Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 811 à 820.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/03/2011 15:20:32)

Séisme au Japon, Google propose un outil de recherche des personnes

Au fur et à mesure que le calme revient après le tremblement de terre (entre 8,4 et 8,9 sur l'échelle de Richter) et le tsunami qui en a résulté, les réseaux sociaux et les acteurs de l'Internet se mobilisent pour apporter leur savoir-faire. Facebook et Twitter se chargent de transmettre les informations des abonnés sur leur ressenti et leur vécu de la catastrophe. Des groupes se sont constitués pour poster des messages de soutien.

Google de son côté a activé son outil de recherche de personnes, Google Finder Earthquake. Il s'agit de la même solution qui a été utilisé lors du tremblement de terre à Haïti et plus récemment encore en Nouvelle-Zélande. L'objectif est de recenser et d'apporter des informations sur des personnes disparues. A la différence d'Haïti, les réseaux de télécommunications au Japon fonctionnent, même si dans les endroits les plus touchés, des réseaux satellitaires d'urgence vont être mis en place.

(...)

(11/03/2011 11:10:23)

Les développeurs fans du Tweet Button, veulent aussi de meilleurs outils d'analyse

Lancé il y a environ 7 mois, le Tweet Button permet aux développeurs et aux éditeurs d'implémenter facilement l'échange et la redirection de tweets vers Twitter, directement depuis un site ou une application. « Twitter a fait un excellent travail avec ce bouton. Il permet d'ajouter facilement et sans connaissance technique, des boutons de tweets à une page. Les développeurs ont aussi la possibilité d'étendre les capacités du bouton et de créer des scénarios plus complexes, avec l'aide, d'ailleurs, d'une documentation très fournie, » a déclaré Peter Denton, co-fondateur et directeur marketing produits chez Mombo.com. Ce site analyse les messages Twitter échangés sur les films projetés dans les salles et délivre une note globale pour chacun. « C'est une solution simple et pratique, autant pour les utilisateurs que pour les développeurs. Le bouton permet de résoudre assez bien le problème limité auquel il est censé répondre, » commente Felipe Lavin, développeur front-end chez AyerViernes, une agence en stratégie et en design chilienne à l'origine de l'application de gestion d'hôtel Clerk.im.

Des progrès à faire

Cependant, développeurs et éditeurs pensent que le Tweet Button pourrait faire bien plus. Par exemple, en matière d'analyse des données générées par le bouton et auxquelles ils ont accès. Ceux-ci estiment qu'ils pourraient récolter des informations plus détaillées et en plus grand nombre, afin d'améliorer leurs statistiques de popularité, mais aussi la distribution de contenu vers leurs cibles. « J'aimerais pouvoir disposer de plus d'éléments sur la manière dont est utilisé le bouton Tweet sur les sites gérés par AyerViernes, travailler sur l'agrégation des données au niveau du site et analyser les données séparément pour chaque élément partagé, » a déclaré Felipe Lavin. Peter Denton apprécierait également que Twitter fournisse une cartographie plus approfondie des chemins par lesquels circulent les liens partagés au sein du réseau de Twitter. Des données plus détaillées permettraient par exemple à Mombo.com de mieux repositionner son contenu, un domaine dans lequel le Tweet Button se montre, selon lui, moins efficace que son prédécesseur, le Retweet Button de Tweetmeme. « Celui-ci faisait remonter plus de données analytiques et permettait une plus grande flexibilité dans l'utilisation des raccourcisseurs d'URL tiers, » comme l'a expliqué le co-fondateur de Mombo.com. Depuis, TweetMeme et Twitter se sont entendus pour remplacer progressivement le bouton Retweet par le bouton Tweet sur l'ensemble de l'Internet. « Plus Twitter fait remonter de données analytiques en natif, plus on améliore la circulation de son produit dans le réseau, » a ajouté Peter Denton.

Un tableau de bord avec plus de données

Nischal Shetty, un développeur qui utilise le bouton Tweet dans son application JustUnfollow et sur son blog, aimerait aussi disposer de plus de données d'analyse, idéalement via un tableau de bord Twitter centralisé. « Actuellement, le Tweet Button n'offre rien de ce genre, si ce n'est qu'il affiche le décompte du nombre de fois où une URL a été partagée sur Twitter, » a-t-il déclaré. De son côté, Kieran Hendra, ingénieur système chez Affle et auteur de l'application de messagerie mobile iMessenger Pinch, apprécie la touche Tweet, mais constate que le rendu et les fonctionnalités restent très insuffisants sur les dispositifs mobiles, une critique émise par de nombreux développeurs sur les forums de discussion en ligne. « Quand le bouton est utilisé pour partager un tweet, on est redirigé vers une page Twitter inadaptée à l'écran mobile et il faut zoomer pour obtenir une meilleure lisibilité, » a déclaré Kieran Hendra.,

(...)

(11/03/2011 10:41:59)

Chrysler dérape sur Twitter

Chrysler a dû présenter ses excuses pour un "commentaire déplacé" provenant de son compte principal sur Twitter, @ChryslerAutos, le 9 mars, lorsqu'un tweet envoyé aux 7.500 followers du compte a été publié. Le tweet en question parlait de l'ironie de la situation à Détroit, qui est considérée comme la ville des voitures mais dans laquelle personne ne sait conduire ("I find it ironic that Detroit is known as the #motorcity and yet no one here knows how to f**king drive"), d'après des retweets du message incriminé qui se sont répandus sur le réseau.

Chrysler a rapidement expliqué à ses suiveurs que le tweet provenait d'une agence publicitaire sous contrat avec Twitter, et que l'agence en question avait depuis licencié l'employé coupable. Même si Chrysler a gagné des followers depuis l'incident, cela montre que la communication directe avec les clients comporte tout de même des risques.

Des opérations de com plus ou moins réussies

Il y a eu quelques succès, comme l'utilisation du hashtag #Progressls par Audi dans une pub du Super Bowl de cette année, ou encore la campagne publicitaire "Fiesta Movement" de Ford. Ces deux initiatives ont fait entrer les messages des constructeurs dans l'inconscient collectif. Cette semaine, Chevrolet a équipé dix véhicules en Amérique du Nord avec du matériel permettant de tweeter à bord, avant de les envoyer sur la route vers le festival South by Southwest, dans le cadre d'une campagne marketing pour ses équipements.

Ce n'est pas la première fois non plus qu'une marque fait un faux pas dans les médias sociaux. On pense notamment à la première tentative d'utilisation des réseaux sociaux par Toyota Australie, qui s'est soldée par le retrait d'une pub controversée pour la Yaris, créée dans le cadre d'un concours.

Honda avait également eu mauvaise presse lorsqu'un cadre de l'entreprise s'est mis à poster des messages sur Facebook pour contrer les critiques des utilisateurs qui commentaient une photo du modèle Crosstour. Il a fini par être identifié par les utilisateurs qui ont trouvé son profil sur le site de réseaux professionnels LinkedIn.

(...)

(10/03/2011 17:05:56)

La mise à jour sécurité d'Android infectée

Symantec a trouvé une application nommée « Android Market Security Tool » qui est une version reconditionnée de la mise à jour officielle et qui porte le même nom. Cette application vise à éliminer le malware DroidDream sur des terminaux contaminés. La fausse mise à jour envoie des SMS à un serveur de prise de commande et de contrôle, écrit Mario Ballano, membre de Symantec. Cette application a été retrouvée sur un MarketPlace chinois non autorisé. Le code est en cours d'analyse, mais « ce qui est intriguant, c'est que le code de la menace semble être basée sur un projet hébergé sur Google Code et sous licence Apache, » précise le blogeur.

Cette fausse mise à jour montre l'intérêt croissant que portent les pirates pour Android. Il faut dire que les chiffres récents du Gartner montrent une forte croissance de ventes de smartphones sous cet OS mobile (67 millions vendues en 2010).

Des mises à jour difficiles à effectuer


La semaine dernière, Google a pris l'initiative rare d'imposer « Android Market Security Tool Mars 2011 » sur les terminaux atteints par le malware DroidDream. Généralement, cette opération de mise à jour est prise en charge soit par les constructeurs mobiles, soit par les opérateurs sont responsables. Le correctif ne fait pas que colmater la faille qui a permis d'infecter les smartphones, mais supprime aussi les logiciels malveillants, indique dans un blog Timothy Armstrong, un analyste junior sur les malware auprès de Kaspersky Lab.

L'intervention de Google met en exergue les problèmes d'Android sur la façon d'être mis à jour. « En raison de la nature d'Android dans son état actuel, il est très difficile et coûteux de pousser les mises à jour de sécurité comme vous le feriez sur un système d'exploitation comme Linux ou Windows, » explique Timothy Armstrong. « Contrairement à l'iPhone, qui installe les correctifs via iTunes ou Windows Mobile qui utilise ActiveSync, Android fonctionne presque entièrement en mode over the air (via les ondes radios) » conclut le consultant.

(...)

(10/03/2011 15:38:44)

Safari et IE, 1eres victimes du concours de piratage Pwn2Own, Chrome snobé

Safari d'Apple et Internet Explorer 8 (IE) de Microsoft ont était les premières victimes du concours Pwn2Own, qui a démarré lors de la conférence sur la sécurité CanSecWest, à Vancouver. Chaque année, cette compétition met au défi et récompense des spécialistes du piratage de se confronter aux navigateurs Internet des différents éditeurs.

Une équipe de la société française de sécurité Vupen a ainsi gagné 15 000 dollars et un MacBook Air après avoir exploité une vulnérabilité non corrigée de Safari. La mise à jour réparant 62 vulnérabilités sur la version 5.0.4 de Safari et publiée juste avant l'ouverture du concours, n'aura pas servi à grand-chose car Vupen a réussi malgré tout à pirater le navigateur.

En ce qui concerne IE, il s'agit d'un chercheur indépendant, Stephen Fewer qui a utilisé 3 failles de sécurité pour percer IE 8 sur Windows 7. Aaron Portnoy, responsable de l'équipe sécurité d'HP Tipping Point et organisateur du Pwn2Own a été impressionné par le travail de Stephen Fewer. « Il a utilisé trois failles seulement pour contourner ASLR et DEP, mais aussi échapper au mode protégé. C'est quelque chose que nous n'avions pas vu au Pwn2Own auparavant. » L'ASLR (address space layout randomization), méthode aléatoire d'adressage et le DEP (Data Execution Prevention) doivent réduire les risques de vulnérabilités et de leur exploitation. Le mode protégé d'IE est la « sandbox », qui isole le navigateur.

Chrome ne fait pas recette, les OS mobiles si


A priori, le navigateur Chrome intéresse moins les experts en sécurité que les OS mobiles comme Blackberry OS, Android, iOS et Windows Phone 7. En effet, malgré les 20 000 dollars de récompenses, peu d'équipes ont décidé de se porter candidat pour pirater le navigateur de Google. Seules deux équipes s'étaient pré-enregistrées pour le concours sur Chrome Moatz Khader et un ou plusieurs chercheurs connus sous le nom « Team Anon » (les candidats peuvent rester anonymes s'ils le souhaitent).

En l'absence de combattants, Google Chrome pourrait être déclaré invincible pour la troisième fois consécutive depuis l'existence du concours Pwn2Own.

(...)

(10/03/2011 09:59:00)

Le cabinet McKinsey a mesuré l'impact d'Internet sur l'économie française

Selon une récente étude du cabinet McKinsey, financée notamment par Google, le développement des activités Internet a entraîné ces 15 dernières années la création de 1,15 millions d'emplois dont 700 000 dans des métiers nouveaux liés aux aspects techniques du Net. En outre, ce dernier, a généré l'an dernier 78 Md€ de revenus pour l'économie française, soit 3,7% du PIB. D'ici 2015, son poids pourrait passer à 5,5% du PIB. De fait, la filière Internet (FAI, fabricants de matériels, éditeurs de logiciels liés à l'internet, e-commerçant, publicité en ligne...) devrait donc générer à cette date un chiffre d'affaires de 129 Md€ dans l'Hexagone, selon les prévisions du cabinet.

Ces chiffres peuvent être considérés comme un minimum puisqu'ils ne tiennent pas compte des effets indirects du web sur l'économie. Par exemple, les achats faits dans les réseaux de distribution physiques mais qui ont été préalablement préparés ou déclenchés par une recherche en ligne. McKinsey estime leur valeur à 28 Mds€. Les « bénéfices de services financés par la publicité, mais techniquement gratuits », tels que les courriers électroniques par exemple, représenteraient quant à eux 7 Mds€.

Un accélérateur pour les PME

Pour McKinsey, le web est en outre un « accélérateur de développement », notamment pour les PME. Chaque euro investit par une entreprise dans les technologies de l'Internet (logiciels, sites...) se traduit par « deux euros de marge opérationnelle » et « chaque euro dépensé en marketing en ligne a rapporté 2.5 euros de bénéfice », souligne ainsi l'étude. Et pour couronner le tout, les entreprises qui investissent dans les technologies du web connaîtraient une croissance deux fois plus rapide que les autres et exporteraient deux fois plus.

Si l'étude de McKinsey indique que l'impact d'Internet sur l'économie française est positif, il convient toutefois d'émettre une réserve sur ce constat. Internet crée, certes, des emplois et contribue au développement des PME, mais il détruit aussi certaines activités. La baisse de l'activité courrier de la poste causée par les emails en est une des illustrations.
(...)

(09/03/2011 15:13:22)

Twitter recense 2,4 millions d'abonnés en France

Le site de microblogs Twitter dénombre actuellement quelque 210 millions d'utilisateurs à travers la planète, dont seulement 2,4 millions en France. Selon une étude menée par le cabinet spécialisé Semiocast. La France se placerait à la 17e position en termes de fréquentation mondiale, loin derrière les Etats-Unis, le Japon et le Brésil. Le Royaume-Uni, premier pays européen, compte 10.5 millions d'utilisateurs Twitter.

« Après un ralentissement mi-2010, le site de micro-blogging semble repartir en France avec 160 000 comptes créés en février 2011. L'importance du débat politique sur Twitter ne suffit pas à expliquer cette croissance. En effet, les tweets politiques représentent à peine 3% de tous les messages publics émis depuis la France », analyse le cabinet.

Dernier point abordé dans l'étude, près de 9% des utilisateurs français ont protégé leur compte Twitter afin que les messages ne soient visibles que par leurs amis, contre 7,8% des utilisateurs à travers le monde.

Cette étude a été menée sur un échantillon de 52 millions de profils Twitter créés jusqu'au 1er mars dernier.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >