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(03/09/2007 18:05:28)
Semestriels Iliad : un résultat tiré par le dégroupage total
Résultats 1er semestre (au 30 juin 2007) Chiffre d'affaires : 574,1 M€ (+30,7 %) Résultat net consolidé : 78,9 M€ (+34,6 %) Iliad, maison mère de Free, communique les résultats consolidés de son premier semestre 2007. Sur les six premiers mois de l'année, le bénéfice net du fournisseur d'accès à Internet a progressé de 34,6% sur un an, à 78,9 M€. Ce résultat tient compte des 13,9 M€ provenant de la vente de la participation qu'Iliad détenait dans la société Kertel, fournisseur de cartes téléphoniques prépayées (participation cédée à Proximania en février dernier). Le résultat des activités poursuivies s'établit à 65 M€ (+14,2 %). Le résultat opérationnel avant amortissement des immobilisations (ROAA) a sensiblement augmenté. Il atteint 205,6 M€ sur le semestre (+36,6% par rapport à 2006). Iliad le doit à la fois à l'acquisition directe d'abonnés ADSL en Option 1 (c'est-à-dire en dégroupage total), à la migration des abonnés en Option 5 (passant par France Télécom) vers l'Option 1 et, enfin, au succès des services optionnels à valeur ajoutée proposés sur le boîtier Freebox. Rappelons qu'avec un chiffre d'affaires de 120,1 M€, ces services ont pesé plus de 20% du chiffre d'affaires semestriels d'Iliad (574,1 M€). Au 30 juin dernier, Iliad comptait 2 626 000 abonnés ADSL. Depuis fin décembre 2006, le fournisseur d'accès en aura donc gagné 348 000, dont 330 000 en mode dégroupé (soit 78,4 % du total). Le résultat opérationnel d'Iliad progresse quant à lui de 16,3% à 101,4 M€ sur le semestre. Sur ce point, Iliad souligne l'amélioration de la rentabilité du secteur haut débit, induite par une proportion croissante du nombre d'abonnés dégroupés sur le nombre total d'abonnés au haut débit. Rappelons que le 30 juillet dernier, Iliad s'est porté candidat pour la quatrième licence mobile 3g. Aucun autre prétendant ne s'est mis sur les rangs. (...)
(03/09/2007 12:37:13)A Lund, Vista prive les habitants d'Internet
Les propriétaires de PC de la ville de Lund en Suède ont eu une mauvaise surprise en passant à Vista. Ils ne peuvent plus se connecter à Internet. En effet, le fournisseur d'accès à Internet local, Lundus Energi, a basé toute son infrastructure sur des serveurs Linux qui ne peuvent communiquer avec les ordinateurs sous Vista, en raison dit-il d'un bogue dans ce dernier système d'exploitation. L'opérateur refuse de modifier la configuration de ses serveurs, sans donner plus de détail sur le problème. Alors que le représentant local de Microsoft se dit près à régler la situation s'il obtient justement les détails manquants. Alors que les serveurs Apache tournant sous Linux représentent plus de 50 % des serveurs Web mondiaux, le problème de la ville de Lund n'a pas encore été constaté ailleurs. (...)
(03/09/2007 09:50:11)Interdire les réseaux sociaux en entreprise est une mauvaise idée
D'après le Trades Union Congress (TUC), les entreprises qui bannissent totalement les connexions aux réseaux sociaux devraient revoir leur copie. La fédération des syndicats britanniques juge en effet « excessive » l'interdiction complète de ces sites sur le lieu de travail. Vu le battage médiatique grandissant autour de l'utilisation de ces sites, le TUC a donc décidé de publier quelques conseils, destinés à la fois aux employeurs et aux salariés. John Wood, porte-parole du TUC, explique en effet : « dans le passé, les employeurs ont toujours toléré une certaine utilisation du web par leurs salariés, et il n'y a aucune raison que cela change ». L'étude met en exergue la recrudescence du nombre d'entreprises faisant appel à des outils logiciels sophistiqués pour empêcher l'accès aux réseaux sociaux. Un sondage réalisé par Sophos PLC (spécialisé dans la sécurité) auprès de 600 personnes révèle par exemple que 43% d'entre elles observent un blocage complet vers Facebook, alors que 7% constatent que seules les demandes d'accès liées à l'activité de l'entreprise sont acceptées. Parmi les 50% restant, 8% des personnes interrogées estiment que si leur entreprise n'a pas encore procédé à ce type de restriction, c'est par crainte des réactions des salariés. La principale peur des entreprises concerne une baisse de productivité des employés, mais aussi la hantise de voir apparaître des informations confidentielles sur Internet. Mettre en place une politique de « bonne conduite » plutôt que punir « La simple répression d'une pratique qui est de toute manière destinée à s'amplifier n'est pas la bonne solution », indique Brendan Barber, secrétaire général du TUC. « Il est certes inadmissible que les salariés passent des heures sur ce genre de sites, mais quelques minutes passées à surfer peuvent toutefois s'avérer positives pour l'entreprise elle-même », précise encore TUC. A la place de la répression pure et dure, la fédération encourage les entreprises à mettre en place une politique de bonne conduite « clairement définie, mais ouverte » concernant l'utilisation de tels sites. « Cette étape est cruciale, souligne l'étude, car l'appartenance à un réseau social est en passe de devenir la norme ». Le TUC est une fédération regroupant 59 syndicats britanniques, qui représentent six millions et demi de salariés. (...)
(03/09/2007 09:09:31)Google News publie les dépêches de quatre agences
Google permet aux internautes, depuis le 31 août, d'avoir accès directement aux fils de grandes agences de presse à partir de son site Google News. Jusqu'alors il fallait se rendre sur les sites des journaux reprenant les informations des agences pour consulter ces dernières dans leur intégralité. Désormais, Google News pointera directement vers les dépêches de l'AFP, d'AP, de l'UK Press Association et de Canadian Press. Concrètement, le services d'actualité du pantagruélique moteur de recherche détectera, parmi les centaines de sites reprenant une même dépêche, l'origine de l'information et renverra vers l'agence qui en est à l'origine. De fait, Google affirme que cela conduira à la suppression de liens vers des contenus maintes fois répétés. A la clé, une meilleure lisibilité pour l'internaute et « davantage de crédibilité pour les informations [de nos partenaires] », explique-t-on chez Google. Crédibiliser les actualités des agences peut également être vu comme une arme pour monétiser ce type de contenu. Google pourrait ainsi être tenté d'afficher de la publicité sur son site d'informations, une initiative qui se ferait inévitablement au dépend des publications en ligne dont la plupart ne vit que grâce à la réclame. Le site d'agrégation d'actualités a conclu des accords avec plusieurs agences de presse au cours des deux dernières années, notamment avec Associated Press et l'AFP. Cette dernière avait lancé des poursuites en mars 2005 contre Google pour violation de copyright, avant d'enterrer la hache de guerre un an plus tard. (...)
(31/08/2007 17:30:15)Dailymotion lève 25 millions d'euros
Dailymotion, le site français de partage de vidéos, vient de lever 34 M$ (25 M€) auprès de deux fonds d'investissement, Advent Venture Partners LLP et AGF Private Equity. Cette coquette somme permettra au site d'assurer son développement, et surtout de se mesurer à des concurrents tels que YouTube, Metacafe ou MyVideo. Il y a un an, Dailymotion avait déjà récolté 7 M€ auprès des fonds d'investissement Atlas Ventures et Partech International. Afin d'attirer davantage de visiteurs, Dailymotion envisage par ailleurs de signer des partenariats avec des sociétés comme Warner Music. En échange d'un droit de diffusion, Dailymotion s'engagerait à leur reverser une part de ses revenus. Dailymotion a reçu la visite de 16,3 millions internautes en mai, contre 11,8 millions en février (+38%). L'audience de Youtube est passée de 54,7 à 72,2 millions de visiteurs uniques par mois entre février et juillet dernier (soit une hausse de 32%). (...)
(31/08/2007 16:50:44)Les outils du Web 2.0 au service de la formation en entreprise
Blog, wiki, fil RSS, podcast... Pour Adrien Ferro, consultant en formation professionnelle et président de l'association Novantura, les outils du Web 2.0 sont adaptables à la formation en entreprise. Un point de vue exposé lors d'une réunion d'information intitulée « Les usages et les outils du Web 2.0 au service de la formation et de la professionnalisation », organisée par le forum français pour la formation ouverte à distance. Le consultant considère en premier lieu que les blogs peuvent être utilisés par les enseignants pour réfléchir à leur pratiques professionnelles, proposer des informations pratiques sur les cours, ou prolonger le travail réalisé en présentiel. De leur côté, les apprenants évalueront leurs travaux et pourront faire les exercices demandés sur des blogs. Des groupes apprenants-blogueurs peuvent également être mis sur pied sur ces espaces Quant aux wikis, il sont considérés par Adrien Ferro, comme des outils d'implication forte du groupe, qui induisent une « autogestion collective ». Des solution faciles à utiliser, selon le président de l'association, qui met en avant une création simplifiée des pages, un archivage automatique de toutes les versions de texte, et des espaces spécifiques (comme la possibilité d'ajouter des commentaires) pour discuter et décider de la rédaction des pages. Sur Internet, sélectionner sa formation devient également possible. Le fil RSS, textes d'alerte courts mis à jour régulièrement, y participent. Enfin, la diffusion audio ou vidéo sur le net (podcast) facilite, par exemple, l'apprentissage des langues. Le Web 2.0 représente un autre intérêt pour l'entreprise, expose Adrien Ferro, dans la mesure où il permet d' associer les compétences des juniors et des seniors et facilite ainsi la transmission des savoirs dans l'entreprise. (...)
(31/08/2007 12:35:44)Microsoft et Eolas parviennent à un accord amiable
Microsoft et Eolas sont finalement parvenus à s'entendre, mettant un terme à huit années d'un procès qui les opposait pour violation de brevets. Pour mémoire, Eolas accusait Microsoft d'avoir violé un de ses brevets déposé en 1998, portant sur l'intégration de contenu interactif par plug-in dans Internet Explorer - comme les ActiveX. L'affaire avait basculé en faveur d'Eolas. Microsoft avait alors été contraint de verser la somme de 520,6 M$ à Eolas, mais avait interjeté appel. Un appel qui avait entraîné une enquête approfondie sur la validité du brevet en question. Puis, les deux sociétés, adoucies, avaient déclaré chercher une issue au litige. Selon le site du Seattle Post-Intelligence, les actionnaires d'Eolas ont reçu une lettre, signée par Mark Sword, PDG du groupe, leur expliquant qu'un accord avait été trouvé le 24 août entre les deux parties, mais dont les termes restent confidentiels. Mark Sword écrit également que la société prévoit de reverser un dividende aux actionnaires. (...)
(31/08/2007 10:48:59)Les investissements en ToIP progressent, selon Forrester
Selon le cabinet d'études Forrester Research, les entreprises ont augmenté leurs investissements en téléphonie sur IP cette année. La tendance devrait se poursuivre au moins au cours des deux prochaines années. Sur les 516 responsables télécoms interrogés à travers l'Amérique du Nord et l'Europe, plus de 54% revoient à la hausse leurs budgets dédiés aux systèmes et services IP PBX. Forrester estime que cette tendance est due à la diminution des inquiétudes des entreprises face à la fiabilité et la robustesse des systèmes de ToIP existants, à la réduction des coûts et au nombre croissant de collaborateurs nomades. «Le marché de la téléphonie sur IP continuera à évoluer au delà des mises à niveau de la téléphonie classique. La demande des entreprises accroît la flexibilité des offres et le nombre de solutions mobiles», indique le rapport. Un quart des sondés nord-américains ont d'ores et déjà déployé de la téléphonie tout IP. Ce nombre est en hausse puisqu'ils n'étaient que 14% il y a un an. Près de 24% des entreprises américaines sont en cours de déploiement, tandis que 30% d'entre elles évaluent ou sont en phase pilote de projets de ToIP. Enfin, un dernier quart ne prévoit pas de déployer d'IP PBX ou d'utiliser des services équivalents. Forrester conseille aux sociétés exploitant un système de ToIP de se tourner vers les communications unifiées (centre de contact, messagerie instantanée, vidéo, conférences,...). Enfin, le cabinet recommande aux responsables IT de prendre en compte tous les coûts associés à un projet d'une durée de vie d'au moins cinq ans, lorsqu'ils pensent à migrer d'un système de téléphonie traditionnel vers de la ToIP. «Des investissements réseaux importants dans des passerelles, de la qualité de service, de la sécurité, des média serveurs, des cartes LAN, des commutateurs, ainsi que dans des services professionnels sont indispensables en passant à la téléphonie sur IP», souligne l'étude. (...)
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