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Linux

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(23/11/2007 16:20:23)
Linux gagne en popularité sur les postes de travail des PME
Alors que le troisième sondage annuel de la Linux Foundation sur l'usage de Linux sur le poste de travail ne se terminera officiellement que le 30 novembre, les premiers résultats sont déjà riches d'enseignement. Avec un nombre de répondants ayant déjà doublé par rapport à l'année précédente (20 000 contre environ 10 000), il en ressort que Linux est majoritairement installé dans les PME (à 68,4%) ayant moins de 100 PC. A 9,7 %, il est présent dans les sociétés de taille moyenne ayant de 101 à 500 PC et à 6,2 % dans les entreprises ayant plus de 500 PC. Pourtant, même présent en entreprise, Linux n'est pas le système d'exploitation privilégié. Seuls 39,5 % des sondés déclarent utiliser Linux sur plus de la moitié des postes, tandis que 59,6 % avouent utiliser une version de Windows sur plus de la moitié de leurs postes de travail. Linux en tant qu'OS principal Autre changement. Les postes de travail sous Linux ne sont plus principalement destinés à des développeurs, ni déployés dans le cadre de projets pilotes. Quelque 64 % des sondés déclarent ainsi utiliser Linux sur leurs postes clients ordinaires, tandis que 51 % d'entre eux l'utilisent pour le poste de leurs développeurs. Dans 62,2 % des cas, il s'agit de véritables déploiements et non de simples tests. Seuls 16,3 % des sondés - ayant répondu volontairement sur le site de la Linux Foundation - affirment qu'ils n'utiliseront jamais Linux sur un poste de travail. Parmi les distributions installées, avec 54,1 % des résultats (dans un questionnaire acceptant plusieurs réponses par sondé), Ubuntu semble la favorite, suivie des différentes déclinaisons de Red Hat à 50,2 % et par les distributions de Novell/SUSE, à 35,2 %. Des résultats qui peuvent encore varier d'ici à la fin du sondage. (...)
(19/11/2007 16:59:14)Oracle enregistre 1 500 entreprises clientes pour son support de Linux
Sur les six derniers mois, l'adhésion à Unbreakable Linux s'est accélérée, s'est félicité Larry Ellison, CEO d'Oracle. Au cours de cette période, plus de 1 450 entreprises ont adopté l'offre de support lancée il y a un an par Oracle autour du système d'exploitation Linux de Red Hat, également déclinée, plus récemment, pour Oracle Enterprise Linux, clone de Red Hat Enterprise Linux AS. En y ajoutant les deux douzaines de clients gagnés sur les six premiers mois, l'offre de support a donc récolté 1 500 clients en un an, « pratiquement sans aucun effort commercial, alors même que nous étions en train de constituer notre équipe de vente », a souligné Larry Ellison en clôture de sa conférence OpenWorld, mercredi dernier à San Francisco. Il est vrai que le tarif d'Unbreakable Linux est deux fois moins élevé que celui du support fourni par Red Hat. Pour un prix allant de 99 à 2 000 dollars par an, le programme délivre aussi une assistance pour les applications tournant sur Red Hat Enterprise Linux et sur Oracle Enterprise Linux. Un seul interlocuteur simplifie le support Interrogé sur OpenWorld par nos confrères de ComputerWorld, Tim Heath, administrateur de base de données senior chez Yahoo, a précisé que son entreprise s'était tournée vers le support proposé par Oracle à la suite d'expériences décevantes avec Red Hat. « Nous avons rencontré quelques bugs après le lancement de RHEL 5, et nous n'avons pas pu amener Red Hat à les corriger. » Yahoo, qui exploite Red Hat Linux sur 50 000 de ses 150 000 serveurs, a souscrit à la fois aux supports d'Oracle et de Red Hat. « Nous apprécions qu'ils se mesurent l'un à l'autre pour résoudre les bugs plus rapidement », a admis Tim Heath. Et surtout, l'avantage de n'avoir qu'un seul interlocuteur pour le support évite que les fournisseurs se renvoient la balle pour répondre aux questions. Oracle dit rassembler plus de 9 000 développeurs travaillant sur les logiciels tournant sur Linux, nombre d'entre eux s'attelant aux bugs et intervenant sur Unbreakable Linux. Une force qu'Oracle a beau jeu de comparer aux 2 000 employés de Red Hat. Malgré cela, Red Hat reste l'élément fort du marché Linux en entreprise. Des milliers de clients ont recours à son support. Sur son dernier trimestre, le chiffre d'affaires des souscriptions, incluant les contrats de support, se sont élevés à 109,2 M$ (+29% par rapport à l'an dernier). Et ses vingt-cinq premiers souscripteurs ont tous renouvelé leur contrat à un niveau correspondant à 122% de leur précédent contrat, a précisé Red Hat. (...)
(15/11/2007 09:55:42)OpenWorld : Sun aussi virtualise gratuitement
En réaffirmant l'importance de l'Open Source et des technologies de virtualisation, lors de sa visite parisienne mardi dernier, le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, avait invité son auditoire à ne pas manquer les annonces de Jonathan Schwartz, le lendemain sur OpenWorld (grand-messe annuelle d'Oracle, San Francisco, 11-15 novembre). L'intervention californienne du PDG de Sun a effectivement confirmé l'arrivée de xVM, une plateforme gratuite de virtualisation et d'administration de centre de données sur laquelle le fournisseur avait déjà laissé filtré des informations. Pour Jonathan Schwartz, cette annonce capitalise sur des années de recherche en virtualisation autour de la plateforme Java, du système d'exploitation en Open source OpenSolaris et du processeur UltraSparc. Le dirigeant de Sun prévoit d'investir quelque 2 milliards de dollars en recherche et développement sur sa famille xVM. Les premiers produits livrés seront l'hyperviseur xVM Server et xVM Ops Center, une console d'administration unifiée (livrée sous licence GPLv3) qui permettra de gérer à la fois les éléments virtuels et physiques de la plateforme. Une touche de Xen et une pleine mesure de ZFS De même qu'Oracle, qui annonçait deux jours plus tôt sa propre offre de virtualisation de serveurs, Sun exploite dans son hyperviseur une partie du code développé par la communauté Open Source Xen. xVM Server va permettre de virtualiser des environnements mixtes, sous OpenSolaris, Linux et Windows. Ces deux derniers, considérés comme des « instances invitées », bénéficieront alors de la technologie d'auto-dépannage Predictive Self-Healing d'OpenSolaris et de son serveur de fichiers 128 bit ZFS, qui fournit ici ses capacités de virtualisation du stockage. Le tout sur des infrastructures HP, Dell, IBM et Sun. Jonathan Schwartz souligne l'intérêt de prendre en compte l'ensemble des ressources dans la virtualisation, et notamment le stockage. Le dirigeant a évoqué au passage le procès que lui intente en ce moment même NetApp autour de ZFS. Scott McNealy l'expliquait mardi dernier : « En 1984, nous avons mis en Open Source NFS, ce qui est un cadeau énorme. NetApp s'en est emparé, sans un merci [...]. Vingt ans après, nous livrons ZFS, encore une fois en Open Source, et là nous n'avons pas de merci mais un procès ! » C'est pourquoi, comme l'a déjà raconté Jonathan Schwartz dans son blog, Sun s'est senti outragé et a décidé de répliquer en intentant un procès, respectant ainsi son principe de n'utiliser son portefeuille de brevets que « de façon défensive ». Le patron de Sun est revenu par ailleurs sur les atouts de l'Open source qui a permis une rapide adoption d'OpenSolaris et ZFS dans le monde entier, par des utilisateurs qui n'auraient sans doute jamais installé de matériel Sun. openxvm.org, une communauté pour xVM S'il en était encore besoin, le PDG n'a pas manqué de souligner les économies d'énergie générées par la virtualisation, à l'unisson avec les orateurs qui l'avaient précédé en début de semaine sur la scène d'OpenWorld (les dirigeants d'AMD, d'Intel ou de HP). « Le coût de l'énergie dépensée pour exploiter les serveurs finit par dépasser le coût des serveurs eux-mêmes », a-t-il rappelé. Enfin, Sun entend créer une communauté autour de xVM, afin d'assurer à l'offre une large adoption et de conforter son engagement auprès de ses utilisateurs, notamment ceux « qui ne peuvent pas payer le logiciel », affirme Jonathan Schwartz. « C'est un engagement que nous ne prenons pas à la légère. » (...)
(09/11/2007 17:44:05)Peu de monde autour du gâteau de l'anniversaire de l'union Novell-Microsoft
A l'heure du premier anniversaire de l'alliance Microsoft et Novell, les deux sociétés claironnent un bilan au-delà de leurs espérances sans parvenir à dépasser le niveau de la rhétorique habituelle des communiqués de presse. Bien sûr, il se trouve un analyste (du Gartner group) pour s'enthousiasmer sur l'accueil par les utilisateurs de l'offre combinée Suse / Windows, mais il est bien le seul. Chez Microsoft, on s'acharne à vouloir utiliser cet accord comme épouvantail. Soit les utilisateurs Linux optent pour Novell Suse, soit ils s'exposeraient aux foudres des juristes chargés de défendre les supposées propriétés intellectuelles que Microsoft menace de revendiquer sur les autres distributions Linux. La vacuité de l'argument semble ne pas avoir échappé aux utilisateurs. Microsoft n'en a trouvé qu'une trentaine à citer dans son communiqué. Toutefois, les deux sociétés ont souligné qu'elles continuaient à étendre leur collaboration technique. Les domaines au centre de leurs travaux dans leur laboratoire commun qui aura mis un an à se mettre en place sont la virtualisation, l'administration, les annuaires et la gestion des identités fondés sur les standards et la compatibilité des formats de documents. (...)
(09/11/2007 16:48:12)Mandriva de retour sur les Classmate nigérians
Mandriva pourrait faire son retour sur les Classmate d'Intel commandés par le Nigéria - les PC destinés aux écoles des pays émergents - après avoir été évincé par Windows XP. En août, l'éditeur français Mandriva était choisi pour équiper de sa distribution Linux 17 000 Classmate en partance pour le Nigéria. Mais, la semaine dernière, l'Etat africain surprenait Mandriva en annonçant que les machines seraient finalement livrées avec une version de Windows XP. De quoi irriter François Bancilhon, le patron de l'éditeur. Dans une lettre ouverte adressée le 31 octobre à Steve Ballmer, il écrivait ainsi : « Je suis impressionné, Steve ! Qu'avez-vous fait à ces personnes pour les faire changer d'avis ? C'est clair pour moi, et ça le sera pour tous. Comment appelez-vous ce que vous venez de faire ? Il y a plusieurs noms pour cela, je suis sûr que vous les connaissez bien. » Aujourd'hui, nouveau coup de théâtre. Il semble en effet que le Nigéria ait à nouveau fait machine arrière : Mandriva équipera bien les Classmate, du moins une partie d'entre eux. « Nous continuons avec cette plateforme », confirme ainsi un représentant de l'USPF (Universal service provision fund), l'instance nigériane chargée d'organiser la mise en place du projet consistant à distribuer les portables dans les écoles. Du côté de Mandriva, après la douche froide reçue fin octobre, l'heure n'est pas à l'euphorie. « On essaie encore de comprendre ce qui se passe là-bas, explique François Bancilhon au Mondeinformatique.fr. Une partie des Classmate pourrait en effet rester chez Mandriva. » Loin de crier victoire, le patron de l'éditeur préfère mettre l'accent sur les raisons de ce revirement : « Dans l'équipe nigériane, il y a toujours eu des fans du Libre. Ils pensent que c'est une bonne solution pour leur pays et se battent pour que le choix soit celui du Libre. » De fait, précise François Bancilhon, il existe plusieurs sources de financement gouvernementaux pour le programme Classmate au Nigeria. « Plusieurs personnes ont donc voix au chapitre, dont certaines ont un penchant pour le logiciel libre. » Au-delà du marché nigérian, Mandriva devrait être installé sur les Classmate destinés à un certain nombre d'autres pays. Mais, soucieux de ne pas revivre les mésaventures l'ayant opposé à Microsoft, François Bancilhon préfère rester discret sur ces futures destinations. « Il se passe des choses dans plusieurs autres endroits, confirme-t-il simplement. Notamment dans un grand pays d'Asie et plusieurs autres pays d'Afrique. » (...)
(08/11/2007 18:13:58)Red Hat se met en grande pompe à la virtualisation
A l'occasion du lancement de la version 5.1 de son RHEL (Red Hat Enterprise Linux), Red Hat a dévoilé une intéressante stratégie autour de la notion de virtualisation prise dans son acception la plus large. Outre l'intégration de l'hyperviseur Xen, l'éditeur annonce ses projets d'appliances virtuelles et de mise à disposition de RHEL 5.1 sur la grille EC2 d'Amazon. Cet ensemble laisse espérer aux dirigeants de Red Hat qu'ils parviendront à plus que doubler leur part du marché des serveurs. Selon eux, à l'horizon 2015, un serveur sur deux devrait tourner sous RHEL. La version 5.1 de la distribution Linux de Red Hat intègre l'hyperviseur de Xen et exploite les dernières extensions du microcode des processeurs d'Intel et d'AMD. Cette 5.1 peut supporter des VM (machines virtuelles) sur Windows XP, 2000 et 2003 Server ainsi que sur la bêta de 2008 Server. C'est sur RHEL 5.1 que reposera Red Hat Appliance Operating System (AOS), une version compactée de Linux pour packager des appliances logicielles virtuelles (voir notre encadré ci-dessous). Red Hat promet RHAOS pour la mi-2008. A noter que chez Ubuntu, l'équivalent de RHAOS s'appelle JeOS (Just Enough Operating System). Linux dans les nuages : entre 21 et 94 cents par heure et par utilisateur Enfin, l'éditeur a signé un partenariat avec Amazon pour mettre à disposition RHEL 5.1 sur son Elastic Cloud Computing (EC2), service d'accès à distance à des ressources système. La bêta de ce service ne sera pas accessible avant la fin de l'année, mais Red Hat annonce déjà des tarifs. L'abonnement sera de 19$ par utilisateur et par mois avec une facturation à l'usage suivant les ressources de traitement, de bande passante et de stockage utilisées. Les prix oscillent entre 21 et 94 cents par heure et par utilisateur. Ces prix devraient avoir beaucoup bougé d'ici à ce qu'il soit possible d'envisager l'accès à RHEL 5.1 via EC2 en France. Probablement vers la fin de l'année prochaine. D'ici là, Red Hat, qui revendique 18 000 serveurs sous RHEL faisant tourner des VM, prévoit que l'intégration de Xen devrait porter ce chiffre à 50 000 dans les mois à venir. (...)
(07/11/2007 13:53:48)Sun accueille Red Hat dans la communauté Open JDK
Red Hat, éditeur de la distribution Linux RHEL (Red Hat Enterprise Linux), vient de signer deux accords avec Sun Microsystems pour faciliter l'intégration de la plateforme Java SE avec les prochaines mises à jour de son système d'exploitation pour serveurs. Le premier accord va conduire l'ensemble des ingénieurs de Red Hat à collaborer aux projets Open Source dirigés par Sun. Et, par le second, Red Hat pourra accéder à la suite de test (TCK) de la communauté OpenJDK qui permet de déterminer la compatibilité d'une implémentation de Java SE avec les spécifications de Java SE 6. Shaun Connolly, vice président de Red Hat pour les produits JBoss, souligne l'intérêt de ce partenariat qui apportera à sa pile Open Source l'un des ingrédients clé qui lui manquait, une implémentation JDK Open Source. Sun, par la voix de Rich Green, vice président logiciels, accueille l'éditeur de RHEL avec satisfaction. « C'est un vote de confiance pour nous que Red Hat s'engage dans la communauté OpenJDK à un tel niveau. Lorsque nous avons ouvert le code de Java, c'est exactement le genre de collaboration que nous espérions entre l'écosystème Java et le monde GNU/Linux. » (...)
(06/11/2007 17:03:49)Nick Van Wyk, la voie du changement pour Red Hat
L'arrivée de Nick Van Wyk au sein de Red Hat, en remplacement de Joanne Rohde, semblait assez anodine. Et pourtant le changement de titre de « vice-président exécutif en charge des opérations globales » à « vice-président senior en charge des opérations globales et de la transformation » pouvait mettre la puce à l'oreille des plus attentifs. Nick Van Wyk a en effet trois ans pour faire passer Red Hat d'une société tirant l'essentiel de ses revenus de sa distribution Linux pour serveurs à une « compagnie vendant des solutions et des services open source. » Et donc ayant plus d'une seule source de profit pour rester compétitive face à des concurrents comme Microsoft, IBM, SAP ou Oracle aux offres plus étoffées. Ce virage a déjà été amorcé lors du rachat de JBoss, et se poursuit dès aujourd'hui avec l'annonce d'un partenariat avec Sun autour de Java Developpement Kit (JDK). Celui-ci sera désormais intégré directement au coeur des prochaines versions de Red Hat Entreprise Linux (RHEL) et de Fedora. Ce qui permettra aux développeurs Red Hat de créer leurs propres versions de l'environnement Java mieux adapté à leur système d'exploitation, et donc faisant tourner plus rapidement les applications Java. Pour l'instant, le JDK sera mis à la disposition de la communauté Fedora, et c'est seulement lorsqu'une version stable sera disponible qu'il intègrera la distribution principale RHEL. Outre ces développements sous Java, les transformations que doit apporter Nick Van Wyk restent pour l'instant mystérieuses. Tout au plus se définit-il comme étant dans une phase d'observation des processus de la compagnie : gestion du personnel, rapport avec les partenaires, gestion des abonnements, support technique. (...)
(02/11/2007 15:30:36)Apple autorise la virtualisation sur Leopard Server
Lancé aux côtés de la version grand public de Leopard, Leopard Server reste le parent discret de l'offre d'Apple. Ainsi, le fabricant a récemment modifié les conditions générales d'utilisation de ce système d'exploitation. Il autorise désormais l'exécution de plusieurs instances virtuelles de Leopard Server. Toutefois, cet assouplissement reste limité, puisque cette virtualisation ne peut s'effectuer qu'à partir machines d'Apple, notamment des XServe. Notons également que chaque nouvelle instance devra faire l'objet du paiement d'une licence aditionnelle. Cette ouverture se justifie par une sous-utilisation de la puissance des processeurs quadri-coeurs des plus récents XServe. Toutefois, pour John Welch, analyste spécialisé dans le monde Mac, cette décision est moins technique que marketing : « Normalement, faire tourner plus d'un service à partir d'une boîte Windows est une garantie d'échec. Windows ne supporte pas des charges importantes permanentes. Les Unix (ndlr : dont Leopard Server) permettent des utilisations beaucoup plus importantes par système, donc la virtualisation n'est pas si importante. Tout se limite à une philosophie d'entreprise. La virtualisation est parfaite pour certains et beaucoup moins pour d'autres. » D'ores et déjà, VMWare et SWSoft - avec sa filiale Parallels - ont annoncé leur intention de développer des outils de virtualisation pour Leopard Server. Mais sans fixer de date finale pour les produits. Tout juste, Parallels annonce la publication d'une version bêta gratuite d'ici un mois ou deux contre un enregistrement sur son site Web. (...)
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