Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 3231 à 3240.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(07/04/2008 17:24:26)

Bruxelles réduit à 6 mois la durée de conservation des données personnelles

Le G29, qui réunit les 27 autorités européennes en charge de la protection des données personnelles sur Internet, a décidé de réduire la durée de conservation des informations des internautes par les moteurs de recherche, selon nos confrères des Echos. Elle passe ainsi de 18 mois (pour Google et Microsoft) et de 13 mois (pour Yahoo et AOL) à six mois seulement. Au delà de cette période, les données (récoltées grâce aux requêtes réalisées à partir d'une adresse IP ou par le biais des cookies) devront être effacées ou rendues anonymes. 336 milliards de données récoltées en un mois Cette décision a été adoptée à l'unanimité par le G29, sous la houlette d'Alex Türk, président du groupe mais également de la Cnil française, lors d'une séance plénière qui s'est déroulée vendredi 4 avril à Bruxelles. Elle intervient dans un climat très polémique autour de la protection de la vie privée. ComScore a par exemple publié au mois de mars une étude soulignant que 336 milliards de données personnelles ont été récupérées par cinq moteurs de recherche en l'espace d'un mois à peine. Beacon, le très controversé outil de ciblage publicitaire comportemental de Facebook, a défrayé la chronique ces derniers mois. Récemment, les Big Brother Awards organisés par Privacy International ont décerné à Google la palme d'or de l'espionnage des internautes. [[page]]La plupart des géants du Web se sont dotés d'outils pour affûter leurs campagnes de publicité en ligne. En avril 2007, Google a racheté DoubleClick (une agence de publicité en ligne) pour 3,1 Md$ avant de se rapprocher de Publicis , en mai Microsoft s'est payé aQuantive pour 6 Md$ , Yahoo s'est offert BlueLithium pour 300 M$ et AOL a racheté Quigo pour la même somme. La Cnil indique que le texte complet de 25 pages sera consultable sur le site du G29 dans les jours qui viennent. (...)

(07/04/2008 12:45:28)

Même menacé, Yahoo refuse de se brader à Microsoft

Yahoo ne se laisse pas impressionner et s'obstine à refuser les avances de Microsoft, du moins aux conditions proposées. Celui-ci se fait pourtant de plus en plus pressant. Après deux mois de quasi silence qui ont suivi l'OPA hostile lancée le 31 janvier dernier, il a décidé de taper fort. Dans une lettre datée de samedi dernier, le PDG Steve Ballmer, menace de s'adresser directement aux actionnaires de Yahoo, si ce dernier persiste à refuser son offre. Microsoft pourrait baisser son offre Le message est clair : non seulement Microsoft n'entend pas relever la note, qu'il juge « très généreuse » (44,6 Md$), mais il se prépare même à la faire baisser. Le géant de Redmond veut donc engager un véritable « proxy fight » (bataille de mandats) avec le pionnier de la recherche en ligne. Ce mécanisme consiste à obtenir les procurations des actionnaires de l'entreprise cible afin de peser davantage lors des votes en assemblée générale, en modifiant la composition du conseil d'administration. Dans sa lettre, Steve Ballmer accuse les dirigeants de Yahoo de refuser de négocier avec Microsoft et de « gaspiller ainsi un temps précieux » dans la course à la compétitivité du marché de la publicité en ligne. Un discours qui devrait trouver un écho auprès de certains actionnaires de Yahoo, qui ont déjà manifesté leur désaccord auprès du conseil d'administration quant à la stratégie adoptée par la société. [[page]]Au pied du mur, Yahoo n'a pas tardé à réagir. Selon le Financial Times, le conseil d'administration de la société s'est réuni en urgence hier. Jerry Yang, PDG de la société, a envoyé aujourd'hui une lettre à Steve Ballmer, dans laquelle il précise qu'il ne cédera pas d'un pouce : "nous ne sommes pas opposés à une transaction avec Microsoft, mais uniquement si elle se fait dans l'intérêt de nos actionnaires". Autrement dit, Yahoo veut faire monter les enchères. Yahoo a jusqu'à présent multiplié les tentatives pour repousser les avances de Microsoft, s'adressant directement à ses actionnaires, en se tournant vers AOL, ou encore en modifiant les conditions de départ de ses employés en cas de réussite de l'OPA. Il y a près d'un an, les analystes estimaient qu'un rapprochement entre Microsoft et Yahoo ne pouvait être que bénéfique pour contrer Google. Plus récemment, ce sont 22 analystes sur 25 interrogés par Reuters qui sont parvenus aux mêmes conclusions. Yahoo a beau se débattre, sa marge de manoeuvre s'appauvrit de jour en jour. Rupert Murdoch, patron de News Corp, a même déclaré que Yahoo ne représentait aucun intérêt pour lui. Microsoft et Yahoo se sont d'ailleurs déjà rencontrés à deux reprises, le 10 mars ainsi que vendredi dernier, selon le Wall Street Journal. Le mariage forcé entre les deux groupes ne semble plus être qu'une question de temps. (...)

(07/04/2008 10:54:26)

Sharepoint décolle dans la gestion de contenus selon Forrester

L'adoption d'Office SharePoint Server 2007, la solution de portail et de collaboration de Microsoft, semble être en passe de changer le paysage de la gestion de documents, si l'on en croit une enquête tout juste publiée de Forrester. Une popularité qui gagne en dépit des limites rencontrées sur la gestion des gros volumes de données et, même si, sur certains processus spécifiques, le produit n'est encore pas assez mature. On ne le choisira pas pour gérer les contrats, par exemple, juge Kyle McNabb, analyste chez Forrester et auteur de l'enquête. Selon le cabinet d'études, la croissance enregistrée par Microsoft sur Office SharePoint Server (MOSS) 2007 serait l'une des plus rapides qu'aurait connu l'éditeur sur un de ses produits. Cette offre, qui paraît avoir autant d'usages qu'un couteau suisse, est adoptée de façon accélérée pour gérer les contenus d'entreprise. MOSS comporte six champs d'application principaux. La plateforme, utilisée à la fois comme portail, moteur de recherche et solution de collaboration, est aussi mise à profit pour accéder aux outils décisionnels et gérer les contenus et documents. Associée aux progiciels de gestion Microsoft Dynamics, elle permet aussi de dérouler des processus métiers. A noter que depuis le mois dernier, les fonctions de collaboration de SharePoint sont proposées en ligne, aux Etats-Unis, dans une version bêta, dans le cadre d'Online Services. .[[page]] Dans la moitié des cas, SharePoint remplace un système installé L'enquête de Forrester montre que 24% des 259 responsables informatiques interrogés migrent actuellement vers MOSS 2007 ou le mettent en place, alors que 41% prévoient de le faire dans les six prochains mois et 12% avant un an. Parmi ceux qui installent l'offre, 22% ont un projet de gestion documentaire, 17% veulent soutenir la collaboration entre les utilisateurs, 16% visent l'application décisionnelle, 15% misent sur l'amélioration des performances métiers, 9% souhaitent favoriser les échanges avec l'extérieur (partenaires, fournisseurs, clients...) et 9% comptent déployer une communication unifiée. Dans un peu plus de la moitié des projets de gestion documentaire, MOSS 2007 vient remplacer un système déjà installé, alors que dans 32% des cas, il s'agit d'une première utilisation de cette catégorie de fonctions. En complément, 16% de ces projets prévoient d'installer MOSS en complément d'un autre système de gestion de contenus. L'enquête de Forrester montre aussi qu'une majorité d'utilisateurs (60%) prévoit un déploiement par étapes, par départements ou encore par projets spécifiques, au cas par cas. 40% prévoit un déploiement à l'échelle de l'entreprise dans une période ramassée. « SharePoint va être utilisé et de façon massive, affirme Kyle McNabb. Mais pour chaque application, il y a une brèche dans laquelle peuvent s'engouffrer d'autres acteurs ». Pour lui, ceux-ci pourraient ainsi prendre charge les archives et pallier les limitations de la plateforme Microsoft sur la gestion des gros volumes. (...)

(04/04/2008 15:17:58)

Selon le FBI, la fraude sur internet a coûté 239M$ en 2007

La hausse des dépenses sur Internet profite au commerce traditionnel mais aussi aux escrocs. Le FBI, qui collecte les plaintes sur son site IC3 (Internet Crime Complaint Center), vient de révéler que le nombre de fraudes signalées est resté stable en 2007, avec 206 884 plaintes, contre 207 492 en 2006. En revanche, le montant des pertes monétaires cumulées atteint 239,09 M$, alors qu'il n'était que de 198,44 l'année précédente. Le bilan offert par le FBI montre une fois encore que les problèmes de sécurité sur Internet sont davantage humains que techniques. Ainsi, la fraude liée à l'utilisation d'un numéro de carte bancaire ne représente que 4,6% des pertes, pour un montant moyen unitaire de 298 dollars (voir le tableau ci-dessous). Les arnaques classiques, simplement transposées sur Internet, sont bien plus juteuses. Le scam nigérian rapporte en moyenne 1 923 $ par victime Les promesses d'affaires avec des retours sur investissement faramineux remportent visiblement un franc succès, avec le montant moyen de perte par affaire le plus élevé : 3 548 dollars. Le scam nigérian (ces fameux courriels de soi-disant Africains demandant de l'aide pour sortir un magot de leur pays) affiche aussi un bon taux, avec un montant moyen de 1 923 dollars par personne arnaquée. Autre grand secteur de fraude et de déconvenues, les échanges commerciaux, qu'il s'agisse d'e-commerce ou des ventes entre particuliers. Le paiement avec des chèques non approvisionnés affiche un montant moyen de 3 000 dollars. Viennent ensuite le fait de ne pas envoyer le produit, ne pas envoyer l'argent, etc. [[page]] En volume, les ventes aux enchères remportent la palme du classement du FBI, puisqu'elles sont à l'origine de 35,7% des plaintes. Le FBI note toutefois qu'il s'agit d'un recul d'un cinquième par rapport à 2006. La non expédition du produit vient ensuite, avec 24,9% des plaintes. Les autres causes de plaintes ne dépassent pas les 7%. Le scam nigérian, par exemple, ne représente que 1,1% des plaintes. Les hommes perdent une fois et demie plus que les femmes Toujours d'après le rapport du FBI, ceux qui perdent le plus sont des hommes, avec un montant moyen de 765 dollars, contre 552 pour les femmes. Pour les auteurs du rapport, cela peut s'expliquer par le fait que traditionnellement, les hommes réalisent les achats et les investissements les plus importants et les plus risqués. Meilleure utilisation du Net ou ressources plus maigres, les moins de 20 ans ne perdent que 385 dollars en moyenne, contre plus de 750 dollars pour les plus de 40 ans. A noter que le mécanisme déclencheur des arnaques ayant donné lieu à une plainte au FBI est dans trois quarts des cas (73,6% exactement) un simple mail. Le spam prouve encore une fois, malheureusement, combien il peut être lucratif. (...)

(04/04/2008 13:21:32)

Seuls 10% des internautes européens sont créateurs de contenu Internet

Forrester a publié une étude à destination des entreprises, afin de les aider à mieux comprendre les usages du Web 2.0 (blogs, e-commerce, wikis, réseaux sociaux...) par les internautes européens. L'étude (réalisée auprès de 13 254 personnes) relève de fortes disparités entre les pays, mais surtout une extrême passivité des internautes européens : seuls 10% sont créateurs de contenu, 19% sont critiques (ils publient par exemple des commentaires sur des forums ou sur des sites d'achat en ligne), 9% sont des collectionneurs de flux rss ou de tags et 13% sont membres d'un réseau social. En ce qui concerne les autres, 40% sont de simples spectateurs (ils se contentent de lire des blogs ou de visionner des vidéos) et 53% sont complètement inactifs. La France et l'Italie détiennent la palme d'or dans cette catégorie (57%). Forrester souligne que les entreprises sous-estiment la valeur ajoutée que les internautes peuvent leur apporter. Elles ont encore de gros efforts techniques et stratégiques à faire pour optimiser leur site, afin d'encourager les consommateurs à participer (en laissant des commentaires ou en attribuant une note à un produit par exemple, comme le font déjà certains sites). (...)

(03/04/2008 17:45:51)

Une extension QuarkXPress pour Silverlight

Visionner une mise en page QuarkXPress comme une application Web dans le lecteur Silverlight de Microsoft est désormais possible, via le module QuarkViewer. Téléchargeable gratuitement sur le site Quark Labs, cette « XTension » permet d'exporter à partir du logiciel de mise en page un document qui s'exécutera dans Silverlight, sur le poste de travail ou sur le Web, en conservant sa présentation d'origine et ses choix typographiques. QuarkViewer est disponible pour Mac et Windows. Ce module vise les graphistes souhaitant mettre leurs projets en consultation sur Internet. Pour l'éditeur Quark et ses partenaires, cela constitue aussi un moyen de valider l'utilisation de la plateforme Silverlight pour l'industrie graphique. Environnement d'exécution pour des applications Internet riches (mêlant textes, images, sons et vidéos), Silverlight concurrence les technologies Flash et AIR (Adobe Integrated Runtime) développées par Adobe. (...)

(02/04/2008 17:41:08)

Firefox double sa part de marché dans les entreprises

La part de marché du navigateur Firefox de la Fondation Mozilla, a quasiment doublé en l'espace d'un an dans les entreprises, pour atteindre les 18%, d'après le cabinet Forrester. L'étude, réalisée auprès de 50 000 salariés (en Europe, en Amérique du Nord et en Asie), révèle que si Internet Explorer (toutes versions confondues) de Microsoft reste majoritairement utilisé (78,7%), son dauphin n'a cessé de grappiller des points au courant de l'année. Un bémol toutefois dans les grandes entreprises, plus lentes à adopter Firefox. Les deux leaders sont suivis de très loin par les navigateurs Safari (2,4%), Opera (0,5%), Mozilla (0,2%) et Netscape (0,1%). L'étude précise par ailleurs que moins de 30% des entreprises ont basculé vers IE 7.0, les autres se contentant de la version précédente... une frilosité qui n'est pas sans rappeler celle concernant Windows Vista. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >