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(30/10/2006 12:43:04)

Firefox 2 : 2 millions de téléchargements en 24 heures

Un succès crescendo pour Firefox : le navigateur de Mozilla dans sa version 2 aurait été téléchargé par plus de 2 millions d'internautes en 24 heures, indique son éditeur. Atteignant des niveaux records auprès de la communauté des internautes naviguant sur les outils de la marque. Lors de leur lancement, les serveurs avaient enregistré en 24 heures 1 million de téléchargements de Firefox 1.0 et 1,5 millions de Firefox 1.5. La semaine dernière, Microsoft avait annoncé que, quatre jours après sa sortie, la version 7 d'Internet Explorer (uniquement disponible en anglais) avait totalisé trois millions de téléchargements. (...)

(30/10/2006 11:41:33)

Red Hat se prémunit contre l'offre d'Oracle

Après l'annonce d'Oracle jeudi, d'une offre de support de Red Hat Linux pour un prix de 50% inférieur (environ) à celui pratiqué par Red Hat lui-même, l'éditeur du Linux le plus populaire dans les entreprises a dû prendre quelques mesures pour soutenir son cours de Bourse. Vendredi, Red Hat a annoncé un plan de rachat de ses propres actions, à hauteur de 250 millions de dollars, plus 75 M$ de dette. Jeudi, le cours avait chuté de 24%, à 14,83 dollars. Vendredi, après cette annonce, il remontait de 5,39%. Nombre d'observateurs s'étaient d'ailleurs demandé si l'annonce d'Oracle n'était pas tout simplement un moyen de faire baisser le prix de Red Hat afin de pouvoir le racheter. Côté prix du support, Matthew Szulik, le CEO de Red Hat, a décidé de camper sur ses positions. Il l'a affirmé vendredi, sur la chaîne câblée américaine CNBC, et a démarré une campagne de communication sur le thème « unfakeable Linux », qu'on pourrait traduire par « Linux incopiable », en réponse au « unbreakable Linux » (Linux incassable) d'Oracle. Iain Gray, vice président responsable des offres de services de support de l'éditeur, a ainsi estimé que le prix n'était pas le principal souci des utilisateurs. « Personne ne m'interroge sur le prix du support, dit-il. La majorité des préoccupations qui nous sont rapportées concernent la façon dont on gère le support de l'infrastructure, comment on travaille avec de multiples fournisseurs de matériels et de logiciels. » L'IOUG se dit « très excitée » par l'annonce d'Oracle Dans son blog, Dave Dargo, CTO d'Ingres, concurrent Open Source d'Oracle, a ainsi raillé la promesse d'économies d'Oracle, en rappelant que les quelques centaines de dollars concernées ne sont qu'une paille au regard du coût du support de la base de données. Le club des utilisateurs Oracle, en revanche, s'est dit « très excité » par l'annonce, la moitié de ses membres environ faisant tourner leur base Oracle sur Linux. Ari Kaplan, président de l'IOUG (Independent Oracle User Group), apprécie l'idée d'avoir un fournisseur unique : « Ce support d'Oracle pour Linux embrasse toute la couche des meilleures technologies depuis le système d'exploitation jusqu'à la base de données, [en passant par] le middleware Fusion, le serveur d'applications et les applications. » Rien ne dit en revanche que le support proposé par Oracle sera à la hauteur, en termes de réactivité ou de connaissance du produit, de celui offert par le propre concepteur de cette distribution Linux. Et comme le soulignait il y a quelque temps Dave Dargo dans un entretien avec www.lemondeinformatique.fr, Oracle ne peut faire que la moitié du chemin vers un support global : dans la mesure où la base de données n'est pas sous licence GPL, Oracle ne peut pas offrir de correctif intégré pour l'ensemble, base et système d'exploitation. (...)

(27/10/2006 17:52:44)

Sourcelabs lève 7 M$

Sourcelabs vient de lever 7 M$ auprès des fonds Madrona Venture, Ignition Partners et Index Ventures. Dans un communiqué, l'éditeur indique qu'il prévoit « d'utiliser ces fonds supplémentaires pour la croissance de ses activités ». Sourcelabs a été fondé en septembre 2004 par trois anciens cadres de BEA pour proposer deux types de services : tout d'abord tester, puis certifier des projets de serveurs Open Source en vue de les doter d'une « garantie d'utilisation ». Aujourd'hui, Sourcelabs commercialise notamment un système de support automatisé pour solutions Open Source. Confiant dans son ambition de convaincre des entreprises américaines frileuses à l'égard de l'Open Source, Byron Sebastian, PDG de SourceLabs, estime que le logiciel libre est de plus en plus perçu « comme un impératif stratégique » et plus simplement comme une source d'économies. (...)

(27/10/2006 15:43:56)

Soirée de lancement Firefox 2 : petits fours et buffets libres

Que de chemin parcouru depuis la version 1.0, constate Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, en avant-première de la soirée de lancement officiel de Firefox 2.0. "On était une quinzaine de personnes pour fêter le lancement de la 1.0, devant une flamiche". A voir les buffets garnis ainsi que les quelque 400 participants entassés dans les locaux du Conseil régional d'Ile-de-France - et surtout les 900 "malheureux" qui n'ont pu accéder aux festivités, faute de place -, la communauté Firefox et Mozilla française a, de toute évidence, pris de l'embonpoint. Traducteurs, développeurs volontaires, associations de promotion du logiciel Libre, tous étaient conviés à fêter le lancement de la dernière génération du navigateur Open Source. A noter également la présence de Christopher Beard et de Mike Schroepfer, respectivement vice-président produit et vice-président vice président ingénierie de Mozilla, qui avaient fait le déplacement depuis les Etats-Unis pour l'occasion. Il faut noter que, selon Tristan Nitot, la fête du lancement en France est LE succès mondial et aurait, selon lui, rassemblé plus de personnes que dans les autres pays, Etats-Unis compris. Sur fond des nouveautés technologiques de Firefox 2 (voir à ce sujet les blogs d'Olivier Rafal et de Bertrand Lemaire), les participants ont pu écouter Jean-Paul Huchon, président de la région, faire un bref état des lieux de la bonne santé des nouvelles technologies régionales. Et en toute convivialité, constater la portée de Firefox ainsi que l'esprit ouvert du logiciel communautaire en France. Avant de repartir, repus, un t-shirt sur les épaules, frappé à l'effigie du navigateur. (...)

(27/10/2006 12:33:15)

Canonical annonce la version 6.10 d'Ubuntu

Située sur l'île de Man (un paradis fiscal), dans la mer d'Irlande, Canonical est une société fondée et financée par Mark Shuttleworth, un entrepreneur sud africain, et dédiée à la promotion de projets Open Source tels que Ubuntu (une distribution Linux GNU basée sur Debian), Bazaar (une implémentation de GNU Arch), Go Open Source (pour la promotion des logiciels libres en Afrique du Sud) et TheOpenCD (une collection d'applications libres pour Windows). Parmi les nouveautés de la mouture 6.10 d'Ubuntu dénommée « Edgy Eft », on trouve le processus de démarrage rapide UpStart qui remplace le vieux procédé de boot utilisé sous système V Unix. A noter que Edgy Eft arrive juste quelques jours après Fedora Core 6 de Red Hat, distribution Linux également gratuite et déjà téléchargée plus de 10 000 fois au cours des cinq premières heures de présence en ligne. Mais grande différence, Canonical propose un support gratuit alors que Red Hat enjoint ses utilisateurs à passer à la version Red Hat Enterprise (payante) pour obtenir un support. Précisons que Ubuntu 6.10 accueille notamment la dernière version de l'interface graphique Gnome 2.6, le navigateur Web Firefox 2.0, le logiciel de courrier électronique Evolution 2.8 ainsi que Tomboy, un utilitaire pour prendre des notes et enfin F-Spot pour gérer des photos. (...)

(26/10/2006 17:16:31)

Java sera open-source d'ici 30 à 60 jours

Confirmant son intention de publier le code source de Java avant la fin de l'année, Jonathan Schwartz, le patron de Sun a profité de son Keynote à Oracle OpenWorld pour annoncer la disponibilité sous 30 à 60 jours du code source de Java Standard Edition. Selon Schwartz, cette publication se fera sous une licence compatible avec les règles de l'OSI (Open Source Initiative), vraisemblablement la même que celle attachée à Solaris. Schwartz a profité de la conférence pour se féliciter du succès de son programme Open Source et notant qu'il a accéléré l'adoption de ses outils. Il a notamment cité en exemple Solaris, l'OS maison, qui a passé la barre des 6 millions de licences actives dans le monde. 70% de ces licences seraient déployées sur des machines signées Dell, HP et IBM, selon Schwartz. (...)

(26/10/2006 17:07:30)

Oracle lance Unbreakable Linux 2.0 dans les jambes de Red Hat

Après avoir officiellement effectué la clôture du NASDAQ pour le 20e anniversaire de la cotation d'Oracle en bourse, Larry Ellison a annoncé hier le lancement d'Oracle Unbreakable Linux 2.0. Cette offre, qui se présente en surface comme une offre de support Oracle pour le système d'exploitation Linux de Red Hat, marque en fait l'entrée officielle d'Oracle sur le marché des distributions Linux. Selon Larry Ellison, deux obstacles entravent encore la progression de Linux dans les entreprises. Le premier est l'absence d'un véritable support entreprise pour l'OS. Oracle indique notamment que les entreprises doivent souvent attendre la prochaine version du kernel linux pour bénéficier d'un correctif, sans possibilité de régression sur le kernel existant. "Pour les grands comptes, c'est tout simplement inacceptable. Un vrai support entreprise nécessite des correctifs pour la mouture en production et non pas sur une version à venir". L'autre obstacle selon Ellison est le coût élevé du support Linux et la menace de violation de propriété intellectuelle qui pèse toujours sur l'OS. "Accélérer l'adoption de Linux dans les entreprises" C'est officiellement pour résoudre ces problèmes et accélérer la diffusion de Linux dans les entreprises qu'Oracle lance Unbreakable Linux 2.0. La nouvelle offre résonne comme un défi à Red Hat. Ce que propose en effet Oracle est de supporter la distribution du numéro un mondial Linux pour 50 à 66% moins cher que Red Hat. Le programme n'est pas limité aux clients des autres produits Oracle, mais ceux-ci bénéficient d'une période d'essai gratuite de 50% sur les tarifs de lancement Concrètement quand Red Hat facture 999$ par serveur bi-processeur pour son support de base, Oracle propose une offre équivalente pour 399$. Pour un nombre illimité de processeurs, le prix d'Oracle est de 999$ contre 2499$ pour Red Hat. Oracle propose aussi un support "Premier" 24/24 au niveau mondial avec notamment la correction des bugs, l'indemnisation et la protection juridique contre toute violation de propriété intellectuelle et le portage des correctifs sur les versions existantes ou antérieures du Kernel. Ce support est facturé 1199$ quelque soit le nombre de CPU. Plus qu'un programme de support, une vraie distribution Dans la pratique, Oracle supporte l'ensemble des versions de Red Hat advanced Server (3 et 4) sur plates-formes x86 32 et 64 bit (le support d'autres plates-formes comme Itanium et Power est à l'étude). L'éditeur fournit un programme de configuration qui en quelques secondes reparamètre l'OS pour aller chercher ses mises à jour et correctifs sur l'Unbreakable Linux Network (ULN) en lieu et place de Red Hat Network (RHN). Oracle ne s'arrête toutefois pas là et propose sa propre version de Red Hat sous la forme de binaires et d'images ISO. Selon Oracle, il ne s'agit pas d'un fork (une version autonome parallèle). Comme l'explique Wim Coekaerts le vice-président de l'ingénierie Linux de la firme, "Nous récupérons le code source de Red Hat et en retirons les marqueurs ainsi que les éléments copyrightés [tels que les logos, NDLA]. Ce code est ensuite recompilé pour générer nos exécutables". Coekaerts assure qu'Oracle synchronisera systématiquement les correctifs qu'il apportera à "son" Linux avec le code de Red Hat de façon à éviter la fragmentation. Oracle communiquera également le code source de ses correctifs dès leur publication aux autres distributeurs Linux ainsi qu'à la communauté. Menace pour l'avenir de Red Hat ? Interrogé sur le risque d'affaiblir voire à terme de menacer l'existence de Red Hat, Larry Ellison, provocateur, a rappelé que le but d'Oracle est "d'accélérer l'adoption de Red Hat Linux. Je ne pense pas que cela va tuer Red Hat. Cela relève la barre du support et les amènera peut-être à revoir leurs prix. C'est le capitalisme. C'est la concurrence". A un utilisateur qui l'interrogeait sur la volonté d'oracle de baisser les coûts de support de ses propres produits, Ellison a également rétorqué, moqueur, qu'Oracle " étudie toujours la baisse de ses prix". Comme le rappelle dans son blog Dave Dargo, le CTO d'Ingres, il est facile de mettre en avant des économies de quelques centaines de dollars sur le support Linux quand on continue à facturer 35000 dollars pour le support de sa propre base de données. Et Oracle ne court aucun risque que Red Hat vienne riposter sur son terrain. Le code source de son SGBD et de ses logiciels est fermé et les dirigeants de la firme ont confirmé que cela n'était pas près de changer. En attendant, l'action Red Hat plongeait de plus de 10% dans les transactions après la clôture du NASDAQ effectuée par Ellison. (...)

(25/10/2006 17:45:09)

Munich met le turbo pour sa migration vers l'open source

Munich a effectivement commencé à migrer ses 14 000 postes de travail sous Linux au mois de septembre dernier, trois ans après avoir lancé son projet LiMux et avec un an de retard. Loin de vouloir renoncer, la ville espère désormais rattraper ce retard en accélérant les déploiements : « nous prévoyons de finaliser la migration d'ici à 2008 et je ne vois aucune raison de ne pas y parvenir », explique Wilhelm Hoegner, DSI de Munich. Dans ce délai de moins d'un an, la ville espère notamment réussir à convaincre certains de ses fournisseurs de lui fournir les connecteurs nécessaires à l'interface entre ses applications et ses postes de travail. SAP a déjà accepté d'intégrer la suite bureautique OpenOffice avec une prochaine version de son progiciel. Du point de vue utilisateur, Christine Strobl, la mairesse de Munich, s'avoue déjà satisfaite du début de la migration : « je ne suis pas une experte en technologie, mais je dois admettre qu'il est extrêmement facile de migrer vers ces nouveaux logiciels. » Le retard enregistré par le projet ne devrait pas entraîner de surcoût . En s'appuyant sur les coûts actuels, Wilhelm Hoegner estime que la migration devrait coûter moins que les 35 ME prévus au budget. (...)

(24/10/2006 17:44:55)

Microsoft ouvre les spécifications de SenderID

Microsoft vient d'ajouter SenderID à la liste de ses spécifications accessibles librement via le programme Open Specification Promise (OSP). Lancé en septembre dernier, le programme OSP rassemble les technologies mises au point par Microsoft et exploitables librement par des tiers pour leurs développements. SenderID est une solution imaginée par le géant de Redmond pour lutter contre les pourriels. Elle doit notamment permettre de déterminer la légitimité d'un courriel en vérifiant si l'adresse d'expédition a été usurpée ou non. Cette ouverture ressemble à une tentative de Microsoft pour donner une seconde chance à SenderID. En effet, l'IETF a abandonné en septembre 2004 ses travaux de standardisation de cette technologie antispam en raison d'un conflit lié à la licence imposée par Redmond. Le projet Debian estimait par exemple que cette licence violait les « Debian Free Software Guidelines ». La fondation Apache, parmi d'autres, la jugeait en contradiction avec l'esprit du logiciel libre. Après avoir adopté SenderID en juillet 2004, AOL avait à son tour tourné les talons au bout de mois. En avril dernier, l'IETF a accepté de prendre en compte SenderID sous la forme d'un RFC (Request For Comment) expérimental. Microsoft revendique 600 millions d'utilisateurs pour SenderID, répartis sur plus de 5 millions de domaines. (...)

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