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(22/01/2008 17:48:04)

L'éditeur de widgets Slide lève 50 M$

Slide vient de lever 50 M$ auprès de divers fonds d'investissement, dont les plus importants sont T. Rowe Price et Fidelity Investments. L'éditeur californien de widgets réalise ainsi sa quatrième levée de fonds depuis sa création en 2005 par Max Levchin (âgé de 32 ans et cofondateur du système de paiement en ligne PayPal, revendu en 2002 à eBay pour un montant de 1,5 Md$). Slide conçoit des widgets pour réseaux sociaux (notamment Facebook, MySpace ou Bebo), les plus populaires étant Slide Show, qui permet de créer des diaporamas, et FunWall, un outil de partage de photos, messages et vidéos. L'éditeur revendique l'existence de 300 000 Slides Show. Selon Comscore, ces mini-applications attirent en moyenne 150 millions de visiteurs uniques tous les mois, soit une croissance de 142% en 2007. Si les widgets conçus par Slide peuvent paraître futiles, cette opération prouve encore une fois l'intérêt grandissant des investisseurs pour les réseaux communautaires, mais aussi pour toutes les sociétés satellites de ce phénomène. Les fonds d'investissements et les acteurs du web 2.0 n'hésitent plus à placer des sommes colossales dans des sociétés dont le modèle économique (basé essentiellement sur la publicité en ligne) n'a pas encore totalement fait ses preuves. Slide est désormais valorisée à 500 M$ par les économistes. Une histoire qui n'est pas loin de rappeler (à moindre échelle) la survalorisation de Facebook à 15 Md$, après l'injection de 240 M$ dans le célèbre réseau social par Microsoft (en octobre dernier). (...)

(22/01/2008 17:38:33)

Bruxelles veut des logiciels de traduction plus performants

La Commission européenne vient épauler les développeurs d'outils de traduction assistée par ordinateur en leur offrant un accès libre à sa base de données comprenant plus d'un million de phrases traduites dans 22 des 23 langues officielles de l'UE (seul le gaélique est mis de côté). Bruxelles espère que ces éléments permettront d'améliorer les outils linguistiques, comme les vérificateurs orthographiques et grammaticaux, les dictionnaires en ligne et les traducteurs automatiques, notamment dans les langues les moins utilisées, comme le letton ou le roumain. La plupart des phrases sont issues de l'acquis communautaire, le socle commun de droits et obligations liant les Etats membres. Dans ce spicilège figurent ainsi les législations nationales adoptées pour transposer les dispositions communautaires, les traités, directives ou décisions prises par les tribunaux européens. Traduites par une armée de 1750 professionnels, les phrases mises à disposition couvrent différents sujets, notamment l'IT ou les télécoms. La publication du corpus sera particulièrement utile aux développeurs d'outils basés sur la traduction statistique laquelle, à partir d'une association de mots, détermine la bonne tournure au regard du nombre d'occurrences répertoriées dans une base de données. Plus celle-ci est riche, meilleure sera la traduction. L'initiative de Bruxelles n'est pas uniquement motivée par un élan d'altruisme. La Commission espère en effet que l'apparition de logiciels de traduction moins chers et plus performants profitera aux ressortissants des Etats membres parlant les langues les moins répandues de l'UE. Ils pourraient ainsi avoir accès à des informations en ligne dans leur propre langage, alors qu'elles n'étaient jusqu'alors disponibles que dans les idiomes les plus courants. (...)

(22/01/2008 15:41:19)

La numérisation de la société française s'est accélérée en 2007

A la demande du CGTI (Conseil Général des Technologies de l'Information) Et de l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes), le Crédoc a reconduit l'an dernier son étude sur La diffusion des technologies de l'information dans la société française. Cette édition 2007, la septième de ce baromètre, montre cinq évolutions majeures : - Une forte accélération de l'équipement des particuliers en ordinateur personnel et en connexion à Internet haut débit . 64% des adultes sont équipés d'un micro à domicile (+ 7 points en un an). Et 53% disposent d'une connexion Internet à domicile (43% en 2006). C'est, à 95%, de l'ADSL - L'explosion de la téléphonie fixe par ADSL se traduit par 28% des Français dont les appels fixes transitent par un boîtier ADSL. Ce mouvement s'accompagne d'un effritement de la part de marché de France Télécom. L'opérateur qui totalisait 95% des abonnements en 2005 n'atteint plus que 78%. - Le ralentissement de la diffusion du téléphone mobile : entre 2006 et 2007 le taux d'équipement en mobile n'a progressé que d'un point, à 75%, parmi les adultes. Pour la quatrième année consécutive, l'Internet mobile continue d'être un échec cuisant alors que le succès des SMS continue de croître. - Le franc succès rencontré par l'administration électronique et les achats par Internet. 57% des internautes (19 millions de personnes) ont procédé à des démarches administratives ou fiscales et 54% (soit 33% de la population) ont réalisé des achats au cours des douze derniers mois. - Une méfiance accrue des internautes face à la protection des données personnelles sur Internet. Alors qu'ils ne réalisent pas l'ampleur des menaces qui pèsent réellement, les internautes se déclarent de plus en plus préoccupés par le manque de protection de leurs informations personnelles. Cela n'a pas d'impact réel sur leur comportement. Méthodologie : Interrogation en juin 2007 d'un échantillon de 2230 personnes présenté comme représentatif des 52 millions de Français âgés de 12 ans et plus. (...)

(22/01/2008 14:52:40)

La CEO d'eBay quitterait ses fonctions

Selon le Wall Street Journal, la CEO d'eBay Meg Whitman pourrait quitter ses fonctions dans les semaines qui viennent, après 10 ans à la tête du célèbre site d'enchères. Le quotidien new-yorkais cite des sources proches du dossier, rapportant que Meg Whitman aurait déjà commencé à « déléguer certaines responsabilités aux membres de son équipe » et qu'elle « finalise l'organisation de sa succession ». John Donahoe, président de la société depuis 2005, hériterait probablement de son siège. Le groupe (qui possède également Skype, le système de paiement en ligne Paypal, ou encore shopping.com) vient d'essuyer deux années difficiles, plombées par le rachat de Skype en septembre 2005 (pour 2,6 Md$), mais souhaite redresser la barre en 2008. EBay devrait publier demain ses résultats financiers pour le quatrième trimestre 2007 et table sur un chiffre d'affaires de 7,6 Md$ sur l'ensemble de l'année, contre 6 Md$ en 2006. (...)

(22/01/2008 10:52:44)

Le cyber-espionnage économique entre dans le Top 3 des menaces

D'après l'institut SANS, spécialisé dans la formation sur la sécurité informatique, le cyber-espionnage économique arriverait en troisième position dans les menaces informatiques en 2008. Il toucherait aussi bien les entreprises que les Etats. L'institut aurait même déclaré que « l'espionnage économique deviendra de plus en plus courant, les états eux-mêmes n'hésitant pas à faire appel à ces pratiques pour être dans une position avantageuse lors de négociations internationales ». Les méthodes utilisées reposent pour l'essentiel sur le phishing et le social engineering , deux formes d'attaque qui exploitent la crédulité des gens à travers des mails frauduleux notamment. Si l'Institut ne donne aucun chiffre sur le coût de cette cybercriminalité pour les entreprises, il souligne néanmoins que des trésors d'informations ont déjà été volés. Il ajoute que les moyens déployés sont aujourd'hui similaires à ceux présents dans l'espionnage militaire, c'est dire si le danger est grand. Le problème est d'autant plus difficile à gérer que les cybercriminels ne cherchent pas forcément des données classées confidentielles, d'après une enquête menée par notre confère Ellen Messmer de NetworkWorld.com. Pour John Pescatore, analyste au Gartner, l'objectif des attaques consiste à récupérer des données d'entreprise telles que les cartes de crédit professionnelles ou encore le carnet de clients. Les sites de réseaux sociaux ainsi que les prestataires d'hébergement seraient donc des cibles privilégiées, car détenteurs d'une grande masse d'information sur les utilisateurs. Il faut en effet savoir qu'aujourd'hui les cybercriminels vont jusqu'à embaucher des psychologues et des sociologues pour décrypter les habitudes d'utilisation et de consommation. Ils ne jouent plus seulement sur les messages mais aussi sur la couleur, la position, les réflexes des utilisateurs. Toute information recueillie est donc une nouvelle brique dans la constitution d'une attaque. Contre cette recrudescence de la collecte d'information à des fins frauduleuses, les parades sont difficiles. Les produits de sécurité ne suffisent pas. Il faut mettre en place une politique rigoureuse de sensibilisation et de classement des informations. Certains experts vont même jusqu'à préconiser deux réseaux : un pour Internet et les messages électroniques, un autre pour le reste. La chine pointée du doigt Dans son enquête menée auprès de nombreuses entreprises qui avouent avoir été la cible d'attaques de ce type, Ellen Messmer montre la Chine du doigt. Les experts en sécurité chargés d'analyser les attaques seraient en effet souvent remontés jusqu'en Chine. Les cybercriminels ne sont pas forcément Chinois mais il apparaitrait clairement que la source des attaques provienne de serveurs localisés dans ce pays. Pour John Pescatore, « le problème est moins de savoir qui a fait l'attaque que de constater que la Chine ne fait rien de vraiment concret pour arrêter ces criminels ». Au passage, l'analyste du Gartner ajoute que les moyens mis en oeuvre par les Etats pour se prémunir sont rarement à la hauteur du problème. (...)

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