Flux RSS
Open Source

1843 documents trouvés, affichage des résultats 641 à 650.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(13/08/2008 14:29:48)
Linux à l'Assemblée nationale : trois députés racontent
Il y a un an, l'Assemblée Nationale dotait les députés de PC sous Linux (sous Ubuntu). Quel bilan en tirent les intéressés, archétypes des décideurs de haut niveau mais non-informaticiens ? Les trois députés ci-après, avocats de profession, répondent à nos confrères de CIO-online.com.
Rudy Salles, vice-président de l'Assemblée Nationale, notamment en charge des questions informatiques, député Nouveau Centre des Alpes Maritimes.
Député depuis 20 ans, il revient sur l'évolution de l'informatique et de la bureautique des députés telle qu'il l'a vécue, en particulier sur la bascule Linux de l'an passé. Au premier plan de la prise de décision très politique de la bascule sous Linux, il en explique les conditions. Une bascule vers Linux, pour lui, n'a rien changé de plus qu'une bascule de Windows XP à Windows Vista. Les stages de formation ont même été jugés inutiles...
Rudy Salles utilise un smartphone qu'il coordonne avec l'agenda partagé de l'Assemblée Nationale. Sa permanence est restée sous Windows et la mairie de Nice, où il a également un mandat, utilise IBM Lotus Notes sans soucis de compatibilité ou d'échanges de fichiers. Le nouveau SI de l'Assemblée Nationale est plus économique (500 000 euros de moins) et permet de rétablir l'équilibre entre députés de la région parisienne et de province.
L'interview de Rudy Salles en vidéo
Pierre Lasbordes, député UMP de l'Essonne
Député depuis 11 ans, il revient sur l'évolution de l'informatique des députés telle qu'il l'a vécue, en particulier sur la bascule Linux de l'an passé. En circonscription, ses collaborateurs sont sous Windows et la cohabitation se passe bien. Pierre Lasbordes n'utilise pas de smartphone.
L'interview de Pierre Lasbordes en vidéo
Alain Vidalies, député PS des Landes
Député depuis 20 ans, il revient sur l'évolution de l'informatique et de la bureautique des députés telle qu'il l'a vécue, en particulier sur la bascule Linux de l'an passé. Vraiment pas technophile assumé, Alain Vidalies n'a pas rencontré de véritable difficulté. Il n'utilise pas de smartphone. En circonscription, Alain Vidalies a également basculé sous Linux.
L'interview de Alain Vidalies en vidéo (...)
VMware rejoint la Fondation Linux
L'Américain VMware, qui domine largement le marché des solutions de virtualisation de serveurs, vient d'annoncer qu'il rejoignait la Fondation Linux, comme l'ont déjà fait Adobe, AMD, Google, HP, IBM ou encore Intel. L'an dernier, le fournisseur avait déjà versé dans l'open source certains de ses outils et, en 2006, il avait ouvert les spécifications de l'interface de sa machine virtuelle qui permet à un système d'exploitation 'invité' de communiquer avec son hyperviseur. La démarche de VMware s'inscrit dans un mouvement d'ouverture et de collaboration entre les acteurs de la virtualisation à un moment où, pourtant, la concurrence entre eux ne fait que s'aiguiser dans le domaine des outils de haut niveau. VMware subit notamment une forte pression commerciale de la part de Microsoft qui a livré en juin son offre Hyper V. Pour contrer cette sortie, VMware a lui-même annoncé EXSi, une version réduite et gratuite de son hyperviseur. Parmi ses concurrents figurent aussi Citrix qui a racheté en août 2007 l'éditeur Xensource et son logiciel en open source. Ce dernier est par ailleurs mis à profit dans les solutions de virtualisation de serveurs d'Oracle et de Sun. (...)
(07/08/2008 08:26:15)LinuxWorld : IBM veut préinstaller Lotus sur les serveurs et appliances Linux
Une alternative au Small Business Server de Microsoft se dessine. IBM a annoncé lors de la conférence LinuxWorld de San Francisco un accord avec Red Hat, Ubuntu et Suse pour embarquer dans leurs distributions ses outils de collaboration et de communication de la gamme Lotus : Notes, Sametime et Symphony. Jeff Smith, vice-président middleware Linux et Open Source d'IBM, a expliqué que le but était de concurrencer, à moindre prix, la prédominance de Microsoft sur le marché des petites et moyennes entreprises, en fournissant un système très simple à installer. En outre, a-t-il ajouté, cela pourrait aider Linux à développer sa présence sur les postes de travail. Pour IBM - jamais avare d'une amabilité à l'égard de Microsoft -, vu le peu d'empressement des entreprises à adopter Vista, la présence d'outils de collaboration sur Linux pourrait inciter ces dernières à se tourner vers l'OS libre. Dans le même mouvement, IBM s'est tourné vers les revendeurs à valeur ajoutée (VAR) et les fabricants de matériels, afin d'inclure sa suite Lotus au sein d'appliances. Ces serveurs spécialisés requièrent en effet un minimum d'intervention humaine, un plus pour vendre à des PME. Les VAR pourront aussi adapter la suite Open Collaboration Client Solution (OCCS) selon les besoins de leurs clients. En revanche, il restera des coûts liés aux logiciels d'IBM : seuls quelques éléments de la suite sont en Open Source. (...)
(01/08/2008 16:07:40)L'April réitère ses revendications de visu à Eric Besson
Deux représentants de l'April ont été reçus hier par Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé du développement de l'économie numérique. Pendant une demi-heure, Frédéric Couchet, délégué général, et Alix Cazenave, chargée de mission, ont pu exposer le point de vue des 2 300 membres de l'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre. Eric Besson doit rendre rapidement au premier ministre un pré-rapport dont la version définitive sera publiée au mois de septembre. Ce rapport pourrait s'intitulé "France numérique 2012". "M. Besson nous a surtout écoutés" ont précisé les deux membres de l'April qui ont renouvelé leurs propositions émises lors des Assises du numérique qui se sont tenues courant juin. Parmi les points sur lesquels ils ont insisté, figurent la nécessité de maintenir un cadre juridique neutre vis-à-vis du logiciel libre et la lutte contre des pratiques discriminatoires comme les ventes liées ordinateurs-logiciels. Sur ce point, l'April partage la même position que l'UFC-Que Choisir . Le TGI de Paris a d'ailleurs rendu une décision le mois dernier obligeant Darty à afficher les prix des logiciels livrés avec ses micros. Rappelons que, mi-juin, Luc Chatel, secrétaire d'Etat à la consommation, avait été très critiqué par l'April pour avoir décidé de retirer un amendement à loi de modernisation de l'économie (LME) qui réitérait l'obligation de détailler le prix des logiciels pré-installés sur les micros. Une mesure qui se heurte à la résistance forcenée des fournisseurs. La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) a été appelée à la rescousse pour trouver un terrain d'entente. L'April soutient aussi deux propositions contenues dans le rapport réalisé par la commission pour la "libération de la croissance française" sous la présidence de Jacques Attali. D'une part, une quote-part de 20% des commandes publiques réservées aux logiciels libres, d'autre part, l'application du régime du mécénat aux contributions apportées aux logiciels libres. (...)
(31/07/2008 14:58:57)Le Conseil d'Etat réaffirme le droit à la décompilation
Même s'il a rejeté la requête de l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre), le Conseil d'Etat précise dans ses considérants que l'exception de décompilation n'est pas menacée par le décret n° 2006-1763 « relatif à la répression pénale de certaines atteintes portées au droit d'auteur et aux droits voisins ». Ce décret traduit dans le droit positif les dispositions théoriques de la loi Dadvsi du 1er août 2006 (droits d'auteur et droits voisins dans la société de l'information). Il avait été écrit dans le même esprit que la loi Dadvsi, dont on se souvient du vote sous le coup de manoeuvres et de pressions pour en faire un texte tout répressif. En particulier, le texte du décret passait sous silence l'exception de décompilation en vue d'interopérabilité. Cet oubli laissait planer un doute sur le maintien de cette liberté prévue en particulier par l'article L122-6-1 du Code de la propriété intellectuelle. La lecture du décret par les conseillers d'Etat réaffirme l'existence de cette exception de décompilation. Elle s'applique même aux logiciels libres qui liront les données protégées par une MTP (mesure technique de protection, alias DRM). Il n'en reste pas moins que les amendements dits "Vivendi Universal", qui sanctionnent les logiciels pairs à pairs (peer to peer), restent toujours valables. (...)
(28/07/2008 15:52:13)Microsoft soutient financièrement Apache
Microsoft va verser 100 000 dollars par an à la fondation Apache, structure Open Source qui développe le serveur Web éponyme, un des éléments essentiels de la suite LAMP (Linux, Apache, MySQL et PHP). Cette somme hisse Microsoft au rang de donateur "platinium", qu'il partage avec deux autres sociétés : Google et Yahoo. Après être allé jusqu'à envisager, en 2002, de poursuivre en justice les associations soutenant des projets Open Source, Microsoft confirme son changement d'attitude dans certains domaines. L'annonce du soutien financier de la fondation Apache s'inscrit dans sa stratégie de collaboration apparente, dont voici les dernières autres avancées : - Microsoft vient de proposer à l'ADOdb, une rustine pour améliorer le driver SQL de PHP. L'éditeur a réalisé que les projets PHP étaient programmés à 80% environ sous Windows, mais mis en service à 80% sous Linux. - Microsoft soutient le projet POI d'Apache : la mise au point d'API Java pour accéder aux formats de fichiers d'Office. - La licence GPL est désormais reconnue au sein d'OSP (Open Specification Promise), le cadre légal que Microsoft a créé pour permettre la cohabitation entre l'Open Source et son code propriétaire. L'engagement de Microsoft sur Apache intervient alors que IIS, son serveur Web concurrent d'Apache, gagne du terrain sur lui depuis mars 2006. En mars 2006, Apache pesait 68% et IIS 20,5%. Selon le dernier pointage de Netcraft, Apache anime 46% des sites actifs, soit 84,3 millions, et IIS 35,5%, soit 60,9 millions. GFE de Google est troisième d'un marché très concentré avec 10,2% (10,4 millions de sites). Livré avec Windows Server 2008, IIS 7 -dont l'acronyme signifie désormais Internet Information Services et non plus Internet Information Server- est considéré comme nettement meilleur que la version 6. (...)
(21/09/2006 00:00:00)Table Ronde CIO - Les métiers des entreprises et contrats d'infogérance en cours
Animé par Jean-Benoît Chauveau, associé Tiefree Partners, Expert de cio-online.com (...)
(15/07/2008 14:24:33)Dossier recrutement dans le Libre : l'enseignement pointé du doigt
Faut-il des compétences spécifiques pour travailler dans le domaine de l'Open Source ? A en croire les sociétés que nous avons interrogées, la réponse est oui et, visiblement, l'offre n'est pas suffisante pour répondre à la demande. Beaucoup nous ont confié devoir recruter à l'étranger pour compléter les effectifs. La faute, apparemment, à l'enseignement supérieur, pas suffisamment prompt à prendre en considération les besoins spécifiques des éditeurs de logiciels Open Source et des SS2L. Il existe bien quelques cursus spécialisés mais, comme nous l'explique Alexandre Zapolsky, président de la Fédération nationale de l'industrie du logiciel libre : « Des efforts doivent être faits pour pallier le sérieux retard pris par la formation initiale. Les cursus, trop généralistes, ne collent pas aux besoins actuels des entreprises. » L'état des lieux complet dans notre dossier : Attention à la pénurie de compétences en logiciels libres. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |