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Mobilité

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(02/02/2012 17:04:15)
Recharge par induction sur les prochains Nokia Lumia
Marko Ahtisaari, responsable du design chez Nokia, a déclaré au Guardian que les prochains smartphones Windows Phone de la marque finlandaise seraient livrés sans prise micro-USB, "l'un des deux seuls éléments amovibles du Lumia 800". Cette révélation laisse penser, selon le journal britannique, que Nokia prépare l'intégration d'une technologie de recharge sans fil sur ses futurs appareils, à l'exemple du Palm Pre, l'un des premiers smartphones à l'avoir proposée. Des entreprises comme LG, Energizer, Powermat et Duracell proposent déjà des bases de recharge compatibles avec n'importe quel téléphone doté de la technologie de recharge sans fil.
Pour ses derniers appareils, Nokia a opté pour un design minimaliste et des commandes tactiles. Le commentaire de Marko Ahtisaari laisserait donc entendre que la firme continuera sur cette lancée, en s'efforçant de gagner encore en épure : "A chaque fois qu'il sera possible de retirer des éléments amovibles [d'un téléphone] pour rendre le placement de ses composants plus esthétique, nous le ferons. C'est un domaine dans lequel nous pouvons encore nous améliorer. En poussant la logique à l'extrême, ne pourrait-on pas tout simplement se passer de connecteurs?", a déclaré Marko Ahtisaari au Guardian.
Selon le Guardian, Nokia inclura aussi la technologie NFC aux accessoires Windows Phone - ce n'était pas le cas pour les Windows Phones 800 et 900 - ce qui permettra une connectivité "tap-to-pair" (sans mot de passe, par simple contact) avec les casques ou les haut-parleurs Bluetooth. Les blogueurs sont en tout cas persuadés que Nokia présentera une nouveauté appelée Nokia Lumia 910 au Mobile World Congress (MWC), à la fin du mois de février.
Le design des puces ARM 64 bits pour serveurs attendu en 2012
Les premières puces 64 bits basées sur l'architecture ARMv8, annoncées en octobre dernier, seront bientôt vendues sous licence aux fabricants. « La production de masse des processeurs 64 bits démarrera en 2014, et seront intégrés dans des terminaux dans la foulée, » a précisé Warren East, le PDG d'ARM.
L'arrivée de ces processeurs - noms de code Atlas et Apollo - pourrait se traduire par la sortie d'un premier smartphone 64 bits, lequel offrirait de meilleures performances, comparé aux terminaux actuels intégrant des processeurs ARM 32 bits. Ces processeurs pourront également offrir une plus large compatibilité avec des applications 64 bits dans les environnements Windows et Linux. « L'objectif est de cibler le haut de gamme dans le domaine des serveurs et des smartphones, » a déclaré Warren East.
Une montée en puissance de la gamme ARM
La plupart des smartphones et tablettes actuels intègrent des processeurs ARM. Mais le fondeur aimerait se faire aussi une place sur le marché des serveurs, dominé par Intel. ARM conçoit et développe des architectures processeurs qu'il revend ensuite sous licence à Apple, Texas Instruments, Nvidia, Samsung ou encore Qualcomm. Le fondeur a déjà licencié son processeur ARMv8 64 bits à quatre fabricants, dont Nvidia et AppliedMicro Circuits. « Les autres licenciés seront annoncés plus tard cette année, » a déclaré Warren East. Dans une présentation réalisée par ARM, on apprend que Nvidia travaille sur une version très attendue du processeur ARMv8-A destinée aux smartphones, tablettes, PC et serveurs, nom de code Project Denver. Quant au fabricant de puces AppliedMicro Circuits, il avait montré une puce 64 bits cadencée à 3 GHz l'an dernier.
Il y a toujours un délai de quelques années entre la mise au point d'une nouvelle architecture et la commercialisation d'un processeur. Par exemple, c'est en 2007 qu'ARM a dévoilé son processeur Cortex-A9 32-bits. Et les premières tablettes et smartphones intégrant cette puce ont été commercialisés l'année dernière. En 2010, ARM avait présenté son processeur Cortex-A15, lequel devrait équiper certains terminaux plus tard cette année. « L'arrivée de puces 64 bits pour les smartphones est attendue. D'une part, elle va permettre d'exécuter sur ces terminaux des applications, multimédias notamment, qui demandent plus de calcul processeur. Mais aussi parce que les fabricants veulent pouvoir augmenter la taille des blocs mémoire, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64.
« Le passage aux 64 bits dans les smartphones est inévitable. Les terminaux mobiles disposent en moyenne de 2 Go de mémoire et les processeurs ARM 32 bits actuels ne supportent pas plus de 4 Go, » a déclaré l'analyste. « En ce qui concerne les serveurs, l'utilité d'un processeur 64 bits est évidente, car les applications existent déjà et les exigences sont visibles, » a ajouté Nathan Brookwood. Les serveurs ont besoin de blocs de mémoire importants et de nombreuses applications sont déjà écrites pour l'adressage 64 bits.
Des serveurs moins gourmands en énergie
ARM destine ses processeurs aux centres de calcul « verts » et les fabricants de serveurs travaillent déjà sur des systèmes expérimentaux intégrant le processeur Cortex-A9 du fondeur. Hewlett-Packard a annoncé qu'il testait des serveurs à base de processeurs ARM et le supercalculateur hybride développé par Nvidia pour le Supercomputing Center de Barcelone (BSC) intègre une puce Tegra 3, architecture ARM, associée à des processeurs graphiques. « Le processeur ARMv8a va apporter aux serveurs des caractéristiques spécifiques en matière de sécurité et de virtualisation, » a précisé aussi Warren East. « Les puces 64 bits seront également rétrocompatibles. Elles pourront faire tourner des applications écrites pour les architectures ARM précédentes. » Le fondeur travaille également sur l'aspect logiciel pour accélérer l'adoption de ses processeurs 64 bits dans les serveurs. Une version de production de l'OS Ubuntu basé sur Linux a déjà été livrée, et une version Red Hat compatible ARMv8 est en cours de préparation.
« ARM va avoir une tâche difficile pour détrôner Intel dans le secteur du serveur. Cela fait plusieurs années qu'Intel fournit des puces x86 à ce marché sur lequel elle a une position dominante, » a estimé Nathan Brookwood. Cette année, Intel a également entrepris de marcher sur les plates-bandes d'ARM, en proposant son processeur 32 bits Atom Medfield pour les smartphones. « Avec quelques modifications, Intel pourrait sortir une version 64 bits de cette puce destinée à l'origine aux smartphones, » a ajouté l'analyste. Reste qu'ARM devrait aussi être difficile à contrer sur ce marché. Et pour l'instant, il n'y a pas d'urgence à proposer un processeur 64 bits pour smartphones.
(...)(02/02/2012 15:30:58)Google Docs pour Android consultable hors ligne
Une demande formulée par les utilisateurs a enfin été acceptée par Google. Les documents stockés dans Google Docs sont consultables hors ligne sur les smartphones et les tablettes reposant sur Android. L'application proposée pour ces terminaux mobiles rend l'accès hors ligne possible pour les fichiers Google Docs : les présentations, les feuilles de calcul, les images téléchargées et les formats de fichiers tels que pdf, doc, xls et ppt, selon Google.
Les utilisateurs peuvent ainsi rendre leurs documents disponibles hors ligne, ou créer un document hors ligne qui sera intégré au cloud de Google lorsqu'ils seront connectés à Internet. Les fichiers sont automatiquement mis à jour lorsque les utilisateurs sont attachés à un réseau WiFi gratuit. Les utilisateurs peuvent également mettre à jour manuellement les fichiers à chaque fois qu'ils ont une connexion de données en ouvrant le fichier ou en tapant "update" dans la section hors de l'application.
Prochain challenge : modifier les documents hors ligne
Il y a plusieurs façons de rendre les documents accessibles hors ligne sur les tablettes et les smartphones. Sur une ardoise, les utilisateurs doivent ouvrir le panneau de prévisualisation, puis sélectionner la case à côté de l'option « disponible hors ligne ». Les utilisateurs de smartphone doivent quant à eux toucher et maintenir le nom d'un élément dans la liste des documents pendant deux à trois secondes, puis valider le «rendre disponible hors connexion » dans le menu qui apparaît.
Google a encore du travail à faire pour rendre l'application Docs plus intéressante sur les smartphones et tablettes basés sur Android. Il est par exemple toujours impossible de modifier les documents hors ligne.
IBM acquiert Worklight, spécialiste du développement d'applications mobiles
IBM va acquérir Worklight, une entreprise basée en Israël, avec laquelle elle avait déjà établi un partenariat. Cette acquisition va permettre à la société américaine de disposer d'une série de technologies de développement d'application mobiles cross-platform. Les termes du contrat, qui devrait être finalisé au premier trimestre de cette année, n'ont pas été divulgués. Parmi ses technologies, la société israélienne va apporter Worklight Studio, un environnement de développement intégré basé sur Eclipse, et Worklight Server, qui fournit, selon le site de l'entreprise, une « passerelle sécurisée et évolutive entre les applications, les services extérieurs et l'infrastructure. »
« La plate-forme Worklight est adaptée pour développer des applications mobiles aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises, et permet de cibler différents types de marchés verticaux, » comme l'a précisé IBM. Elle comprend des SDK (kits de développement logiciel) pour iOS, Android, Blackberry et Windows Mobile, et « permet de créer des applications riches, cross-platform, sans avoir besoin de réécrire de code, de traducteurs propriétaires ou de langages de programmation hétéroclites, » toujours selon le site de Worklight.
IBM a également annoncé la sortie d'une plate-forme de logiciels IBM Endpoint Manager for Mobile Devices, destinée à sécuriser et à gérer les smartphones, tablettes et ordinateurs portables des salariés d'une entreprise. « La plate-forme utilise une technologie acquise par IBM avec le rachat de BigFix en 2010. Le système permet notamment de supprimer des données sensibles à distance sur des terminaux perdus ou volés, mais aussi de vérifier qu'un périphérique respecte les règles de sécurité conforme à la politique de l'entreprise, » comme l'a expliqué IBM dans un communiqué.
Combler un vide dans la couche mobilité
SAP, proche partenaire d'IBM, voudrait également jouer un rôle de premier plan dans le domaine de la mobilité, en profitant notamment de son acquisition de Sybase en 2010. Grâce à ce rachat, SAP avait hérité du middleware mobile très populaire Sybase Unwired et de la plateforme de gestion de périphériques Afaria. « La « grande tendance » du développement mobile tourne aujourd'hui autour du HTML5, qui permet aux développeurs d'écrire leur application une fois pour toute et de la déployer ensuite sur une grande variété de périphériques et d'OS mobiles, » a déclaré Kevin Benedict, un analyste indépendant. « Worklight a réalisé de gros investissements dans ce domaine, » a-t-il ajouté.
Mais, selon l'analyste, « le choix d'IBM d'acheter cette entreprise s'inscrit dans une stratégie plus large. » Celui-ci pense en effet que « tout vendeur ERP ou disposant d'une quantité conséquente de systèmes back-end devra acquérir une entreprise qui a développé une plate-forme mobile en vue de créer la couche d'intégration nécessaire entre leurs systèmes, les différents terminaux mobiles de l'entreprise et leurs systèmes d'exploitation mobiles, » a t-il expliqué. « Les interfaces de bureau pour accéder à ces applications métiers ont de moins en moins d'importance. »
Ainsi, « Oracle affiche un énorme déficit en mobilité et je suis absolument sûr qu'ils vont devoir le combler en 2012, » a encore déclaré Kevin Benedict. «Il semble que l'acquisition de Worklight par IBM vienne aussi combler un vide. » Les vendeurs de grosses plates-formes ne peuvent pas se permettre de prendre le temps de développer eux-mêmes des plates-formes mobiles efficaces. « Ils prendraient le risque de perdre des clients, compte tenu de l'état très concurrentiel de la mobilité aujourd'hui, » a encore estimé l'analyste. La mobilité requiert « d'importants investissements et encore plus de connaissances. Racheter une plate-forme de développement mobile est sans doute la meilleure chose à faire, » a-t-il ajouté.
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Le m-paiement décolle en France
En 2012, les Français devraient dépenser 2,2 milliards d'euros en utilisant leur mobile. Selon les prévisions d'une étude Kelkoo par le Centre For Retail Research, publiée ce mardi 31 janvier, ils seraient les plus dépensiers en Europe, derrière les Britanniques (5,4 milliards d'euros) et les Allemands (3,2 milliards d'euros).
Au chapitre du e-commerce, 2012 s'annonce comme une nouvelle année dynamique pour les achats sur mobile. La France devrait enregistrer la troisième plus forte croissance européenne (+71%), derrière la Suisse (+111%) et l'Espagne (+73%).
Malgré un faible taux d'équipement en smartphone, estimé à 35% (contre 46% au Royaume-Uni), la part des achats via mobile devrait représenter 4,6% du marché de l'e-commerce en France en 2012. L'arrivée des tablettes numériques dans les foyers aurait aussi son effet dans l'explosion du M-commerce au sein de l'Hexagone, commente l'étude.
En 2011, les Français ont dépensé en moyenne 118€ via leur smartphone, bien loin des Britanniques, les plus grands dépensiers européens (226€).
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L'UE enquête sur Samsung pour abus de position dominante
La Commission européenne a annoncé l'ouverture d'une enquête pour abus de position dominante. Elle va déterminer si l'utilisation des brevets liés à la 3G par Samsung dans plusieurs procédures judiciaires n'avait pas pour but de freiner la concurrence. Ces brevets sont jugés comme essentiels pour réaliser des terminaux compatibles avec les réseaux de téléphonie mobile de 3ème génération. Samsung s'était engagé, il y a quelques années, auprès de l'ETSI (Institut européen des normes de télécommunications) à accorder des licences d'utilisation de ces brevets « en termes justes, raisonnables et non discriminatoires».
Samsung avait attaqué Apple, notamment en France, en expliquant que les terminaux de la firme de Cupertino, l'iPhone 4S en particulier, violaient plusieurs brevets liés à la téléphonie mobile de troisième génération. Le tribunal de Grande Instance de Paris avait débouté Samsung sur le référé en contrefaçon sans se prononcer sur la validité des brevets de Samsung.
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La consumérisation de l'IT s'étend aux PME selon IDC
Selon IDC, la consumérisation de l'IT (le fait que les salariés utilisent des terminaux personnels dans leur travail) devrait s'étendre aux PME, particulièrement celles des pays en voie de développement. Malgré les risques de sécurité, ces entreprises savent tirer parti de l'équipement de leurs salariés pour rester compétitives et augmenter leur efficacité.
« Cette consumérisation de l'informatique a des implications importantes pour les fournisseurs de technologie ainsi que pour les entreprises concurrentes des PME qui profitent de tous les outils de productivité qu'ils peuvent » explique Ray Boggs, vice-président en charge du marché des Petites et Moyennes Entreprises chez IDC. Les PME dans les pays développés (par exemple, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, le Japon) indiquent généralement des niveaux plus élevés d'utilisation des technologies de pointe, PC portables, réseaux sans fil, que les entreprises de taille similaire dans les pays en développement (par exemple, la Chine, Brésil). Cependant, l'écart se réduit rapidement.
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Jon Rubinstein, ancien patron de Palm, quitte HP
« Jon a rempli son engagement chez HP. Nous lui souhaitons bonne chance » a déclaré HP dans un communiqué. Jon Rubinstein était vice-président senior pour l'innovation produit de la division Personnal System Group (PSG). HP n'a pas indiqué quels étaient les projets de Jon Rubinstein, mais AllThingsD, pense qu'il va dans un premier temps prendre des congés et s'occuper de sa famille.
Jon Rubinstein a rejoint Palm en 2007 et est devenu PDG en 2009, alors que la société avait lancé son smartphone sous webOS. Ce système d'exploitation avait obtenu d'excellentes critiques, mais les ventes de terminaux n'ont jamais décollé. En 2010, HP a racheté Palm. Jon Rubinstein était en retrait laissant Stephen DeWitt être nommé à la tête de l'activité comprenant webOS. Puis sous la houlette de Leo Apotheker, HP a décidé d'arrêter la production de tablettes et de smartphones sous webOS. Après un temps de flottement, Meg Whitman a décidé de rendre le système d'exploitation mobile Open Source.
Pour mémoire, Jon Rubinstein s'est fait un nom chez Apple, où il a joué un rôle de premier plan sur le développement de l'iPod.
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Ventes de smartphone, Apple en tête des ventes au dernier trimestre
Pour la première fois, Apple est en tête de liste des constructeurs ayant vendu le plus de smartphones durant le dernier trimestre de l'année 2011, selon une étude de Strategy Analytics, publiée le vendredi 27 janvier. Avec 23,9% de parts de marché, Apple devance d'un souffle Samsung (23,5%). Loin derrière, Nokia (12,6%) complète le podium. Il s'est vendu au total 155 millions de smartphones sur cette période (+54% sur un an).
Sur l'année, Samsung conserve un léger avantage, avec 97,4 millions de smartphones vendus (19,9% de parts de marché) contre 93 millions à Apple (19%). Nokia a pour sa part vendu 77,3 millions d'unités (15,8%).
Les ventes d'iPhone ont été dopées par l'arrivée sur le marché de l'iPhone 4S, au mois d'octobre. En 2012, Samsung doit présenter le Galaxy S3, le successeur du Galaxy S2. La marque propose en outre deux autres modèles haut de gamme : le Galaxy Nexus et le Note. De son côté, Apple travaille d'ores et déjà sur un iPhone 5.
(...)(27/01/2012 09:25:40)Un mobile NFC pour remplacer les cartes d'embarquement
Les passagers vont peut-être pouvoir filer à travers les aéroports comme jamais auparavant grâce à la technologie NFC qui commence à intégrer les terminaux mobiles (le Samsung Nexus par exemple). SITA, une entreprise spécialisée dans les technologies d'aéroport, a dévoilé cette semaine un système qui utilise la technologie de communication en champ proche (NFC, "near field communication") pour remplacer les cartes d'embarquement en papier ou électroniques.
Les puces NFC, dont les téléphones portables sont de plus en plus équipés, sont capables d'envoyer des informations à des courtes distances en utilisant les ondes et sont présentées par beaucoup comme un possible mode de paiement. La société SITA estime toutefois qu'une autre utilisation de cette technologie pourrait aider les aéroports avec des voyageurs qui se serviraient de leur téléphone portable équipé d'une puce NFC pour embarquer à bord d'un avion de façon beaucoup plus rapide qu'aujourd'hui.
Encore un concept pour l'instant
L'entreprise pense que les passagers pourront bientôt se contenter de passer leur téléphone portable au-dessus d'une borne, que ce soit à l'enregistrement, à la dépose des bagages, dans les salons des compagnies aériennes ou à l'embarquement -- peut-être même sans allumer leur téléphone et probablement sans la fameuse connexion data qui impose jusqu'à présent beaucoup de limitations aux applications mobiles de compagnies aériennes disponibles sur le marché.
"Cette technologie a le potentiel de supprimer les aspects problématiques de l'usage de téléphones portables en avion", affirme la société SITA. "Aujourd'hui, les passagers sont réticents à utiliser les cartes d'embarquement en codes-barres 2D en raison de leur complexité, des risques potentiels quant à leur fiabilité et de leurs craintes de problèmes liés à la batterie ou à la connexion data". Même s'il ne s'agit pour le moment que d'un concept, l'entreprise SITA prédit que jusqu'à 80% des cartes d'embarquement pourraient être lues sur un téléphone portable d'ici à 2018.
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