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Mobilité
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(26/01/2011 10:55:55)
1 terminal mobile sur 5 vendu sur Internet
Plus de 7% des téléphones mobiles achetés en Europe en 2010 ont été commandés directement sur Internet, selon un rapport du cabinet d'études marketing GfK. Les achats en ligne de portables auraient ainsi progressé de plus de 10% par rapport à 2009. Sur le créneau des smartphones, près d'un terminal vendu sur cinq l'a été sur Internet.
"L'importance grandissante des offres de pré-réservations et l'évolution des habitudes de consommation ont attisé la demande" explique Aaron Rattue, directeur de la division télécom/marketing de GfK. "Depuis plusieurs années Internet a été un canal important pour les biens techniques de valeur, et il va continuer à avoir une influence sur les ventes des téléphones moyen et haut de gamme".
(...)(25/01/2011 16:16:12)Paris, finaliste pour accueillir le Mobile World Congress
La France pourrait donc à nouveau accueillir la grand-messe de la téléphonie mobile. Jusqu'en 2006, le World Mobile Congress se tenait à Cannes, avant de déménager un an plus tard à Barcelone. En 2013, et jusqu'en 2017, le salon se déroulera dans une autre ville européenne. Outre Paris, les autres villes candidates sont Milan, Munich et Barcelone, la cité catalane étant candidate à sa propre succession. Les candidatures de Cologne et Amsterdam, toujours en lice en août dernier, n'ont finalement pas été retenues.
La GSMA, association qui fédère près de 800 opérateurs mobiles, fabricants et équipementiers à travers le monde, devrait annoncer la ville officiellement retenue vers la mi-2011.
De multiples évènements
La ville désignée Mobile World Capital de 2013 à 2017 devra donc accueillir le Mobile World Congress durant cette période, mais également un « festival mondial du mobile », des programmes culturels (musique, cinéma, etc.), ainsi que la création d'un centre dédié à la téléphonie mobile. Ce « Mobile World Centre », situé au coeur de la ville, inclura des expositions technologiques, une zone de revente, des bureaux, ainsi qu'un café mobile.
« Paris est très fière d'être considérée comme hôte éventuel pour la nouvelle capitale mondiale du mobile par la GSMA », a commenté Bertrand Delanoë, maire de Paris et d'ajouter « avec l'aide de notre communauté mobile et de nos entreprises innovantes, nous nous engageons à élargir l'attractivité de notre ville liée à l'avenir fantastique du monde mobile. »
Le Mobile World Congress est l'un des événements les plus attendus au monde par l'industrie des télécoms, les fabricants électroniques et les éditeurs de contenus. Les grandes marques du secteur, comme Sony Ericsson, Samsung, Orange, Vodafone ou encore Microsoft profite de cette occasion pour annoncer leurs stratégies et dévoiler leurs nouvelles gammes de portables et smartphones. Plus de 50.000 visiteurs (professionnels et journalistes essentiellement) sont attendus lors de la prochaine édition, qui se tiendra du 14 au 17 février 2011 à Barcelone.
Illustration : Entrée de la Fira à Barcelone lors du Mobile World Congress
(...)(24/01/2011 16:00:45)Google intégrerait du code Java dans Android sans autorisation
« Cette découverte pourrait être très profitable à Oracle, et se retourner contre Google, » écrit Florian Mueller dans un blog. Suite à un examen attentif du code des versions 2.2 (Froyo) et 2.3 (Gingerbread) d'Android, l'expert, à l'origine d'une campagne NoSoftwarePatents, a identifié six fichiers ressemblant très fortement à des fichiers Java. Ceux-ci viennent s'ajouter au nombre de fichiers pointés par Oracle et faisant déjà l'objet d'une action en justice. De plus, l'expert a mis à jour 37 fichiers présents dans le code d'Android dans lesquels il a trouvé une note indiquant que le code était la propriété de Sun. « Peu importe ce qu'affirme Google. Cet en-tête spécifiant le droit d'auteur est tout sauf une autorisation de placer l'ensemble sous licence Apache, » écrit-il. Google licencie Android à ses utilisateurs sous licence Apache. « Même si l'on faisait valoir que Oracle/Sun ont ensuite cédé les droits du fichier sous licence GPL - je n'ai pas trouvé de preuves concluantes à ce sujet -, cela ne permet pas de procéder à un tel transfert de licence. » Si les différences entre le code utilisé par Google et le code Java original, sont mineures, Florian Mueller a constaté néanmoins que celles-ci découlaient de l'utilisation d'un décompilateur. Ainsi, en décompilant sept fichiers Java différents avec le décompilateur Java JAD, l'expert a pu se rendre compte que le résultat obtenu était presque identique aux fichiers trouvés dans Android. Pour l'instant, Google n'a pas réagi à ses allégations.
Pour Ed Burnett, un développeur qui écrit certains papiers pour ZDnet, certains éléments de codes pointés par Florian Muller avaient été effacés et ne se retrouveraient pas dans les versions d'Android qui ont été livrées avec les appareils mobiles. « Sept fichiers servent de test pour le code et ne sont pas livrés avec le produit, » a t-il précisé sur un blog. « En outre, ceux-ci ont été supprimés d'Android en fin d'année dernière ou au plus tard au mois de janvier, » a t-il ajouté. « Les autres fichiers se trouvent dans un répertoire utilisé par le code natif des pilotes audio de certains processeurs, » a ajouté Ed Burnett. « Ces fichiers ne sont pas livrés avec Android, et ont probablement été transférés par erreur et devraient être supprimés, » a t-il déclaré.
Des retraits de code tâchés de suspicions
Cependant, Florian Mueller affirme que le code contenu par l'arborescence de test est relatif à la sécurité et qu'il a été livré sur nombreux appareils Android. « Même si le code sur d'autres fichiers ne se retrouve pas dans l'arborescence du système Android actuel, il a été utilisé dans deux versions qui tournent sur plus de la moitié des téléphones Android en circulation aujourd'hui, » fait-il remarquer. « D'un point de vue juridique, il n'est pas possible d'annuler une plainte en retirant simplement un ensemble particulier de fichiers - cela permet juste d'éviter des récriminations supplémentaires, » a t-il déclaré dans une interview.
Au mois d'août, Oracle avait déposé la plainte contre Google, affirmant que son système d'exploitation Android empiétait sur les droits d'auteur de Java acquis par Oracle avec le rachat de Sun. Google estime que cette plainte est sans fondement et nie l'infraction. Mais s'il est reconnu que Google porte atteinte à la propriété intellectuelle de Java, l'entreprise pourrait avoir à payer une redevance de licence à Oracle pour chaque appareil tournant sous Android. Le géant de l'internet pourrait certes répercuter ce coût sur les fournisseurs d'appareils mobiles. Mais, une telle condamnation pourrait surtout diminuer l'attrait d'Android en tant que système d'exploitation Open Source. Android, dont la popularité n'a pas cessé de croître au cours de l'année passée subit de nombreuses attaques sur le front juridique de la part de plusieurs entreprises. La plainte menée par Apple contre HTC concerne Android, de même que celle de Microsoft engagée contre Motorola et que Gemalto a intenté contre Google, Motorola, HTC et Samsung.
Crédit Photo : D.R
(...)(21/01/2011 14:37:12)Soundminer, un malware espionne et vole les données des smartphones Android
Ce spyware du nom de Soundminer, peut surveiller les appels téléphoniques et enregistrer des informations vocales prononcées par l'utilisateur, un numéro de carte de crédit par exemple, ou récupérer les chiffres qu'il tape sur le clavier de son téléphone. « S'appuyant sur diverses techniques d'analyse, Soundminer parvient à extraire l'essentiel des informations enregistrées, comme le numéro de carte de crédit lui-même, et envoie un tout petit bout d'information sélectionnée à un attaquant posté sur le réseau, » expliquent les chercheurs Roman Schlegel de la City University de Hong Kong et Kehuan Zhang, Xiaoyong Zhou, Mehool Intwala, Apu Kapadia, Wang Xiaofeng de l'Université Bloomington dans l'Indiana. « Nous avons installé Soundminer sur un téléphone Android et nous avons testé notre technique en utilisant des données réalistes, identiques à celles pouvant circuler lors d'une conversation téléphonique normale, » ont-ils écrit. « Notre étude montre que des numéros de carte de crédit peuvent être identifiés de façon fiable et transmis de manière rapide. Par conséquent, la menace d'une telle attaque est réelle. »
Le spyware a été conçu pour requérir le minimum d'autorisations pour éviter d'être repéré. Par exemple, le virus peut être autorisé à accéder uniquement au micro du téléphone, mais pas un accès élargi pour transmettre des données, intercepter des appels téléphoniques sortants ou entrer dans les listes de contacts, des opérations qui pourraient susciter des soupçons.
Une variante très efficace et discrète
C'est pourquoi, dans une autre version de l'attaque, les chercheurs ont associé Soundminer avec un Trojan indépendant, du nom de Deliverer, qui prend en charge l'envoi des informations recueillies par le spyware. Car Android pourrait empêcher la communication entre les applications, les chercheurs ont trouvé comment faire communiquer Soundminer avec Deliverer. Ils ont ainsi découvert ce qu'ils appellent plusieurs « canaux cachés » qu'ils ont pu utiliser pour faire passer des informations en même temps que d'autres, via les paramètres du vibreur notamment. Soundminer pourrait coder les données sensibles qu'il veut transmettre sous une forme qui ressemble aux données utilisées dans les paramètres de vibration. Ensuite, Deliverer pourrait décoder ces données pour les envoyer à un serveur distant. Le canal caché en question dispose de seulement 87 bits de bande passante, suffisamment pour transmettre un numéro de carte de crédit qui en utilise 54 bits seulement, » expliquent-ils. Soundminer a été écrit pour effectuer la reconnaissance vocale ou la reconnaissance d'un numéro tapé sur le téléphone lui-même. Cela permet d'éviter l'envoi de gros paquets de données via le réseau pour l'analyse, ce qui pourrait alerter les logiciels de sécurité.
Selon les chercheurs, VirusGuard de SMobile Systems et l'AntiVirus de Droid Security, deux antivirus pour Android utilisés pour le test, ne sont pas parvenus à identifier Soundminer comme malware, même quand il était en train d'enregistrer et de télécharger des données. Les responsables de Google basés à Londres, sans nommer précisément Soundminer, ont déclaré qu'Android était en mesure de minimiser l'impact « d'applications mal programmées ou malveillantes qui pourraient se trouver sur un téléphone. » Selon Google, « si les utilisateurs pensent qu'une application peut-être dangereuse ou inadaptée, ils peuvent la marquer, lui donner une note défavorable, laisser un commentaire détaillée à son sujet, et bien sûr, la retirer de leur appareil. » « Les applications qui sont contraires à nos politiques sont retirées du marché. De la même manière, nous pouvons empêcher les développeurs ne respectant pas notre politique, et épinglés pour infractions, d'accéder à l'Android Market. »
Vers un tarif social pour l'ADSL et le mobile
Le secrétaire d'Etat à la Consommation Frédéric Lefebvre doit tenir une table ronde, le 27 janvier prochain, invitant les opérateurs à faire des propositions sur un tarif social dans l'Internet fixe pour les foyers les plus modestes, selon le quotidien La Tribune. Ce projet avait déjà été lancé il y a un an par le Premier ministre François Fillon, qui avait évoqué à l'époque des offres triple play à 20 euros par mois pour les plus démunis. Des opérateurs avaient proposés dans le cadre de convention avec les bailleurs sociaux d'appliquer des tarifs bas pour l'accès téléphonique, plus un accès à Internet haut débit (limité à 512 kbits).
Pour rappel, Frédéric Lefebvre avait fait voter en 2008 le principe d'un tarif social dans la téléphonie mobile. Orange, propose par exemple depuis 2009 une offre spéciale à 10 euros par mois pour les bénéficiaires du RSA. Sur ces différentes initiatives, les opérateurs restent circonspects en estimant qu'ils vont de nouveau mettre la main à la poche, après plusieurs vagues successives de taxes, redevances, etc.
(...)(20/01/2011 12:15:09)IBM et ARM veulent passer au 14 nm
Dans un communiqué, les deux sociétés ont annoncé la poursuite de leur collaboration pour améliorer la finesse de gravure de leurs procédés de fabrication et atteindre les 14 nanomètres pour les solutions system-on-chip (SoC) . Cette décision reflète une des tendances actuelles du secteur : construire des puces plus petites, plus rapides et moins gourmandes en énergie. «Les processeurs ARM Cortex sont devenus la plate-forme de référence pour la majorité des smartphones et d'autres appareils mobiles dans de nombreux pays émergents », a expliqué Michael Cadigan, directeur général de IBM Microelectronics. « Nous prévoyons de continuer à travailler en étroite collaboration avec ARM et les fondeurs pour accélérer la dynamique de la technologie ARM et concevoir des semi-conducteurs de faible puissance pour une grande variété de nouveaux dispositifs de communications et de calcul. »
« IBM a fait ses preuves dans le domaine de la recherche et du développement de coeur jusqu'à devenir une des compagnies majeures dans le monde des semi-conducteurs. Son leadership au sein de l'alliance ISDA, qui regroupe différentes entreprises de haut niveau, monte en puissance pour contribuer à consolider l'industrie des semi-conducteurs » a déclaré Simon Segars, vice-président en charge de la division IP d'ARM.
Depuis leur accord initial, démarré en 2008, IBM et ARM ont conçu le design de puces SoC en 32 puis 28 nm. Le passage à 20 puis en 14 nm sera un saut important en terme de finesse de fabrication.
Illustration principale : Puce SoC 32 nm, crédité photo IBM/ARM
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