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Linux
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(15/07/2008 12:33:18)
Un outil pour mesurer la qualité des projets Open Source
Le projet européen de plateforme de mesure automatique de la qualité des projets Open Source vient de passer un cap : SQO-OSS (Software Quality Observatory for Open Source Software) est désormais disponible en version alpha. Ce programme a été établi par la Communauté européenne afin de fournir un outil d'évaluation de la qualité du code des logiciels libres. Il s'agit pour l'UE de favoriser l'adoption du Libre, et donc de donner les moyens aux développeurs et aux utilisateurs potentiels de tirer la qualité vers le haut. Le coeur du projet SQO-OSS, dit « Alitheia », est un moteur analysant plusieurs éléments (code source, rapports de bugs, gestionnaire de versions, etc.) dans le but de renseigner des métriques de type : nombre de lignes de code, nombre de classes, nombre de méthodes publiques, etc. Une license FreeBSD et bientôt un plug-in pour Eclipse Distribuée sous licence FreeBSD (dite aussi « 2-clause BSD »), et bientôt sous forme de plug-in pour l'atelier Eclipse, la plateforme Alitheia est aussi accessible en ligne pour une démonstration. Du moins en théorie, car au moment où nous écrivons cet article, le service est inaccessible. SQO-OSS n'est pas le seul projet destiné à fournir un outil de mesure de la qualité des projets Open Source. En février dernier, LeMondeInformatique.fr recensait ainsi plusieurs initiatives, dont OpenBBR par Bull ou Qsos par Atos. (...)
(11/07/2008 13:45:28)La France en tête des pays ayant adopté l'Open Source
Une étude de Forrester souligne que les Européens, et d'abord les Français, sont plus en avance dans leur recours aux logiciels libres. Mais elle souligne aussi que très peu contribuent aux projets. Les entreprises françaises seraient plus avancées dans l'adoption de l'Open Source que leurs homologues d'Allemagne, du Royaume-Uni, des Etats-Unis et du Canada. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Forrester Research, en deux fois; d'abord à l'occasion d'un sondage au troisième trimestre 2007, puis lors de discussions ouvertes à la conférence IT Forum EMEA 2008. Alors que le public nord-américain se dit surtout inquiet de la sécurité du code des logiciels libres (à 71%), le public européen indique que sa priorité (51%) est la qualité du support associé. Forrester note que les entreprises européennes sont ainsi tout à fait prêtes à payer pour du support de logiciels libres, « à condition de pouvoir en mesurer la valeur ». Entreprises américaines (31%) comme européennes (22%) ne sont en tout cas guère inquiètes à cause des menaces juridiques pesant sur l'utilisation de l'Open Source. Les couches d'infrastructure restent de loin le premier domaine pour l'Open Source en entreprise [[page]] Côté technologies utilisées, Forrester constate le cycle habituel d'adoption, à savoir l'introduction de briques de base éprouvées, comme Linux ou Open Solaris, le serveur Web Apache, puis les outils de développement comme Eclipse et langages comme PHP, ainsi que les serveurs d'applications Tomcat et JBoss. De plus en plus, continuent les auteurs de l'étude, Jeffrey Hammond et Diego Lo Giudice, les entreprises envisagent de faire monter l'Open Source dans les couches d'infrastructure : bus de services (ESB), extraction, transformation et chargement de données (ETL), bases de données, applications de gestion de contenu... En revanche, aucune « n'a immédiatement signalé un intérêt » quant à poursuivre cette stratégie au niveau des applications métier. Autre information notable : les entreprises qui s'associent à des communautés Open Source ou qui simplement donnent du code à la communauté sont des exceptions. « La plupart se contentent de consommer de l'Open Source plutôt que d'en produire », écrivent les analystes de Forrester. « Un seul des participants [aux discussions] a indiqué que son organisation contribue au projet Open Source qu'il utilise avec du code mis à jour. » Un comportement typique, précise Forrester, de la plupart des grands départements informatiques. (...)
(30/06/2008 15:40:46)L'UFC-Que Choisir bataille pour le droit d'acheter un PC nu
Le jugement rendu la semaine dernière par le TGI de Paris, qui condamnait Darty à afficher le prix des logiciels pré-installés sur les PC proposés à la vente, ne contente pas l'UFC-Que Choisir. L'association, qui était à l'origine des poursuites, déplore que le tribunal n'ait pas donné de suite favorable à son autre demande, concernant la possibilité d'acquérir une machine nue, c'est-à-dire sans logiciel ni système d'exploitation. Sur ce volet, le TGI a préféré suivre les conclusions d'une étude réalisée à la demande de Darty, qui concluait que « l'intérêt actuel des consommateurs est encore d'acheter des ordinateurs liés à un système d'exploitation, dans la pratique toujours le même, Windows ». Un argumentaire qui rappelle les propos tenus par Luc Chatel : le secrétaire d'Etat à la Consommation expliquait l'an dernier que si les juges n'appliquent pas strictement le code de la consommation réprouvant la vente liée, c'est avant tout pour garantir le bon fonctionnement de l'ordinateur. L'association de consommateur fait part de son intention d'interjeter appel de la décision du TGI de Paris. « Le véritable intérêt du consommateur réside dans son pouvoir de choisir entre un ordinateur préinstallé ou un ordinateur nu », assène Que Choisir. Cette semaine, la DGCCRF doit remettre les conclusions de son rapport sur ce sujet avant de réunir industriels et consommateurs pour tenter de trouver un terrain d'entente. (...)
(20/06/2008 12:58:25)IBM, Intel et Linux squattent le Top500
Sans surprise, le Roadrunner d'IBM a doublé tous les autres supercalculateurs dans le monde au sein du Top500. Deux fois par an, ce dernier classe les 500 supercalculateurs les plus puissants du monde. Le système pétaflopique installé par IBM à Los Alamos pour le DoE (Department of Energy) s'est installé en haut de l'échelle, loin devant tous les autres. Le numéro 2 ne dépasse pas le score, pourtant déjà très honorable, de 500 Tflops. Les numéros 2 et 3 sont aussi signés IBM avec son architecture BlueGene spécialisée dans le calcul. Le constructeur ne compte pas moins de 210 machines parmi les 500 étudiées alors qu'HP y place 183 de ses systèmes. Tous les autres constructeurs sont loin derrière. Les Etats-Unis accueillent la moitié des systèmes sur leur sol contre seulement 34 pour la France. Mais l'Hexagone s'améliore avec deux calculateurs dans le top 10 : l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS) du CNRS avec un BlueGene d'IBM (9e avec 12 Tflops) et Total avec une machine Altix de SGI (10e avec 106 Tflops). En attendant que la machine offerte par le gouvernement au Cines entre, elle aussi, dans la danse avec ses 147 Tflops. Sun, avec une configuration réunissant 63 000 quadri-coeurs AMD, reprend une bonne place juste derrière les 3 premiers IBM. Ce sont également des puces AMD qui animent le 5e supercalculateur du Top500, un Cray, mis en oeuvre avant que le constructeur ne choisisse de désormais privilégier Intel. Les processeurs du numéro un des fondeurs équipent quant à eux 75% des systèmes contre seulement 11% pour son concurrent, qui se place même derrière les Power d'IBM à 13,6%. Près des quatre cinquièmes de ces monstres de calcul comptent entre 1 000 et 4 000 processeurs. Linux domine lui aussi largement la compétition avec 427 systèmes dans sa besace contre seulement 25 pour Unix et 5 pour Windows. Une consommation moyenne de 1,32 MWatt dans le top 10 Pour la première fois, le Top500 affiche aussi la consommation électrique des systèmes testés (sans leurs environnements de protection électrique ou de refroidissement). Cette consommation est évaluée durant l'exécution du test Linpack, qui sert à jauger la puissance de calcul des machines. Volontairement, c'est bien la consommation électrique et non la performance énergétique des systèmes (rapport entre la consommation électrique et la puissance) qui est exploitée. Cette dernière ne vaut en effet comparaison que si les systèmes sont tous de même taille, ce qui, de fait, n'est pas le cas ici. La consommation moyenne du Top 10 est de 1,32 MWatt, Le prochain Green 500 -équivalent du Top500 qui positionne les systèmes en fonction de leur performance énergétique -, devrait être publié fin juin. Celui de février montrait une domination écrasante d'IBM qui occupait les 26 premières places ! (...)
(18/06/2008 15:33:15)Pourquoi Microsoft soigne de plus en plus l'Open Source
Microsoft estime avoir changé, ou plutôt « évolué ». « Nous sommes passés par plusieurs phases d'expérimentation pour comprendre, nous positionner et tester les projets Open Source » explique Marc Gardette, responsable du groupe architectes de la division développeur et plateforme entreprise de Microsoft France. Certes, l'éditeur participe depuis ces deux dernières années au monde libre, ne serait-ce qu'avec Codeplex, sa plateforme d'hébergement de projets Open Source. Il multiplie les partenariats avec la communauté en travaillant avec Novell, Apache et même Mozilla. Enfin, il sponsorise cette année des organisations telles l'Open Source Census et l'Oscon (Open Source Convention) qui a lieu le mois prochain à Portland aux Etats-Unis. Microsoft reconnaît qu'il « ne peut se couper des stacks open source qui fonctionnent très bien sur Windows ». Objectif avoué : optimiser l'interopérabilité avec les plateformes Windows, les valoriser et être présent sur tous les marchés. Bref, rester compétitif. « Nous voulons travailler avec tous les acteurs de l'écosystème, y compris ceux de l'Open Source, précise Marc Gardette. Nous tenons à ce que les produits concurrents fonctionnent aussi bien sur Windows que sur d'autres systèmes. » Et même si le recensement actuel des applications Open Source installées par l'Open Source Census n'est pas du tout exhaustif, il donnera selon ce responsable, une idée de la popularité des produits Open Source installés. Toutes les occasions sont bonnes pour Microsoft de rallier le plus possible de produits libres à son univers. (...)
(17/06/2008 15:17:00)IBM dément toute mise en Open Source de DB2
Une petite phrase d'un responsable britannique d'IBM a suscité hier quelque émoi dans le microcosme des bases de données : il avait laissé entendre à un journaliste que si les conditions du marché évoluaient, alors IBM pourrait envisager de proposer DB2 en Open Source. Las, IBM a démenti : il n'y a aucun plan en ce sens. « Nous avons déjà une version allégée gratuite, avait expliqué le patron britannique de la division gestion de l'information d'IBM, ce qui est un premier pas vers l'ouverture de notre technologie. » Et il a ajouté qu'IBM a l'habitude d'être à l'avant-garde de l'Open Source. De fait, il existe déjà une base IBM en Open Source, Cloudscape. IBM a également initié Eclipse et est un fervent soutien de Linux. (...)
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