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(02/02/2009 10:44:25)
Scott McNealy préconise un poste de CIO dans l'administration Obama pour favoriser l'Open Source
Scott McNealy aurait été chargé par le nouveau gouvernement américain de préparer une étude sur l'impact de l'utilisation des technologies Open Source en termes d'économies et de sécurité pour l'informatique de l'administration. Le président et cofondateur de Sun a confié la chose à nos confrères de la BBC, expliquant que « intuitivement, il est évident que l'Open Source est plus économique et plus productif que le logiciel propriétaire ». Scott McNealy a ajouté qu'il voulait s'assurer que le gouvernement ne soit pas « enfermé » dans une relation avec un éditeur spécifique, et qu'il n'ait ainsi « pas un penny à payer à Microsoft, IBM ou Oracle, ou tout autre éditeur propriétaire ». Pour mener les changements à bien, Scott McNealy recommande la création d'un nouveau poste dans l'administration, un CIO qui disposerait d'un droit de veto, « le droit d'éliminer tout matériel, logiciel ou produit réseau touchant le réseau fédéral ». Il ou elle aurait aussi le droit de gérer les ressources humaines et d'agir comme bon lui semble avec elles pour atteindre ses objectifs. En clair, conclut Scott McNealy, « c'est ce que fait chaque entreprise et que le gouvernement ne fait pas ». (...)
(30/01/2009 18:19:03)Les réductions de postes chez Toshiba touchent 4 500 salariés à temps partiel
Touché par la crise économique, mais aussi par un Yen fort, Toshiba s'apprête à enregistrer cette année sa première perte depuis sept ans. Le constructeur japonais prévoit de réduire ses dépenses de R&D de 20%, à 320 Md¥ (3,55 Md$) sur 2009. Il va poursuivre ses réductions d'effectifs et encourager le travail en temps partagé. Dans un premier temps, les réductions toucheront 4 500 salariés à temps partiel dans ses divisions semiconducteurs et technologie LCD. Sur son troisième trimestre fiscal, la perte nette enregistrée par Toshiba s'élève à 1,3 Md$ (121 Md¥) sur un chiffre d'affaires en baisse de 21%, à 16,66 Md$ (1 500 Md¥). Les ventes de produits numériques ont diminué de 27% et celles des composants et des équipements électroniques de 31%. Ces deux divisions ont enregistré des pertes sur le trimestre. En raison de la chute des ventes de mémoire et de la baisse du prix des puces, la division composants/équipements électroniques a subi une perte de 134 Md¥, soit cinq fois plus que la division produits numériques. (...)
(30/01/2009 18:18:31)VMware sauve la rentabilité d'EMC
C'est aux 514 M$ de CA sa filiale VMware qu'EMC doit d'avoir passé pour la première fois le cap des 4 milliards de dollars au quatrième trimestre. De même, c'est la contribution du numéro un de la virtualisation à hauteur de plus de 100 M$ aux bénéfices trimestriels qui évite aux résultats de sa maison mère de ne pas s'effondrer de plus de 45%. Sur l'exercice, l'activité d'EMC se répartit entre le stockage pour 11,6 Md$ (+ 9,4 %), la gestion de contenu et l'archivage pour 785,7 M$ (+ 1,6 %) et la sécurité pour 581 M$ (+ 10,5 %). Joe Tucci, président d'EMC, a annoncé qu'il anticipait une réduction de 5 à 9 % de la demande en informatique professionnelle et qu'il comptait économiser 350 M$ sur les charges opérationnelles de son groupe. Le géant a aussi annoncé une réduction de ses effectifs de 7% (soit 2400 personnes). Cette mesure ne touchera pas, toutefois, sa filiale VMware. (...)
(30/01/2009 17:57:50)Les applications en mode hébergé confortent l'assise de Generix
Ce sont les applications de gestion en mode hébergé qui ont enregistré la plus forte croissance dans l'activité de Generix sur les neuf derniers mois. Elles ont généré 4,5 M€ (+32%) du chiffre d'affaires total de 51,1 M€ sur la période. Ces solutions regroupent l'ERP Generix Collaborative Enterprise, la plateforme d'intégration B2B TradeXPress On demand et les portails fournisseurs/clients de la distribution rachetés avec Influe, ainsi que la solution de gestion de la chaîne logistique (SCM, supply chain management) acquise avec Infolog. Ces applications fournies à la demande ne pèsent encore que 15,8% du chiffre d'affaires total sur les neuf premiers mois de l'exercice. Mais leur développement est très prometteur. En effet, la part des nouveaux contrats signés en mode SaaS (software as a service) connaît une progression à 3 chiffres chez Generix. Des contrats qui sont généralement signés sur 3 à 5 ans, selon Jean-Charles Deconninck, président de Generix Group. Par comparaison, les ventes de licences traditionnelles ont reculé de 8% sur les neuf mois écoulés, à 8,5 M$. Les revenus de la maintenance ont augmenté de 11%, à 15,4 M€, et ceux du conseil ont baissé de 3%, à 22,6 M€. Une croissance ralentie par le rachat d'Infolog [[page]]Le rachat d'Infolog, spécialiste de la gestion d'entrepôt, du transport et de la traçabilité, a pesé sur la croissance de Generix en 2008. En incluant cette activité, la progression du chiffre d'affaires du groupe français plafonne à +3%, alors qu'elle atteint +38% à périmètre constant. « Certains de nos clients ont levé le pied en septembre sur leurs déploiements logistiques, explique Jean-Charles Deconninck. Mais nous voyons maintenant une reprise de ces projets. » Il rappelle qu'Infolog a été racheté avec un objectif d'ordre industriel : couvrir la globalité de la chaîne de valeur dans le monde du commerce. La plateforme logistique développée dans le cadre de ce projet commence à être déployée auprès de certains clients. Elle propose des fonctions applicatives à la demande, sur la base d'une architecture multitenant, et sera officiellement lancée à la fin du premier semestre de cette année. « Elle permet de facturer véritablement à la demande, en tenant compte de la variabilité de l'activité des clients, des modules fonctionnels qu'ils utilisent et des volumes gérés », souligne le président du groupe. La supervision des événements de Systar intégrée dans l'offre A noter que Generix vient d'intégrer la technologie de supervision des événements (BAM, business activity monitoring) du Français Systar à sa plateforme d'intégration B2B TradeXpress Entreprise. « Nos clients opèrent dans les métiers de la logistique, sont fournisseurs de la grande distribution ou transporteurs, rappelle Jean-Charles Deconninck. 70% du flux de commandes de la grande distribution française passent par nos serveurs. On doit donner à nos utilisateurs les moyens de piloter leur processus critiques de façon extrêmement serrée. D'où la nécessité de mettre en place une architecture événementielle afin d'associer un niveau de service élevé à nos applications en mode SaaS. » (...)
(30/01/2009 17:29:30)Députés et Sénateurs refusent d'étendre la redevance aux ordinateurs
Contrairement à ce que plusieurs sénateurs avaient proposé, la redevance audiovisuelle ne devrait pas être étendue aux ordinateurs. C'est ce qu'ont décidé les membres de la Commission mixte paritaire (CMP), réunis en milieu de semaine pour élaborer un compromis entre les textes adoptés par les députés et les sénateurs. Co-présidée par Jacques Legendre et Jean-François Coppé et constituée de sept députés et sept sénateurs, la CMP semble avoir fait sienne les arguments avancés par Bruno Retailleau en réponse à l'amendement proposant d'appliquer la redevance à l'ensemble des terminaux permettant de recevoir les chaînes de télévision, dont les ordinateurs. « Ce serait un bien mauvais signal [au regard] du faible taux de pénétration [des PC en France], inférieur de 10 à 15% à celui enregistré en Europe du Nord ou en Grande-Bretagne », estimait le Sénateur. La décision de la CMP n'est finalement guère surprenante étant donné que l'Assemblée nationale avait rejeté le principe de taxer les ordinateurs, et que le gouvernement était également opposé à cette mesure. L'amendement qui prévoyait d'appliquer la redevance aux ordinateurs s'appuyait sur le principe d'équité. Dans un souci de trouver des moyens de financer l'audiovisuel public pour compenser la suppression de la publicité sur France Télévisions, les sénateurs à l'origine de l'amendement avançaient que « ceux qui bénéficient des mêmes services doivent contribuer de la même façon à leur financement ». La redevance cantonnée aux postes de télévision... provisoirement Par ailleurs, la CMP a validé le principe d'une augmentation de la redevance. Son montant sera majoré de 2 € en 2009, puis à nouveau en 2010, des sommes « qui s'ajouteront à l'indexation sur le taux d'inflation ». Il faudra ainsi débourser 122 € pour s'acquitter de la redevance fin 2010. Malgré la position de la Commission mixte, le chapitre de la redevance n'est pas clos. Dans le courant de l'année, un groupe de travail constitué de sénateurs et de députés sera ainsi mis en place pour plancher sur ce dossier. L'idée, nous explique Michel Thiollière, vice-président de la commission des affaires culturelles au Sénat, « est de procéder à une remise à plat de la redevance », en en examinant et en évaluant tous les aspects. Il est donc plus que probable que le principe d'équité soit à nouveau évoqué, ainsi que le principe d'étendre la redevance à tous les appareils permettant de regarder la télévision. (...)
(30/01/2009 17:37:30)174 000 emplois informatiques supprimés dans le monde en 2008
Crise financière oblige, le secteur informatique et télécoms est sous pression et depuis début 2008, les annonces de plans de restructurations se multiplient. Le tableau des entreprises contributrices aux plans sociaux en France et dans le monde en 2008 est plutôt noir (voir le tableau ci-dessous). On comptabilise un peu plus de 174 000 postes supprimés dans le secteur de la high-tech dans le monde.
La liste des entreprises qui mènent à bien des plans sociaux est édifiante et rassemble des acteurs de tout bord : des entreprises en souffrance mais également celles qui ont dégagé des bénéfices. Au total, on compte plus d'une trentaine de groupes, constructeurs, SSII, éditeurs, opérateurs télécoms ou portails. La palme revient à HP et EDS avec 24 000 postes supprimés dans le monde, dont près de 600 en France.
Autant de raisons qu ont conduit les informaticiens français à battre le pavé lors de la manifestation interprofessionnelle du jeudi 29 janvier (vidéo).

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Google va proposer des outils de mesure de la qualité de connexion
Google annonce la mise à disposition d'outils de mesure de performance des accès Internet. Réunis sur le site des Measurement Lab (M-Lab), ils sont vocation à permettre à chacun de mesurer les différents aspects de la qualité de service de leur FAI. Les outils de mesure de la vitesse de connexion existent depuis longtemps, mais Google tente de se distinguer sur trois points : l'ouverture de son projet à tous, la mise à disposition de serveurs test aux Etats-Unis et en Europe et la possibilité de mesurer la qualité de service dans le détail. Mise en avant, l'ouverture du projet signifie qu'il est ouvert à tous ceux qui veulent contribuer à l'évolution des outils et que ses ressources sont accessibles par tous les internautes. Un discours "altruiste" qui se traduit ensuite par la promesse que la mise à disposition de 37 serveurs, de part et d'autre de l'Atlantique, permettra de sonder l'état de sa connexion tous azimuts. Enfin, Google proposera un 'plus' technique : la mesure des performances en fonction de différents critères (protocoles, type d'applications, zones géographiques). Pour le commun des mortels, cela signifie la capacité de s'assurer que son FAI ne bride pas BitTorrent et ses besoins impérieux de "partage de fichiers". Il faudra attendre un peu pour apprécier la pertinence des outils du M-Lab. D'une part, Google les a annoncés avant de les avoir déployés en Europe et, d'autre part, les accès aux Etats-Unis croulent sous la demande. (...)
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