Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 3941 à 3950.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(14/08/2007 18:37:59)
Microsoft réorganise son activité de régie publicitaire après le rachat d'aQuantive
C'est l'ancien PDG de aQuantive, Brian McAndrews, qui dirigera l'entité Advertiser and Publisher Solutions (APS), la division que Microsoft vient de créer pour gérer ses activités de publicité en ligne. Initié en mai dernier pour permettre à Microsoft de concurrencer Google sur ce marché, le rachat d'aQuantive, acteur américain de l'e-marketing fort de 2 600 employés, est désormais achevé. Il s'agit de la plus importante acquisition réalisée par l'éditeur de Windows, qui a déboursé 6 Md$ dans l'opération. L'entité APS fera partie de la division plateformes et services de l'éditeur, une entité présidée par Kevin Johnson, qui devient donc le supérieur de Brian McAndrews. Dans le même mouvement de réorganisation, Steve Berkowitz, vice-président senior des services en ligne, et Satya Nadella, vice-président de la plateforme Recherche et Publicité (Search and Advertising Platform), seront également placés sous la direction de Kevin Johnson. Plusieurs rachats pour cibler toutes les activités en ligne « Nous allons devenir un acteur de la publicité, a déclaré Steve Ballmer, PDG de Microsoft, à propos de ce rachat en juillet dernier. Nous devons nous atteler à cela et y exceller. » Le rachat d'aQuantive est la pièce maîtresse d'une stratégie qui a aussi conduit au rachat, en juillet dernier, de l'Américain AdECN et de sa plateforme mettant en contact les acheteurs et vendeurs d'espaces publicitaires sur Internet. En mai, Microsoft avait également acquis ScreenTonic, acteur français de la publicité sur terminaux mobiles. Enfin, quelques mois auparavant, l'éditeur avait mis la main sur Massive, qui injecte des publicités sur des services de jeu en ligne tels que Xbox Live. L'an dernier, Microsoft a ouvert sa plateforme adCenter permettant d'acheter des espaces publicitaires sur Live Search. (...)
(14/08/2007 11:46:06)Les étudiants d'In'Tech Info apprennent l'anglais sur Second Life
Trop souvent encore, les informaticiens français sont pénalisés par leur faible niveau linguistique. Considérant que la maîtrise de l'anglais est un impératif pour ses étudiants, l'école supérieure d'informatique In'Tech Info a misé sur le potentiel de Second Life pour dispenser ses cours en anglais. Dans cette aventure, les étudiants ont intégré l'établissement virtuel « English Village », en collaboration avec des interlocuteurs allemands et coréens. La classe expérimentale dans laquelle une trentaine d'étudiants évoluent avec leur avatar est retransmise sur un écran géant dans la salle de cours. « Pas de doutes, les barrières de l'espace et du temps disparaissent, les étudiants pénètrent dans une nouvelle dimension qui favorise leur apprentissage de la langue », commente Graham Tullis, enseignant d'anglais à l'école d'informatique francilienne. Aujourd'hui la classe est répartie en huit équipes projets. Les étudiants auront à fournir une synthèse en anglais de leurs activités dans Second Life ainsi qu'une présentation de leurs projets de recherche documentaire, dans le monde virtuel du village anglais proposé sur Second Life, ainsi qu'en cours, devant la classe entière. (...)
(14/08/2007 09:53:15)Jimmy Wales voudrait faire de Wikimedia une "Croix-Rouge de l'information"
La fondation Wikimedia devrait prendre de l'ampleur d'ici l'an prochain. Son fondateur, Jimmy Wales, aimerait en faire une sorte de modèle d'organisation durable (à la manière d'une « Croix rouge de l'information », évoque-t-il - toutes proportions gardées). Créée à l'origine pour soutenir le projet d'encyclopédie Wikipedia, dont Jimmy Wales est le co-fondateur, Wikimedia vient aussi appuyer d'autres projets du même type. A l'occasion de la récente conférence Wikimania (03-05 août à Taipei, Taïwan), Jimmy Wales est revenu sur l'évolution du rôle qu'il tient dans cette fondation alors qu'il partage aussi son temps avec sa société Wikia Inc. (espace d'accueil pour les communautés wikia, autofinancé par la publicité). S'il avait été omniprésent dans les premières années de Wikimedia, d'autres intervenants s'y sont maintenant investis et l'organisation devrait encore s'étoffer d'ici un an en doublant le nombre de ses participants (environ dix temps plein actuellement). Elle pourra alors augmenter ses activités de collecte de fonds et explorer de nouvelles pistes. Interrogé sur les questions d'incompatibilité entre les licences GNU Free Documentation et Creative Commons, Jimmy Wales estime qu'une solution devrait être trouvée dans la mesure où ces licences sont faites dans le même esprit. « Sur le principe, tout le monde est d'accord pour modifier l'une d'elles ou les deux afin de les rendre compatibles. Mais cela pourrait aussi déboucher sur une nouvelle licence. » (...)
(13/08/2007 18:11:17)Free porte plainte contre France Télécom
Free assigne France Télécom en justice. Le FAI reproche à l'opérateur historique de ne pas lui autoriser l'accès à ses fourreaux, une sorte de « gaine » électrique sécurisée, située dans les tranchées creusées par l'opérateur et où passent les fibres optiques. Free pourrait évidemment développer son propre réseau, mais le coût de l'infrastructure serait bien trop élevé. Sans compter les désagréments pour les habitants. Pour Free, tout comme pour Neuf Cégétel, l'enjeu est de taille. Si les deux opérateurs profitent du dégroupage pour proposer l'ADSL à leur clientèle, ils ne disposent pas forcément de la densité d'infrastructure nécessaire. L'Arcep (autorité de régulation des télécoms) affirme par exemple que France Télécom possède à lui seul entre 300 000 et 350 000 kilomètres de tranchées, touchant plus de deux tiers des foyers français. Si ses concurrents voulaient se bâtir le même réseau, cela nécessiterait plusieurs dizaines de millions, voire de milliards d'euros d'investissement (notamment dans la creusée de nouvelles tranchées). Un montant hallucinant, et surtout hors de portée. Free bataille donc : l'opérateur tient à avoir librement accès à ces fourreaux. La décision du Conseil de la concurrence devrait être publiée avant la fin de l'année. (...)
(09/08/2007 16:01:13)Web 2.0 : Spock automatise les recherches personnelles
Spock a ouvert une bêta publique de son moteur de recherche de données personnelles. Il est loin d'être le seul à proposer ce type de service (on pense à WikiYou, Wink, Zoominfo...), mais son ambition est de les automatiser grâce à un algorithme qui va brasser des sources publiques du Web. L'encyclopédie participative Wikipedia est ainsi largement mise à contribution pour fournir les biographies des personnes connues - au risque qu'on puisse considérer cela comme du parasitage. De même, le site de réseau social LinkedIn semble, d'après nos essais, la source principale d'information pour ce qui concerne les Français. Au vu de cette bêta, les 'anonymes' réfractaires aux blogs et aux réseaux sociaux devraient donc pouvoir rester encore un certain temps hors du radar. Mais les détectives privés qui recourent aux mêmes sources pour trouver des traces des gens sur le Net vont finir par devoir réviser leurs tarifs. Sera-ce suffisant pour que les fondateurs de Spock, qui ont déjà réuni 7 M$, attirent à eux la manne publicitaire et propulsent ainsi leur entreprise vers les frontières de l'infini ? Au vu de l'engouement pour le Web 2.0, ce ne serait pas illogique, capitaine... (...)
(08/08/2007 17:41:42)En Europe, 60% des internautes prennent part aux réseaux sociaux
En Europe, 60 % des consommateurs en ligne prennent part au « social computing » ou réseaux sociaux. Une étude publiée en juillet dernier par le cabinet Forrester Research montre que, désormais, les internautes du Vieux Continent prennent part à des activités sociales diverses et variées sur la Toile : lecture et rédaction de blogs, écoute de podcasts, activation de flux de contenus RSS, publication en ligne de chroniques ou encore participation à des sites communautaires. L'étude, portant sur plus de 7000 utilisateurs résidant au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne, aux Pays-Bas et en Suède, révèle des différences marquées en termes de comportement. Un facteur à mettre sur le compte du taux d'adoption d'Internet, qui diffère selon des pays. Ainsi, les sites communautaires remportent un franc succès auprès des Suédois et les Britanniques, à l'inverse des internautes Allemands et Français. Si 9 % de l'ensemble des Européens alimentent des blogs ou publient sur le Net, les Néerlandais sont les plus actifs, avec 15 % d'utilisateurs dans ce domaine. Quant à la proportion de Français participant à ce recueil d'informations (comme la lecture de blogs ou les revues de consommateurs) elle atteint les 60% et est supérieure de 25 % à la moyenne européenne. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |