Flux RSS
Linux
522 documents trouvés, affichage des résultats 381 à 390.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/05/2007 14:13:57)
Sybase et RedHat concurrencent la solution d'appliance logicielle d'Ingres
Sybase s'est associé à Red Hat pour fournir une « appliance logicielle », constituée de ses systèmes de gestion de bases de données (SGBD) reposant sur Red Hat Linux Enterprise 5 (RHEL). D'ici à la fin de l'année, Sybase ASE, le SGBD transactionnel, et Sybase IQ, le SGBD décisionnel seront certifiés pour le Linux de Red Hat, et l'appliance disponible. L'offre recourt aux technologies de Symantec pour le clustering et de VMWare pour la virtualisation. Bien que Sybase utilise le terme d'appliance, il s'agit d'une pure solution logicielle, sans base matérielle, reflétant le fait que les deux produits sont étroitement intégrés, que les mises à jour seront communes et qu'il y aura un seul fournisseur pour le support, au travers du programme « Cooperative resolution center » de Red Hat. L'éditeur reprend ainsi le vocabulaire - et l'idée - d'Ingres, qui a lancé son offre en février dernier sous le nom Icebreaker, en association avec rPath. Ingres insistait alors sur le fait que sa solution combinait uniquement du code sous licence GPL, alors que l'offre de Sybase n'est pas Open Source. (...)
(14/05/2007 17:43:55)Intel donne un coup de main à Red Hat pour son Global Desktop
Si le programme OLPC veut fournir des portables peu chers aux enfants des pays en voie de développement, les marchés émergents peuvent également être une source de profit. C'est la cible visée par Red Hat avec sa nouvelle distribution Linux : Global Desktop. Développée pour s'adapter sur la plateforme sécurisée vPro d'Intel, cette distribution s'adresse en premier lieu aux PME et aux gouvernements de ces pays. Le but est d'utiliser Linux pour accéder à des applications d'entreprises de dernière génération sur du matériel (PC ou serveur) à faible coût de fabrication. A la différence des autres distributions Linux, Global Desktop ne pourra être téléchargée seule. Elle sera fournie en OEM par les force de ventes d'Intel sur ses lignes de postes de travail Classmate, Affordable, Community et Low-cost. En plus de Global Desktop, Red Hat développera pour ces PC une technologie de virtualisation qui permettra d'avoir une multitude d'environnements applicatifs virtuels ouverts en même temps que la session principale sécurisée. L'ensemble final comprendra d'ailleurs le PC, le système d'exploitation Global Desktop et un ensemble d'applications. Une version bêta devrait être disponible d'ici quelques mois, mais la version finale est prévue dans 18 mois. Pour l'instant aucun prix n'est disponible. (...)
(07/05/2007 11:49:46)Dell rejoint l'alliance Microsoft-Novell sur Linux
L'alliance conclue en novembre dernier entre Microsoft et Novell a séduit un autre acteur : Dell a décidé de s'associer aux deux partenaires pour proposer à ses clients des machines sous Suse Linux Enterprise Server, pour des environnements hétérogènes Windows et Linux. L'accord Microsoft-Novell couvrait des aspects juridiques, marketing et technologiques. Sur ce dernier point, il s'agissait notamment de faciliter la cohabitation des deux systèmes au sein d'une entreprise. Dell, qui avait déjà du Linux Red Hat à son catalogue, explique que c'est l'enthousiasme de ses clients pour l'accord Microsoft-Novell qui l'a poussé à s'y associer. Une équipe marketing a d'ores et déjà été mise sur pied. (...)
(20/04/2007 17:44:20)Sun intègre officiellement Java à Ubuntu
Pour Sun, l'Open Source ne se limite pas à OpenSolaris. La société avait promis en novembre dernier de mettre à la disposition des développeurs Open Source son serveur d'application GlassFish et son logiciel Java Platform Standard Edition JDK 6.0. C'est chose faite depuis jeudi (19 avril) avec la sortie d'Ubuntu 7.04. En effet, la distribution Linux de Canonical est la première à intégrer ces outils de développement Java. L'accord entre Sun et Canonical va même plus loin. Ubuntu intègre également l'environnement de développement NetBeans et Java DB, lui même basé sur la base de données Open Source Derby. Ian Murdock, responsable opérationnel de Sun Microsystems et fondateur de Debian, veut ainsi étendre encore l'usage de Java : « Notre but est de rendre la technologie Java plus accessible aux développeurs.» Matt Shuttleworth, fondateur d'Ubuntu et PDG de Canonical, espère, quant à lui, que « ces paquets Java vont se répandre dans Debian et les autres distributions. » Remplaçant ainsi les logiciels développés par ses concurrents pour intégrer Java à Linux, tel JBoss chez Red Hat. En aidant ainsi Ubuntu, Sun plante lui-aussi une épine dans le pied de Red Hat, dont la distribution est le Linux le plus largement répandu dans le monde des serveurs, où il fait de l'ombre aux Unix traditionnels... comme Solaris. (...)
(16/04/2007 17:40:54)Ubuntu triple ses possibilités de virtualisation
Plus populaire pour ses capacités sur le poste de travail, la distribution Linux de Canonical, Ubuntu, est aussi compétente dans le monde des serveurs. C'est du moins ce que veut rappeler son promoteur quelques jours avant la sortie de sa version 7.04, baptisé Feisty Fawn. Pour cela, les capacités de virtualisation de cette nouvelle version ont été mises en avant. « La virtualisation s'impose dans les salles de serveurs, et nous avons fait de son ajout l'une des priorités de notre dernière version explique Jane Silber, directrice des opérations de Canonical. Nos utilisateurs veulent du choix et une facilité d'utilisation. En conséquence, qu'il serve d'hôte ou de système d'exploitation hébergé, Ubuntu 7.04 supportera les outils de virtualisation commerciaux comme VMWare, et les projets Open Source comme Xen et KVM (Kernel-based Virtual Machine). » Pour supporter les outils de VMWare, Feisty Fawn va s'appuyer sur paravirt-orps, un projet Open Source jusqu'ici négligé des distributions mieux implantées sur le marché des serveurs. Celles-ci, telles Red Hat Enterprise Linux ou Suse Linux Enterprise Server de Novell, lui préfèrent en effet Xen. Selon Mark Shuttleworth, directeur exécutif de Canonical, Xen nécessite l'implantation d'un noyau dédié à son usage, contrairement à paravirt-orps ou KVM qui peuvent se contenter d'un même noyau : « Cela rend difficile de travailler avec Xen. J'espère que dans la prochaine version, les développeurs de Xen s'impliqueront. » De plus, grâce à KVM, Ubuntu peut tirer parti des aides matérielles à la virtualisation AMD-V et Intel VT. Cette nouvelle version d'Ubuntu n'offrira un support complet que pendant 18 mois. Pour profiter d'un support de cinq ans similaire à celui de la version actuelle, il faudra attendre octobre et le lancement de la version 8.04. A noter que depuis un an, Ubuntu supporte l'architecture Sparc des serveurs Sun. (...)
(11/04/2007 12:57:24)Le patron de Wallix s'indigne de l'indignation de Mandriva
Après la récente polémique soulevée par le patron de Mandriva suite au choix d'Ubuntu pour équiper en Linux les PC des députés, Jean-Noël de Galzain, patron de Wallix et IFR Linux Conseil, essaie de siffler la fin de la récréation. Au risque de relancer la polémique, mais rouvrant un débat utile sur le modèle économique des SSLL et éditeurs du Libre, Jean-Noël de Galzain a adressé à la presse une « lettre ouverte aux membres de la communauté des logiciels libres » où il demande - sans le nommer - au PDG de Mandriva François Bancilhon de « ranger les sarcasmes » et de « contribuer à créer l'écosystème ». Joint par la rédaction, Jean-Noël de Galzain explique sa réaction par la publicité négative engendrée par ce type de polémique : « Je me suis décidé à écrire cette lettre lorsque j'ai vu une deuxième lettre ouverte sur le site de Mandriva qui revenait sur cette affaire. Je ne comprends pas qu'on puisse se critiquer dans un monde en pleine création. On a quelques acteurs qui commencent à être en mesure de se positionner sur des appels d'offres, à montrer la crédibilité du logiciel libre, et face à ça, on a des réactions qui donnent l'image d'une cour de récréation. » Jean-Noël de Galzain estime que si Mandriva a perdu l'appel d'offres de l'Assemblée nationale face à Linagora (qui préconisait Ubuntu), c'est parce que l'éditeur n'a pas cherché à nouer de partenariat spécifique avec les acteurs du Libre. Sur les sociétés que Wallix fréquente à l'association de défense et de promotion du logiciel libre April, « pas une ne travaille avec Mandriva », dit-il. Si Mandriva ne passe pas d'accord avec des SSLL, « il risque de disparaître, au moins sur le marché professionnel ». Réponse de François Bancilhon : les SSLL ne jouent pas le jeu Jean-Noël de Galzain appelle donc à dépasser les querelles de personnes (entre François Bancilhon et Alexandre Zapolsky, le patron de Linagora) : « Ce sont les mêmes personnes qui depuis quelques mois se font la guéguerre. On a compris qu'il y avait un problème entre Linagora et le reste du monde. Mais dans le monde du Libre, il y a des acteurs qui travaillent, qui bâtissent des offres. Lorsque nous voulons faire des choses ensemble, nous dire des choses, nous prenons le téléphone. Et ainsi on remporte des marchés tous les jours. » « C'est une très bonne idée, répond François Bancilhon. Mais je ne peux pas me rapprocher de quelqu'un qui veut ma peau pour m'acheter pour rien. » Comme le souligne Jean-Noël de Galzain, « il n'y a pas que Linagora, il y a d'autres acteurs (qui font éventuellement plus de chiffre d'affaires, même si c'est Linagora qui communique le plus) ». Mais François Bancilhon estime de son côté que les SSLL ne sont pas prêtes à jouer le jeu, en laissant à l'éditeur une part du service. « Si on doit travailler avec eux, il faut que notre contribution soit autre chose que de fournir un logiciel gratuit pour lequel ils ne payent aucun support, dit-il. La logique du Libre veut que nous équilibrions nos investissements dans le logiciel avec le service fourni. Si les SSLL s'appuient sur l'éditeur pour fournir le support, c'est bien. S'ils considèrent qu'il s'agit juste de prendre un logiciel gratuit - financé par un milliardaire - afin de casser les prix, je n'appelle pas ça un modèle économique. » (...)
(10/04/2007 18:02:40)La Linux Standard Base automatise les tests pour toutes les distributions
Il n'y a pas un mais des Linux. Un vrai casse-tête pour la certification des applications, du moins jusqu'à aujourd'hui : la Linux Standard Base (LSB) se préoccupe désormais d'automatiser les tests pour toutes les distributions. C'est le Free Standard Group qui a lancé en 2001 la Linux Standard Base, un ensemble de règles à suivre (quelles bibliothèques utiliser, comment organiser les fichiers, la gestion de l'impression et des différentes extensions, etc.) afin de s'assurer que toutes les distributions Linux resteraient compatibles entre elles. Dans cette mise à jour de la LSB, la Linux Foundation, consortium issu du Free Standard Group et de l'Open Source Development Labs, a inclus des outils de tests automatiques : le LSB Distribution Toolkit. Une version 'light' pour les développeurs indépendants Le but est de permettre aux développeurs de créer des applications pour Linux et de les certifier en une fois pour toutes les distributions qui suivent la LSB (Red Hat, Suse, Debian, Ubuntu, Mandriva, Xandros, etc.), au lieu de passer le test pour chaque distribution une à une. « Pour qu'un standard soit efficace, il doit avoir une infrastructure de test puissante et utilisable », explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation. Ces outils ne sont qu'une première étape d'un projet plus important visant à offrir aux développeurs une infrastructure de test et de développement en ligne. La Linux Foundation propose également une version moins lourde, dite LSB Application Testkit, pour permettre aux développeurs indépendants de vérifier si leur application est compatible avec les standards LSB. A charge pour eux par la suite d'entrer dans l'ensemble du processus de certification. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |