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(25/05/2011 14:38:52)

Cray intègre GPU/CPU dans ses supercalculateurs

Le Cray XK6, qui vient d'être présenté, montre un environnement de programmation reposant sur une combinaison x86/GPU (processeur classique/graphique). « L'intégration des GPU avec nos systèmes provient de la demande des clients » précise Barry Gras, vice-président des produits Cray. Il a admis que l'entreprise n'a pas été la première à intégrer ces capacités - IBM a longtemps utilisé cette technologie pour ses propres systèmes - mais ce procédé est le plus à même et le moins coûteux pour proposer des capacités de calcul en exascale. Le modèle actuel XK6 prépare le terrain pour ce type de calcul souligne le dirigeant.

Les GPU ne sont pas destinés pour le rendu des graphiques sur l'écran, mais sont utilisés pour le traitement des grands volumes de données. En étant spécialisé, ils sont plus rapides et plus efficaces que les puces x86.

Arriver à 50 petaflops


Les équipements présentés comprendront des GPU Nvidia Tesla 20, ainsi que des processeurs AMD Opteron Série 6200 (nom de code «Interlagos») et le système d'interconnexion Gemini de Cray. Le constructeur indique qu'il peut assembler des machines XK6  jusqu'à une puissance de traitement de 50 petaflops (à titre de comparaison, les équipements en tête du classement des supercalculateurs sont capables de traiter chacun entre 2,4 et 2,5 petaflops).

La société a également annoncé le premier client de XK6, le centre de supercalcul à Manno en Suisse. Il va moderniser son système Cray XE6m, appelé « Piz Palu » vers une configuration XK6. Le centre utilise le supercalculateur dans plusieurs domaines comme les prévisions climatiques.
Les clients disposant de systèmes XT4, XT5, XT6 ou XE6 pourront migrer vers XK6 en remplaçant les lames actuelles par des modules XK6.

(...)

(25/05/2011 14:33:01)

Avec AppUp, Intel veut proposer des services de cloud hybride aux PME

Intel vient d'annoncer une offre un peu différente de ce qu'il propose habituellement. Avec sa solution packagée AppUp Small Business Service, il espère faciliter l'accès à un nouveau type de service cloud. Celui-ci vise des PME souhaitant réduire leurs coûts informatiques en migrant vers le cloud, mais encore réticentes à le faire pour des problématiques de sécurité. AppUp leur permettra en effet d'exploiter des applications hébergées sur des serveurs installés en interne tout en étant facturées à l'usage et en restant déchargées de la gestion du matériel. Cette prestation va être commercialisée par des distributeurs ou des intégrateurs qui vendront aux entreprises l'accès à des logiciels sur la base d'un abonnement mensuel par utilisateur.

Le service AppUp repose sur l'environnement Hybrid Cloud d'Intel qui a été présenté l'an dernier comme une plateforme pouvant être utilisée par des intégrateurs pour distribuer des services hybrides. Il rassemble des serveurs, un éventail d'applications, ainsi que les logiciels d'Intel pour gérer et pouvoir suivre la « consommation » des logiciels afin de pouvoir la facturer.

Lancée en Amérique du Nord et en Inde

Pour l'instant, Intel limite cette offre aux fournisseurs de services évoluant sur deux zones géographiques : l'Amérique du Nord et l'Inde. Dans un premier temps, le package AppUp s'appuie sur le serveur ThinkServer TS200v. D'autres serveurs s'y ajouteront par la suite, fournis par Acer, NEC et d'autres. Par l'intermédiaire du founisseur de services, les enterprises pourront sélectionner des logiciels provenant des catalogues d'une dizaine d'éditeurs : Microsoft, Tally, Intuit, GFI Software, Astaro, gloStream, Level Platforms, SIOS et Vembu. Intel indique que d'autres éditeurs s'y joindront bientôt : Allscripts, Apani, Asigra, ClearCenter, Coversant, Critical Links, Elina Networks, Ensim, eTurns, Fonality, KineticD, Lumension, McAfee, Novell, Pragma Systems, StorageCraft, Symantec and WorkSpace Communications.

Les clients paieront donc pour une utilisation mensuelle du logiciel et le prix du serveur pourra, soit être inclus dans cet abonnement, soit être facturé séparément. Intel n'a fourni aucune indication de prix. Celui-ci différera probablement en fonction des applications utilisées et des services apportés par l'intégrateur.

Charles King, analyste du cabinet Pund-It, souligne qu'AppUp constitue un nouveau modèle économique pour Intel. Certes, il fabrique des processeurs pour serveurs, mais ici, il sert aussi d'intermédiaire entre les vendeurs de serveurs et les fournisseurs de services. « Cela ne me surprendrait pas de le voir prendre d'autres initiatives de cette nature à l'avenir », a-t-il confié à nos confrères d'IDG News Service.

Illustration : crédit Intel / LMI

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(25/05/2011 12:36:36)

Apple propose un guide avant une mise à jour pour combattre Mac Defender

Alors qu'Apple s'est fait épingler par une note demandant aux responsables maintenance de la firme de ne pas aider les utilisateurs Mac victimes du faux antivirus, Mac Defender, le groupe vient de publier un guide intitulé «Comment éviter ou supprimer le logiciel malveillant Mac Defender ». Dans cette note, Apple précise que la société prévoit de sortir une mise à jour logicielle pour Mac OS X qui va automatiquement rechercher et détruire Mac Defender (ou une de ses variantes).

Dans le guide, la firme de Cupertino donne une série d'instructions étape par étape pour les utilisateurs qui veulent éviter d'installer les logiciels malveillants ainsi que ceux qui les ont accidentellement installés. L'ensemble des instructions est disponible sur l'article HT4650 de sa base de connaissance.

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(25/05/2011 11:59:55)

La base de données d'Oracle disponible sur le cloud d'Amazon

L'annonce avait été faite au mois de février dernier, mais il fallait attendre le deuxième trimestre pour officialiser la disponibilité du service, les tarifs et les conditions d'utilisation. Sur ces dernières, les clients ont le choix entre une option «licence incluse» et une option « licence fournie par le client » (BYOL - bring your own license). Les tarifs de base sont de 0,16 dollars de l'heure pour la première option et de 0,11 dollars de l'heure pour la seconde, selon Amazon. Seule la version Oracle Standard Edition One, une version limitée en fonctionnalités de la base de données d'Oracle, est disponible avec l'option « licence incluse ».

Les clients souhaitant utiliser la version Standard Edition ou la version Enterprise Edition, produit phare de l'éditeur, doivent fournir leurs propres licences, celles dont ils disposent déjà ou celles nouvellement acquises auprès d'Oracle. Les licences d'Oracle Enterprise Edition coûtent 47.500 dollars contre 17.500 dollars pour l'édition Standard. Ces prix affichés ne prennent pas en compte les remises octroyées. La version Enterprise Edition comprend un large éventail d'options, facturées séparément, comme Data Guard, Real Application Clusters et Advanced Compression.

Amazon propose cinq classes d'instance de base de données, dont les prix sont fonction de la quantité de mémoire et de la puissance de traitement allouées. Des frais s'appliquent également pour le stockage et le transfert de données. Il est possible de réduire ces coûts en achetant des instances de base de données réservées, et en s'engageant sur des périodes de un ou trois ans, comme l'a rappelé Amazon. Les clients paient d'avance et bénéficient, en retour, de rabais sur le tarif horaire. Les configurations sont déterminées automatiquement par le système d'Amazon, ce si bien que les clients pourraient être en mesure de connecter leurs applications à une instance de base de données Oracle en « quelques minutes ».

Monitoring et intérêt pour les développeurs

Le service comprend aussi le système de gestion CloudWatch d'Amazon, sans coût supplémentaire, qui permet aux clients de surveiller quelle capacité de stockage et quelle quantité de mémoire ils utilisent. Le système prendra automatiquement en charge l'application des correctifs aux bases de données, mais les clients pourront, s'ils le souhaitent, garder le contrôle du calendrier des mises à jour. Les sauvegardes automatiques sont activées par défaut, et les utilisateurs peuvent prendre des instantanés de leur base de données à tout moment, a ajouté Amazon. « La réplication de base de données, essentielle pour la tolérance aux pannes, n'est pas encore disponible pour Oracle sur Amazon, mais sera ajoutée à un moment ou un autre, » a précisé Amazon. Selon Curt Monash, analyste chez Monash Research « cette fonction n'est généralement pas utile en production, » comme il l'écrit sur son blog.

Mais il pourrait y avoir des exceptions, comme avec les applications à courte durée de vie et destinées à un projet spécifique, ou bien lorsque « l'application est assez petite, ou la situation suffisamment désespérée, afin de compenser les inefficacités par la commodité, » écrit-il. « Il y a là un appel clair à exécuter Oracle sur Amazon, en mode de non-production, » a t-il ajouté. D'une part, « la mise en route rapide d'une instance cloud peut avoir beaucoup d'intérêt pour un développeur, » écrit-il. « La même démarche se justifie si vous voulez vendre une application basée sur Oracle et si vous souhaitez proposer une version test ou la mettre en démonstration. En tous cas, c'est ce que l'on peut observer en général quand un logiciel sur site est proposé dans le Cloud», fait remarquer l'analyste.

« Ces observations sont renforcées par le fait que le seul logiciel d'Oracle qu'Amazon peut effectivement licencier, c'est l'édition bas de gamme. » Ceci étant, « un logiciel aussi cher que Oracle Enterprise Edition peut ne pas être adapté au mode de tarification d'Amazon, » a déclaré Curt Monash dans une interview. « Je ne pense pas que beaucoup de clients souhaiteraient faire tourner Oracle Enterprise Edition dans le cloud, de toute façon, » a t-il ajouté. « Celui qui dispose de l'Entreprise Edition préfèrera au contraire en renforcer l'administration pour optimiser ses performances. » (...)

(25/05/2011 11:43:14)

Effitic muscle son offre de formation continue

La société de services informatiques Effitic a décidé de miser sur la formation continue pour développer et renforcer les compétences de ses 530 collaborateurs. Cette volonté s'est traduite par la création, en partenariat avec l'Esgi (Ecole supérieure de génie informatique) de l'Academy, une école dédiée aux métiers de l'IT et aux technologies. Créée l'an dernier, celle-ci propose un catalogue de plus de 90 formations pour les ingénieurs et techniciens d'Effitic, mais également pour ceux de ses clients. « Grâce à cette initiative, les salariés possèdent des compétences toujours en adéquation avec les besoins du marché et même en avance sur certains sujets comme les méthodes de gestion de projet », a commenté Laurent Bourgoin, DRH d'Effitic, dans un communiqué.

Un catalogue sur la technique, l'autre sur le management

Durant la seule année 2010, plus de 40 % des salariés ont suivi au moins une formation. Le programme a également réuni plus de 300 stagiaires. Deux catalogues (technique et management) sont à la disposition des salariés. Ils comprennent différents types de formations : management du SI, gestion de projet MOA, développement logiciel, SGBD/décisionnel, Internet, XML, SOA, pour la partie IT  Des cours sont également consacrés au management d'équipes, au développement personnel et à la fonction commerciale. Ils peuvent s'étaler sur quelques jours pour la mise à niveau d'une compétence technique, à 25 jours pour des cursus plus complets. Les contenus sont enrichis en permanence pour proposer chaque mois des cours  en adéquation avec les demandes des salariés (comme Google Web Toolkit) ou des clients (développement sous Android ou de méthodologie Scrum).

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(25/05/2011 10:43:07)

L'affaire DSK dope la consommation de vidéos en ligne

D'après une étude Médiamétrie-eStat, la consommation de vidéos en différé et en lien avec l'affaire sur les sites des chaînes de télévision a progressé en moyenne de 105,8% du 15 au 19 mai dernier. Le visionnage de vidéos ou programmes en différé sur les sites Internet de chaînes de télévision a connu un pic lundi 16 mai, au lendemain de l'arrestation de DSK, avec un bond de 148% comparé à la semaine précédente. L'attention a été soutenue le 17 mai (+132%) avant de se tasser légèrement les 18 et 19 mai avec des hausses respectives de 74% et 87%.

Sur cette même période et sur ces mêmes sites, la consommation de vidéo en streaming a connu une croissance moyenne de 72,2%. Les sites de radios ont aussi rencontré les faveurs des internautes français avec une progression moyenne de 76%.

Opérateur de mesure des contenus numériques, Médiamétrie-eStat a étudié les sites des chaînes Arte, du groupe France Télévisions, i>Télé, M6, Public Sénat et TF1. Les sites des radios Europe 1, du groupe Radio France et RTL ont aussi été scrutés, du 15 au 19 mai.

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(25/05/2011 10:20:32)

Le MDM en mode projet et maturité, selon Business & Décisions

« Il y a deux ans, on y songeait ; l'année dernière, les pionniers commençaient à parler de retours concrets mais encore expérimentaux et limités ; cette année, on peut parler de projets de MDM [Master Data Management, gestion des données de référence, NDLR] très avancés et globaux dans les entreprises » s'est réjoui Jean-Michel Franco, directeur des solutions de Business & Décision. Il s'exprimait dans le cadre de la Matinale du MDM, organisée par la SSII le 24 mai 2011.

Pour Jean-Michel Franco, les données ont, pour les entreprises un double visage, à la manière du Dr Jekyll et de M. Hyde. Si elles permettent une meilleure connaissance du client ou une saine gestion optimisée, elles forment aussi un déluge ni toujours cohérent, ni toujours maîtrisé, ni même sécurisé, à la merci de fuites ou de piratages (comme dans les récentes affaires Sony ou Wikileaks).

Un pilotage métier indispensable


La gestion des données de référence, selon Business & Décision, implique une modélisation des données, une analyse en continu de celles-ci, la mise en oeuvre d'une gouvernance des données (qui fait quoi avec quelles données?), une intégration des données entre elles afin de les mettre en cohérence et enfin une véritable direction de projet. Jean-Michel Franco avertit : « il faut un pilotage métier à la création du modèle de données afin de répondre à un besoin du métier et pas à une problématique technique. Un pilotage par la DSI aboutit toujours à un échec. » Les producteurs de données ont en effet alors tendance à ne plus s'impliquer et à ne pas construire les données comme attendu.

Un projet de mise en oeuvre de MDM dans une banque internationale a ainsi été lié à une gestion du risque client dans le cadre d'une mise en conformité avec les accords Bâle II. La croissance de la qualité des données liée à leur saine gestion a ainsi permis de mieux mesurer le risque client et d'optimiser les réserves de capitaux. Trop souvent, la SSII Business & Décision aurait été appelée en pompier face à de sérieux problèmes de qualité des données avec des impacts sur les métiers. La durée moyenne d'un projet de MDM est de l'ordre de un an selon Business & Décision. Cette période se décompose en six mois de discussions pour calibrer le modèle de données, trois mois pour le mettre ne oeuvre techniquement et trois mois pour le tester et le facturer.

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« Mais le MDM ne doit pas être vu comme comme un projet ponctuel ou comme la mise en place d'un produit : c'est une démarche qui doit être maintenue de manière constante pour tous les types de données (personnes, choses, lieux...) » milite Jean-Michel Franco.

La distribution en pionnier

Les mises en place de cette démarche ont été beaucoup constatées dans la distribution, comme avec Boulanger et Truffaut. Les premiers projets ont en effet beaucoup concerné l'unification des données au travers des différents canaux, à commencer par les produits, comme chez Boulanger, mais aussi, de plus en plus, en se penchant sur les données clients. La fameuse vision « à 360° » du client, totalement unifiée, est souvent galvaudée : il arrive que, soudain, on se rende compte que le service après-vente n'a pas été inclus dans cette vision soi-disant globale. Des projets globaux de gouvernance des données commencent aussi à apparaître dans ce secteur. « Un projet de MDM, c'est avant tout du décloisonnement » résume Jean-Michel Franco.

La distribution ne se limite pas à des magasins. RTE est ainsi une filiale d'EDF spécialisée dans le transport et de distribution d'énergie entre producteurs et consommateurs. Pour accomplir ses missions, RTE doit maîtriser les données de consommation et de production d'énergie. Au-delà de l'équilibrage instantané, il faut en effet disposer de données pour des analyses qui permettront de définir les tarifs. Ajoutons que les compteurs intelligents vont faire exploser les volumes et la richesse des données disponibles. RTE a donc construit un référentiel client unique qui alimente tous les logiciels en ayant besoin. Il n'y a ainsi plus de ressaisies et d'erreurs de réconciliations entre fichiers où les identifiants étaient différents. RTE a débuté son projet en janvier 2011 et sa phase de développement a duré quatre mois. La mise en production est prévue à la rentrée 2011.

Une offre pléthorique et diverse


Jean-Michel Franco indique que, pour répondre aux besoins des entreprises, il existe de nombreuses solutions. Mais, même s'il existe des pure players, la plupart des acteurs actuels ont en fait acquis des fournisseurs plus petits leur permettant de mettre pied dans le MDM mais sans pour autant perdre leur approche historique. Ainsi, certains acteurs partent de la gestion de processus (SAP, Oracle...). D'autres ont débuté dans le décisionnel (Informatica, SAS...). Middleware et synchronisation des données ont fourni une autre famille (avec Tibco, IBM...). Enfin, certains acteurs ont une approche de rupture, originale, comme Exalead qui provient du moteur de recherche.

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(25/05/2011 09:55:30)

IT Broker inaugure son site de vente de matériel informatique d'occasion

Pclowcost.fr, c'est le nom du site, propose notamment des PC, des serveurs, des moniteurs et des imprimantes aux entreprises comme aux particuliers. « Les machines sont facturées entre 20 et 35% de leur prix neuf », précise François Mingoia, le PDG du Groupe Activium, la maison mère d'IT Broker. Et pour ses revendeurs, le broker a également créé un espace privé où ils peuvent réaliser des achats avec une grille tarifaire spécifique.

IT Broker vise 2 M€ de CA d'ici trois ans

Mais cette politique de distribution mixte ne risque-t-elle pas de mettre à mal les relations entre le fournisseur et ses partenaires ? « Absolument pas, juge François Mingoia. Le marché du matériel d'occasion est suffisamment vaste pour laisser de la place à tout le monde ». Le dirigeant en veut pour preuve que sa société qui enregistre une croissance forte devrait réaliser entre 700 et 800 K€ de chiffre d'affaires cette année et parvenir à 2 M€ en 2013. Des revenus qui devraient être atteints en partie grâce au lancement de la boutique en ligne. D'après IT Brokers, elle générera au moins 150 K€ de facturations lors de sa première année d'activité.

Pour IT Broker, être présent sur le web n'était pas une fin en soit. Le but initial de l'entreprise était de toucher une clientèle autre que celle des revendeurs spécialisés. Livrés par palette, ces derniers sont adressés par la force de vente sédentaire du broker. « Mais le modèle du broke ne permet pas de dédier des commerciaux aux clients finaux puisque ceux-ci vont souvent acheter à l'unité des produits dont les prix sont bas par définition», explique François Mingoia. D'où le recours au web qui n'est toutefois pas sans coût dès lors que l'on souhaite promouvoir un site. (...)

(25/05/2011 09:45:23)

Le marché des commutateurs Ethernet faiblit au 1er trimestre 2011 selon IDC

L'année 2010 a pourtant été solide sur le marché Ethernet. Le 1er trimestre 2011 marque le pas.  « C'est un peu  une surprise cette baisse après plusieurs trimestres de croissance supérieure à 30% », commente Rohit Mehra, directeur, communications d'entreprise Infrastructure chez IDC. « Alors que nous nous attendions à une croissance modérée en 2011, la baisse de 9,1% d'une année sur l'autre, celle de 12,5% par rapport au trimestre précédent a tout gâché. Ce fut un trimestre difficile pour la plupart des acteurs du marché. »

Inversement, le marché mondial des routeurs se porte un peu mieux sur ce 1er trimestre avec une croissance de 6,9% (par rapport au même trimestre de l'année précédente). Mais ce marché enregistre une baisse séquentielle de 11,9% par rapport aux trois mois précédents.

Certains segments sont encourageants

En fait, « certains segments continuent de montrer une certaine force et c'est encourageant », remarque Cindy Borovick, vice-président, communications d'entreprise Infrastructure et des réseaux de centres de données chez IDC. Les recettes des commutateurs 10 GbE ont augmenté de 15,9%, par rapport au même trimestre de l'année précédent, en raison de leur adoption continue dans les datacenters. Les livraisons de ports 10GbE ont augmenté à un rythme encore plus rapide, pour atteindre 1,35 millions de ports sur le trimestre, bien que les prix du port aient diminué de 20% par rapport au trimestre précédent ».

« Dans l'ensemble du marché de la commutation Ethernet, la part du Gigabit Ethernet (GbE) a diminué de 12,8% en glissement sur douze mois, en dépit d'une augmentation de 11,8% en livraisons de ports », souligne Petr Jirovsky, analyste de recherche principal en IDC Enterprise Communications Infrastructure Group. « Ethernet Gigabit détient maintenant une part de 60,9% sur l'ensemble du marché de commutation de couche 2 / 3, tandis que Fast Ethernet a une part de 11,4%, en déclin continu. » (...)

(25/05/2011 09:59:50)

Additeam mise sur le poker pour recruter

La SSII française Additeam (1 500 collaborateurs) a choisi d'organiser une journée axée sur le thème du poker pour accompagner le développement de ses activités sur l'Ile-de-France. Le groupe souhaite en effet attirer une soixantaine d'ingénieurs autour d'un tournoi qui aura lieu le vendredi 17 juin 2011, à l'Appart Lafayette, un lieu de réception situé 12, rue La Fayette dans le 9ème arrondissement de Paris. Ce jeu qui allie maîtrise de soi et analyse de l'adversaire, permettra au groupe d'évaluer les qualités relationnelles des candidats, leur gestion du stress mais aussi leur sens de l'anticipation. A partir d'aujourd'hui et jusqu'au 5 juin à minuit, les informaticiens (seule condition requise pour tenter sa chance) sont invités à s'inscrire en ligne en envoyant leurs CV à soireepoker@additeam.com.

Limitation à 40 participants

Les profils attendus seront des jeunes diplômés (d'écoles d'ingénieurs ou Miage), ainsi que des candidats  expérimentés dans les métiers des études et du développement (NTIC, informatique décisionnelle, mainframe), de l'assistance à la maîtrise d'ouvrage (AMOA) ou de la gestion des infrastructures.

Le tournoi étant limité à 40 participants, le groupe recommande aux candidats de s'inscrire rapidement, la sélection étant chronologique. Le 17 juin, ils  s'affronteront, à coup de paires et autres brelans, à partir de 20h. Le tournoi prendra fin à minuit avec la remise des prix. Le lauréat remportera un iPad 2.

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