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(21/01/2009 17:09:06)
Packard Bell supprime une centaine d'emplois supplémentaires à Angers
Le fabricant d'ordinateurs Packard Bell annonce un nouveau plan social sur son usine d'Angers. Les salariés ont appris vendredi dernier, lors d'un comité d'entreprise, que la direction envisageait d'y supprimer une centaine d'emplois supplémentaires Ce plan s'ajoute à celui annoncé au printemps dernier, qui avait entraîné la suppression de quelque 122 emplois. Le site angevin, qui employait alors un peu plus de 300 salariés, ne comptera plus qu'une soixantaine de collaborateurs à l'issue des deux plans. Ceux-ci résultent du rachat du constructeur par Acer, début 2008. Il y a deux ans, le groupe avait déjà réduit les effectifs de son site d'Angers d'environ 200 postes, dans le cadre d'une externalisation de sa production. Depuis, plus aucun PC n'y est produit mais Angers conserve des activités d'ingénierie, d'achats, de logistique et d'après-vente. La direction de Packard Bell n'a pu être jointe pour commenter cette information. (...)
(21/01/2009 16:35:44)Essilor virtualise ses centres serveurs
Essilor, leader mondial du verre ophtalmique, disposait de deux datacenters principaux dans le monde, comptant chacun environ 200 serveurs, en plus de plusieurs centres plus modestes dans une centaine de laboratoires (5 à 20 serveurs). Dans le courant de 2008, il a migré l'essentiel des serveurs physiques de son datacenter français vers des serveurs virtuels équipé des logiciels VMware. Le nombre de machines physiques a ainsi été divisé un facteur supérieur à vingt. Toute nouvelle installation se fait désormais sur des machines virtuelles. La réduction du nombre de machines s'est traduite mécaniquement par une diminution du coût de leur hébergement. En revanche, le coût du projet n'a pas été indiqué mais Marc Giraud, directeur architecture et systèmes chez Essilor, estime que le retour sur investissement devrait être inférieur à deux ans. (...)
(21/01/2009 16:34:18)Les ventes en ligne ont progressé de 32% l'an dernier en France
Le nombre de transactions en ligne en 2008 a progressé de 32% par rapport à 2007, indique l'Association de l'économie numérique (Acsel) dans son baromètre du e-commerce. Au total, quelque 186 millions de commandes ont été effectuées en ligne l'année dernière, pour un chiffre d'affaires s'élevant à 17,1 milliards d'euros (+33%). Sur les trois derniers mois de l'année, pas moins de 58,8 millions de transactions en ligne ont été relevées (+45%). En 2008, les paiements effectués par carte bancaire chez les e-commerçants, tant par les porteurs français que par les porteurs étrangers, ont représenté un montant de 14 milliards d'euros, soit une progression de 36% en un an. 9,3% du montant des paiements ont été effectués par des porteurs étrangers. Le baromètre Acsel est réalisé à partir des données recueillies par Pricewaterhouse Coopers auprès d'un panel de 24 sites marchands (ce panel comprend notamment Auchan Direct, Chapitre.com, Expedia, Grosbill, La Maison du Chocolat, Mistergooddeal, Ooshop, Pixmania ou encore Voyages-sncf). (...)
(21/01/2009 16:26:48)L'intégrateur NLE garantit contractuellement des économies d'énergie à ses clients
A son arrivée chez l'intégrateur NLE en tant que directeur général associé, Raphaël Ducasse avait d'emblée fait savoir que le Green IT deviendrait un axe de croissance à part entière pour le prestataire. Son discours se concrétise aujourd'hui avec le lancement d'une offre de conseil destinée à mettre les systèmes d'information (SI) des entreprises en conformité avec les principes du développement durable. Telle qu'elle a été pensée, cette prestation modulaire se compose de quatre grandes briques. On trouve en amont un service de formation et d'information destiné à sensibiliser les entreprises aux enjeux et aux apports d'une politique « verte ». De quoi susciter chez elles le besoin de faire ensuite auditer par NLE l'impact environnemental de leurs propres SI à travers un bilan carbone et un bilan énergétique. Cette seconde étape prépare elle-même le terrain à une optimisation de l'infrastructures informatique des clients. L'intégrateur se propose d'y procéder en s'engageant contractuellement à faire réaliser des économies d'énergie à ses clients. De part leur bilan environnemental souvent médiocre, les data center des entreprises sont un des éléments du SI tout particulièrement ciblés par l'offre de conseil de NLE. La démarche de l'intégrateur n'en reste pas moins globale avec la prise en compte d'autres éléments comme les systèmes d'impression et les postes de travail. Réaliser 20% du CA dans le Green IT en 2009 Pour accompagner le lancement de sa nouvelle offre, NLE a mis sur pied un équipe dédiée de trois consultants. Le prestataire s'entoure également de partenaires auxquels il va faire appel pour délivrer une partie des services qui composent son offre de consulting Green. Un accord a déjà été passé avec le fabricant d'onduleurs APC en vertu duquel ce dernier procédera aux bilans énergétiques des data center et des installations qui assurent leur climatisation. Un autre accord devrait être prochainement signé avec un partenaire capable d'auditer les systèmes d'impression. A la fin de l'année 2009, la démarche Green IT de NLE devrait générer 20% de son chiffre d'affaires global. Des revenus qui seront issus en grande partie de sa nouvelle offre de services et, dans une moindre mesure à court terme, de la commercialisation de plate-formes matérielles « vertes ». Et pour mieux montrer son implication dans le développement durable, l'intégrateur a décidé de changer de nom pour adopter celui d'Evea Group (nouveau logo en illustration). Cette dénomination tire son origine de l'hévéa, l'arbre à caoutchouc. Selon Raphaël Ducasse, elle véhicule bien les valeurs de l'entreprise que sont le développement durable et la force en même temps que la souplesse. (...)
(21/01/2009 16:12:13)La Cnil place le Stic au banc des accusés
Données incomplètes, informations erronées, fichages injustifiés... Les conclusions de l'enquête menée par la Cnil sur le Stic (Système de traitement des infractions constatées) sont inquiétantes. Ce fichier de police judiciaire géré par le ministère de l'Intérieur a vocation à recenser les infractions afin d'aider le travail des enquêteurs. Il contient des fiches concernant 5,5 millions de personnes mises en cause, 28,3 millions de victimes et 36,4 millions de procédures. Les 100 000 agents de police qui y ont accès le consultent 20 millions de fois chaque année. Devant tant de données sensibles, il paraît affligeant que le taux d'erreurs relevé par la Cnil soit considéré comme « sidérant » par l'autorité administrative. De fait, seules 17% des fiches sont exactes et contiennent des informations à jour. Cette « absence quasi systématique de mise à jour » serait essentiellement imputable au parquet, qui ne renseigne les traitements sans suite que dans 21,5% des cas. Pire, seules 6,8% des relaxes sont mentionnées dans le fichier, et moins de 0,5% des non lieu. Ainsi, un individu peut-il apparaître comme étant mis en cause dans une affaire alors même qu'il a été déclaré innocent par un tribunal. Des conséquences sociales considérables Cet état de fait est d'autant plus fâcheux que le Stic est utilisé dans le cadre d'enquêtes administratives, menées pour des recrutements dans les secteurs de la sécurité, de la magistrature, ou pour des emplois aéroportuaires. En résultent des pertes d'emplois ou des refus de recrutement injustifiés, uniquement dus à l'inexactitude des données figurant au fichier. Plus d'un million d'emplois sont concernés, ce qui incite Alex Türk, le président de la Cnil à déplorer des « conséquences sociales considérables ». S'ajoutent à ces dysfonctionnements un « manque de rigueur dans la gestion des habilitations et les attributions de mots de passe » par les policiers chargés de consulter et d'alimenter le fichier, et de fréquentes erreurs de saisie. Pour tenter d'endiguer ces dérives, la Cnil formule onze propositions, allant de la mise en place d'une procédure pour sécuriser les opérations de saisies à l'obligation de respecter les durées de conservation des informations. (...)
(21/01/2009 15:41:07)L'Efrei forme une soixantaine de chômeurs aux métiers de la BI
Période de crise ou pas, les entreprises sont toujours demandeuses d'outils qui les aideront à mieux analyser leurs activités. Mais les spécialistes de la BI (Business Intelligence- informatique décisionnelle) sont trop peu nombreux pour répondre à l'augmentation de la demande. Pour inverser la tendance, l'Efrei (Ecole française d'électronique et d'informatique) a décidé d'assurer la formation d'une soixantaine de demandeurs d'emploi à ces métiers avec le concours de Pôle emploi (qui réunit désormais Assedic et ANPE) et de l'éditeur d'outils analytiques SAS. Le programme est ouvert à tout demandeur d'emploi inscrit, ayant droit à l'Are (Aide de Retour à l'Emploi) et possédant. une expertise métier et/ou informatique. Les candidats - de niveaux Bac+2 (BTS DUT - DEUG), Bac+3 et 4 (Licence - Maîtrise) ou Bac+5 (DESS - DEA - Grande école - pourront postuler en envoyant lettre de motivation et CV par courriel à l'adresse topp@efrei.fr. Entièrement prises en charge par les ex Assedic, les sessions démarreront à partir du mois prochain à raison de 430 heures sur trois mois. A la clé, une place en SSII Les participants pourront intégrer une équipe projet d'une des SSII partenaires dès la fin du programme : Business & Decision, Umanis, Sopra group, Lincoln, Odesys, Groupe HLi, Acane Consulting ou Micropole Univers. Les salaires bruts iront de 30 à 40K€/an, suivant l'expérience et la formation initiale. (...)
(21/01/2009 08:24:17)Les retours de produits électroniques coûtent 7,3 Md€ dans six pays européens
Dans six pays européens, la gestion du retour des produits électroniques grand public coûte 7,3 Md€ par an à leurs fabricants. Selon Accenture, avec un taux de retour de 12% la France arrive en tête, devant l'Allemagne (11%), le Royaume-Uni (9%), l'Espagne (8%), la Pologne (8%) et la Suède (7%). Pourtant, selon le cabinet de conseil, moins de 5% des produits retournés présentent un défaut. Dans 95% des cas, les acheteurs expriment donc une insatisfaction d'un autre ordre. Dans 48% des cas en France et dans 38% de ceux en Espagne, ils indiquent clairement que le produit ne fonctionne pas comme ils l'avaient espéré. Si l'on parvenait à réduire de seulement 1% la quantité de produits retournés, mais en état de marche, les fabricants pourraient réaliser une économie de 4% du coût de leur gestion. La solution réside dans des efforts à faire sur toute la chaîne de conception, de production et de commercialisation. Accenture appelle de ses voeux des produits mieux conçus, mieux emballés qui seraient mieux vendus par des forces de vente mieux formées à des acheteurs mieux informés. Ce sont les micro-ordinateurs qui arrivent en tête des retours, suivis par les lecteurs MP3, les téléviseurs, les téléphones mobiles, les consoles de jeux, les GPS et les lecteurs DVD. Avec un taux de retour entre 2% et 12%, les clients européens arrivent loin derrière les Américains. Là-bas, il se situe entre 11% et 20%. (...)
(21/01/2009 08:24:20)Mainframes : T3 Technologies accuse IBM d'abus de position dominante
IBM risque d'être poursuivi par la Commission européenne pour abus de position dominante à la demande de la société américaine T3 Technologies. La plainte porte sur le comportement d'IBM sur le marché des mainframes. La petite société de Floride accuse Big Blue de refuser de vendre son système d'exploitation à des utilisateurs pour le faire tourner sur les machines compatibles de T3 Technologies et d'empêcher l'accès à des technologies clés. Les systèmes de T3 Technologies sont conçus à partir d'éléments standards et émulent les API d'IBM grâce à la technologie de PSI (Platform Solutions Inc.). Mais IBM, après s'être battu en justice avec PSI, a décidé d'acheter la société en juillet dernier. A la suite de ce rachat, T3 Technologies se retrouve bien seul. Non seulement il poursuit l'action initiée contre IBM devant la justice américaine sans PSI, mais il est obligé de réclamer au géant américain l'utilisation de la technologie de PSI pour ses systèmes. Depuis quelques temps, les grands systèmes IBM ont renoué avec des croissances annuelles à deux chiffres. Si ses machines ne génèrent que moins de 30% du CA du constructeur, elles dégagent près de 40% de ses résultats. Avant que les agissements d'IBM n'amputent son activité, PSI revendiquait 10 à 20 M$ de CA. (...)
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