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(01/12/2005 17:45:37)
Philips et NEC s'associent dans les télécommunications d'entreprise
NEC s'apprête à prendre une participation majoritaire dans PBC, la division dédiée aux télécommunications d'entreprises de Philips. Selon les termes de l'accord, NEC détiendra 60 % des parts de la nouvelle entité qui prendra la forme d'une joint venture, baptisée NEC Philips Unified Solution. Elle regroupera environ 900 salariés et portera sur l'ensemble des activités actuelles de PBC dans la zone Emea. Cet accord étend le champ de collaboration entre les deux partenaires, qui travaillent ensemble depuis 2003 sur le déploiement de la technologie IP dans les télécommunications d'entreprise. La finalisation de l'accord est soumise à la validation des autorités de régulation et à la signature finale des deux parties. Elle devrait avoir lieu au cours du deuxième trimestre 2006. (...)
(30/11/2005 18:07:31)Opérateurs mobiles : sanction imminente et trébuchante
Jeudi 1er décembre, le conseil de la concurrence publiera officiellement sa décision sur l'entente éventuelle entre les trois opérateurs mobiles Français. Les enchères sont lancées sur le montant de l'amende infligée à Orange, SFR et Bouygues Télécoms. Selon le droit du commerce, la sanction pourrait s'élever à 10% du chiffre d'affaires de l'opérateur. Faites le calcul, les revenus 2004 sont respectivement de 8,6 milliards pour Orange, 7,3 milliards pour SFR et 3,6 milliards pour Bouygues Télécoms. Et encore, pour Orange, il pourrait s'agir du chiffre d'affaires groupe (19,6 milliards !). Plus sérieusement, l'amende pourrait au pire atteindre les 5%, en cas d'infraction extrêmement grave, mais devrait plus sûrement plafonner à 2%. Reste à définir ce qui est entendu par «entente sur les parts de marchés », encore plus difficile à prouver et à étayer qu'«une entente tarifaire ». Dans les années 1999/2000, la lutte sur les offres mobiles faisait rage. Souvenez-vous des mobiles à 1euros (ou 1 F) ou du forfait millenium. Le conseil de la concurrence aurait déniché toutefois quelques preuves flagrantes d'entente illicite (cf article du canard enchaîné du 24 août dernier). Les opérateurs incriminés, qui ont déjà réfutés en bloc ces accusations, ne feront aucun commentaire d'ici jeudi. Difficile donc de faire la part des choses. Tout porte à penser que les juges ne seront pas cléments mais plutôt prudents. (...)
(30/11/2005 18:06:59)Free "invente" le F-ADSL
Comment augmenter le débit à l'abonné sans réinventer la roue et sans investir un sou dans le réseau. C'est la question à laquelle Free semble répondre avec une technologie pompeusement baptisée F-ADSL et qui selon l'opérateur a permis d'atteindre des débits de 174 Mbit/s en voie descendante et de 18 Mbit/s en voie montante. Derrière le F-ADSL se cache en fait une technique familière des amateurs de routage IP, à savoir l'agrégation de liens ADSL2+. Pour atteindre les chiffres annoncés, Free n'a donc rien inventé, il s'est contenté d'agréger les débits de plusieurs liens ADSL2+. La démonstration a pour but de montrer que le réseau en cuivre dispose encore de capacités d'évolutions et qu'il n'est pas nécessaire d'investir dans de nouvelles technologies comme la fibre optique ou le VDSL2 pour amener de plus gros débits aux abonnés. Si l'opérateur alternatif précise dans son communiqué, qu'il n'envisage pas de déploiement commercial du F-ADSL pour le moment, il omet opportunément de préciser pourquoi :La ressource en nombre de paire de cuivre du réseau d'abonnés n'est pas inépuisable et le réseau actuel n'a pas été conçu pour que chaque foyer puisse disposer de 4 à 6 lignes de téléphone, un point qui serait nécessaire pour le "F-ADSL" .Or, on voit mal France Télécom investir dans l'accroissement de la ressource en cuivre de son réseau capillaire pour satisfaire Free. Ce n'est sans doute pas un hasard si tous les concurrents de Free s'intéressent au VDSL2... (...)
(29/11/2005 17:40:36)France Telecom et l'Arcep s'écharpent sur le déploiement de réseaux fibres
Je t'aime, moi non plus. La grande histoire d'amour entre l'Arcep et France Télécom se poursuit avec comme nouveau terrain de débat les investissements dans la fibre optique. L'Arcep, dont le cadre réglementaire actuel, semble avoir plus pour but de faire reculer les parts de marché de France Télécom que d'encourager l'investissement dans l'infrastructure, souhaite que les nouveaux investissements opérés par l'opérateur historique dans la fibre optique puissent être mis à disposition des opérateurs alternatifs dans le cadre d'offres de gros. France Télécom, de son côté, veut bien investir dans son infrastructure de transport, mais à la condition d'en user comme bon lui semble Si France Télécom accepte le fait que le réseau de boucle locale, construit alors qu'il était opérateur public, soit mis à la disposition d'opérateur tierce, il refuse que ses nouveaux investissement profitent aussi à des concurrents qui n'investissent pas ou peu dans l'infrastructure. Cela ne semble pourtant poser aucun problème à l'Arcep. S'exprimant lors des journées de l'IDATE, à Montpellier, Paul Champsaur, son président, a concédé que " l'investissement des opérateurs alternatifs dans les réseaux d'accès optique pour les entreprises parait aujourd'hui faible [par rapport à celui de France Télécom qui a investit lourdement dans un plan d'équipement des zones d'activités ]". Mais selon lui, "un scénario de développement de fibre dont les modalités conduiraient, de droit ou de fait, à une re-monopolisation du marché du haut débit professionnel ne serait pas conforme aux objectifs fondamentaux de la régulation. A moyen terme, tant les entreprises individuellement que la compétitivité de la France dans son ensemble en paieraient le prix." Evidemment du côté de France Télécom on ne l'entend pas de cette oreille. Pour Didier Lombard, le patron de l'opérateur, l'attitude de l'Arcep présente un risque d'entrave au développement technologique des réseaux. Selon lui, la sur-régulation d'un marché, qui ne relève plus du monopole, pourrait nuire à l'investissement et à l'innovation technologique. Et de souhaiter que l'Arcep ne force pas l'opérateur à ouvrir ses nouveaux investissements à la concurrence pour lui permettre de les rentabiliser plus rapidement. Une position proche de celle de Deutsche Telekom en Allemagne, qui a lié un investissement de 3 MdE dans la fibre optique à une dérégulation du secteur. Selon l'opérateur, le projet permettrait de créer 5000 emplois, avec tous les sous-entendus que cela implique en cas de réponse négative de RegTP, le régulateur allemand. (...)
(28/11/2005 17:36:26)Marconi renoue avec la croissance
Récemment racheté (quasi totalement) par Ericsson, l'équipementier Marconi annonce une hausse de 9% de son chiffre d'affaires sur le deuxième trimestre de son année fiscale. Le chiffre d'affaires de 312 millions de livres sterling (contre 285 millions sur le premier trimestre) est en partie tiré par les réseaux optiques et d'accès. A trimestre comparable, Marconi réalisait 305 millions en 2004. La marge brute est de 30,8%. La société dégage 7 millions de livres de profits alors qu'elle enregistrait 6 millions de pertes sur le trimestre précédent. Sur le semestre, les revenus atteignent 597 millions contre 594 millions sur le semestre comparable en 2004. Les pertes s'élèvent à 31 millions de livres contre 14 millions l'an passé, dues en partie à 29 millions de charges de restructurations et litiges. (...)
(28/11/2005 17:33:28)l'ADTITE veut fédérer les distributeurs et d'intégrateurs Télécoms et réseaux
Une vingtaine de distributeurs, intégrateurs et revendeurs spécialisés dans les réseaux et télécoms et dans les nouvelles technologies de l'information viennent de s'unir au sein de l'ADTITE (Association des Distributeurs des Technologies de l'Information et Télécoms aux Entreprises). Basée à Lyon, l'association se donne pour but de fédérer les sociétés de services, intégrateurs, installateurs privés, revendeurs, conseils, SSII, VARS, agents commerciaux, distributeurs, concessionnaires, agissant sur le secteur des réseaux et télécommunications et des technologies associées. Elle vise à créer un label de qualité pour garantir aux entreprises clientes le professionnalisme de ses membres, mais aussi à assurer la promotion et la défense des intérêts moraux et professionnels de ses adhérents vis-à-vis des fournisseurs et notamment des opérateurs télécoms. Un assez grand nombre d'intégrateurs et de revendeurs du secteur des réseaux et télécoms, spécialisés dans le service aux PME, ont été victimes de pratiques parfois contestables des opérateurs, lors de l'explosion de la bulle internet et de la concentration à marche forcée qui s'est opérée sur le marché français. Comme l'explique Philippe Fontfrède, le président de l'association, les distributeurs sont un maillon essentiel pour la fourniture de services aux entreprises, car les opérateurs n'ont pas la surface nécessaire pour couvrir les 2,5 millions de PME hexagonales. Ils jouent ainsi un rôle essentiel de conseil et de formation auprès des PME, et sont un maillon indispensable entre les fournisseurs et les entreprises clientes. L'ADTITE aura pour but de valoriser ce rôle mais aussi d'assurer de constituer un contrepoids de taille face à la concentration des opérateurs sur le marché français. (...)
(25/11/2005 17:19:29)Données personnelles : les députés européens contre le stockage supérieur à un an
Le projet de directive discuté par le Parlement et les 25 gouvernements des Etats membres prévoit de doter police et services de renseignements de davantage de moyens dans leur lutte contre le terrorisme. Les 25 exécutifs membres de l'Union européenne ont soutenu le projet visant la conservation pendant deux ans des données relatives aux appels téléphoniques et pendant six mois pour celles liées à Internet. Des délais que les eurodéputés membres de la Commission des libertés civiles ont estimé trop longs. Ils ont alors amendé le projet pour ramener la période de conservation des données à douze mois. Ils ont également établi que le stockage de ces données doit intervenir uniquement dans les cas de crime sérieux et non pour n'importe quelle infraction comme l'auraient souhaité les gouvernements européens. Et comme l'auraient également désiré les sociétés d'édition musicale qui ont activement réclamé l'utilisation des logs Internet comme base de poursuite des auteurs de téléchargements illégaux. La Commission des libertés civiles a, d'autre part, souhaité que les gouvernements soient tenus de dédommager les FAI et les opérateurs des coûts engendrés par le stockage des données et leur mise à disposition aux agences de renseignement. Les parlementaires européens, enfin, entendent rendre optionnelle la conservation des données téléphoniques en cas d'appel infructueux. Selon un porte-parole du gouvernement britannique, qui occupe actuellement la présidence de l'Union, les Etats membres sont opposés à presque toutes les modifications suggérées par les parlementaires. Et plus particulièrement en ce qui concerne les délais de conservation et le remboursement des coûts. C'est maintenant au tour des ministres européens de la justice et de l'intérieur de se réunir, le 1er décembre, à Bruxelles, pour finaliser leur position et tenter d'infléchir les amendements des députés. (...)
(25/11/2005 18:04:17)France Télécom perd 10 000 abonnés par semaine
L'opérateur historique perdra 500 000 clients d'ici la fin de l'année. Ce chiffre estimé vient de Paul Champsaur, président de l'Arcep, cité ce matin par notre confrère La Tribune. Certains opérateurs pensent que ce chiffre pourrait dépasser 600 000. Le rythme s'élève à 10 000 abonnés par semaine. Principal bénéficiaire : Neuf Cegetel. Comment en effet résister aux offres enchanteresses d'un Free, d'un Neuf Cegetel, d'un Télécom Italia ou d'un Club Internet, qui proposent de vous affranchir totalement de France Télécom et de jouir pleinement des offres triple play pour moins de 30 euros par mois ? Le dégroupage (360 000 lignes fin septembre) permet en effet de choisir un seul et unique opérateur/FAI et de laisser tomber l'abonnement de 14 euros (qui doit monter à 16 euros en 2008) de France Télécom. Comment l'opérateur peut-il réagir ? Instantanément par des WinBacks de clients déçus par les opérateurs alternatifs (délais d'installation allongés, coupures, mauvaise QoS, accueil client déplorable...). Ensuite en baissant les prix d'un Wanadoo encore trop cher. Et pour finir, en innovant ! Sur ce point, France Télécom n'est pas en reste et nous concocte des offres de convergences fixe-mobile et de services à valeur ajoutée au sein de sa R&D. Le principal défaut de la machine France Télécom est sa réactivité... ce n'est donc pas gagné. (...)
(25/11/2005 18:04:43)Marché des mobiles : croissance de 22 % au T3
Il s'est écoulé 205,4 millions de combinés dans le monde au troisième trimestre, soit 22 % de plus qu'à la même période de l'année précédente selon Gartner. Cette hausse est la plus importante constatée depuis 2001. Elle incite le cabinet d'études à rehausser ses prévisions pour l'ensemble de l'année de 779 à 810 millions d'appareils. Globalement, la croissance est due au renouvellement des appareils en service dans les marchés matures - Europe occidentale et Amérique du Nord - et à l'arrivé de nouveaux utilisateurs dans les marchés émergents. Ce sont d'ailleurs ces derniers qui affichent les progressions les plus importantes. La zone Emea - sans prendre en considération l'Europe occidentale - voit ainsi les ventes de mobiles croître de 40 % sur un an, à 39,7 millions, tirées principalement par la vitalité des marchés russe, ukrainien, polonais, sud-africain, nigérian et turc. En Amérique latine les ventes ont bondi de 46 %, à 26,1 millions. Dans la région Asie-Pacifique, les 52,2 millions de combinés vendus représentent une croissance de 27 % sur un an, avec une vitalité particulièrement forte en Chine et en Inde. Du côté des constructeurs, Nokia consolide sa première place en augmentant sa part de marché : de 21 % l'an dernier, elle atteint 32,6 % au troisième trimestre 2005. Malgré des ventes légèrement décevantes dans toute l'Amérique, Nokia s'en sort très correctement à la faveur du dynamisme des zones Europe de l'Ouest et Asie-Pacifique. Grand vainqueur du troisième trimestre, Motorola ravit la deuxième place à Samsung et voit sa part de marché passer de 13,5 % à 18,7 %. Le groupe profite du succès rencontré par son téléphone RAZR, dont 12 millions d'exemplaires ont été vendus depuis la fin du mois de septembre. (...)
(23/11/2005 17:48:04)Sprint Nextel achète son partenaire Alamosa
L'opérateur mobile américain Sprint Nextel poursuit son incessante croissance externe en procédant à l'acquisition de son partenaire Alamosa pour près de 4,3 Md$. Le texan Alamosa est présent dans 19 états américains et sert environ 1,48 million d'abonnés à ses services. Il compte 1300 salariés et a enregistré un chiffre d'affaires de 1,3 Md$ pour l'exercice clos le 30 septembre 2005. Cet achat met un terme au conflit judiciaire opposant les deux groupes. Le 8 août, Alamosa poursuivait ainsi Sprint en lui reprochant que sa fusion avec Nextel et, partant, la distribution des services de son nouveau partenaire, allait à l'encontre d'un accord d'exclusivité passé entre Sprint et AirGate, filiale d'Alamosa. Depuis la fusion avec Nextel, Sprint a procédé à plusieurs acquisitions, s'arrogeant 2,3 millions de clients supplémentaires. Ces achats ont tous porté, comme c'est le cas pour Alamosa, sur des sociétés partenaires comme US Unwired, IWO Holdings et Gulf Coast Wireless. (...)
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