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1843 documents trouvés, affichage des résultats 901 à 910.

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(24/10/2007 17:04:43)

Google contribuera au code de MySQL

L'éditeur suédois MySQL, qui fonde le développement de son SGBD sur du code ouvert, a tracé les grandes lignes de son évolution jusqu'en 2009. A cet horizon, Google, qui vient de signer un "Contributor Licence Agrement", aura fourni du code pour enrichir ce SGBD. Google, qui utilise beaucoup MySQL, aurait de fortes compétences en matière de réplication et de gestion d'instances multiples. Elle pourrait figurer dans une mise à jour de la version 6.0, laquelle est attendue pour fin 2008. Cette 6.1 « googlisée » est prévue pour début 2009. (...)

(24/10/2007 15:49:25)

Les revenus de Mozilla ont progressé de 26% en 2006

En 2006, la fondation Mozilla et son bras commercial, Mozilla Corporation, ont amassé 66,8 M$, des revenus en hausse de 26% par rapport à 2005. Une progression très nette par rapport aux années précédentes (2,4 M$ en 2003 et 5,8 M$ en 2004). Cette progression du chiffre d'affaires ne serait pas directement liée à la seule augmentation de la base d'utilisateurs des produits de la marque. Winifred Mitchell Baker, PDG de Mozilla, a en effet rappelé que les principaux revenus du projet Mozilla provenaient des partenaires qui paient pour être intégrés à Firefox, tels Google, Yahoo ou encore Amazon. Le kiosque Mozilla Store, qui permet d'acheter une grande variété de produits estampillés Mozilla (du CD regroupant Firefox ou Thunderbird au T-Shirt, en passant pas des sacs à dos et casquettes), a également fortement contribué à cette augmentation. Sur les 66,8 M$ engrangés, Mozilla en consacre 19,7 aux dépenses. Elles sont constituées pour l'essentiel de la rémunération des 90 salariés de la fondation (70% du total), le reste étant imputé à la maintenance de l'infrastructure informatique, dont les serveurs et la bande passante des sites. Enfin, les 47 M$ restants alimentent un fonds de réserve géré par la Mozilla Corp, destiné à assurer l'indépendance et la pérennité du projet Mozilla, selon Winifred Mitchell Baker. En novembre 2006, une polémique sur le montant des rentrées d'argent de 2005 - et son utilisation - Mozilla avait suscité la polémique. Certains reprochaient à la fondation de ne pas publier ouvertement ses résultats. A l'époque, Winifred Mitchell Baker avait dû éteindre les rumeurs d'un trésor de guerre caché en publiant sur son blog quelques chiffres. (...)

(23/10/2007 17:21:05)

MySQL ouvre sa feuille de route à ses clients français

Plus d'une centaine de personne s'est rendue aujourd'hui à la première conférence utilisateurs de MySQL en France. Au menu, les évolutions technologiques de la base de données Open Source, et des témoignages d'utilisateurs (Crédit Mutuel, Skyblog, Alcatel-Lucent), dans le cadre prestigieux d'un hôtel du 16e arrondissement parisien. Robin Schumacher, responsable du développement produit, a évoqué le matin la feuille de route de MySQL, indiquant que Falcon, le moteur transactionnel maison, serait en disponibilité générale fin 2008, début 2009. L'éditeur suédois avait commencé ses travaux sur Falcon à la suite du rachat par Oracle d'Innobase, l'éditeur de son moteur transactionnel le plus utilisé, InnoDB. La sécurité, sujet majeur de la version 7 Autres améliorations ou nouveautés promises avec la version 6 de MySQL, des fonctions liées à la haute disponibilité, avec des possibilités de réplication semi-synchrones (nécessitant une validation de l'enregistrement, ou 'commit'), voire synchrones pour une évolution de la solution distribuée DRDB (distributed raw block device). La version 7, censée arriver un an après, mettra pour sa part l'accent sur la sécurité : gestion des groupes et des rôles, cryptage transparent des données, audit des données, support des systèmes d'authentification externes... Il s'agit, nous a expliqué David Axmark, confondateur et vice-président de MySQL, d'un besoin essentiel pour les acteurs de la banque. Guère intéressé par une stratégie à la EnterpriseDB, qui consiste à se rendre totalement (ou du moins, le plus possible) compatible avec Oracle car « cela demande énormément d'efforts », David Axmark préfère se concentrer « sur ce qui compte le plus, les nouveaux projets » plutôt que de viser un marché de migration. S'intégrer dans une architecture de sécurité distribuée, où les informations s'échangent avec le protocole SAML, est donc un pré-requis pour ces nouveaux projets. Le support spécifique de XML viendra... quand les besoins seront exprimés Côté innovations technologiques, David Axmark croit surtout dans l'optimisation. Ainsi, Falcon est optimisé pour les processeurs multicoeurs - même si David Axmark regrette que les bus mémoire et les systèmes d'exploitation soient en retrait sur ce sujet. L'autre credo de MySQL est la variété de réponses à un variété de besoins, une approche opposée à celle que revendique par exemple le docteur Stonebraker, qui explique que le stockage vertical est l'avenir des bases de données. « C'est stupide, pourquoi augmenter le niveau de complexité, alors qu'on peut faire les choses simplement. » Ainsi, pour lui, hormis lorsqu'une application requiert du décisionnel en temps réel, « par exemple pour proposer une offre à un client en train de payer à une caisse », il vaut mieux séparer les bases de production et d'analyse. « Surtout que cela ne coûte pas cher d'avoir 1 To sur un PC pour y analyser les données. » Robin Schumacher a en effet rappelé que MySQL offre une dizaine de moteurs de stockage différents, et que plusieurs éditeurs tiers proposent les leurs : InnoDB et SolidDB pour le transactionnel, Infobright et NitroEDB pour le datawarehouse, DB2 sur plateforme IBM i5... Quant à un moteur spécifique pour XML, il ne faut pas l'attendre de si tôt, la faute aux clients qui n'ont pas une idée précise de ce qu'ils veulent, estiment Kaj Arnö, vice-président responsable des relations avec la communauté Open Source, et David Axmark. « Dès que nous aurons des requêtes spécifiques, nous le ferons », indique Kaj Arnö. (...)

(23/10/2007 12:33:54)

Microsoft et TurboLinux développent un système SSO commun

Toujours plus près de Linux. Microsoft vient de nouer un partenariat avec TurboLinux, l'éditeur japonais d'une distribution Linux populaire an Asie. Si, pour l'heure, peu d'informations ont été communiquées, on apprend que l'accord vise à optimiser l'interopérabilité des deux systèmes au niveau de la gestion d'identité. Concrètement, une seule identité sera désormais nécessaire pour se logguer sur les machines à base de Windows et de TurboLinux (notamment son OS desktop Fuji). Un système de Single-Sign-On (SSO) commun devrait ainsi voir le jour. Les deux partenaires ont également scellé un accord de licence croisée, dont la teneur n'a pas été dévoilée. Microsoft, dans le cadre de son programme dédié à la licence de propriété intellectuelle, a déjà signé des accords avec Novell, Xandros, Fuji Xerox, Linspire, Kenwood, LG Electronics, Nortel Networks et Samsung. Notons que Turbo Linux s'occupe notamment de développer une version asiatique d'Open XML, le format d'échange de fichiers soutenu par Microsoft. (...)

(17/10/2007 14:44:19)

L'OSI approuve deux licences de Microsoft

L'Open Source a officiellement un nouveau contributeur de poids : Microsoft. Deux de ses licences de « code partagé » (Shared Source) - la MPL (Microsoft Public License) et la MRL (Microsoft Reciprocal License) - ont officiellement été reconnues par l'OSI (Open Source Initiative, organisme qui valide le caractère Open Source des licences), comme étant des licences Open Source. Microsoft peut dès lors apposer la mention « certifiée par l'OSI » à deux de ses licences. En juillet dernier, Bill Hilf, responsable de la stratégie plateforme de Microsoft, déclarait à l'occasion de la Convention O'Reilly Open Source que l'éditeur allait soumettre certaines licences Shared Source auprès de l'OSI. « La décision a été prise par un consensus énorme (mais pas l'unanimité) », précise Michael Thiemann, président de l'OSI et vice-président de l'Open Source chez Red Hat. « Microsoft n'a pas demandé de traitement de faveur, et n'en a pas reçu. En dépit des récentes interactions négatives entre Microsoft et la communauté Open Source, l'esprit de ce dialogue était constructif, et nous espérons qu'il indiquera une issue constructive également. » Pour autant, la communauté Open Source n'a pas soudainement une confiance aveugle en l'éditeur de Redmond. Michael Thiemann a déjà reçu quelques messages électroniques contre cette décision, certains accusant l'organisme - déjà largement critiqué par les puristes du logiciel libre - d'être passé à la solde de Microsoft. Il promet toutefois d'être vigilant. « S'ils essaient de voir si oui ou non il est possible de produire du code Open Source porteur de propriété intellectuelle, je pense qu'ils découvriront que 400 messages n'étaient que le début », promet-il. (...)

(12/10/2007 13:50:33)

Pentaho se met aux méta-données

Pentaho vient de mettre à jour sa suite décisionnelle en Open Source. La version 1.6, annoncée mercredi, dispose maintenant d'une gestion des méta-données et d'un client léger pour le reporting. Ce dernier va permettre d'étendre plus facilement le nombre d'utilisateurs capables d'effectuer des requêtes ad hoc et d'accéder aux rapports. 

David Stoddard, vice-président de Ventana Research, cabinet d'études californien, estime qu'ainsi, Pentaho accède vraiment au rang d'outil d'entreprise. 
Avec la couche de méta-données, les départements informatiques pourront créer des définitions métiers intelligibles et réutilisables (client, région...) grâce auxquelles les utilisateurs réaliseront eux-mêmes des requêtes. 

Cette couche de méta-données est basée sur la spécification CWM (Common Warehouse Metamodel) de l'OMG (Object management group), utilisée par certains outils décisionnels. L'intérêt de cet alignement sur CWM apparaît limité à James Kobielus, analyste pour Current Analysis, qui juge que la spécification n'est pas très répandue sur le marché. Avis non partagé par David Stoddard qui estime au contraire que l'adhésion de Pentaho est une marque de soutien au standard.

A partir de 12 000 $ pour le support

Basé à Orlando, en Floride, Pentaho a été fondé en 2005. Sa suite se télécharge gratuitement sous licence MPL (Mozilla Public License). L'éditeur dit avoir gagné de grands clients parmi lesquels Motorola et MySQL AB. La société, qui tire ses revenus de ses services de support et de conseil, n'est pas encore profitable, selon Lance Walter, vice-président du marketing.

Le coût d'abonnement au support technique pour une configuration incluant quatre processeurs démarre à 12 000 $ pour chaque module. La suite regroupe des modules de reporting (incluant la couche de méta-données et les fonctions de requête ad hoc), d'analyse, d'intégration de données, de tableaux de bord et de datamining. 

L'Open Source, un modèle de rupture intéressant

Pentaho s'inscrit dans un contexte particulier, sur un marché décisionnel en pleine phase de concentration, dans lequel les offreurs en Open Source, tels que Spago BI ou JasperSoft, ont évidemment une carte à jouer. Rappelons que JasperSoft vient de sortir une appliance décisionnelle avec Ingres.

« L'Open Source peut être un modèle de rupture intéressant pour le décisionnel », commentait récemment Jean-Michel Franco, à l'occasion du rachat de Business Objects par SAP. Et le directeur des offres internationales de Business & Décision de citer en exemple un autre marché, celui du CRM (gestion de la relation client) qui, en se consolidant (rachat de Siebel par Oracle, notamment), a donné du champ à un éditeur comme Salesforce qui proposait un modèle différent. (...)

(12/10/2007 11:04:44)

Intégration de données : Talend se tourne vers les consultants indépendants

Le Français Talend, éditeur d'outil d'intégration de données (ETL) en Open Source, qui travaille déjà avec un réseau de vingt-cinq intégrateurs, veut aussi pouvoir compter sur les consultants indépendants. A cet effet, il complète son programme de partenariats avec un label spécifique aux consultants baptisé « Talend Community Partners ». Concrètement, la relation envisagée par Talend repose sur le concept d'apporteur d'affaires. « Un consultant travaille souvent avec un nombre réduit de clients avec qui il entretient une relation de forte proximité, explique François Méro, le directeur général de Talend Europe. De fait, il peut facilement identifier en amont un projet envisagé par une entreprise, lié, par exemple à la mise en place d'un outil de CRM ou d'un PGI, dans lequel notre solution à un rôle à jouer ». Il reste ensuite à communiquer l'information à l'éditeur qui se chargera ensuite de proposer ses prestations de formation, de support ou d'expertise au client. Dans ce schéma, la rémunération du consultant est basée sur un pourcentage des revenus tirés du service fourni par Talend. L'éditeur espère collaborer à terme avec quelques dizaines de consultants autour de son produit Talend Open Studio. (...)

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