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Mobilité
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(29/12/2011 12:02:51)
1ers tests prometteurs pour la puce Intel Medfield
Pour son retour sur le marché des smartphones et des tablettes - et enfin concurrencer les produits sur base ARM -, Intel mise sur son processeur x86 Medfield, attendu au 2e trimestre 2012. Avec son architecture de type SoC (System-on-Chip), cette puce intègre tous les composants nécessaires à un terminal mobile, à savoir processeur, RAM et espace de stockage. Ce qui devrait permettre aux constructeurs de concevoir des appareils mobiles plus légers et plus minces. Avec Medfield, Intel va toutefois se frotter à forte partie. Des concurrents reposant exclusivement sur l'architecture ARM : les puces Serie A d'Apple, Tegra de Nvidia, Exynos de Samsung, Snapdragon de Qualcomm et OMAP de Texas Instruments.
Gravé en 32 nm, Medfield a commencé à être évalué par certains sites web spécialisés. VR-Zone a ainsi publié les premiers benchmarks pour la plate-forme « Medfield Tablet ». Selon VR-Zone, les scores de Medfield sont particulièrement impressionnants avec un total de 10 500 points réalisés avec l'outil de test Android CaffeineMark 3. VR-Zone a en effet pu utiliser une tablette équipée d'Android Honeycomb et animée par une puce Medfield cadencée à 1,6 GHz et épaulée par 1 Go de RAM. Les interfaces Wi-Fi et Bluetooth ainsi qu'une radio FM équipaient la tablette.
À titre de comparaison, la puce Nvidia Tegra 2 obtient un score de 7 500 à ce même benchmark, la Qualcomm Snapdragon MSM8260 8 000 points, et la Samsung Exynos 8 500. Les résultats préliminaires de Medfield sont encourageants et les performances attendues au rendez-vous. Reste à savoir, ce que donnera une partie tout aussi importante, la consommation électrique qui conditionnera l'autonomie de la tablette. Les premiers produits commercialisés le seront toutefois avec Android 4 Ice Cream Sandwich qui est en cours de portage sur l'architecture x86. Une riche année s'annonce, car les premières ardoises ARM avec Windows 8 sont attendues en juin prochain, chez Nokia pour commencer.
Paiements mobiles : lente évolution attendue en 2012
En 2012, les partenariats conclus avec les opérateurs et les tests de paiement mobile à petite échelle vont commencer à porter leurs fruits, et certains analystes pensent également qu'Apple va apporter sa solution de paiements. Mais l'adhésion par les consommateurs va prendre plus de temps. À certains égards, l'année 2011 a été décevante pour les paiements mobiles et le NFC (Near Field Communications) qui utilise la technologie de communication en champ proche. « Il y a eu des progrès, mais pas autant que ce les promoteurs en avaient espéré. Aujourd'hui, on trouve bien sur le marché quelques terminaux NFC, mais en petit nombre, et pas autant que ce qui avait été annoncé au début de l'année, » a déclaré John Devlin, directeur de groupe au cabinet d'étude ABI Research.
Par ailleurs, même si l'industrie n'est pas allée aussi loin que prévu, elle va de l'avant. « Par exemple, en 2011, on a assisté au lancement du Google Wallet aux États-Unis. À la fin de l'année 2012, le portefeuille de Google va se révéler un vrai succès auprès des consommateurs, » selon ABI. La lenteur des progrès s'explique principalement par le fait que les opérateurs ont dû revoir leur modèle économique en matière de paiements mobiles au cours des six derniers mois. « Je me souviens de mes conversations avec un certain nombre d'opérateurs courant mai-juin. Ils étaient encore convaincus que les entreprises les paieraient pour distribuer leurs cartes. Et de leur point de vue, si Visa ne les payait pas, MasterCard le ferait. C'était une stratégie très bornée, » a ajouté John Devlin.
Google pousse à une concentration du marché
« Mais Google a changé la donne en introduisant son propre portefeuille. Dans plusieurs pays, y compris au Royaume-Uni, le géant de l'Internet a poussé les opérateurs à unir leurs forces et à envisager la création d'une plate-forme unique, » a expliqué le directeur du cabinet d'étude. Le lancement de services commerciaux par les opérateurs annonce une bataille entre Google et les entreprises associées au cours l'année prochaine. Déjà, Verizon Wireless, associé par joint venture au système de paiement Isis, a demandé à Google de ne pas installer son application Wallet sur son modèle Galaxy Nexus, laissant présager d'autres conflits. « Il s'agit d'être dès maintenant le premier sur le marché. Les autres opérateurs risquent de se montrer tout aussi vigilants que Wireless Verzizon. Car si les consommateurs commencent à utiliser le Wallet de Google, ce sera très difficile de les faire revenir en arrière », a déclaré John Devlin.
Les opérateurs sont également conscients que pour réussir sur le long terme avec le NFC, les paiements et les portefeuilles mobiles doivent être omniprésents, transférables et interchangeables. « Or personne n'est prêt à céder du terrain, » a fait valoir ABI. Cependant, selon John Devlin, « ils finiront bien par trouver un « juste milieu », qui satisfera Google, les opérateurs, et les consommateurs. » Google n'a fait aucune annonce concernant le lancement de son portefeuille Google Wallet dans d'autres pays, mais le cabinet d'étude CCS Insight a inscrit dans ses prévisions annuelles un lancement au Royaume-Uni en 2012. De plus, « le service de Google risque de prendre de l'avance pendant que les opérateurs se battent pour aboutir à une solution consensuelle et résoudre tous les aspects réglementaires, » a ajouté John Devlin.
Un choix plus ouvert pour l'instant
Cependant, la concurrence avec Google n'a pas que des effets négatifs. « Le fait que de grandes entreprises, différentes les unes des autres, entrent dans le secteur montre qu'il existe un marché légitime, » selon Jaymee Johnson, directeur du marketing chez Isis. D'ici mi-2012, Isis va lancer ses services à Salt Lake City et à Austin (Texas), puis diffuser son offre dans tout le pays à partir de cette base. « Dans ces deux villes, les consommateurs pourront trouver différents smartphones NFC dans les boutiques des opérateurs, charger la carte de paiement mobile de leur choix, et utiliser le système de paiement mobile à la fois dans les chaînes de distribution nationales et auprès des enseignes locales, » a indiqué le directeur du marketing d'Isis. « Au final, Isis vise une couverture nationale, mais celle-ci ne sera pas atteinte avant 2013-2014, » a-t-il déclaré.
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Selon les estimations, le nombre de téléphones livrés et équipés du NFC va passer de 34 millions cette année, à 80 millions l'an prochain, ce qui ne correspond pas à la capacité d'adhésion du système par le marché de masse. Mais selon ABI, ce nombre passera à 552 millions d'unités en 2016. Selon CCS Insight, les premiers succès du NFC seront réalisés en dehors des systèmes de paiement et les efforts pour favoriser les paiements mobiles ne s'avéreront pas très payants avant 2015.
Même si le NFC est l'objet de beaucoup d'attention, ce n'est pas la seule technologie disponible pour permettre les paiements mobiles. Par exemple, plus tôt cette année, PayPal a annoncé que son système commencera à utiliser les codes à barres en 2012. Une autre grande question pour l'année à venir, est de savoir ce qu'Apple fera dans ce domaine et si dans l'après Steve Jobs, l'entreprise a encore la capacité de changer le secteur des télécommunications. Certains analystes sont convaincus qu'Apple va lancer son service et récupérer des parts de marché sur les opérateurs. Mark Beccue, analyste senior chez ABI, est convaincu qu'Apple lancera un produit de portefeuille mobile en 2012. « Grâce aux opérateurs partenaires, Apple va pouvoir proposer aux possesseurs d'iPhone des porte-monnaie mobiles, que l'opérateur ait ou non une offre concurrente, » a-t-il déclaré. De son côté, CCS Insight pense également qu'Apple intégrera la technologie NFC dans l'iPhone 5, et qu'elle reliera celle-ci à l'infrastructure de paiement d'iTunes.
(...)(28/12/2011 12:09:02)Beidou, le système GPS chinois désormais opérationnel
La Chine voulait son propre système de navigation par satellites et, pour ce faire, a lancé le projet Beidou. Il s'agissait avant tout de réduire sa dépendance vis-à-vis du réseau américain Navstar GPS qui a été conçu à des fins militaires même si de nombreux usages civils se sont développés. Et en cas de conflit, rien n'empêche les Américains de dégrader les informations fournies par les satellites. Il suffit d'altérer la précision habituelle du système ou carrément de brouiller le signal pour le réserver à des usages purement militaires.
Le programme Beidou, Grande Ourse en français, est d'ores et déjà opérationnel avec pas moins de 10 satellites chinois en orbite. La Chine envisage d'améliorer le système fin 2012, avec le lancement de six satellites supplémentaires. Le gouvernement chinois estime que la construction de son propre système de navigation par satellite est nécessaire pour poursuivre son développement économique, selon Ran Chengqi, porte-parole pour le système Beidou. « S'il n'y a pas de contrôle indépendant du système de navigation par satellites, la sécurité et le développement économique et social de la Chine ne seront pas assurés », a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse en ligne.
Une couverture asiatique pour commencer
Beidou est cependant compatible avec les systèmes de navigation par satellite existant, selon Ran. Initialement, le système Beidou ne servira que la Chine et les pays voisins. Mais en 2020, le système offrira une couverture globale, en utilisant au total plus de 30 satellites. Le service est gratuit et a déjà été utilisé par différentes industries nationales depuis le démarrage du projet Beidou en 2000.
Cette annonce est également un moyen d'encourager les entreprises nationales et étrangères à développer des appareils de navigation par satellite utilisant le système Beidou. Les autorités ont d'ailleurs livré des informations techniques sur le système disponible sur le site www.beidou.gov.cn. (Un document en anglais du système peut être consulté ici).
Des améliorations à venir
Beidou est aujourd'hui précis à 25 mètres. Mais, selon les autorités chinoises, il est encore possible d'améliorer ce point pour descendre à 10 mètres en 2012. Le système permet également aux utilisateurs d'envoyer des messages courts, mais les fonctionnaires présents lors de la conférence de presse de mardi n'ont pas expliqué comment le dispositif fonctionnait.
D'autres alternatives au GPS existent déjà ou sont en cours développement. La Russie a son réseau Glonass, et l'Union européenne développe son système de navigation par satellite Galileo. Le Japon a également lancé ses propres satellites afin d'améliorer les services de navigation dans le pays.
Google et Microsoft affûtent leurs moteurs de recherche pour 2012
Alors que Google et Microsoft ont mené une « guerre de tranchées » dans la recherche en ligne tout au long de l'année, chacun espère trouver l'innovation qui changera la donne en 2012. Si les analystes hésitent pour désigner celui qui a fait le meilleur score en 2011, la plupart s'accordent pour dire que l'activité de recherche est cruciale pour l'avenir de Microsoft et de Google. « Plus de concurrence entre ces géants de la technologie en 2012 est aussi une bonne nouvelle pour les utilisateurs, » selon les analystes, puisque cette lutte donnera probablement lieu à plus d'innovation et au développement de nouvelles fonctionnalités de recherche importantes. « Ni Google, ni Microsoft n'ont été capables de prendre l'avantage en 2011, si bien que leur lutte s'est transformée en guerre de tranchées, » a expliqué Dan Olds, analyste chez Gabriel Consulting Group. « Mais pour autant, la concurrence entre les deux leaders ne va pas être plus simple. Chaque rival va tenter de gagner du terrain. Cela risque d'être intéressant, » a t-il ajouté.
Les analystes sont d'accord aussi pour dire que les percées réalisées par Microsoft cette année sont liées à ses partenariats avec les leaders du réseau social, à savoir Facebook et Twitter. Pour Patrick Moorhead, analyste principal chez Moor Insights & Strategy, c'est grâce à ces accords que Bing a profité d'un léger avantage sur Google en 2011. « Je pense que cette année, Microsoft a gagné en terme de croissance globale et de mouvements stratégiques, » a estimé l'analyste. Pour lui, « Bing offre une meilleure intégration avec les médias sociaux, avec les terminaux iOS et la console de jeux Xbox/Kinect. Par contre, Microsoft a fait peu d'effort sur l'international dans le domaine de la recherche de données et de l'analyse. » Rob Enderle, analyste chez Enderle Group, a convenu que l'investissement marketing consacré à Bing a été payant pour Microsoft « Les fonctionnalités de Bing se sont affirmées comme une alternative plus agréable, plus intéressante à Google Search, » a déclaré l'analyste.
Des positions presque figées : 65 % Google contre 30 % pour Bing
Au final, Bing a bénéficié d'un certain élan. Par exemple, le moteur de recherche de Microsoft a récolté quelques parts de marché suite au partenariat signé avec Yahoo en juillet 2009. Et l'entreprise de Redmont a vu l'avenir de Bing de manière encore plus positive en juillet 2011, quand, pour la première fois depuis deux ans, la part de marché de Google Search est tombée en dessous des 65%. Pendant cette période, la part de marché de Bing a presque doublé. Mais la part de Google est à nouveau passée au-dessus des 65% cet automne. La bataille des deux challengers reste donc nourrie et soutenue. « Google semble capitaliser sur sa notoriété et n'a pas de problème à maintenir sa part de marché, » a déclaré Dan Olds. « Au début de l'année 2011, Google détenait 66% de la recherche en ligne aux États-Unis, contre 30% environ pour Bing. En octobre, le rapport de force n'a quasiment pas changé, Google détenant les deux tiers du secteur de la recherche et Bing 30%. « Dans l'intervalle, Google n'est pas parvenu à passer des accords de partenariat avec les leaders des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, et cela pourrait finir par jouer dans la balance, » estiment les analystes. Google a mis à profit son réseau social Google+, lancé l'été dernier, en l'intégrant avec son moteur de recherche, mais la base d'utilisateurs de Google+ reste bien en deçà des 800 millions de membres de Facebook, ce qui représente un certain handicap pour la recherche sociale de Google.
Pour Patrick Moorhead, en 2012, « année de l'intégration mobile » selon lui, les deux rivaux doivent se concentrer sur le marché mobile. La recherche va tenter de s'insinuer dans toutes les apps pour smartphone, d'une façon ou d'une autre. Cela comprend des recherches sur les vidéos, les photos et même les sons. Les plus grandes percées se produiront sans doute dans le domaine de la recherche d'images, qui vont favoriser le shopping, le développement de services géolocalisés, et même les critiques gastronomiques. » L'analyste reconnait aussi que les deux géants de la recherche doivent se concentrer sur l'amélioration de l'intégration avec les réseaux sociaux, en proposant par exemple du shopping localisé et des promotions quotidiennes.
Dan Olds fait également remarquer que la situation précaire du pionnier de l'Internet et un temps leader de la recherche - Yahoo - crée une incertitude sur le secteur de la recherche pour l'an prochain. Depuis le licenciement du PDG Carol Bartz en septembre, certains analystes spéculent sur le fait que Microsoft pourrait à nouveau tenter de racheter l'entreprise californienne, mais à un prix très en deçà des 40 milliards de dollars et plus, offerts en 2008. « L'acquisition de Yahoo - ou même seulement une partie - pourrait être une aubaine pour Microsoft dans la bataille qui l'oppose à Google, » ont-ils ajouté.
(...)(27/12/2011 11:50:52)Volkswagen met les Blackberry en pause après le travail
Les réactions hostiles aux sollicitations professionnelles interrompues, par smartphones interposés, commenceraient-elles à se manifester ? Reuters signale que le constructeur automobile Volkswagen a accepté d'interrompre les envois d'e-mails effectués en dehors des heures de travail à ses collaborateurs allemands. L'agence de presse explique que le management de l'industriel européen a trouvé avec les représentants des salariés un accord posant des limites strictes sur les créneaux horaires pendant lesquels les employés peuvent recevoir des e-mails de travail sur leur téléphone Blackberry. Précisément, ces messages ne peuvent démarrer qu'une demi-heure avant que la journée de travail ne commence et doivent s'interrompre une demi-heure après qu'elle se soit achevée.
Malheureusement, ces règles ne s'appliqueront pas aux équipes de direction de Volkswagen, mais on peut supposer qu'elles sont rémunérées en conséquence. De nombreux autres salariés ne sont pas non plus concernés par l'accord, en particulier ceux qui doivent assurer la maintenance des équipements 24 h / 24.
Des règles à se fixer soi-même
Est-ce qu'une mesure similaire pourrait s'appliquer aux Etats-Unis, s'interrogent nos confrères de PC World ? Une étude montre que la plupart des Américains consultent leur messagerie tous les quarts d'heure environ. Bien sûr, cela ne signifie pas que tous répondent aux e-mails de leur responsable hiérarchique quelle que soit l'heure, mais « nous sommes nombreux à le faire », reconnaissent-ils.
Pour récupérer un peu de tranquillité, JR Rafael, de PC World, suggère quelques pistes :
1 - Fixez-vous un couvre-feu pour les e-mails et respectez-le,
2 - Programmez des horaires pour les e-mails,
3 - Déterminez un jour sans e-mail,
4 - Prenez un congé... sans téléphone, sans ordinateur portable, sans tablette ni autre terminal électronique,
5 - L'urgence ne se traite pas par e-mail. En cas d'urgence, l'expéditeur téléphonera, enverra un SMS ou trouver une autre façon de vous joindre.
Votre terminal Android est-il prêt pour Ice Cream Sandwich ?
L'une des premières marques à communiquer sur le déploiement à venir d'Android 4 est Samsung, avec qui Google a développé le Galaxy Nexus. Le coréen annonce la migration prochaine d'Ice Cream Sandwich sur les différents modèles de Galaxy S2 ainsi que sur les Galaxy et Note. Côté tablettes, les Galaxy Tab 7.0 Plus, 7.7, 8.9 et 1.01 bénéficieront également de cette mise à jour. En revanche, les Galaxy S, Galaxy Ace et Galaxy Tab 7 en seront privé, la quantité de mémoire vive est en effet insuffisante.
Autre constructeur proposant des terminaux sous Android, Sony confirme que ses Tablet S et Tablet P disposeront bien de la mise à jour du système d'exploitation de Google. De son côté, Sony Ericsson a dévoilé le calendrier de déploiement d'Android 4.0 sur l'ensemble de ses smartphones Xperia. Les mises à jour s'étaleront de mars à mai 2012 selon les modèles.
Quant à LG, la majorité des ses modèles (Prada, Eclipse, gamme Optimus) feront également le grand saut au cours du printemps et de l'été prochain. Enfin, HTC a annoncé que ses gammes Evo 3D, Evo Design, Rezound, Vivid, ainsi que toute la gamme Sensation passera d'Android Gingerbread à Ice Cream Sandwich début 2012. Il convient de noter que l'historique Nexus One, le premier "Google phone" précisément fabriqué par HTC, ne sera pas compatible avec Android 4...
Sur l'AppStore, une application de course compatible Bluetooth 4.0
Le développeur Body-Pro avance que sa nouvelle application CardioMapper, annoncée cette semaine, est la première du genre compatible avec le Bluetooth 4.0 de l'iPhone 4S. Elle permet de surveiller son rythme cardiaque pendant l'effort en temps réel grâce à un dispositif Bluetooth Smart ou Wi-Fi.
Cette application enregistre aussi les parcours d'entraînements via le GPS, grâce à des outils d'analyse, un assortiment de coaches virtuels et un mode d'entraînement en fractionné. CardioMapper, désormais disponible sur l'AppStore d'Apple (1,99$, soit 1,50€ environ), enregistre courses, randonnées pédestres ou à vélo et affiche des données de vitesse, le nombre de calories dépensées, les distances, ainsi que des données de rythme cardiaque en direct, lorsque l'appli est connectée à un moniteur de fréquence cardiaque.
En juin, Dayton Industrial avait annoncé le lancement de la phase de production de son nouveau moniteur de fréquence cardiaque équipé de la technologie Bluetooth 4.0, prêt-à-l'emploi en quelques secondes, selon le site spécialisé Medgagdet. Ce nouveau gadget dispose d'un capteur ultra-fin (de 1,1 cm d'épaisseur), selon le fabricant.
Un thermomètre Bluetooth 4.0 devrait également voir le jour bientôt, de même que d'autres appareils facilitant la mesure de la tension artérielle, du poids ou de taux de glucose dans le sang. Selon l'association Bluetooth Special Interest Group (SIG), il existe déjà plus de 40 millions de dispositifs médicaux équipés de la technologie Bluetooth sur le marché, et de nombreux autres devraient voir le jour dans l'année à venir.
Le smartphone de plus en plus utilisé pour les photos
Les taux de photos et de vidéos enregistrées directement depuis un smartphone plutôt qu'un appareil dédié ne cesse d'augmenter. La part des photos prises depuis un smartphone est passée de 17% à 27% en un an aux Etats-Unis. Il s'agit essentiellement de photos spontanées ou prises en vacances, la plupart du temps échangées sur les réseaux sociaux. NPD note que pour les événements plus importants, les appareils photos et les caméscopes demeurent privilégiés.
Ce sondage a été réalisé entre le 11 et le 21 novembre, auprès d'un panel représentatif de la population âgée de 13 ans et plus. Même s'il ne concerne que les Américains, il corrobore celui réalisé un peu plus tôt dans le mois par Médiamétrie pour la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), qui indiquait que 22% des utilisateurs français de smartphones prennent et stockent régulièrement des photos depuis leur téléphone.
Conséquence, en France, le marché de la photo ne cesse de baisser (-7,8% au 3e trimestre). Seuls les hybrides marquent une augmentation, timide, de leurs ventes (source : GfK).
Source illustration : www.npd.com
L'iPhone d'Apple perd des parts de marché en Europe
Le cabinet Kantar Worldpanel ComTech publie une étude sur les positions commerciales de l'iPhone. Le petit bijou d'Apple partage le monde en deux. D'un côté, les pays où il progresse. Les Etats-Unis (où il est passé de 25% à 36% entre la période septembre/novembre 2010 et la même période de 2011), la Grande-Bretagne (passé de 21 à 31% entre les deux mêmes périodes).
De l'autre côté, les pays où l'iPhone subit la concurrence, en particulier celle du Galaxy S II de Samsung. Là, se retrouvent la France (recul de 29 à 20%), l'Allemagne (de 27 à 22), l'Italie et l'Espagne enregistrent le même phénomène. « Le marché français montre des signes croissants de guerre des prix », note Dominic Sunnebo du cabinet Kantar. (...)
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