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(12/01/2009 13:11:35)
Comme Satyam, Wipro est elle aussi privée de contrats avec la Banque mondiale
Wipro est aussi sur la liste des entreprises de l'IT privées de contrat avec la Banque mondiale, a révélé l'institution ce week-end. Fin décembre, on apprenait que Satyam, la 4e SSII indienne, était sanctionnée pour des manoeuvres financières jugées indues par la banque. « Dans un souci d'équité et de transparence », la Banque mondiale a décidé de lister deux autres fournisseurs IT exclus, dont Wipro, 3e du marché indien (l'autre SSII étant la filiale de l'Américain Megasoft). Wipro, qui vient de conclure le rachat de la filiale informatique indienne de Citigroup, a été déclarée inéligible pour 4 ans, depuis 2007 jusqu'en 2011. Des proches du DSI et d'autres membres de la direction auraient acheté des actions dans le cadre d'un programme mis en place par la SSII, ce qui entraînerait un conflit d'intérêt pour la Banque mondiale. Dans un communiqué, Wipro estime l'affaire négligeable, la totalité des actions concernées représentant un montant de 72 000 dollars. Par ailleurs, la SSII explique que son volume d'affaires avec la Banque mondiale n'est « pas significatif » et que cela n'aura aucun impact sur ses futurs revenus. (...)
(12/01/2009 12:51:11)Renault et ses prestataires créent une intersyndicale pour protester contre des non renouvellements de contrats
La crise du marché automobile continue d'inquiéter les syndicats des sociétés de conseils en technologie et en ingénierie et ceux de leurs donneurs d'ordre . Mardi 6 janvier, les organisations syndicales CGT, CFDT, CFTC, et SUD du constructeur Renault, et des représentants syndicaux des sociétés de conseil en technologies et en ingénierie ont décidé de mettre en place une coordination intersyndicale et interentreprises. Il s'agit pour ces dernières, de protester collégialement contre le non renouvellement par Renault du contrat de quelque 1 800 postes de prestataires des établissements d'ingénierie du constructeur. Pour la F3C-CFDT, syndicat des métiers de la communication et du conseil, plus de 1 200 postes pourraient être supprimés sur le seul Technocentre de Renault à Guyancourt par des sociétés de conseil en ingénierie telles Polymont, Assystem, Segula, Akka, Altran, Bertrandt, Idestyle, Alten, NSI, Cergi, Ligeron, ou Consort. D'après l'organisation, Renault justifierait ce plan par la nécessité de « limiter les sorties de cash flow », et de diminuer les dépenses de R&D. Des projets ont été reportés ou annulés, pour plus de 1 000 équivalents temps plein rien que dans l'ingénierie véhicules. Un rassemblement pour la défense de l'emploi aura lieu jeudi prochain à 11 heures devant le Technocentre. (...)
(12/01/2009 12:35:58)Forrester : Plus de 80% des professionnels IT jugent les questions environnementales importantes
2008 a sans aucun doute représenté une année charnière pour le green IT. Et surtout, elle aura été l'année d'une prise de conscience généralisée du sujet par les responsables informatiques. C'est ce que confirme très nettement l'enquête menée par le cabinet d'analystes Forrester Research et publiée fin 2008. En zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), 83% des répondants européens et 84% de leurs homologues nord-américains ont jugé importants ou très importants les sujets environnementaux dans l'évolution des opérations IT. Mieux encore, 21% des premiers mettent déjà en oeuvre des technologies ou des pratiques green IT, 27% en créent et 36% envisagent de le faire. Cependant, seules 10% des sociétés font appel à un prestataire spécialisé pour la planification ou le lancement de ces projets. Une proportion sans doute due autant à la maturité récente du sujet et au peu de fournisseurs de services identifiés dans le domaine qu'à une volonté de conserver de tels projets en interne. Le green IT peut aussi être considéré comme un moyen de redorer le blason des équipes informatiques, à l'image souvent malmenée. Sans surprise, les motivations pour le développement durable sont tout aussi (voire plus) financières, qu'écologiques. La réduction des dépenses énergétiques vient ainsi en tête, avec 71% de réponses pour l'Amérique du Nord et 65% pour la zone EMEA. « Faire ce qu'il faut pour l'environnement » ne vient qu'en deuxième position, respectivement 45% et 37%. Ensuite, les responsables IT disent vouloir améliorer l'image de leur société, aligner l'IT avec la politique de développement durable de l'entreprise, améliorer la fiabilité de l'infrastructure, éviter les coûts de construction d'un nouveau datacenter. Plus étonnant, la conformité aux réglementations, pourtant de plus en plus nombreuses et complexes, ne vient qu'en 7e position avec 18% des réponses de la zone EMEA. La vidéoconférence et le télétravail plébiscités Les entreprises assurent, on ne s'en étonnera pas -à plus de 90%, être plus ou moins au courant des démarches green IT menées par les fournisseurs du marché. Ce sondage ne précise évidemment pas si ces mêmes entreprises ne se trouvent pas saturées par de telles informations et si elles leur permettent de se repérer dans la réalité de l'offre. [[page]]Parmi les pratiques les plus souvent mises en oeuvre, la vidéoconférence est plébiscitée par 73% des entreprises nord-américaines et par 77% de celles de la zone EMEA. Le télétravail, qui évite les déplacements et le stress, mais augmente aussi, souvent, la productivité, réunit près de la moitié des répondants. Ensuite viennent la réduction des besoins en climatisation et l'utilisation d'énergies alternatives pour les infrastructures informatiques. Le recyclage est lui-aussi entré dans les moeurs puisque seuls 18% des répondants en EMEA et 11% des nord-américains ne le pratiquent pas encore. Il faut noter que Forrester Research n'a interrogé les responsables IT que sur l'impact de l'informatique sur l'environnement, et non sur l'utilisation du système d'information pour mener à bien une politique d'entreprise durable. L'arrivée de critères 'verts' dans les procédures d'achats informatiques L'étude confirme une autre tendance forte de 2008 au coeur de l'adoption du green IT : l'introduction de critères environnementaux dans les achats informatiques. 60% des responsables IT les prennent en compte. Parmi ces critères, l'étude de Forrester identifie la fabrication verte (sans évoquer précisément l'éco-conception), l'efficacité énergétique et le recyclage des matériels. Enfin, le green IT semble presque indifférent à la crise financière qui secoue la planète. Seuls 4% des responsables IT ont déjà décidé de réduire leurs investissements en la matière du fait de ces bouleversements économiques. Un bémol cependant, ils sont 44% en EMEA et 51% en Amérique du Nord à répondre qu'il est trop tôt pour prendre une décision, dans un sens ou dans l'autre. Pour son enquête, Forrester a interrogé 1 022 professionnels IT d'entreprises différentes en Amérique du Nord et en zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). (...)
(12/01/2009 10:57:45)L'Open Cloud Consortium veut promouvoir un cloud computing ouvert
En matière de cloud computing, la technique suit le marketing. Un groupe d'universités américaines* vient de créer l'Open Cloud Consortium (OCC), une association qui a vocation à améliorer les performances des technologies impliquées dans le cloud computing, à y promouvoir l'utilisation des logiciels libres et l'interopérabilité entre chaque implantation. "Notre but est qu'il ne soit pas nécessaire de réécrire les applications si l'on change de fournisseur" explique Robert Grossman, président de l'OCC et directeur du Laboratory for Advanced Computing (LAC) et du National Center for Data Mining (NCDM) à l'université de l'Illinois.
Mise à disposition d'un banc de tests
Robert Grossman annonce cinq axes de travail : - le développement de standards pour le cloud computing, d'interfaces et de frameworks pour l'interopérabilité entre les différentes implantations, - le support des logiciels Open Source pour le cloud computing, - le développement de tests de performances (benchmarks) pour le cloud computing, - la mise à disposition d'un banc de tests, l'Open Cloud Testbed, se composant de quatre sites reliés entre eux par une connexion Ethernet à 10 Gigabit, - et le soutien d'ateliers et d'événements sur le sujet.
Seul Cisco soutient l'OCC pour l'instant
L'OCC travaille avec les logiciels open source suivants : Hadoop, développé par le consortium Apache, et Thrift, originaire de Facebook. Thrift est un framework qui permet de développer des services à partir de plusieurs langages (C++, Java, Python, PHP et Ruby). L'OCC a aussi mis au point Sector qui utilise le protocole UDP et non TCP. Couplé avec Sphere, développé par le National Center for Data Mining, il délivre des performances deux fois supérieures à celle d'Hadoop qui repose sur TCP. Pour l'instant, seul Cisco, parmi les grands acteurs de l'industrie, apporte son soutien à l'OCC. Les autres (IBM, Microsoft, Oracle Amazon, Google...) ont, pour une raison ou pour une autre, moins d'enthousiasme à vouloir favoriser une standardisation du cloud computing qui profite surtout aux utilisateurs. Il reste à espérer que l'OCC parvienne à ses fins. (...)
Excentive, spécialisé sur la gestion de la rémunération, lève 700 000 euros
L'éditeur français Excentive vient de lever 700 000 euros auprès de ses actionnaires historiques, en particulier BNP Paribas Private Equity, IDF Capital et Access2Net. Co-fondée en 2002 par David Lerman, cette société de 30 personnes développe des solutions de pilotage des politiques de rémunération des cadres (gestion des augmentations, attributions de primes et bonus, stocks options, etc.) et de calcul des rémunérations variables des forces de vente ou des réseaux de distribution. Son actionnaire BNP Paribas Equity voit de « réelles perspectives », en période de crise, pour ces solutions conçues pour augmenter la performance tout en contrôlant la masse salariale. Excentive a ouvert fin 2008 cinq bureaux à Londres, Rotterdam, Lausanne ainsi que Bruxelles et Stockholm pour rayonner au Bénélux et en Scandinavie. Le nouvel apport financier est destiné à soutenir le développement international de l'entreprise par des actions de marketing et par le renforcement de ses équipes de support et d'avant-vente. L'éditeur a aussi prévu de mettre pied en Amérique du Nord et en Asie dès cette année. En France, Excentive compte 25 clients grands comptes parmi lesquels Bouygues Construction, Barclays, le groupe Caisse d'Epargne, Casino, Orange ou Veolia Environnement avec lesquels l'éditeur a mené des projets de plusieurs centaines de jours/hommes. Ses principaux partenaires intégrateurs sont Business & Décision, Micropole Univers, Sopra et Umanis. (...)
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