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(04/10/2011 16:29:22)

MTI propose des offres de stockage en mode cloud

MTI, connu pour son expertise dans le domaine des datacenters et plus récemment sur l'offre VBlock d'EMC, VMware et Cisco, va proposer une offre de service, baptisée Cloud Storage, qui comprend du consulting, l'intégration technologique, etc. Elle s'appuie notamment sur une plateforme de stockage hébergée, basée sur la solution Atmos Cloud Storage d'EMC. L'objectif est de faire baisser significativement les coûts tout en garantissant un volume de stockage évolutif.

MTI cloud Storage se décline aujourd'hui en 4 offres dédiées: l'archivage donnant aux utilisateurs une capacité pour entreposer leurs données qui sont généralement stockées dans des infrastructures très couteuses ; la sauvegarde via un service externalisé pour éviter les problèmes de fiabilité des sauvegardes sur bandes magnétiques ; les services de fichiers pour avoir accès aux fichiers distants de manière transparente et sécurisée. Enfin, l'offre cloud storage pour les applications permet d'utiliser la plateforme MTI pour les exécuter dans le cloud.

L'intégrateur n'a pas fourni de tarifs pour l'ensemble de ses différentes offres.

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(04/10/2011 14:37:36)

Facebook ajoute une protection contre les liens malveillants

Selon un communiqué de l'entreprise, la technologie Websense va permettre de compléter les protections existantes sur Facebook pour empêcher les utilisateurs de cliquer sur des liens dirigés vers des sites web dont la fiabilité n'est pas garantie. La technologie pourrait protéger les utilisateurs contre les nombreuses escroqueries, fréquentes sur Facebook, qui cherchent à piéger les membres en les incitant à cliquer sur des liens malveillants. Ces sollicitations jouent sur la curiosité et la vanité des utilisateurs, prétendant leur donner accès à des potins exclusifs, ou leur promettant de savoir qui est intéressé par leur profil.

Avec la technologie de Websense, les utilisateurs seront désormais prévenus que le lien sur lequel ils s'apprêtent peut-être à cliquer n'est pas forcément digne de confiance. « Quand un utilisateur clique sur un lien Facebook, celui-ci est vérifié dans la base de données de Websense, » ont expliqué les responsables de l'entreprise de sécurité. « Si l'éditeur soupçonne un lien malveillant, l'utilisateur sera dirigé vers une page lui proposant plusieurs choix : continuer à ses propres risques, revenir à la page précédente, et savoir pourquoi le lien est signalé comme suspect. »

Des risques élevés sur les terminaux mobiles


Plus tôt cette année, des chercheurs de la firme de sécurité BitDefender ont affirmé que les logiciels malveillants envoyés par des liens Facebook étaient les principaux vecteurs d'attaques utilisés contre les terminaux mobiles. Les liens spam des réseaux sociaux comme Facebook infectent facilement les terminaux mobiles du fait que les vers et autres logiciels malveillants sont souvent indépendants de la plateforme et sont donc plus largement disséminés, à la différence de ceux qui ciblent les PC. S'appuyant sur les statistiques de Google, les chercheurs de BitDefender s'accordent pour dire que près d'un quart des utilisateurs de Facebook piégés par une arnaque sur le réseau social, l'ont été depuis leur appareil mobile. Parmi eux, nombreux ont succombé au lien prétendant montrer le statut Facebook d'une jeune fille qui avait été exclue de son école. Le lien malveillant avait généré 28 672 clics, dont 24% provenaient de plates-formes mobiles. Les utilisateurs ayant cliqué sur ce lien - que ce soit depuis leur PC ou leur appareil mobile - ont téléchargé un ver depuis Facebook et ont été victime d'un faux système de publicité destiné à détourner de l'argent.

La proposition de Websense sera, certes, utile aux membres, en les aidant à repérer les liens suspects, mais elle ne permettra pas de traiter les malware présents sur le site lui-même. Ce problème non résolu vaut depuis longtemps de nombreuses critiques à Facebook de la part d'experts en sécurité et de défenseurs de la vie privée. Comme les liens malveillants, de nombreuses applications proposant par exemple aux utilisateurs de Facebook de télécharger des boutons « je n'aime pas », sont en réalité des escroqueries ou encore ces fausses pages aguicheuses utilisées pour détourner les clics des utilisateurs, et dont l'objectif est essentiellement de disséminer un malware.

Crédit Photo: D.R

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(04/10/2011 14:14:35)

Les services 4G en expérimentation à Brest

Eric Besson a annoncé le lancement d'ImaginLab, la première plateforme d'expérimentation de services 4G (le très haut débit mobile) en France. Elle va couvrir une grande partie de la ville et du port de Brest, ainsi qu'une zone d'une dizaine de kilomètres en mer. Une centaine d'utilisateurs va pouvoir tester en exclusivité cette plateforme.

ImaginLab va être l'occasion de pouvoir tester de nombreux services tels qu' un espace de stockage dématérialisé (sur le cloud ) pour ses documents multimédias, la voix sur IP haute-définition, la visiophonie et la télévision mobile HD, des services liés à la géolocalisation, les jeux en réseau, etc.

Ce premier test grandeur nature intervient quelques mois avant le lancement commercial de la 4G en 2012. Quatre opérateurs ont obtenu l'exploitation des futures fréquences 4G : Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR.

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(04/10/2011 12:46:35)

Adobe Max 2011 : l'éditeur propulse ses services Creative dans le cloud

L'éditeur Adobe saute le pas du cloud en proposant plusieurs logiciels phares de la marque en mode hébergé. Nommés Creative Cloud, ces services visent en particulier les créateurs de contenu numérique, comme l'a indiqué Adobe. C'est Kevin Lynch, CTO d'Adobe, qui a annoncé ces offres lors de la conférence Adobe Max, qui se tient actuellement à Los Angeles.

L'offre, dont la disponibilité a été programmée pour début 2012, comprendra, pour commencer, trois types de services. Le premier est dédié à la fourniture de polices de caractères pour les sites web. Le second est destiné à aider les créateurs dans le processus d'édition numérique. Le troisième, basé sur Business Catalyst, est destiné à la création et à la gestion de sites web. Mais l'éditeur compte ajouter d'autres services, intégrant notamment des produits comme Photoshop, InDesign, Illustrator, Dreamweaver, Premiere Pro et After Effects.

Le service cloud permettra aux créateurs de contenu d'enregistrer leur travail sur les serveurs d'Adobe. Ils pourront s'y connecter ensuite pour accéder à leurs fichiers à partir d'un large éventail de plates-formes desktop et mobiles. L'offre comporte un espace de stockage de 20 Go. Elle permet aussi aux créateurs de communiquer entre eux à travers un forum dédié.

Une orientation résolument tablette


En ce qui concerne les polices de caractère, Adobe va s'appuyer sur Typekit, un service de polices web par abonnement acquis par l'éditeur. Depuis sa création en 2009, Typekit a livré plus de 3 milliards de polices pour alimenter les sites web d'entreprises comme le New Yorker, le New York Times et Twitter. Le service de publication numérique hébergé pourra accompagner les éditeurs qui souhaitent publier leurs revues et leurs journaux sur le web, ou les aider à adapter leurs éditions pour qu'elles soient lisibles sur des tablettes tactiles.

Le service d'Adobe leur permettra également de stocker leurs publications dans tous les formats au sein d'un pool central. « Aujourd'hui, la suite d'Adobe est utilisée par un millier de publications pour créer des versions pour tablettes de leurs produits, » a déclaré Kevin Lynch. En plus d'Adobe Creative Cloud, l'éditeur a également livré une application de création de contenu pour tablettes, appelée Adobe Touch Apps.

Les tarifs de Creative Cloud n'ont pas été annoncés. Sa disponibilité est prévue pour novembre 2011.

Illustration : Creative Cloud

Crédit Photo: Adobe

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(04/10/2011 12:24:29)

HP finalise l'acquisition d'Autonomy

Les actionnaires détenant 87% des actions d'Autonomy ont accepté l'offre d'achat de HP de 42,11 dollars par action, valorisant ainsi l'éditeur de logiciels à environ 10,3 milliards de dollars. De fait « toutes les conditions liées à l'offre ont été remplies, ce qui permet à HP de prendre le contrôle d'Autonomy » précise un communiqué du constructeur.

HP avait annoncé au mois d'août dernier son intention d'acquérir l'éditeur britannique. L'opération, a été orchestrée par l'ancien PDG du groupe, Leo Apotheker. Cette décision a été  controversée, estimant que le prix offert était trop élevé. HP a depuis nommé un nouveau PDG, ancien chef d'eBay Meg Whitman.

Renforcer les analyses de données non structurées

Autonomy, basée à Cambridge, est le plus important éditeur indépendant de logiciels au Royaume-Uni. Il dispose d'une large gamme de produits de gestion de l'information, y compris des solutions de recherches dans des données non structurées (e-mails, des appels téléphoniques ou des tweets). La société exploite également un cloud public qui stocke des pétaoctets de données d'entreprise.

HP explique que l'accord va renforcer son offre d'analyses de données, ses solutions cloud ​​ pour aider ses clients à gérer un volume sans cesse croissant de données. Autonomy fonctionnera comme une entité distincte et garde son PDG Mike Lynch, qui rapportera directement à Meg Whitman.

HP précise que le programme de rachat des actions minoritaires reste ouvert.

Illustration: Autonomy Visio

Crédit Photo: Autonomy

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(04/10/2011 11:45:47)

Juniper lance une offre cloud de réseaux virtuels pour les tests

Juniper a présenté Junosphere Lab, un environnement virtuel pour la conception, le test et l'exploitation des réseaux utilisant des éléments du constructeur. Junosphere Lab est une offre cloud, conçue pour permettre aux entreprises et les clients des fournisseurs de services, de créer et exécuter des environnements réseaux à la demande pour modéliser, tester et planifier à une échelle impossible à supporter sur un environnement physique.

Les entreprises peuvent «louer» les réseaux de Junosphere Lab pour 50 dollars par jour, soit 5 dollars par machine virtuelle, avec un minimum de 10 VM. Le constructeur souligne que le coût est plus bas que l'exploitation d'un laboratoire physique sur site. Avec le laboratoire virtuel, les clients peuvent déployer des services plus rapidement, améliorer la planification et mieux se préparer aux changements du réseau, précise l'équipementier.

Un connecteur et des partenaires technologiques

Les entreprises peuvent également utiliser cette offre comme un substitut ou un complément à à leur laboratoire physique. Pour ce faire, Juniper a également introduit Junosphere Connector, une application optionnelle qui permet de relier les deux types d'environnement.

L'offre comprend et fonctionne avec des applications et des produits de partenaires de Juniper, comme la gestion du trafic et la simulation de Cariden Technologies, la modélisation d'application par Mu Dynamics, Spirent pour le test et la validation de la performance sur des environnements virtualisés et dans le cloud​​, enfin Wandl s'occupe de la planification de réseau, la conception et l'optimisation.

Junosphere Lab est disponible dès maintenant.

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(04/10/2011 10:40:23)

1 000 offres d'emploi IT sur Lesjeudis.com à Toulouse

Après l'édition parisienne qui avait réuni quelque 80 exposants et 4 000 visiteurs, le salon de l'emploi IT LesJeudis.com ouvrira bientôt ses portes en région. Le 6 octobre prochain, recruteurs et candidats du secteur informatique se donneront rendez-vous de 10h à 18h à la médiathèque de Toulouse (Arche Marengo  1, allée Jacques Chaban Delmas) pour une journée de recrutement. Parmi les exposants, une vingtaine d'entreprises de l'ingénierie et du conseil comme Accenture, Alten ou Altran, et également des SSII comme Atos, CS, Devoteam, Dimension Data, Econocom ou encore GFI  

Les candidats (de niveau  Bac+2/3, Bac+4/5, ingénieurs en poste ou disponibles immédiatement) pourront ainsi postuler a plus de 1 000 offres concernant des ingénieurs systèmes et réseaux, des chefs de projets, des analystes fonctionnels, des consultants (ERP, BI, AMOA, etc.), des développeurs, des ingénieurs d'affaires, etc.

La manifestation devrait accueillir entre 1 000  et 2 0000 visiteurs. L'entrée est gratuite et soumise à la validation du CV.

Illustration : allées du salon  Les jeudis.com , l'année dernière à Toulouse. Crédit photo: Lesjeudis.com

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(04/10/2011 10:59:14)

OpenWorld 2011 : Oracle bâtit une solution pour traiter les Big Data

Les Big Data, avalanche de données générée par les réseaux sociaux, les capteurs mobiles, compteurs électriques et autres dispositifs ne peuvent généralement pas être traitées en l'état par les solutions de BI. Trop d'informations déversées sans discernement, mais qui peuvent receler des « pépites », expliquait Andy Mendelsohn, senior vice-président, responsable des technologies serveur d'Oracle, en introduction de son keynote au deuxième jour d'OpenWorld. Oracle n'avait jusque-là pas présenté d'offres spécifiques pour les prendre en compte. C'est chose faite sur OpenWorld 2011. Avec la « Big Data Appliance », le fournisseur combine une plateforme matérielle et un ensemble de logiciels pour acquérir les données, les organiser et les charger dans Oracle Database 11g, afin de les analyser.

Un châssis de 18 serveurs Sun X4270 M2

Cette fois, la solution ne repose pas exclusivement sur des logiciels Oracle puisqu'elle recourt, d'une part, au framework Hadoop adapté au traitement intensif de données, d'autre part au langage Open Source R, conçu pour l'analyse statistique. Oracle les associe à sa nouvelle base de données NoSQL pour gérer et subdiviser les gros volumes aux formats changeants. Une base qu'il complète de son ETL, Data Integrator for Hadoop, et de l'outil Loader for Hadoop qui permet d'utiliser MapReduce pour créer des jeux de données à charger dans la base 11g.

La partie matérielle fonctionne sous Oracle Linux et héberge une machine virtuelle Java Hotspot. Son châssis, similaire à celui de l'Exadata, loge 18 serveurs Sun X4270 M2, propose 12 coeurs Intel par noeud (216 au total), 48 Go de mémoire par noeud (soit au total 864 Go) et 24 To de stockage par noeuds (432 To). Elle s'utilise en association avec la machine Exadata et la prochaine Exalytics. L'ensemble peut gérer les donnés structurées et non structurées dans des bases SQL ou non SQL.

Surveiller les patients à distance

Pour justifier l'arrivée d'Oracle sur ce terrain où plusieurs concurrents ou partenaires ont poussé leurs pions (EMC/Greenplum, notamment, ou IBM/Netezza), Andy Mendelsohn a éclairé les champs d'applications possibles. La santé, en premier lieu : au moyen de capteurs, la surveillance à distance des patients permet de remonter des données brutes en continu, de les analyser pour déceler l'anomalie et intervenir en cas d'urgence. Les services basés sur la localisation en temps réel des personnes pour des services de recherche, ou des invites promotionnelles. Ou encore le marketing pour segmenter l'analyse des ressentis sur les réseaux sociaux.

Entre lundi et mardi, plusieurs sessions plus détaillées ont abordé l'analyse statistique avancée avec le langage R, la gestion des Big Data reposant sur Hadoop et Exadata, ou encore l'utilisation d'Hadoop avec Oracle Database 11g.

Illustration : Andy Mendelsohn, senior vice-président, responsable des technologies serveur d'Oracle, sur OpenWorld 2011 (crédit : MG).

Oracle Big Data Appliance, Exadata, Exalytics

Ci-dessus : L'utilisation de l'appliance Big Data se combine avec celle des machines Exadata et Exalytics (source : Oracle)

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(04/10/2011 10:04:15)

L'Europe vient au secours du haut débit avec une enveloppe de 6,4 milliards d'euros

S'exprimant lors de l'Etno Summit, à Bruxelles en fin de semaine dernière, Nelly Kroes vice-présidente de la Commission européenne a annoncé plusieurs mesures.  D'abord, une somme de 6,4 milliards d'euros en faveur des infrastructures, sous forme de capitaux propres ou de garanties. Ensuite, un peu moins de 3 milliards d'euros pour les services publics numériques. Nelly Kroes a mis en regard la crise actuelle et la nécessité d'investir dans le haut débit, l'impératif du court terme et celui du long terme. Selon elle, 10% de pénétration  du haut début supplémentaire entraînera une hausse du PNB en Europe comprise entre 0,9 et 1,5 %.

« À court terme, nous devons nous attaquer à la crise économique. À long terme, nous devons assurer la compétitivité de l'Europe et de préserver notre prospérité....L'Europe a besoin de concentrer ses efforts dans des secteurs qui fournissent des sources directes de la croissance, aujourd'hui et dans l'avenir. Il est clair, plus que jamais, que les technologies de l'information et de communication constituent l'un des secteurs avec le plus grand potentiel de création d'emplois, de croissance de la productivité, d'augmentation et de renforcement de notre compétitivité. »

Favoriser les services en ligne

Deuxième point, les services publics. Sur ce point, la Commission veut s'assurer que la demande est bien présente. Que le consommateur accède non seulement à des jeux en ligne, mais bien à des services de santé et d'éducation ou d'administration de banque en ligne. Plus généralement, Nelly Kroes s'engage à favoriser un marché unique du numérique, à améliorer la confiance (protection des données, sécurité des enfants, sécurité de l'Internet). Le consommateur doit pouvoir changer d'opérateur de télécoms rapidement. La Commissaire a demandé à l'Orece ce qu'il en était dans la réalité.

La Commissaire n'a pas caché que le rôle des opérateurs privés, historiques ou alternatifs, n'était pas réglé dans le développement du très haut débit. Les investissements annoncés par la Commission vont entraîner d'autres investissements des opérateurs, une fois réglées les querelles entre ces opérateurs.

Illustration principale : Nelly Kroes vice-présidente de la Commission européenne

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(04/10/2011 10:03:41)

Intel se paie un éditeur nantais CoFluent Design

Créé en 2003, l'éditeur CoFluent Design est connu pour son logiciel CoFluent Studio destiné à la modélisation et à la simulation des circuits électroniques. Il vient d'être racheté par Intel qui garde les salariés. Une histoire peu commune. CoFluent Design est en effet un essaimage de Polytech'Nantes (école d'ingénieurs de l'université de Nantes). C'est un universitaire, Jean-Paul Calvez qui a mené les recherches initiales, deux associés l'ont ensuite convaincu d'essaimer et il sont créé une entreprise.

La société a été développée dans le cadre de la technopole Atlanpole. Elle a d'abord gagné le 5ème concours national Tremplin Entreprise en 2003, puis, en 2007, a levé 2 millions d'euros auprès d'investisseurs : Emertec Gestion, BNP Paribas Private Equity et UFG Private Equity. La sortie de ces investisseurs a entraîné la vente à un partenaire industriel, Intel.

Destinée aux systèmes embarqués

La technologie de CoFluent Design est particulièrement destinée aux concepteurs de systèmes embarqués. Selon  Vincent Perrier, l'un des cofondateurs  de la société, cette technologie s'explique ainsi : « Nous développons et commercialisons des logiciels professionnels de modélisation et de simulation de systèmes électroniques (circuits, systèmes sur puce, cartes, systèmes distribués...). Aujourd'hui, vous avez de plus en plus de complexité, d'intelligence et de sous-ensembles dans une puce. Ce qui auparavant prenait la forme d'une carte associée à des composants électroniques se retrouve désormais intégré dans une seule puce. Pour créer ce type de système électronique, on a besoin de nombreux outils logiciels à différentes étapes du cycle de développement ». 

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