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(20/09/2011 16:22:24)

16 apps Android utiles aux informaticiens (1e partie)

1 - ConnectBot (gratuit)
Si vous travaillez avec des serveurs Unix ou d'autres composants réseaux supportant les connexions SSH/Telnet, vous pouvez utiliser ce client open source pour vous connecter à distance. Pas besoin d'aller sur le bureau ou d'allumer votre ordinateur portable. Vous pouvez administrer, procéder à la maintenance ou effectuer des dépannages en utilisant des lignes de commande, même si, par ailleurs, l'application supporte les connexions locales, afin de permettre l'accès à la ligne de commande de votre terminal sous Android.

ConnectBot permet de générer et d'importer des clés SSH. Vous pouvez visualiser plusieurs connexions en même temps et effectuer des copier/coller entre elles ou avec d'autres applications. L'outil conserve un historique des sessions précédentes de façon à vous éviter de saisir l'adresse de l'hôte à chaque fois. Mieux encore, vous pouvez créer des raccourcis vers des hôtes auxquels vous vous connectez fréquemment sur votre bureau Android.

https://market.android.com/details?id=org.connectbot

2 - AndFTP
(gratuit ou 5,59 dollars)

Vous pouvez utiliser ce client FTP/SFTP/FTPS pour télécharger/uploader des fichiers ou effectuer des tâches d'administration à partir de votre terminal sous Android. Celui-ci peut reprendre des tâches en cours et permet à l'administrateur d'effectuer des actions de base comme renommer, supprimer, et mettre à jour les autorisations, et exécuter des commandes personnalisées. AndFTP permet également d'envoyer des fichiers par mail, par messagerie instantanée, via Bluetooth, et d'autres applications. La version Pro apporte en plus le support pour les connexions Secure Copy Protocol (SCP) et permet la synchronisation entre dossiers distants et dossiers locaux.

https://market.android.com/details?id=lysesoft.andftppro

3 - Linux Monitor
(2,61 dollars)

Si vous travaillez avec des serveurs Linux, vous pouvez utiliser cette application simple pour surveiller à distance des éléments vitaux comme la charge de la CPU, la quantité de RAM utilisée ou l'espace disque disponible, et avoir un oeil sur l'activité du réseau et des ports, le tout à l'aide de statistiques présentées en chiffres ou sous forme de barres de progression. Même s'il est possible de surveiller plusieurs machines Linux, l'outil ne permet pas de les contrôler ou de les visualiser simultanément. Il faut modifier manuellement l'adresse de contrôle pour basculer entre elles. Par ailleurs, la ou les machines Linux distantes doivent exécuter un serveur Apache web gérant le PHP sur lequel il faut télécharger au préalable un simple script PHP (http://android.bluex.info/).

Il est possible de télécharger une version démo de l'application pour l'essayer :

(https://market.android.com/details?id=mav_xme.Linux_Monitor_Sample)

https://market.android.com/details?id=mav_xme.Linux_Monitoring

4 - Server Monitor
(gratuit)

Cette petite application de surveillance est capable de vous alerter, dans le cas où un serveur ou un port ou un composant d'un serveur tombe en panne. Cela peut s'avérer très utile si vous ne disposez pas d'un système de suivi ou d'alerte ou si vous souhaitez un peu de redondance. L'outil supporte les connexions TCP et les tunnels SSH. En ajoutant le nom d'un serveur hôte ou une adresse IP, il est ensuite possible d'étendre la surveillance à des composants spécifiques ou à des ports particuliers, y compris le SSH over SSH. Vous pouvez définir la fréquence à laquelle les demandes sont envoyées et basculer entre alertes sonores et/ou vibreur. Le service peut être configuré pour démarrer automatiquement pendant le boot ou être contrôlé manuellement.

https://market.android.com/details?id=com.odinnet.servermonitor

[[page]]

5 - httpmon
(gratuit)

httpmon est une autre appli de surveillance, spécialement conçue cette fois pour les serveurs HTTP. Celle-ci permet créer une URL de requête personnalisable pour vérifier, à l'aide de simples pings ou d'autres types de requêtes personnalisables, le code ou le temps de réponse, l'en-tête, le contenu, en utilisant des sous-chaînes, des wildcards pour la redirection d'adresse, ou des expressions régulières. L'application permet également de définir le User Agent que l'on souhaite utiliser pour toutes les requêtes, le délai avant timeout, et le timeout de lecture. En cas d'échec, httpmon peut envoyer une notification, un flash, une alerte, et faire vibrer votre téléphone et/ou envoyer des messages SMS.

https://market.android.com/details?id=org.jtb.httpmon

6 - Cellica Database pour Android
(10 jours d'essai gratuit, puis 39,99 dollars)

Si vous travaillez avec des bases de données sur un serveur Windows ou sur un PC, vous pouvez utiliser cette application pour y accéder et les gérer depuis un terminal sous Android. Une fois installé le logiciel requis sur le serveur ou sur le PC, vous aurez un accès crypté pour en modifier les champs, appliquer des fonctions particulières, des filtres, effectuer le tri, ou même créer des bases de données. Les bases de données prises en charge sont Microsoft Access, Access 2007, Microsoft Excel, Excel 2007, Oracle, SQL Server, DB2, MySQL, PostgreSQL, FoxPro, dBase, R: BASE et toute base de données ODBC Compliant.

https://market.android.com/details?id=com.DB.android.WWDBViewerPlus.WDBViewerPlus

7 - Phoenix MySQL Client
(gratuit)

Si vous souhaiter disposer d'une simple connexion aux bases de données MySQL, vous pouvez utiliser cette application gratuite pour vous y connecter directement. Vous pouvez alors en visualiser les tables, les différentes présentations et procédures. Vous pouvez effectuer des requêtes SQL et envoyer des instructions comme sélectionner, créer, insérer, etc.

https://market.android.com/details?id=com.yazan.msc

8 - Wyse PocketCloud
(gratuit ou 14,99 dollars)

Ce client Remote Desktop supporte Microsoft RDP, VNC (Virtual Network Computing), et les connexions virtuelles VMware View avec des machines Windows, Mac ou Linux par Wi-Fi et par connexions mobiles. Cet outil est compatible aussi bien avec les smartphones que les tablettes sous Android. Il peut par exemple être utilisé pour du support technique à distance ou pour accéder aux programmes ou aux fichiers de l'ordinateur distant.

En téléchargeant et en installant le logiciel client associé sur un ordinateur Windows ou Mac, celui-ci peut configurer la connexion automatiquement via un compte Google, ce qui évite de perdre du temps à configurer un routeur ou de jongler avec les adresses IP, même si la configuration manuelle de la connexion reste possible.

La version Pro supprime les publicités et ajoute d'autres fonctionnalités comme les connexions multiples, le cryptage pour sécuriser les connexions, le support audio pour RDP et le support VMware View pour accéder à des machines virtuelles.

http://market.android.com/details?id=com.wyse.pocketcloudfree


Pour consulter les huit autre apps pour Android, cliquez sur ce lien

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(20/09/2011 16:07:02)

Steve Ballmer évoque une suite Office à la mode « Metro »

Steve Ballmer, le CEO de Microsoft, a fortement laissé entendre que l'entreprise de Redmond travaillait, pour la prochaine suite Office, à une version de type Metro. « Nous réfléchissons activement à ce que cela pourrait vouloir dire de réaliser un Office de style Metro », a-t-il ainsi répondu à un analyste de Wall Street lui demandant si Microsoft étudiait cette piste.

Metro est le nom donné par Microsoft à l'interface tactile à tuiles (ou panneaux) empruntée à Windows Phone 7, l'OS pour smartphones, et à Zune, le lecteur multimédia portable de Microsoft. L'interface, c'est la première chose que voient les utilisateurs lorsqu'ils lancent Windows 8, et les applications doivent être spécialement développées pour tourner dans Metro. Un look-and-feel Metro représenterait un changement énorme au niveau du poste de travail. L'ajout d'un ruban (« ribbon ») à Office 2007 avait déclenché une avalanche de critiques. Mais, celles-ci se sont ensuite apaisées, et Microsoft a étendu son ruban à Office 2010 et Windows 7. D'autres éléments de Windows 8 seront aussi « ribbonisés », notamment le gestionnaire de fichiers du système d'exploitation.

Les applications x86 ne tourneront pas sous ARM

Selon Rob Helm, analyste chez Directions on Microsoft, un cabinet d'étude basé à Kirkland, Washington, et spécialisé dans les produits Microsoft, l'arrivée de l'interface Metro dans Office est déjà un fait accompli. « Microsoft a besoin d'une fonction mise en oeuvre dans Metro qui permet de travailler sur des documents Office sur tablettes tactiles », a t-il déclaré. « Ils ont aussi besoin d'une interface qui tourne sous ARM. » Microsoft développe actuellement une version Windows 8 compatible avec les puces ARM System-on-Chip embarquant un système complet et qui seront intégrées à des tablettes de style iPad. 

Dans la mesure où Microsoft a indiqué que l'édition de Windows 8 pour ARM ne permettrait pas d'exécuter les applications Windows existantes, cela lui laisse comme logiciels les « apps » de style Metro. Steven Sinofsky, le président de la division Windows, a réitéré cette information. « Dés les premières démos proposées au CES, et après, nous avons été très clairs sur le fait que les machines ARM ne pourront pas exécuter des applications x86 », a répété Steven Sinofsky. « Si nous avons restreint ainsi la comptabilité avec les applications x86, ou ce que nous appelons les Desktop Apps, c'est qu'il reste de véritables défis sur le plan des SoC. Par exemple, est-ce que l'autonomie de la batterie sera suffisante ? Les applications x86 ne sont pas écrites pour tourner dans un environnement contraint par une durée limitée de la vie de la batterie. »

Une « Metro-isation » qui ne tuera pas les versions desktop

Selon Rob Helm, une version Office basée sur Metro sera moins bien que la suite bureautique familière aux utilisateurs, mais mieux que l'actuelle suite en ligne Office Web Apps. « Si Microsoft sacrifie le x86 sur l'autel ARM, l'éditeur a toutefois besoin des applications Office pour permettre la visualisation des documents et un peu d'édition sur ARM », a déclaré l'analyste. « Les Office Web Apps sont parfaitement capables de répondre à ce besoin, mais ne peuvent pas être utilisées offline. » Selon Rob Helm, Microsoft va développer une édition Metro d'Office sur la base des travaux déjà réalisés pour les Office Web Apps, et utiliser les API de Windows 8 pour permettre un usage hors ligne. Mais, selon lui, cette « Metro-isation» d'Office ne va pas tuer les versions desktop de la suite. « Oui, bien sûr que la version desktop d'Office va perdurer pour les systèmes Intel », a t-il affirmé. « Microsoft ne s'éloigne pas de cet environnement. Il faut penser Office comme un outil Desktop et tablettes, avec Metro. » Selon l'analyste, la future version desktop d'Office ressemblera à Office 2010.

Microsoft n'a rien mentionné en ce qui concerne la suite à venir : ni sur le calendrier de livraison, ni sur le design, ni sur les fonctionnalités. Mais si l'entreprise est fidèle à ses calendriers précédents, la nouvelle version d'Office pourrait sortir en 2012, en même temps que Windows 8 - comme l'avait fait l'éditeur avec Office 2007 et Windows 7 - ou en 2013, trois ans après la sortie d'Office 2010.

La question de la « Metro-isation » Office n'est pas venue de nulle part. En mars, plusieurs sites Internet, dont WinRumors, ont publié de prétendues images d'Office où l'on pouvait voir des éléments de Metro dans Outlook, le client de messagerie de la suite bureautique. Mercredi dernier, au cours de la conférence Build, Steve Ballmer avait déclaré que Microsoft donnerait plus d'informations sur un Office à base de Metro, seulement quand la suite serait prête. «Dès que nous aurons quelque chose à dire, nous le ferons », a déclaré le CEO.

Illustration : Steve Ballmer, PDG de Microsoft, sur la conférence Build Windows il y a quelques jours (crédit : Microsoft)

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(20/09/2011 11:48:43)

Samsung prêt à bloquer la vente de l'iPhone 5

Selon le Korean Times, Samsung Electronics semble bien décidé à bloquer le lancement de l'iPhone 5 avec des assauts juridiques en cours de rédaction. Le journal coréen affirme que Samsung Electronics cherche à obtenir une interdiction complète de la vente de l'iPhone 5 à venir en Corée [ il est attendu le 5 octobre en Europe]. Le mouvement a été clairement pensé comme une représaille aux nombreux procès liés aux brevets impliquant les deux sociétés dans plusieurs pays dans le monde. A ce jour, des poursuites judiciaires sont cours dans 23 pays différents, notamment au sujet des brevets détenus par Apple que Samsung aurait allègrement violé en commercialisation sa tablette Galaxy Tab 10.1, animée par Google Android. Le constructeur californien accuse en effet le coréen d'avoir simplement copier le design et l'interface graphique de sa tablette sans apporter de valeur ajoutée. Microsoft a bien compris le danger et propose un bureau original avec ses premières tablettes Windows 8 équipées de l'interface Metro.

La guerre des brevets va se poursuivre partout dans le monde

Samsung prépare donc une contre-attaque soigneusement planifiée en Corée du Sud dès que l'iPhone 5 pointera le bout de son nez sur le marché. "Tant qu'Apple ne réduira pas les fonctions de télécommunications mobiles, il lui sera impossible de vendre ses produits de la marque « i » en utilisant nos brevets. Nous maintiendrons une position ferme contre Apple suite à ses combats juridiques persistants » a indiqué au journal coréen un dirigeant de Samsung qui a préféré rester anonyme.

Le constructeur coréen a également décidé de faire appel de certaines décisions bloquant la commercialisation de sa tablette 10,1 pouces en Allemagne et poursuit Apple en France et en Australie pour violation de ses brevets UMTS/3G. Après la Corée, la bataille à venir sur l'iPhone pourrait toucher l'Europe et l'Amérique du Nord, les principaux marchés d'Apple.

Crédit photo D.R. : illustration non contractuelle

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(20/09/2011 11:17:57)

Semestriels Acteos : Retour à la rentabilité

L'éditeur français de supply chain, Acteos, est en pleine transformation. A l'occasion de la publication des résultats semestriels, son PDGg et fondateur Joseph Felfeli, précise ses intentions. Elles sont basées sur les bons résultats des derniers mois. L'entreprise a traversé une forte crise en 2008. Depuis, elle a mis en place de quoi retrouver une croissance à deux chiffres, que ce soit pour le chiffre d'affaires ou bien pour la rentabilité.

Le 1er semestre 2011 s'est ainsi conclu par un CA de 5,8 ME, en progression de 32%, par rapport au même semestre d'il y a un an. La marge brute se monte à 4,4 ME en progression de 18%. Le résultat opérationnel est légèrement bénéficiaire avec 0,4 ME, représentant 7,3% du CA, il était négatif un an auparavant. Le résultat net part du groupe représente 0,5 ME soit 8% du CA.

Le retour à la rentabilité est atteint

« Notre premier objectif, le retour à la rentabilité est atteint, c'est le résultat notable de ce premier semestre » souligne Joseph Felfeli.  Acteos entend garder des progressions à deux chiffres et une forte croissance organique. Cela ne suffira pas à atteindre l'objectif de 50ME de CA en 2014. Joseph Felfeli nous explique compter sur l'innovation qui « encore et toujours guide notre croissance ». Ensuite, il va procéder à des acquisitions.

Enfin, la société change son mode de distribution. Elle compte historiquement deux activités, une d'éditeur et une d'intégrateur. La première sur le soft, la seconde sur le hard. Cette deuxième partie sera exercée par des partenaires. Le processus est lancé en Amérique du nord et va l'être en Europe avec de grands partenaires SSII.

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(20/09/2011 11:14:52)

Les ERP doivent améliorer leur richesse fonctionnelle

Les solutions de gestion intégrées seraient elle en retard sur leur époque ? C'est en tous cas ce que suggère une étude de Markess International publiée en préalable à la tenue du salon ERP des 4 aux 6 octobres prochain à Paris La Défense. En effet, 90% des décideurs interrogés pas le cabinet d'études estiment que les solutions de gestion intégrées qu'ils utilisent doivent évoluer pour intégrer à leur périphérie des fonctionnalités additionnelles : reporting et tableaux de bord, dématérialisation des documents sortants, signature électronique, archivage électronique, gestion des processus...

Pour autant, signale Markess, l'intérêt des décideurs pour les solutions de gestion intégrées perdure. La plupart du temps, ils concentrent l'usage de ce type de progiciels sur la gestion des processus comptables et financiers, d'achat, de gestion commerciale et de gestion de la chaîne logistique. En France, selon Markess, 34% des entreprises de plus de 50 salariés ont recours à ce type de solution. Elles devraient être 38% en 2013. La progression devrait être particulièrement sensible sur les segments des Entreprises de taille intermédiaire (de 57% en 2011 à 60% en 2013) et des PME (de 25% en 2011 à 29% en 2013).

Crédit photo : D.R. (...)

(20/09/2011 10:42:45)

Pour son workflow, Valeo passe aussi dans le cloud

Equipementier pour le secteur automobile, Valeo dispose de 200 entités réparties dans 28 pays. Il regroupe 30 000 utilisateurs de la bureautique en ligne dans le cloud de Google, les Apps Entreprise, ce qui en fait l'un des principaux utilisateurs de cette bureautique dans le monde.

Pour mieux intégrer cette bureautique en ligne avec ses applicatifs métiers mais aussi se doter d'un outil de workflow, Valeo vient de décider de s'équiper de Cordys Process Factory. Cette PaaS est dédiée à la création d'outils métiers dans le cloud, notamment des workflow. L'un des usages majeurs classiques de Cordys Process Factory est de remplacer des outils développés sur des applications comme IBM Lotus Notes. L'intégration a été confiée à Capgemini.

« En ligne avec notre stratégie bureautique "Cloud" lancée avec l'introduction des Google Apps Entreprise, nous avons sélectionné Cordys pour fournir une solution cloud de workflow et des applications composites. L'objectif est d'optimiser nos processus administratifs pour pouvoir nous concentrer sur les activités à valeur ajoutée », explique Beate Lippold, Responsable de Communication à la Direction des Systèmes d'information Bureautiques de Valeo. Le coût prévu de ce projet n'a pas été dévoilé.

Crédit photo D.R. (phare auto Valeo pour série 1) (...)

(20/09/2011 09:22:46)

Témoignage : Pour simplifier son CRM, RTL TV passe à Salesforce.com

Directeur informatique de la chaine RTL TV aux Pays-Bas, Eric Ten Hoopen était confronté à la sous-utilisation des outils de CRM par les cadres commerciaux et la direction des programmes. « L'interfaçage et la synchronisation avec Outlook étaient par exemple difficiles. Il y a deux ans, j'ai décidé qu'il fallait changer tout cela, car cela ne fonctionnait pas. » Le responsable des systèmes d'information de la chaine a donc pris son bâton de pèlerin pour rencontrer les principaux éditeurs du marché. « Microsoft est venu nous montrer Dynamics CRM. Nous n'avons pas considéré les solutions d'Oracle, car cela ne correspondait pas à notre infrastructure. Et nous somme allés voir Salesforce.com, car le cloud nous semblait une voie intéressante et c'est un bon outil CRM pour les utilisateurs. Nous avons regardé la technologie et le cloud était une bonne chose. Enfin le budget du projet était maitrisé ».

Selon Eric Ten Hoopen, Salesforce se distingue par sa grande souplesse. « Il était possible d'adapter l'outil à nos usages. Nous avons donc créé des objets correspond spécialement à notre projet, ce qui aurait été beaucoup plus difficile avec Dynamics CRM ». Parmi les besoins spécifiques à RTL TV, citons la gestion de la relation client, la vente de spots publicitaires et de bannières Internet, les placements de produits et le suivi des événements. »

Une centaine d'utilisateurs concernés

Ce projet concerne une centaine d'utilisateurs et pas seulement les forces commerciales. Il était important que les services puissent communiquer entre eux notamment les commerciaux et les responsables produits. « On peut dire qu'il s'agit d'une sorte de système de gestion de la connaissance pour notre entreprise ».

La mise en place de cet outil CRM a nécessité un an avec un partenaire, notamment pour la personnalisation des champs et la programmation des objets. « Lors de la création d'un projet d'émission TV, on a besoin de savoir s'il y a de réelles opportunités commerciales. Les services financiers avaient besoin de ces rapports» . Après de nombreuses discussions avec les différentes équipes concernées par le projet, un cahier des charges a été établi pour préciser ce que devrait apporter l'application CRM. « Une fois la solution mise en place, les utilisateurs se sont aperçus qu'ils avaient demandé trop de choses. La seconde étape a donc consisté à rationaliser l'outil. » Le budget d'intégration (développement et customisation) a été de 200 000 euros environ, mais Eric Ten Hoopen se refuse à communiquer le montant acquitté auprès de SalesForce.com, se retranchant habilement derrière l'habituel secret des négociations.

Le responsable informatique se dit aujourd'hui satisfait de cette solution SaaS. « Même si cela semble plus cher sur 1 ou 2 ans, ce sera moins onéreux à long terme, car avec ce modèle cloud il n'est pas nécessaire de supporter le coût de l'infrastructure. Je ne pense pas que le cloud soit moins cher, mais c'est plus facile et plus fiable. » Interrogé sur le support de SalesForce, le DSI répond que « c'est étrange, mais nous n'avons pas de problèmes. Sur le cloud, votre fournisseur trouve généralement le problème avant vous ».

Certains services restent sur des solutions classiques

Si Eric Ten Hooper s'est laissé tenté par le cloud pour son CRM, il n'en va de même pour certains services comme la facturation qui repose toujours sur une application SAP. « Je ne suis pas encore prêt à prendre Salesforce pour ce type d'activité. » Même prudence du côté des réseaux sociaux, mais pour une autre raison. « Chatter me rappelle GoogleVoice, pourquoi est-ce aussi difficile à utiliser ? C'est un outil qui pourrait être intéressant, mais on reçoit trop d'informations et de flux ».

Pour revenir au CRM, le responsable IT étudie attentivement l'usage de Salesforce sur iPad. « Beaucoup sont emballés par le couplage Salesforce/iPad. Il est vrai qu'il est toujours difficile d'utiliser des outils CRM mais avec une tablette, cela semble plus simple. »

Illustration principale : Eric Ten Hoopen, directeur informatique de la chaine RTL TV

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(20/09/2011 07:57:40)

Canon ouvre sa plate-forme d'impression aux terminaux mobiles

Canon a annoncé le lancement de la dernière version de sa plateforme UniFlow une solution de gestion intégrée de l'impression et de la numérisation multiplateforme incluant les terminaux mobiles de type smartphone et tablette tactile. «Des études récentes ont montré que plus de la moitié des employés qui utilisent un smartphone voudraient imprimer à partir de leur appareils mais ne le peuvent pas», a déclaré Paul Rowntree, Product Marketing Director chez Canon Europe. «Avec Uniflow 5.1, les entreprises pourront offrir à leurs employés un environnement de travail flexible qui comprend l'impression mobile.» La solution, disponible en octobre 2011, permettra aux entreprises d'imprimer de manière sécurisée en dehors du réseau interne. En effet, des fonctions de sécurité telles que les tirages sécurisés et l'authentification de l'utilisateur, ainsi que le monitorage du système et le suivi des coûts sur des systèmes multifonctions (MFD) Canon ou d'autres fabricants peuvent être mis en oeuvre.

Uniflow 5.1 permet l'enregistrement d'un travail d'impression via un e-mail ou le navigateur Web sans avoir à installer de pilote. Par ailleurs, il est également possible de télécharger et d'impression des documents à partir GoogleDocs, SharePoint Online, ou tout autre site ftp via un lien.

ICTJournal.ch (...)

(20/09/2011 07:57:46)

Microsoft pousse XP vers la sortie

Le COO de Microsoft, Kevin Turner, a profité de la conférence Build à Anaheim, en Californie, pour recommander aux entreprises qui tournent encore sous Windows XP de passer vers un système d'exploitation Microsoft plus récent. Mais alors que Microsoft va prochainement stopper ses opérations de support pour Windows XP, de nombreuses entreprises tournent encore avec le système d'exploitation que Microsoft qualifie d'«obsolète». Selon Kevin Turner, Windows XP a été un très bon système d'exploitation pendant une période, cependant il existe aujourd'hui de nouveaux systèmes d'exploitation, tels que Windows 7, qui comportent encore plus d'avantages pour les entreprises que Windows. Pour mémoire, l'entreprise de monitoring Net Applications a publié en août la part de marché de Windows XP, qui reste 10 ans après son lancement supérieure à 50%, malgré une baisse ses derniers mois.

Et afin que les utilisateurs de Windows XP n'oublient pas à quelle date leur support fermera, Microsoft a mis en place un gadget, qui présente l'échéance sous forme de compte à rebours. La mini-application gratuite affiche le nombre de jours restants jusqu'à la fin du support - aujourd'hui il reste encore 932 jours.

ICTJournal.ch (...)

(20/09/2011 07:57:55)

Google se paye DailyDeal pour concurrencer Groupon

Créé en décembre 2009 en tant que copie de l'américain Groupon, la start-up allemande DailyDeal a été reprise par le géant de la recherche Google. La société prévoit notamment la création de filiales en Autriche et en Suisse. DailyDeal sera maintenant soumise au marché international - même au-delà du marché germanophone - au côté de la division de Google qui a travaillé sur le produit Google Offers. Les fondateurs Fabian et Ferry Heilemann restent à bord et continueront à développer l'entreprise, selon le site Faz.net.

Pour le deuxième trimestre de son exercice, Daily Deal a vendu pour un montant de 22,8 millions d'euros de coupons et a récemment levé plus de 10 millions de dollars auprès de fonds d'investissement et de business angels tels que Stefan Glänzer (un des investisseurs de Last.fm), Michael Brehm (Ex-StudiVZ) et Jochen Maass. «Le dernier trimestre est sans aucun doute le plus réussie de notre histoire. Nous avons vendu au cours des trois derniers mois, presque autant de bons que dans durant toute l'année 2010», a déclaré Fabian Heilemann, fondateur et PDG de Daily Deal.

En novembre 2010, Google avait déjà tenté en vain de se lancer sur le marché du couponing en proposant 6 milliards pour racheter Groupon. Mais les fondateurs de la startup avaient refusé cette offre. De son côté, Groupon lui-même avait d'abord regardé à racheter DailyDeal avant d'opter pour son clone, Citydeal.

ICTJournal.ch

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