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(25/05/2011 10:43:07)
L'affaire DSK dope la consommation de vidéos en ligne
D'après une étude Médiamétrie-eStat, la consommation de vidéos en différé et en lien avec l'affaire sur les sites des chaînes de télévision a progressé en moyenne de 105,8% du 15 au 19 mai dernier. Le visionnage de vidéos ou programmes en différé sur les sites Internet de chaînes de télévision a connu un pic lundi 16 mai, au lendemain de l'arrestation de DSK, avec un bond de 148% comparé à la semaine précédente. L'attention a été soutenue le 17 mai (+132%) avant de se tasser légèrement les 18 et 19 mai avec des hausses respectives de 74% et 87%.
Sur cette même période et sur ces mêmes sites, la consommation de vidéo en streaming a connu une croissance moyenne de 72,2%. Les sites de radios ont aussi rencontré les faveurs des internautes français avec une progression moyenne de 76%.
Opérateur de mesure des contenus numériques, Médiamétrie-eStat a étudié les sites des chaînes Arte, du groupe France Télévisions, i>Télé, M6, Public Sénat et TF1. Les sites des radios Europe 1, du groupe Radio France et RTL ont aussi été scrutés, du 15 au 19 mai.
eG8 Forum : Sarkozy manie la brosse et le bâton
Le Jardin des Tuileries à Paris accueille pendant deux jours le Forum eG8 et la plupart des acteurs de l'Internet sur le plan mondial (Mark Zuckerberg de Facebook, Eric Schmidt de Google, etc.). Au menu, des débats entre spécialistes et, cerise sur le gâteau, une délégation de ce forum sera entendue par les chefs d'Etat lors de la réunion du G8 à Deauville le 26 et 27 mai prochain. Le eG8 a été inauguré par Nicolas Sarkozy qui, pour l'occasion, a prononcé un discours et s'est même prêté au jeu des questions réponses.
Toute la première partie de son discours a été orientée vers la reconnaissance de la puissance « inédite » des acteurs de l'Internet. Les qualifiant à la fois d'artisans de la 3ème mondialisation, les plaçant au niveau de Newton, Galilée, Copernic et Edison comme vecteurs de la révolution, le chef de l'Etat a été laudatif sur la réussite des entrepreneurs du Net en demandant aux administrations publiques de s'en inspirer. Il admet aussi leur influence économique ce qui leur vaut l'oreille attentive des puissants de ce monde.
De l'Internet civilisé à l'Internet responsable
Si le Président de la République a pris garde de flatter suffisamment son auditoire choisi pour leur imposer dans sa deuxième partie de discours la notion de responsabilité. « Si la technologie est neutre et doit le rester, on voit bien que les usages d'internet ne le sont pas », précise Nicolas Sarkozy et d'ajouter que « penser l'Internet relève d'une responsabilité historique, qui doit être partagée entre les acteurs de l'Internet et nous, les chefs d'État ». La régulation de l'Internet, car si le mot n'est pas prononcé il est pourtant dans toutes les pensées, doit permettre d'édicter « des valeurs minimums, des règles minimums ». Il cite plusieurs axes de collaboration : « Ne laissez pas la technologie que vous avez forgée porter atteinte aux droits élémentaires des enfants... Ne laissez pas la révolution que vous avez lancée devenir un instrument aux mains de ceux qui veulent porter atteinte à notre sécurité et donc à notre intégrité ».
Il a terminé son discours par ces propos « Je pense qu'on a beaucoup à faire ensemble. Nous avons besoin d'entendre vos aspirations et vos besoins. Et vous avez besoin d'entendre nos limites et nos lignes rouges. » Certains craignent déjà un verrouillage supplémentaire de l'Internet en mettant en avant plusieurs initiatives : Hadopi, la LOPPSI 1 et 2, la suppression du Forum des droits de l'Internet, la récente volonté de l'Union européenne de filtrer le Net, les discussions sur l'ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) dans le cadre de l'OMC...
Jive rachète OffiSync pour renforcer ses liens avec Office et SharePoint
Jive Software a acquis OffiSync, dont la technologie permet de relier les applications bureautiques de Microsoft avec des suites de collaboration et de réseau social en entreprise hébergées dans le cloud. Dirigée par d'anciens responsables de Microsoft, la société OffiSync est basée à Seattle. Elle compte 12 personnes, dont une équipe d'ingénieurs travaillant en Israël. Les termes de l'accord passé entre les deux sociétés n'ont pas été communiqués.
Jive Software utilise déjà la technologie OffiSync pour intégrer son logiciel Social Business avec la suite Office et le portail collaboratif SharePoint. L'éditeur prévoit donc d'approfondir les liens avec ces deux produits Microsoft et d'ajouter une passerelle avec le client de messagerie Outlook au cours du troisième trimestre de cette année. La technologie OffiSync est également utilisée par d'autres fournisseurs, dont Google Docs, pour sa suite de productivité cloud et de Central Desktop pour sa suite hébergée de collaboration sociale en entreprise. « Jive Software n'a pas l'intention de remettre en question les partenariats actuels d'OffiSync, ni de refuser sa technologie à d'autres éditeurs de suites », a déclaré Bryan LeBlanc, directeur financier de Jive Software. « Par contre, les clients de Jive Software pourront profiter d'une plus grande intégration de la suite maison Social Business avec OffiSync », a t-il ajouté. « Cela apporte à Jive une expertise Microsoft considérable. »
OffiSync relie aussi Office à Twitter ou LinkedIn
La technologie OffiSync crée une passerelle entre Outlook, Office et SharePoint et des suites de réseau social et de collaboration en entreprise, comme celle de Jive Software. Cela permet aux utilisateurs de retrouver les fonctionnalités et les capacités de Jive Software, ou de toute autre suite utilisée par leur entreprise, dans les interfaces des applications bureautiques de Microsoft. Quand ils sont reliés à la suite de Jive Software, les utilisateurs de Microsoft peuvent avoir accès à des fonctions comme l'édition de documents communs, le microblogging, les forums de discussion, les flux d'activité et les profils des collaborateurs. OffiSync permet également d'intégrer les logiciels de Microsoft avec des services comme Twitter ou sites tels que LinkedIn.
Un rachat très pertinent
Relier leurs suites de réseau social avec les applications de communication et de collaboration de Microsoft est devenue une priorité pour des vendeurs comme Jive Software, qui ont réalisé que des outils comme Outlook, SharePoint et Office restent profondément enracinés dans les environnements professionnels. Rob Koplowitz, analyste de Forrester Research, se réjouit du rachat d'OffiSync par Jive Software. « La technologie OffiSync est utilisée par un grand nombre d'entreprises, de sorte que Jive a pris une bonne décision en achetant cette technologie pour elle-même », estime-t-il. « L'intégration avec Outlook est particulièrement convaincante. » L'acquisition est aussi une stratégie défensive, dans ce qu'elle élimine la possibilité de voir OffiSync racheté par un concurrent, lequel pourrait priver Jive Software d'accéder à cette technologie », a ajouté Rob Koplowitz. « C'est un choix très pertinent », a t-il conclu.
Illustration : démo d'OffiSync
Après la téléphonie mobile, la Poste bientôt FAI
La Poste entend proposer des abonnements à Internet à l'horizon 2012, selon Thierry Zemour, directeur général de La Poste Mobile, cité dans le quotidien économique La Tribune. L'annonce survient au lendemain du déploiement de La Poste Mobile, service de téléphonie mobile de l'entreprise. Le nouvel opérateur virtuel de téléphonie mobile (MVNO) propose à terme quatre forfaits non bloqués, quatre forfaits bloqués et sept offres prépayées. Les prix oscillent de 10 à 44 euros pour les forfaits.
La Poste Mobile vise les 800 000 clients d'ici 2012 et espère attirer deux millions de Français en 2015.
Crédit photo : ©Franck Boston (...)
Un eG8, pour quoi faire ?
Bel exemple d'exercice de communication, le eG8 a été organisé par le président français Nicolas Sarkozy et réunira quelques acteurs de l'économie numérique parmi lesquelles Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook; Eric Schmidt, président exécutif de Google; Jeffrey Bezos, PDG d'Amazon; Jimmy Wales, fondateur de Wikipedia; Arthur Sulzberger, Jr., directeur senior de New York Times Company et éditeur du New York Times; Peter Chou, PDG d'HTC; et Hiroshi Inoue, président de Tokyo Broadcasting System. Une vision de l'économie numérique toujours très Internet et marchande à l'image des membres nommés au Conseil National du Numérique français.
"Le programme du eG8 Forum a été conçu pour enrichir le débat et la réflexion sur d'importants sujets de société", annonce très sérieusement Maurice Lévy, PDG du Groupe Publicis. Le eG8 est un "ensemble de conférences et d'échanges" au cours de laquelle les acteurs du web pourront prendre la parole pour partager leur vision d'internet et de son impact sur l'économie et la société.
Sapphire 2011 : SAP a certifié plusieurs de ses offres pour le cloud d'Amazon
Les utilisateurs des solutions décisionnelles BusinessObjects de SAP pourront maintenant, s'ils le souhaitent, exploiter leurs applications dans le cloud public d'Amazon. Lors de sa récente conférence utilisateurs SapphireNow (à Orlando, du 16 au 18 mai), l'éditeur allemand de solutions de gestion a annoncé qu'il avait entièrement testé et certifié les ressources d'infrastructure utilisées par Amazon Web Service (AWS). L'opérateur de cloud public figure désormais au nombre des partenaires technologiques mondiaux de SAP. Outre l'offre BO, les solutions de SAP bénéficiant de la méthodologie « Rapid Deployment » pourront aussi être mises en oeuvre sur AWS. Il en existe une douzaine : plusieurs offres de CRM (gestion de la relation client), cinq offres de gestion logistique et cinq autres concernant la production, la finance et la gestion de la IT.
D'autres logiciels d'entreprise sont déjà optimisés pour fonctionner sur AWS, parmi lesquels, notamment, plusieurs produits d'Oracle.
Première incursion de SAP dans le cloud public
L'éditeur allemand compte déjà des clients qui exploitent ses logiciels dans des infrastructures de cloud privé, hébergées par IBM, Verizon ou Dell. C'est en revanche sa première percée dans le cloud public, a souligné la semaine dernière Kevin Ichhpurani, senior vice-président de la société pour la division écosystème et réseaux de distribution. Le fournisseur a prévu de porter d'autres applications vers AWS, y compris son ERP phare. Adam Selipsky, vice-président d'Amazon Web Services, a insisté lors de SapphireNow, sur le fait que nulle part ailleurs, les entreprises pouvaient ainsi accéder à des ressources SAP à la demande avec une tarification à l'utilisation (« pay as you go »).
SAP a prévu de travailler avec des intégrateurs qui aideront les clients existants à migrer d'un scénario « on-premise » vers AWS. L'éditeur a travaillé étroitement avec Amazon pour optimiser les machines virtuelles sur les différentes couches (exécution, réseau, stockage) afin d'obtenir la meilleure performance, a indiqué Kevin Ichhpurani. Contractuellement, pour l'instant, les entreprises devront toujours traiter de façon séparée avec SAP et AWS (pour le service) et payer chacun d'eux de façon indépendante. Les deux fournisseurs ont mis au point des engagements de services (SLA) pour couvrir à la fois l'infrastructure AWS et le logiciel, a expliqué Adam Selipsky sans toutefois donner de détail sur les différents niveaux qui seront proposés.
Amazon et SAP devront sans doute faire quelques efforts pour promouvoir la fiabilité de ce genre d'offres compte tenu des récents problèmes rencontrés par le service EC2 d'Amazon. D'autres acteurs importants ont également subi des arrêts de fonctionnement ces derniers temps, en particulier Microsoft la semaine dernière, avec son service hébergé de messagerie. Ces incidents amènent les entreprises à se demander jusqu'à quel point leurs services IT peuvent s'appuyer sur les services cloud.
Illustration : AWS / LMI
Le cloud musical d'Apple se précise
Selon plusieurs sources, Apple aurait réussi à s'entendre avec les trois majors et serait sur le point d'annoncer son offre de musique en ligne. Bloomberg indique que les contrats de licence signés avec Sony, EMI et Warner "permettront aux utilisateurs du nouveau service musical d'accéder à leur collection de morceaux sur leur appareils mobiles, via internet". Récemment, la compagnie de Cupertino a racheté pour une coquette somme le nom de domaine iCloud à une société suédoise, Xcerion. (...)
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