mot-clé comme IBM, Oracle ou SAP ». L'un des enseignements les plus révélateurs de l'étude montre, qu'outre le net clivage entre juniors et seniors, grandes structures et PME, le niveau d'intérêt et d'implication varie nettement d'un département de l'entreprise à un autre. Ainsi, les directions des ressources humaines sont peu sensibilisées à l'usage de ces outils. « Pourtant, il s'agit d'une problématique organisationnelle avant d'être une question technologique. Le Web 2.0 et les réseaux sociaux, c'est d'abord de l'humain, souligne Christophe Toulemonde. Cela devrait avant tout être une initiative d'entreprise. » L'étude affirme d'ailleurs que rien ne pourra se déployer avec succès sans un solide accompagnement des utilisateurs. « le point d'entrée, c'est l'annuaire étendu » Au niveau de l'organisation interne, les fonctions de partage sont vues comme un moyen de capitaliser les expertises. Pour faire progresser les outils du Web 2.0 dans l'entreprise, « le point d'entrée, c'est l'annuaire étendu », pointe le consultant. Enfin, si le Web 2.0 et les réseaux sociaux retiennent l'intérêt, c'est d'abord pour renforcer l'image de marque de l'entreprise ou pour améliorer les relations avec les partenaires, les fournisseurs et les clients. On pense volontiers à générer les commentaires venant de l'extérieur et à développer une communauté autour des produits. On juge moins évident de mettre un place un réseau social interne qui, pourtant, favoriserait la capacité d'innovation en mettant en commun les expertises. (...)
(19/06/2008 15:26:39)La v3 de Firefox dépasse les 4% de parts de marché en 24 heures
Les espoirs de Mozilla pour le lancement de Firefox 3 ont été largement dépassés : alors que l'éditeur rêvait de 5 millions de téléchargements dans les premières 24 heures de vie du navigateur, ce sont plus de 8,3 millions d'internautes qui se sont rués sur le produit. Au bout de son premier jour de vie, Firefox 2, la version précédente, plafonnait péniblement à 1,6 millions d'exemplaires téléchargés. Dans le même laps de temps, la version 3 de Firefox est parvenu à s'accaparer environ 4% des parts de marché mondiales des navigateurs. Un chiffre issu de Net Applications, un spécialiste des analyses statistiques sur le Web, et repris en fanfare par John Lilly, le CEO de Mozilla. Les internautes ayant téléchargé le logiciel sont originaires d'environ 200 pays avec, en tête, les Etats-Unis, suivis de l'Allemagne, du Japon, de l'Espagne, du Royaume-Uni, de la France, de l'Iran, de l'Italie, du Canada et de la Pologne. Tout avait pourtant commencé avec des serveurs de téléchargement inaccessibles La fête avait pourtant mal commencé : malgré les trois datacenters mis à contribution pour l'événement, les serveurs de Mozilla ont rapidement flanché sous les assauts simultanés de centaines de milliers d'internautes. Aux Etats-Unis, les téléchargements n'ont ainsi pu commencer que deux heures après celle initialement prévue. Même problème d'inaccessibilité en Europe, bien que sur un délai un peu plus court. 24 heures après la mise en ligne de Firefox 3, Mozilla comptabilisait 83 To de données téléchargées, avec un débit maximum de 20 Go/s sur l'ensemble des miroirs déployés. En moyenne, 4 000 exemplaires ont été téléchargés chaque minute, avec un pic à 17 000. Mozilla attend désormais le décompte des officiels du Guinness Book pour que son record du monde du « logiciel le plus téléchargé en 24 heures » soit homologué. Entre temps, le spécialiste de la sécurité TippingPoint a profité de l'incroyable buzz entourant le lancement du navigateur pour faire parler de lui en annonçant la première alerte de sécurité touchant Firefox 3. A 14 heures, ce 19 juin, 11 097 212 exemplaires avaient été téléchargés, le navigateur dépassant les 6% de parts de marché. (...)
(19/06/2008 12:17:49)Le créateur de widgets Zoomorama lève 1 M€ pour se développer hors de France
Zoomorama vient de réaliser une deuxième levée de fonds auprès d'une dizaine de 'business angels' européens et américains. Le premier tour de table lui avait permis d'engranger 450 000 € (en avril 2007). Zoomorama propose aux particuliers, aux entreprises (notamment dans l'e-commerce) et aux photographes professionnels une application baptisée Zoomcreator. Téléchargeable gratuitement jusqu'à 2 Go de données à stocker, elle leur permet de créer des widgets et des albums photos haute résolution qu'il est ensuite possible de déporter dans un site, un blog ou un mail. Particularité de ces albums : ils sont zoomables sans déperdition de qualité, directement depuis la page consultée, et ce sans devoir ouvrir une nouvelle fenêtre. Chaque produit présenté par un site de vente en ligne peut ainsi être examiné sous toutes ses coutures par l'internaute. Les clichés peuvent également être enrichis de textes, de vidéos, de liens hypertextes ou encore de documents PDF. Grâce à la levée de fonds, Zoomorama compte se développer sur trois axes. La société souhaite s'agrandir à l'international, à savoir aux Etat-Unis, en Amérique du sud, en Russie et en Asie. Elle est déjà présente au Viet-Nam. Fort de la confiance de ses investisseurs individuels, Zoomorama espère également convaincre d'autres investisseurs plus institutionnels, comme l'Oséo ou de grands capitaux-risqueurs. Côté technologie, Zoomorama devrait proposer au mois de juillet un service en ligne ne demandant pas à l'internaute de télécharger l'application, l'opération se faisant directement sur le site. Un service gratuit... jusqu'à un certain point [[page]] Le modèle économique de Zoomorama repose sur deux sources de revenus. Le site héberge gratuitement les photos sur ses serveurs jusqu'à 2 Go (150 Mo par album). Au-delà de cette quantité, les entreprises ou les particuliers ont la possibilité d'opter pour un abonnement annuel de 30 à 45 €, qui leur donne accès à un espace de stockage allant jusqu'à 5 Go. Pour les sociétés très gourmandes en images, Zoomorama propose une facturation liée à la consommation de bande passante. « Ce type de contrat se fait au cas par cas, en fonction du trafic et des besoins du site. En général nous appliquons un tarif de 1 euro pour 1000 clics », précise Anne-Céline Jeanneau, directrice de la communication chez Zoomorama. La société propose également des packages au forfait, pour des démonstrations sur un salon par exemple. Elle compte parmi ses clients Paris-Match, le Nouvel Observateur ou encore Channel. Pour le moment, Zoomorama ne s'est pas encore attaqué au marché de la publicité en ligne, mais il s'agit d'un projet « à moyen terme », confie Anne-Céline Jeanneau. Elle précise encore : « Les possibilités de notre application sont déclinables sur ce secteur. On peut par exemple imaginer d'incruster sur une page Web une publicité créée avec notre technologie, donc zoomable à volonté, sans devoir ouvrir une nouvelle page. » Zoomorama a été sélectionnée en avril dernier par le magazine économique Red Herring, qui récompense chaque année les 100 start-up les plus innovantes au niveau mondial. La société française a également fait partie des 30 finalistes du concours Web 3 qui s'est déroulé en décembre 2007. Créée en août 2005 par Franklin Servan Schreiber (ancien directeur des recherches en interfaces chez Sony US), Zoomorama emploie sept personnes et devrait recruter des développeurs au courant de l'année 2008. Son siège social est situé à Neuilly-sur-Seine (92). Rappelons que Microsoft a aussi récemment lancé une technologie de zoom à volonté dans les images, Deep Zoom. (...)
(19/06/2008 10:03:02)L'UFC-Que Choisir étrille la loi Hadopi
A peine le projet de loi Création et Internet a-t-il été examiné par le conseil des ministres que, déjà, l'UFC-Que Choisir monte au créneau. Et l'association ne mâche pas ses mots pour dénoncer un texte qu'elle qualifie de « monstre juridique, inacceptable pour les 15 millions de foyers connectés au haut débit ». La loi, dite Hadopi en référence à la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet qu'elle prévoit de créer, inaugure le principe de riposte graduée. Concrètement, un internaute s'adonnant au téléchargement illicite pourra recevoir des messages d'avertissement puis, s'il récidive, son abonnement à Internet sera suspendu pour une durée d'un an au maximum. C'est cette riposte graduée, et l'Hadopi chargée de la mettre en oeuvre, que ne goûte guère l'UFC-Que Choisir. Parmi les nombreux reproches adressés au texte, retenons qu'il « permet la double peine puisqu'un même acte de téléchargement peut à la fois faire l'objet de sanctions par la nouvelle autorité et de poursuites pénales en contrefaçon par les ayants droit [et] impose la surveillance généralisée des réseaux par des agents privés » pour repérer les actes de téléchargement. La suppression de l'accès à Internet qualifiée de « bourde monumentale » [[page]] L'association reprend également une des réserves formulées par l'Arcep. Le régulateur exprimait, fin mai, ses craintes relatives à la suspension de l'abonnement à Internet. Celle-ci risquerait en effet d'entraîner la suspension de l'ensemble des services inclus dans les offres triple play. Or l'Arcep estime qu'il est inconcevable de priver les internautes sanctionnés de téléphone et de télévision. Que Choisir va plus loin en soulignant qu'Internet « est en phase de devenir un service universel, c'est-à-dire essentiel au même titre que l'électricité ». Punir les coupables de téléchargements illicites en leur supprimant l'accès à Internet est alors « une bourde monumentale ». Aux yeux de l'association de défense des consommateurs, le constat est clair : le projet de loi « ne sert que l'intérêt des majors ». Il n'est alors pas surprenant de n'y trouver aucun « des leviers majeurs de dynamisation de l'offre légale » qui seraient susceptible d'endiguer le téléchargement illicite en proposant une alternative payante mais attirante : encadrer les DRM (verrous techniques), développer l'offre VOD (vidéo à la demande), limiter « les accords d'exclusivité entre FAI et majors dominants qui évincent les concurrents du marché... » (...)
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