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(19/07/2011 10:46:55)

Vers une généralisation des compteurs intelligents électiques Linky

Initialement prévue entre 2012 et 2020, la généralisation du compteur électrique intelligent Linky pourrait être adoptée dès cette année, indique Le Parisien / Aujourd'hui en France dans son édition du mardi 19 juillet.

La Commission de régulation de l'énergie, qui a proposé de généraliser l'installation de Linky à l'ensemble du territoire, attend désormais la décision du gouvernement. Les Français pourraient donc prochainement profiter de ce compteur intelligent capable de communiquer à distance et en temps réel la consommation énergétique d'un foyer.

Une phase de test bien établie


Le compteur électrique Linky fait l'objet d'une phase d'expérimentation en Indre-et-Loire (Centre) et à Lyon (Rhône-Alpes) depuis début 2010. Ce test concerne quelque 250.000 Français. Plusieurs sociétés avaient été retenues pour cette phase de test, la fabrication des boîtiers a été répartie entre trois entreprises :Iskra (Slovénie), Itron (Etats-Unis) et Landis+Gyr (Suisse/Australie). A cela s'ajoute une coordination et une intégration informatique où la SSII Atos a créé une filiale spécifique à ces questions là, Atos World Grid.

A l'image de Linky, les compteurs dits « intelligents » sont des appareils évaluant la consommation de gaz et d'électricité dans un logement. Contrairement aux dispositifs qu'utilisent la plupart des Français actuellement, ces compteurs ont la capacité de s'adapter en fonction des paramètres météorologiques, des saisons, de la température et du nombre d'habitants dans un foyer. Des questions sont apparues sur la tarification de ces compteurs. Même si la ministre de l'économie a voulu rassurer les gens, cette problématique reste présente.

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(12/07/2011 11:19:10)

Les Français restent prudents sur le m-commerce

Le m-commerce n'en est encore qu'à ses début en France. Les Français utilisent encore peu leur téléphone portable pour faire des achats. Ils sont sensibles aux problématiques de sécurité et sont méfiants face à la géolocalisation. C'est ce qui ressort d'une étude CSA pour Orange et Terrafemina.

Utiliser son téléphone portable pour effectuer des achats reste une pratique encore marginale en France. Seulement un Français sur dix (9%) déclare avoir déjà effectué une opération de m-commerce. Parmi les pratiquants, la liste de leurs achats les plus fréquents concerne des produits numériques : l'achat d'une application pour Smartphone (74%), vient ensuite l'achat de jeux pour téléphone (46%), la musique (39%), une sonnerie de téléphone portable (32%).

L'achat de biens réels est plus difficile

Paradoxalement, les Français pensent que le m-commerce est amené à se développer même s'ils ne sont majoritairement pas intéressés par l'achat de produits via leurs terminaux mobiles ! Certains produits ou services recueillent alors un intérêt notable quoique minoritaire : les titres de transport en commun (28%), les places de cinéma (22%), les billets de train ou d'avion (21%) et les places de musées (21%). Seuls 8% des Français pensent que le m-commerce ne va pas se développer.

Au titre des inquiétudes vis à vis du m-commerce, on note la géolocalisation et la sécurité des transactions. Les Français sont ainsi majoritairement méfiants face à la géolocalisation. Trois quarts d'entre eux considèrent cette fonctionnalité comme trop intrusive et dangereuse. Ils estiment que le lieu où ils se trouvent relève de leur vie privée.

Reste qu'une minorité (23% des Français) voit dans la géolocalisation une opportunité pour les consommateurs de bénéficier d'offres personnalisées et avantageuses. Les Français qui sont le plus favorables à cette fonctionnalité sont des hommes de 18-34 ans et les possesseurs de smartphone.

La sécurité reste un frein

La sécurité des moyens de paiement est le critère le plus important pour se mettre au m-commerce aux yeux des français : pour 42 % d'entre eux, c'est le premier critère nécessaire. Les critère les plus cités sont ensuite : la simplicité d'utilisation (19%), la garantie de ne pas recevoir de nombreux messages de publicité (15%), les prix pratiqués (11%), les offres supplémentaires et les produits disponibles.

Les Français qui utilisent le plus le m-commerce sont les possesseurs de smartphone (25% d'entre eux ont déjà effectué un achat avec leur mobile), suivi par les CSP + (15%) et les jeunes. Un quart des hommes de 18-24 ans (25%) ont ainsi déjà pratiqué le m-commerce, tout comme 16% des femmes du même âge.


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(01/07/2011 10:00:35)

Paypal voit la disparition du portefeuille en 2015 aux Etats-Unis

« Les consommateurs délaissent de plus en plus les méthodes traditionnelles de paiement, comme les espèces et les chèques, au profit de moyens plus modernes qui peuvent être employés n'importe quand et n'importe où », indique le président de PayPal Scott Thompson dans un billet publié sur le blog de la société.

« Nous pensons que d'ici 2015, les paiement numériques seront acceptés partout aux Etats-Unis, chez l'épicier du coin comme chez Walmart. Nous n'aurons plus besoin de nous balader avec un portefeuille », ajoute-t-il.

Un test sous forme de pub

L'entreprise est tellement sûre de ce qu'elle avance qu'elle a demandé à cinq de ses employés résidant dans la région de San Francisco d'utiliser uniquement des paiements numériques pour tous leurs achats, dans le cadre d'un pseudo-concours (c'est-à-dire une vraie stratégie de marketing viral).

Pendant le discours d'ouverture du colloque GSMA Mobile Money Summit à Singapour, le directeur du département innovations mobiles de Visa, Bill Gajda, a présenté le projet de Visa visant à convertir les appareils mobiles en « véritables portefeuilles numériques ». Il a ajouté : « nous sommes à l'aube de la prochaine génération d'argent mobile en version 2.0 ».

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(30/06/2011 14:43:37)

IBM estime que les appareils médicaux connectés devront rester simples et peu coûteux

IBM a publié cette semaine une étude pour savoir à quoi ressembleront les futures applications et équipements relatifs au monde de la santé, que se soient les PC, les, tablettes ou les smartphone. Elle montre qu'au cours des dernières années les fabricants d'équipements médicaux ont ciblé, avec succès, les personnes extrêmement soucieuses de leur santé.  Elle révèle que ces équipements et services peuvent aller plus loin et intégrer des terminaux et du matériel situé à domicile en s'appuyant sur les ressources  du web tels que les dossiers médicaux  électroniques pour informer les patients sur leurs résultats médicaux et les aider à gérer leurs soins de santé de façon plus proactive.

Selon l'étude, qui a été réalisée auprès de plus de 1 300 utilisateurs de services liés à la santé et au bien-être, les scientifiques d'IBM pensent qu'un certain nombre de nouveaux outils pourront bientôt faire leur entrée. Il s'agit d'abord des équipements utilisés pour des applications de diététique, qui permettront de mesurer le mouvement, la vitesse et les calories brûlées par les patients. Ils aideront les  personnes qui ne bougent pas suffisamment à accomplir une tâche ou un mouvement. Ils seront intégrés dans des outils et observeront le traitement suivi, la pression artérielle et également le poids en délivrant une photographie complète de la santé des utilisateurs.

Un bracelet électronique d'analyse de sang

Des services concerneront aussi les soins aux seniors.  Aux États-Unis, environ 5,4 millions de personnes ont la maladie d'Alzheimer. Au Royaume-Uni, les deux tiers des personnes atteintes de démence vivent à l'extérieur d'un établissement de soins. Pour les patients souffrant de perte de mémoire, des équipements établiront l'emplacement des  médicaments et seront connectés à une boîte à pilules numérique. Ils aideront également à  localiser les patients de même que les soignants,

Un bracelet en test permettra également d'analyser automatiquement le sang et transmettra les données au médecin. Lorsque le taux de cholestérol augmentera, que le fer ou les globules blancs chuteront, les utilisateurs sauront s'ils doivent modifier leurs médicaments, ou consulter un praticien.

Illustration: Crédit photo: IBM

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L'étude montre aussi que la mobilité est un facteur essentiel. Des outils seront de plus en plus utilisés pour surveiller les mouvements des personnes non valides. Ils  amélioreront la coordination, l'amplitude des mouvements et la  stabilité des personnes. Ils détermineront également si l'utilisateur se promène régulièrement ou s'il a besoin d'aide. Des capteurs permettront  en parallèle de prédire les conditions qui pourraient mener à une chute.

Un avatar numérique du corps humain

Des applications exploreront les ondes cérébrales. Il sera plus facile pour les personnes médicalement fragiles et affaiblies d' exprimer leurs pensées et leurs sensations à travers un avatar numérique du corps humain. Avec l'aide de capteurs, des patients, même s'ils sont dans l'incapacité de parler pourront indiquer comment ils réagissent aux traitements spécifiques ou à la douleur, demander des soins médicaux, faire savoir s'ils souhaitent changer der position dans leur  lit ou demander plus d'oxygène. Ces outils captureront les données relatives aux signes vitaux en les interprétant en temps réel de manière à alerter les soignants en cas de changements soudains.

L'étude présente ensuite certains critères clés pour savoir si ces équipements seront réellement utiles à la majorité de la population.  96% des  sondés ont déclaré que la facilité d'utilisation était le facteur principal  pour choisir un équipement  plutôt qu'un autre. Un coût égal ou inférieur à 100 $ est également un facteur clé pour les trois quarts des utilisateurs qui considèrent que les prix sont plus importants que des caractéristiques comme le support client, la garantie ou un design élégant. Enfin, 86% des utilisateurs souhaitent que ces outils leur délivrent des informations en temps réel et un retour facile à comprendre. Selon l'étude, les fabricants devront renforcer leur collaboration et leurs partenariats, car il est peu probable qu'une seule entreprise dispose de toutes les capacités requises pour offrir des équipements complets.

Illustration: Crédit photo: IBM

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(21/06/2011 11:02:03)

HP veut rendre l'industrie énergétique plus intelligente

C'est sur les rives du Bosphore, à Istanbul, que plusieurs responsables d'HP ont présenté la stratégie du constructeur en ce qui concerne le smart grid. « Il y a une réelle prise de conscience de la part des industries de l'énergie des apports des technologies intelligentes, aussi bien sur le plan de la distribution à l'utilisateur final qu'en matière de production », a souligné Christian Keller, vice-président EMEA pour les industries énergétiques et de la distribution. Si ce dernier n'explique pas la part que représente cette activité au sein des résultats globaux d'HP, il précise que cette activité est en croissance et les projets sont nombreux en Angleterre, Allemagne, République Tchèque. Pour la France, le groupe travaille notamment avec Capgemini sur ces sujets, mais aucun nom n'a été donné.

Eviter les 7 péchés du smartgrid


Roy Pratt, CTO de la division Energy et Utilities de HP, pense que l'aventure du smart grid n'est pas un long fleuve tranquille et qu'il faut éviter certains écueils ou tout du moins tordre le cou à certaines idées reçues. Ainsi, il a décliné « 7 péchés » du smart grid, dont certains sont essentiels. En premier lieu, il est inutile de penser à ces technologies si on ne part pas dans une optique de transformation organisationnelle. Il ne s'agit pas simplement d'installer un compteur intelligent dans une maison, mais aussi de faire évoluer le système d'information du back office, de s'assurer d'un lien de communication bi-directionnel. La seconde faute est de vouloir tout implémenter d'un coup et de ne pas préparer le déploiement des différents éléments en plusieurs phases. « A chacune des étapes, qui peuvent s'étaler sur une dizaine d'années, il est nécessaire de tester et de réévaluer les besoins, car les technologies changent », souligne Roy Pratt.

Présentation de Roy Pratt

Présentation Roy Pratt, CTO de la division Energy & Utilities

Autre point, ne pas miser sur des solutions homogènes qui n'existent pas, la complexité de l'écosystème du smart grid implique une hétérogénéité des acteurs. Le dirigeant mise sur une coordination en matière de standardisation pour assurer le développement du smart grid, « la collaboration est nécessaire entre partenaires, mais aussi entre concurrents (entre les différents industriels de l'énergie).

Illustration : Equipe d'HP présente à Istanbul, de gauche à droite,Pat Hillon, Roy Pratt, Christian Keller, Guiliano Di Vitantonio et Douglas Hanson

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Dans son analyse, Roy Pratt ne s'est par contre pas attardé sur l'adoption de ces technologies par les consommateurs finaux. La question du coût des compteurs intelligents risque pourtant d'être un frein. « Il existe des solutions comme celles issues de la téléphonie mobile, avec une subvention ou l'intégration d'un coût supplémentaire dans l'abonnement mensuel ».

Business Intelligence et sécurité

A la fin de sa présentation, Roy Pratt a observé qu'il ne faut pas oublier qu'il s'agit avant tout de la data, les industries énergétiques consomment, selon HP, 50 To de données par heure. Et c'est là qu'interviennent les solutions analytiques. Guiliano Di Vitantonio, responsable marketing et partenariat pour l'activité Entreprise Information Solutions explique que la BI (Business Intelligence) s'applique sur les données issues du consommateur final, mais se développe également en amont, sur la production d'énergie. Pour lui, les outils décisionnels ont changé pour devenir une « intelligence connectée », a-t-il expliqué en donnant un exemple sur la prospection des puits de pétrole, notamment sur les plateformes off-shore. La solution baptisée Digital Oilfield Intelligence coordonne l'ensemble des informations issues des différents métiers et les données provenant des dizaines de milliers de capteurs pour optimiser l'exploration, l'extraction et la distribution des plateformes pétrolières. Le responsable indique qu'il s'appuie notamment sur l'offre Vertica capable de traiter et d'analyser des données en quantité massive.

Enfin, pour terminer ce tour d'horizon de l'expérience de HP sur l'industrie énergétique, la question de la sécurité se place au coeur de la réflexion du smart grid. L'affaire Stuxnet a été un déclencheur, car ce ver s'attaquait à des systèmes Siemens SCADA qui sont très utilisés par les industries de réseaux. Pour autant, Douglas Hanson, directeur de la division Global Energy et ressource Industries, explique que « les affaires récentes de Sony ou Sega où des données personnelles ont été volées montrent que la protection doit être pensée sur l'ensemble de l'écosystème du smart grid. » Il est donc nécessaire selon lui d'avoir une méthodologie pour appréhender la sécurité : « la menace ne vient pas nécessairement de l'extérieur, mais il faut intégrer la dimension sécurité au sein de l'entreprise ».

Au final, le smart grid progresse et séduit de plus en plus d'industriels. Il existe encore quelques réticences, mais les responsables de HP sont bien décidés à rassurer et à évangéliser les indécis.

Illustration : Equipe d'HP présente à Istanbul, de gauche à droite,Pat Hillon, Roy Pratt, Christian Keller, Guiliano Di Vitantonio et Douglas Hanson

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(17/06/2011 11:17:55)

Thalys veut supprimer le billet et le mettre sur mobile

Expérimenté en 2004 puis généralisé en 2008, le programme Ticketless de Thalys, utilisé dorénavant par 20% de la clientèle, permet d'embarquer à bord des trains simplement avec sa carte de fidélité Thalys TheCard, son Navigo (pour les 4 000 voyageurs expérimentant l'innovation) ou le mail de confirmation d'achat imprimé.

Souhaitant étendre le programme à l'ensemble de ses passagers et abandonner définitivement le billet papier dès cette année, Thalys a testé le MobileTicketing depuis début 2011 auprès de 250 voyageurs business. Nouvelle étape de l'expérimentation : les passagers munis de Thalys TheCard peuvent accéder gratuitement à ce nouveau service dès à présent.

Généralisation attendue


Ensuite, il sera proposé à la rentrée prochaine à tous les voyageurs réservant sur le site Internet de la compagnie ferroviaire et souhaitant voyager « Ticketless ». Grâce à cette technologie, les voyageurs n'ont qu'à présenter leur téléphone portable au contrôleur pour embarquer dans les trains. Via un code 2D qu'il scanne, ce dernier obtient toutes les informations inhérentes au voyage, comme le numéro du train ou l'identité du passager. Pour mémoire, la SNCF envisage un projet similaire pour proposer des billets « en bout de quai ».

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(15/06/2011 14:35:19)

La SNCF teste le billet en bout de quai avec la technologie NFC

L'expérimentation sera menée sur un panel de voyageurs business, habitué aux trajets en train mais aussi au billet électronique. En plus de pouvoir acheter directement leur billet en passant leur téléphone sur la borne, ils auront la possibilité d'échanger simplement leur ticket s'ils désirent prendre le train précédent. « L'application détecte automatiquement la présence d'un billet électronique dans le téléphone et propose de l'échanger contre un billet pour le train qui est à quai. Pas besoin de choisir une destination puisque la borne sait où va le train », explique l'entreprise ferroviaire.

Le flash-code en complément

Cette technologie est fondée sur la technologie du flash-code, un code 2D contenant plusieurs informations sur le passager et le voyage. En scannant le flash-code avec l'appareil photo de son smartphone, le voyageur est informé des places disponibles pour les gares desservies par le train stationné sur le quai. Il peut alors acheter son billet directement sur son mobile et le présenter au contrôleur.

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(14/06/2011 10:53:30)

Quand le réseau est surveillé par les médias sociaux

L'objectif est d'accélérer les diagnostics et de résoudre les problèmes réseau en quelques secondes. Les mises à jour peuvent s'effectuer via n'importe quel équipement mobile et des interfaces comme Twitter, Facebook, LinkedIn et Chatter. Dans cette démarche baptisée ISAAC, Enterasys reçoit le soutien de Marc Benioff, PDG et fondateur de Salesforce : « L'intégration de la solution d'Enterasys nous aidera à différencier encore plus Chatter pour en faire un outil permettant de gérer une activité à l'échelle mondiale. »

Elément différenciant de la proposition d'Enterasys : « un traducteur bidirectionnel en temps réel révolutionnaire qui permet à un administrateur de communiquer avec le réseau dans sa langue maternelle » affirme Chris Crowell, PDG d'Enterasys.  Cette solution de supervision sera disponible pour tous les clients de la plateforme de supervision de réseau d'Enterasys à compter de juillet 2011. À titre promotionnel, elle sera gratuite jusqu'au quatrième trimestre 2011, puis sera commercialisée à partir de 10 000 dollars début 2012.

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